• Une jolie nounou, non, une blouse, une sorte de chasuble en plastique ornée de dessins enfantins sur la blouse et, par dessus, un très joli tablier à bavette. Est-il en plastique, ou en tissu très léger, en tout cas, il est très joli, comme celle qui le porte. Elle est adorable avec ces lunettes, non?

    On l'imagine, entre les cuisses de son soumis. D'une main elle lui tâte la petite saucisse et les boulettes toutes douces et toutes rasées, elle lui glisse un doigt tout autour de la rosette. Et que lui dit-elle?
    - Oh, mais cette rosette bien fermée m'indique que le cu-cul est bien plein. Je vais y mettre le doigt pour sentir ce qu'il y dedans, allez, écarte bien les fesses. Mon doigt est bien gras, ça va rentrer, tu ne vas même pas t'en apercevoir. Et s'il le faut, je te branlerai pendant que je touillerai mon doigt dans ton caca.

     

     

    Après la photo, le dessin. Toujours aussi excitant.

    Cette fois, plus une infirmière qu'une nounou, et on voit son soumis, les cuisses écartées, la saucisse bien propre, un peut petite, mais dressée, quand même. L'infirmière à la blouse bleue, avec la coiffe, et, chose curieuse, un tablier de plastique blanc. Elle est joufflue, elle est grosse, adorable, quoi. Et que dit-elle?

    - Maintenant que tu as fait un gros caca, nous allons boucher ce trou du cul, ça t'apprendra à faire le sale. Je vais te mettre ce gros plug. Tu vas voir, quand je vais le rentrer, la partie la plus large va bien te dilater la rosette, mais après, elle se rétrécira sur le col. Il te restera juste, dans le cul, le gros volume du plug, comme si tu avais un énorme caca qui aie envie de sortir. Mais il ne pourra pas sortir. Il va te presser sur la vessie, et comme tu as beaucoup bu, et que j'ai mis un diurétique dans ton biberon, tu auras une énorme envie de pipi. Je vais donc te mettre des langes de coton et une culotte en caoutchouc, fermée par un cadenas, pour que tu te pisses dessus en te tortillant sur le plug.

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  • Là aussi, un dessin d'un auteur bien connu. Il en a fait de nombreux, mais j'ai choisi de vous proposer celui-ci.

    La victime, le soumis, est habillé en petite fille, bien sûr, on voit les sous-vêtements, la robe qui est accrochée derrière. Certes, il n'est pas prévu qu'il mette un tablier, mais cela pourra toujours venir ensuite.

    La nounou, la gouvernante, me plait énormément. La tenue est élégante, longue robe, manches longues, tablier long, avec cette bavette en deux parties, typique de la bonne domesticité anglaise, je pense. Et en plus, la coiffe assortie me ravit, comme son visage.

    Elle a les verges à la main, typiquement anglais aussi. Je dois dire que je n'aime pas les verges, je préfère le martinet, mais les verges sont, à mes yeux, préférables à la canne. Donc, elle a les verges, et j'imagine qu'elle ne les a pas pour une occasion spéciale, mais qu'elle les a toujours à portée de main. Cela la rend terriblement impressionnante, non? La question est de savoir si elle fouette par nécessité, pour les bêtises, les désobéissance, comme ce morveux que ne veut pas s'habiller, par exemple. Ou si elle fouette régulièrement, matin midi et soir, pour assouplir le caractère et faire de cet homme une vraie petite fille?

    Merveilleux dessin en tout cas.

     ABY et verges

    AH, je le disais bien, on finit par leur mettre des tabliers de petites filles, à ces grands vicieux!

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  • Fouettage

     Un dessin sans doute bien connu, reproduit ici avec sa légende, et, je dois dire, c'est la légende qui a attiré mon attention: "Elle le faisait journellement fouetter par les bonnes".

    "Elle", c'est, de toute évidence, la femme que l'on voit dans l'embrasure de la porte, le décolleté ouvert, la main gauche sur la hanche, le bras tendu. Elle ne fait pas que regarder, à mon avis, elle commande, elle ordonne, elle doit même parler, pour dire de frapper plus vite, ou plus fort.

    "Journellement", on dirait aujourd'hui "quotidiennement", veut sans doute dire que, tous les jours, cette femme fait fouetter cet homme. Peu importe qu'il ait désobéi ou pas, ce n'est pas une punition, c'est une pratique, c'est tou.

    "Fouetter", en effet, ce n'est pas une fessée, c'est une véritable flagellation. Et les deux flagellantes, on le voit, on chacune le même instrument, un fouet avec plusieurs lanières, un genre de "chat à neuf queues". On voit, d'ailleurs, les marques.
    Je rajouterais que, en plus d'être fouetté, il a les mains écrasées par les chaussures d'une de ses punisseuses. Nous sommes donc dans le cadre d'une vraie relation sado-masochiste.

