Madame la Comtesse de la Marinière avait gardé Maman à son service. Elle me fit donner quelques instructions par l'une de ses amies, institutrice en retraite, Mademoiselle Laférule, la bien nommée. Je suivait la classe le matin de huit heures trente à douze heures et me donnait quartier libre après le repas.  Elle était toujours vêtue à l'ancienne. Une longue robe corsetée en crêpe, au lourd tomber, qui s'ajustait impeccablement à ses formes... généreuses. Elle avait une paire de lorgnons posée sur son nez pointu. Malgré son air sévère et son attitude guindée, elle se montrait assez indulgente avec moi. Certes les compliments étaient rares mais ils étaient sincères.

Elle se montra enjouée quant Maman chérie lui annonça que je portais le kilt en classe... "Un jeune homme en kilt? Voilà qui est fort original. Désormais, jeune homme, vous porterez cette tenue pour vous assisterez à mes leçons ! Est-ce bien clair ?" Et ainsi débuta mon année scolaire... 

Est-ce un conte pour enfant? En tout cas, si cela en était un, j'aimerais qu'on me le fasse vivre.

Il était une fois, dans un petit village, deux garnements qui ne faisaient que des bêtises. Et une de leur bêtises préférée était d'aller regarder chez les gens, et, surtout, d'aller regarder les femmes dans leurs maisons.

Un jour, alors qu'ils étaient allés loin, loin dans la forêt, ils virent une grande maison qu'ils n'avaient jamais vue avant. Alors, il prirent une échelle qui trainait dans le jardin, ils la mirent contre le mur, et ils montèrent à une fenêtre. Là, ils virent une fée qui faisait sa toilette. Il regardèrent, très excités, sans faire attention à tout le reste.

Mais ils ne savaient pas que deux fées vivaient dans cette maison. La deuxième fée, qui était allée cueillir des herbes pour les potions magiques, vit l'échelle en rentrant, et les deux garnements dessus. Elle comprit tout de suite ce qu'ils faisaient, elle avait reconnu la fenêtre de la salle de bains.

Elle alla au pied de l'échelle et leur lança un sort:
- "Abracadabra, par mon pouvoir magique je change ces garçons en bêtes aquatiques!"

Et les deux garçons, transformés en petites grenouilles, tombèrent de l'échelle, et leurs vêtements vides à côté d'eux.
La fée mis les grenouilles dans son panier, ramasse les vêtements, et rentra dans sa maison pour s'entretenir avec l'autre fée, sa soeur.

Elle discutèrent pour savoir ce qu'il fallait faire. C'étaient des petits, malicieux certes, mais pardonnables, elles n'allaient quand même pas ni les manger, ni les relâcher sous forme de grenouilles pour que les hérons les mangent.

Elle décidèrent alors, après les avoir laissés mijoter un petit moment, de leur rendre leur forme de petits garçons, à conditions qu'ils acceptent la punition qu'elles auraient décidée. Les deux grenouilles firent "Coa, coa", ce qui voulait dire "Oui, bonnes fées, nous acceptons la punition".

Alors les deux fées leur rendirent leur forme de petits garçons, qu'ils retrouvèrent magiquement avec leurs vêtements, et elles les déculottèrent pour leur donner une bonne fessée à chacun.

L'histoire ne le dit pas, mais ceci leur plut tant qu'ils revinrent souvent.

Sans commentaires, pour les anglophones

Cette photo est un montage. Bon, ou pourrait critiquer le montage en disant que certaines chaises donnent plus l'impression de flotter dans les airs que d'être au sol de la cuisine. Mais c'est un beau travail quand même.

Quatre victimes différentes, quatre tenues différentes. Un tablier-taille sur une robe, un tablier à bavette, une belle tenue de domestique blouse et tablier-taille, une autre tenue avec un grand tablier à bavette. Et, dans les quatre photos, des seins, vrais ou faux, peu importe pour l'esthétique, non? Et dans les quatre cas, bondage, bâillon, bandeau sur les yeux, le grand jeu, quoi.

Alors, chacun peut dire ce qu'il préfère dans les détails, comme par exemple les chaussures, les liens, les bandeaux et baillons.

Pour ma part, j'aime bien quand les cordes sont blanches et fines, plus "corde à linge" que "bouts de navire", quoi. Et j'aime les chaussures basses et simples, des chaussures de maison.
Ce que je regrette, ce sont les foulards comme bâillons et bandeaux, au lieu de torchons.

Ah, deux détails:
- Il y a un torchon pendu, à droite de la photo, et c'est très excitant…
- Et pourquoi le réfrigérateur est il ouvert?

Cette femme, vous la connaissez, c'est une célèbre dominatrice, spécialisée dans le dressage des hommes pour en faire des sissies ou des domestiques stylées, Miss Silk.

Vous voyez d'ailleurs, derrière, un de ses soumis, en uniforme, blouse, coiffe, et tablier à bavette, qui attend les ordres, les mains jointes sur le devantier de son tablier. Position normale pour une domestique, plus pratique que les mains dans le dos, parce qu'elle peut agir plus vite si on lui en donne l'ordre.

Miss Silk, de temps à autre, se plait à mettre un tablier, elle aussi, ce joli tablier-taille que l'on appelle "tablier d'hôtesse". Ici, elle l'a mis, sans doute, pour enseigner à sa servante comment être une nounou, et langer, nettoyer, mettre en culotte plastique les autres soumis. En effet, je doute qu'elle le fasse elle-même, ce sont des besognes serviles et rebutantes. Et donc, si elles veut humilier ses sissies en les traitant en ABY et en leur faisant porter couches et culottes de plastique, c'est à la domestique, transformée en nounou, de se charger du travail.