• Une affaire de famille, Chapitre 15

    Merci à Ramina pour ce nouveau récit.


    On y retrouve des personnages déjà très actifs dans de précédents récits célébrant les bienfaits de la fessée, punitive et érotique. Tante Gladys bien sûr, dont la réputation de sévérité n'est plus a faire,  comme celle de ses amies, toutes ferventes adeptes inconditionnelles de la fessée. Notamment Edwige la pétulante voisine à l'humeur ravageuse... Patricia, digne fille de sa mère, Arnold son fiancé anglais, Bettina, la vicieuse soubrette, Edouard le mari soumis, et un petit nouveau, le cousin Peter... soi même!  A force de réclamer de se faire rougir le derrière, il a fini par se retrouver dans l'histoire ... et quelle histoire... ça claque sec! Bonne lecture aux amateurs de femmes sévères... très sévères!


     

    UNE AFFAIRE DE FAMILLE

    Chapitre 15 : Gladys en colère

    Co-production Ramina / Peter pan 

    UNE AFFAIRE DE FAMILLE

     

    Après une aussi magistrale tournée de fessées, le gros derrière d’Edouard n’était plus en état de fréquenter une chaise, si rembourrée fut elle . A la plus grande satisfaction de Béatrice, exécutrice de sa troisième fessée, qui persistait à l’humilier en lui faisant encore la leçon. Le malheureux, prosterné à ses pieds, déculotté, fesses en l’air, n’a d’autre choix que de l’écouter en sanglotant, inondant de ses larmes le carrelage du salon de coiffure.
    – «Alors... Vilain garçon, on a compris maintenant? On ne s'amusera plus à tripoter les fesses de mes employées? Sinon... Sinon quoi?»
    –  «Heuuu... oui... sinon... C'est... C'est la.. la  fessée! Je... je  suis... désolé... »
    –  «Oui, ça je m'en doute! Mais encore?»
    La main nerveuse, levée au dessus des fesses écarlates, est prête à retomber. Elle insiste menaçante.
    – «Alors! ... Qu'est ce qu'on dit, à la dame, qui lui a si bien claqué le derrière et lui a fait d’aussi belles fesses rouges?» 

    La malheureux se trémousse sur le carrelage en se tenant les fesses à deux mains comme pour se les protéger à l'avance d’un éventuel retour de fessée. Elles sont striées de rouge foncé sur toute la surface, du bas des reins jusque sur le haut des cuisses.
    – «Mer… merci... Oui, merci!»
    Vlan! Vlan! Ça par immédiatement. Une claque sur chaque fesse après avoir écarté les mains inutilement placées.
    – «Merci qui, et pourquoi?»

    Un deuxième aller et retour retentit sur le derrière, encore en pleine cuisson, pour obtenir une réponse plus convaincante.
    Les trois femmes se régalent de la leçon de politesse et démonstration d'autorité de la patronne du salon.   
    – «Merci...  Madame Catherine... merci Madame Béatrice, pour ces fessées méritées. Je promets de ne plus recommencer.»
    – «A la bonne heure! Voilà ce qu'on voulait entendre... »
    Elle se tourne, menton levé, regard interrogateur, vers ses employées.
    - «Catherine... Solange... Satisfaites?»
    Les deux jeunes femmes acquiescent avec un large sourire. Catherine ravie.
    – «Tout à fait Madame, on n'en espérait pas tant. Monsieur est prévenu, il a intérêt à tenir sa promesse, sinon gare à ses fesses. Et en plus ça rime!» dit elle en riant.
    – «Parfait Catherine... Madame Duplessy? Je pense que vous saurez tirer profit de cette séance de fessées improvisées.»
    – «Vous pouvez le dire chère Madame. Quand je vois le résultat, mon mari peut préparer doublement ses fesses. Fini les mauvaises manières! Les fessées, ça claque déjà bien à la maison, mais en fin de compte... pas encore assez souvent!» 

