• Tout d'abord, mes remerciements à Michel Tablion, à qui je dois cette photo. C'est un amateur de tabliers de femme, de torchons (propres) et de bondage. et, vous le voyez aussi, un peu un amateur de fessées.

    Qu'est-ce qui m'excite? Eh bien, c'est le martinet pendu au milieu des torchons.

    J'aime les torchons, je les aime humides, salis de nourriture, odorants, j'aime être attaché avec, être bâillonné avec, avoir les yeux bandés, avoir la tête entorchonnée. J'aime, aussi, devoir aller au piquet, à genoux, mains sur la tête, face aux torchons accrochés au mur, le nez dedans.
    Alors, cette photo montre un endroit idéal pour le piquet avant la fessée. Parce qu'une bonne fessée doit être précédée d'une séance au piquet, pour réfléchir à la punition qui m'attend, et la craindre par avance. Et, bien sûr, suivie d'une séance de piquet, avec le cul tout rouge bien exposé.

    Alors, imaginez vous, à genoux, face à ce martinet pendu au milieu des torchons. Votre punisseuse vous a mis là, mais sur la tête, à genoux. Dans un moment, court ou long, elle va vous appeler. Vous devrez lui apporter le martinet, en le tenant dans la bouche, et en marchant à genoux, mains sur la tête. Quand vous lui aurez donné le martinet, elle vous renverra, toujours à genoux et mains sur la tête, chercher un premier torchon pour vous attacher les mains dans le dos. Puis, les mains attachées dans le dos, vous devrez aller chercher un deuxième torchon, toujours avec la bouche, vous lui apporterez, et elle vous entravera les chevilles avec. A genoux, les chevilles entravées, les mains liées, vous irez chercher un troisième torchon, il servira à vous bâillonner.

    Et, alors, la fessée au martinet pourra commencer.

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  • Quoi de mieux qu'être fessé par une femme? Être fessé par deux femmes, bien sûr.

    Ici, ce n'est pas la tenue des fesseuses qui m'excite, non. Une simple blouse bleue à large ceinture blanche, donc la tenue d'une nurse anglaise. Disons que, pour une fesseuse à mon goût, c'est le minimum, moins qu'une blouse, ce ne serait pas excitant.

    J'aime la situation, le puni penché sur la chaise, culotte baissée, aux mains de ces deux punisseuse.

    Une le fesse, classiquement, tranquillement, à la main, enfin, à la main pour le moment, on ne sait pas ce qui se passera ensuite.

    Et l'autre a le rôle le plus intéressant. En face de lui, les yeux dans les yeux, le doigt sous le menton pour lui faire relever la tête. Que lui dit-elle?
    Est-ce qu'elle le gronde? Est-ce qu'elle se moque de lui? Est-ce qu'elle l'insulte? Est-ce que ce n'est pas à lui qu'elle parle, mais à sa collègue? Pour lui dire "Il ne pleure pas encore, frappe plus fort", ou bien "Il aime ça, le coquin"? Est-ce qu'elle lui dit ce qui va lui arriver ensuite, après la petite fessée à la main?

    En tout cas, nous aimerions bien savoir ce qu'elle lui dit, et ce que dit la fesseuse, peut-être pose-t-elle des questions après chaque coup, pour savoir comme le puni réagit, et adapter le traitement.

    Et nous pouvons imaginer aussi que, quand celle qui fesse aura mal à la main, les deux punisseuses intervertiront les rôles…

     

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  • La légende de la nonne, Victor Hugo

    Enfants, voici des bœufs qui passent,
    Cachez vos rouges tabliers !

    Il y a des fétichistes des tabliers. Il y a des fétichistes des tabliers en caoutchouc. Et il y a des fétichistes des tabliers en caoutchouc rouge. C'est bien sympathique, des fétichismes, il en faut pour tout le monde.

    Voici donc une très belle dominatrice, en tablier de caoutchouc rouge. On dirait même, plus qu'une dominatrice, une tourmenteuse, une bourrelle, à cause de la cagoule qu'elle porte. La cagoule est noire, elle gagnerait peut être à être rouge comme le tablier, mais, allez-vous me dire, les gants sont noirs aussi. Sommes nous en présence d'un fétichiste "Le rouge et le noir"? Après tout, nous voyons bien, à gauche de la punisseuse, une paire de bottes rouges et, à sa droite, une paire de bottes noires.