    "Par les bonnes". Certes, la femme ne fait pas au soumis l'honneur de le fouetter elle-même, fouetter est une tâche subalterne qu'elle délègue à la domesticité. Ainsi, elle ne se fatigue pas, et reste fraiche. De plus, être fouetté par les domestiques est humiliant, on est ainsi soumis à des subalternes, ou est le soumis des soumises.
    Vous remarquerez que les bonnes n'ont pas la même tenue. Je pense que seule celle de droite, avec le tablier-taille, peut être qualifié de "bonniche". Celle de gauche, robe coquette, tablier à bavette, coiffe, est certainement la femme de chambre de madame. D'ailleurs, la bonniche est dépoitraillée, vulgaire, et la femme de chambre stricte et chic.

     

    Une autre scène avec des domestiques, d'un autre auteur.

    Madame sort en ville. Quelques essayages, le coiffeur, un déjeuner avec une amie, puis un bridge, une rencontre au salon de thé, et, ensuite, un 5 à 7 chez son amant, diner en ville, elle rentrera tard. Elle donc ses instructions aux domestiques:

    - Je sors, vous allez donc vous occuper de lui. Je tiens à ce qu'il soit fessé et fouetté toute la journée, de mon départ à mon retour. Vous êtes trois, la maison est bien tenue, je pense donc que vous pouvez parfaitement le faire, et même à deux sur lui, pendant que la troisième pourra faire autre chose si nécessaire. Il est bon qu'il y en aie une pour le fouetter, et une soit pour le tenir, soit tout simplement pour être témoin de sa correction. S'il est humiliant d'être puni par la domestique, il est encore plus humiliant d'être puni devant une autre domestique. Bien sûr, vous n'allez pas le fouetter en permanence, je vous autorise à prendre de temps en temps un quart d'heure de pause. Veillez bien, seulement, à alterner les punitions, pour ne pas qu'il s'habitue et qu'il aie toujours mal. Donc, alternez la main, le martinet, la canne, prenez aussi, si vous voulez, la brosse à cheveux, la cuillère en bois, le tape-tapis. Et veillez à ce que la fesseuse change souvent, il ne faut pas qu'il s'habitue à la main qui le frappe, non plus.

    - Bien Madame, nous y veillerons.

    - Et ce soir, je veux voir un cul rouge comme une pivoine, et assez chaud pour y faire des oeufs au plat!

     

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  •  Une série pédagogique, si j'ose dire, je n'ai retenu que les dessins avec la domestique. 

     

    Domestique

    Ici, le texte explique le déculottage par l'arrière, qui est une alternative au déculottage pratiqué quand le puni est déjà couché en travers des genoux. Il nécessite de savoir déboutonner la braguette devant, sans voir ce que fait. Il faut remarquer que le puni se tient dans une "position spéciale pour déculottage", en laissant les bras tendus pour bien faciliter le travail de la déculotteuse.

     

    Domestiques

    Ici, le déculottage du puni quand il est couché en travers des genoux est présenté comme particulièrement infantilisant, et donne à la fesseuse une attitude maternelle. Notez qu'il faut soulever le soumis, ou que se soulève, pour faciliter le déculottage; il suffit, en général, de lui en donner l'ordre. 

     

    Domestiques

    Une variante, le déculottage par une tierce personne. La présence d'un témoin lors de la punition est toujours humiliante, mais si cette humiliation ne suffit pas, la tierce personne peut déculotter le puni. La fesseuse le tient, étant placée derrière, soit par les coudes, soit avec les bras tendus en l'air, ces deux positions témoignant, en plus, de la soumission et de la lâcheté du puni.

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    C'est curieux, le tablier à bavette, qu'il soit rose ou blanc, ne vas pas très bien avec la canne, non? Ni avec le solide banc de fessée que nous voyons là.

    Mais on voit que le puni tient dans la main une cuillère en bois, pour une punition plus domestique. Et à quoi sert celle en rose?

     

    Là, nous voyons mieux la fesseuse, qui a changé la canne pour le strap de cuir. On voit aussi, ce qu'on devinait avec le bac, que nous sommes dans un vrai donjon, avec de quoi attacher au mur, de lourdes chaines.

    Et donc, encore plus curieux de voir cette fesseuse plutôt maternelle, avec tablier et lunettes, et pas une dominatrice en cuir.

    J'aimerais bien en savoir plus sur ces photos, ce lieu, ces femmes.

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