    Béatrice, d'un hochement de tête, affiche sa satisfaction. Elle lisse sa jupe sur ses cuisses et tend le martinet encore chaud à Solange.
    – «Vous pouvez le remettre dans mon sac s'il vous plaît… Une seule méthode efficace pour se faire obéir: La fessée, et rien d'autre!»
    En patronne de la maison, elle conclut avec autorité.
    – «Excellente fin de journée, très instructive et distrayante pour tout le monde...»
    Elle se tourne vers Edouard toujours à genoux, qui n'ose pas se relever.
    - «Vous pouvez vous reculotter. Et je veux du slip bien tendu sur les fesses pour prolonger l'effet de cuisson des fessées. Vous allez attendre votre épouse au coin, près de la caisse!»

    L'attente ne dura pas longtemps. Catherine et Solange finissaient de ranger leurs affaires, Madame Duplessy enfilait son manteau pendant que Béatrice fermait sa caisse, quand la porte du salon s'ouvrit brusquement. 

    Il était dix neuf heures dix. Gladys fit une entrée coup de vent, les bras chargés de sacs marqués du nom des boutiques qu'elle avait faites au cours de son après midi de shopping. Notamment un sac estampillé  ‘’AU PLAISIR DES DAMES’’  avec le slogan "Slips à fessées, cuisants fessiers‘’ provenant tout droit de la boutique de lingerie de chez Madame De Blagnac.
    – «Bonjour mesdames! Ah quelle circulation! Je ne suis pas trop en retard? Tu m'attendais pour fermer Béatrice? Je suis désolée!» dit elle en posant ses sacs sur un fauteuil d'attente.
    – «Non ma chérie, ça va... On vient juste d’en finir avec les fesses de ton mari . On l’a mis au coin il y a à peine cinq minutes.»
    – «Oui je vois ça !» dit Gladys en enveloppant d’un regard amusé, le viril fessier flamboyant, frémissant au dessus du slip tendue en travers des cuisses. 

    La sévère épouse prend l’air contrarié. Sourcils froncés, elle ôte ses gants et les pose avec son sac sur un autre fauteuil. Les mains sur les hanches, visage fermé, elle exprime d'emblée son agacement.
    – «Qu'est ce qu'il fabrique au coin? Et qu'est ce qu'il a encore fait pour ça, l’animal?»
    Béatrice soupire d'un air faussement navré, puis échange un regard entendu avec Catherine qui soupire à son tour.   
    – «Tu connais ton mari et ses mains baladeuses. Il a encore voulu tripoter les fesses de Catherine, alors, comme tu m'avais conseillé de sévir en cas de récidive...»
    – «La fessée, bien sûr!»
    – «La fessée! Immédiatement!»
    – «Très bien! Une sévère j'espère?»
    – «Pour ça fait moi confiance, comme tu peux le constater. Il s'en est même pris trois. Une par Catherine, bien sûr, la victime. Je me suis chargée des deux autres, à la main et au martinet.»
    – èDéculottées les fessées?
    – «Evidemment chérie! Enfin, tu connais la méthode, d’abord une fessée d’échauffement à travers le slip et les deux autres déculottées.»
    – «Excellent, vous avez bien fait. Edouard est obstiné, souvent irresponsable. Je dois le fesser régulièrement pour le corriger de ses fréquents écarts de conduite.»
    – «Et bien c'est ce qu'on a fait. Et je peux te dire qu'on lui sacrément bien rougi le derrière!
    – «Parfait! Je vais voir ça tout de suite. Edouard, viens ici me montrer tes fesses!»