    Mais c'est peut être tout simplement un fétichiste du caoutchouc, parce que les bottes sont en caoutchouc, et nous voyons, pendus derrière, toute une série de tabliers en caoutchouc. Pour ma part, j'aime surtout les blancs.

    Encore quelques détails. Il semble que la punisseuse marche sur une alaise de caoutchouc blanc, non? Et le fessoir qu'elle tient en main gauche est, sans doute, en caoutchouc aussi. Il est original, il a une belle surface, il doit claquer sans faire trop mal. Mais dites moi, qu'est-ce qui est pendu dans l'étui à sa ceinture?

     

    Toujours pour les fétichistes des tabliers de caoutchouc rouge, un montage photo.

    Je dois dire que je préfère cette femme à la précédente. D'abord parce qu'on voit son visage, ce qui est plus agréable.

    Ensuite parce qu'elle porte des socques et pas des bottes. Les socques, j'aime bien, on peut embrasser les pieds, les lécher, sans que la femme se déchausse. Bon, vous me direz que renifler, sucer et lécher des pieds qui ont macéré toute la journée dans des bottes de caoutchouc, ce n'est pas mal non plus, non?
    J'aime bien aussi que ses gants soient plus léger, je n'aime pas particulièrement les gants.

    Et puis, ce genre coquin, je retrousse mon tablier, dois-je retrousser ma blouse aussi? 

     

    Et une troisième image, le rouge sur le jaune, le miroir, les lunettes, simplicité et réalité, non?

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  • Une très belle infirmière. Belle, au sens esthétique du terme, avec, en plus, en maquillage léger, pour ceux qui aiment. Et belle, aussi, par la tenue.

    Je la détaille, cette tenue. Une blouse blanche, toute simple, à manches courtes, qui laisse voir ses bras, toujours agréable de voir les bras de celle qui puit. Sur cette blouse, un tablier qui n'est pas vraiment un tablier d'infirmière, il faut le dire. C'est un tablier pour faire la plonge dans une grande cuisine, ou pour travailler aux abattoirs, et certainement pas un tablier d'infirmière. Que fait-il là, alors?
    Sans doute, il est assorti aux bottes, parce que les bottes ne sont pas des chaussures d'infirmière, une infirmière porte des socques. Mais les bottes en caoutchouc blanc sont les seules que je supporte et qui m'excitent, rien qu'à penser à l'odeur des pieds qui mijotent dedans.
    Au tablier et aux bottes, sont assortis les gants, qui ne sont pas non plus des gants d'infirmière.

    Alors, pourquoi est-ce que je dis qu'il s'agit d'une infirmière?

    A cause du grand voile blanc, et de la croix rouge. Le grand voile blanc, que j'adore comme coiffure sur les cheveux. Mais la croix rouge, qui doit tant exciter certains fétichistes du médical, me déplait, surtout quand elle vient juste pour dire, sur une tenue coquine "je suis une nurse". Mais là, ce n'est pas le cas, et la tenue, loin d'être coquine, est impressionnante.

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  • Charlotte

    Elle est si jolie que vous vous demandez pourquoi je publie cette photo?

    D'abord, est-il normal de prendre sa douche en portant un tablier de plastique rose, avec ces frous-frous sur les bretelles et le côté, et cette large ceinture de ruban rose? Non, ça ne l'est pas, et c'est fait pour exciter les podiaphiles (je rappelle que ce mot désigne les fétichistes des tabliers) comme nous.

    Si j'aime cette photo, c'est à cause de la charlotte qu'elle porte. Ses cheveux longs sont soigneusement tressés, en deux nattes, ce qui leur évite de trainer partout. Et, en plus, elle porte sur la tête cette charlotte.

    La charlotte m'excite. Si je réponds au prénom de Marie-Charlotte, c'est en partie parce que Charlotte, en plus d'un prénom, désigne deux choses/
    - Un petit bonnet, pas forcément de bain, qui va si bien à une tenue de paysanne, de domestique, de garçon jouant à la petite fille.
    - Une pâtisserie, et vous le savez, j'aime les pâtissières et les jeux avec la nourriture.

    Il ne manque plus d'une photo où l'on voit une pâtissière en charlotte confectionner, ou manger, une charlotte…

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