    De client soumis entre les mains de Béatrice, Edouard vient de repasser sous l'autorité de son épouse. Il ne gagne pas vraiment au change. Les deux femmes appliquent les mêmes méthodes avec la même intransigeance. Il vient tout juste de se reculotter, dans la douleur. Il gémit en entendant la voix autoritaire de sa femme.
    – «Oh Gladys, s'il te plaît. Je suis ridicule à marcher avec le pantalon sur les chevilles.»
    – «Mais mon pauvre ami, c'est bien pour ça que je te le demande.»
    Béatrice en rajoute à plaisir.
    – «Parce qu'on ne se sent pas ridicule de se prendre trois fessées devant des dames! Allez montrer à votre épouse comme on vous a bien fait reluire les fesses!»
    Les jambes entravées par son pantalon, Edouard se déplace en traînant les pieds et se présente devant Gladys qui lui flanque aussitôt un gifle retentissante.
    – «Ça c'est pour avoir protesté avant d'obéir. Maintenant penche toi, la tête entre mes cuisses pour qu'on voit bien tes fesses  pendant que je te déculotte!»
    Le malheureux s'exécute, une nouvelle fois humilié devant Catherine et Solange restées pour le spectacle et bien sûr Béatrice toujours aux première loges pour participer ou profiter d'une séance de discipline.
    – «Ah oui, belle correction!» S'exclame Gladys en déculottant le fessier cramoisi de son mari, courbé en deux la tête coincée entre ses cuisses.
    La position offre une vision parfaite du derrière entièrement déployé. Les doigts passés sous l'élastique, elle dégage chaque fesse l’une après l’autre et descend lentement le slip le long des cuisses pour prendre le temps de savourer la merveilleuse apparition. Les fesses et le haut des cuisses resplendissent d’un magnifique rouge écarlate qui irradient dans le salon.
    – «Absolument splendide! Ce rouge éclatant est une pure merveille! Bien réparti, sur toute la surface des deux fesses, avec ces belles traces de lanières plus foncées par dessus... je vois que mon chéri s'est pris une belle série de fessées... Bravo mesdames,  je n'aurais pas fait mieux!» ajoute t-elle en le reculottant.

    Edouard pousse un gémissement lorsqu'elle s'applique à   lui ajuster son slip au plus près, tendu à craquer sur les fesses étroitement serrées dans le nylon. La matière très enveloppante conserve la chaleur et prolonge ainsi la cuisson des fessées.  Le pantalon étroit par dessus renforce la pression.

    Catherine et Solange sont déjà parties. Edouard, les fesses en mode feu continu, solidement  reculottées, attend sagement les consignes, debout devant la porte. Gladys a repris ses emplettes et les lui fait porter. Béatrice a enfilé sa veste de tailleur et récupéré son sac avec les deux martinets.
    – «Gladys, ma chérie, il faut que je rentre. J'ai quelque compte à régler avec mon fils à la maison.»
    – «Maxime! Il a encore fait des siennes?»
    – «Oh ce n'est pas que ce soit très grave, mais à vingt-six ans il est encore irresponsable. Cette fois ci c’est une histoire d’amende pour excès de vitesse. Il n’est pas question que je laisse passer ça... Tu sais ce que c’est, on applique les mêmes règles... Au moindre écart, c'est  la fessée! Le martinet que j'ai chauffé sur les fesses de ton mari ne va pas tarder à reprendre du service sur celles de mon grand garçon à la maison!»
    La belle femme esquisse un sourire prometteur. Gladys pousse son mari sur le trottoir d'une nouvelle claque aux fesses.
    – «Celui là, aussi, va s'en reprendre une sévère dans peu de temps. Il connaît bien le tarif, et j'ai augmenté la dose. Une fessée  prise en journée, c'est maintenant deux autres le soir à la maison!»
    – «Tu as raison chérie, on est sévère ou on ne l'est pas!» assure Béatrice qui enchaîne   d'un ton professoral avec sa maxime préférée.
    – «Fesses rouges le matin... chagrin, écarlates le soir... désespoir!»
    Les deux femmes éclatent de rire et rient encore en se dirigeant vers leur voiture respective.

    Gladys n'avait pas trouvé de place de stationnement à proximité du salon de coiffure. Ils durent marcher quelques minutes avant de revenir à la voiture. Edouard trottinait piteusement à coté d'elle. Il avait du mal à suivre le pas alerte de sa femme qui claquait allègrement du talon aiguille sur le trottoir sans se préoccuper de lui le moins du monde. Ses grosses fesses, gonflées de claques, lui cuisaient atrocement dans son slip, devenu trop étroit pour les contenir entièrement. Elles débordaient des élastiques et tendaient le fond de son pantalon. Leur frottement l'une contre l'autre au rythme soutenu de la marche, en attisait la cuisson et rendait sa progression difficile. Il était obligé d'avancer le bassin en avant, tortillant exagérément des hanches pour essayer d'atténuer la douleur. Ce qui le rendait aussi ridicule que pathétique.

    Sourire aux lèvres, Gladys s'amusait beaucoup à le voir avancer de cette manière et savourait l’idée d’être la seule à en connaître la cause. Personne ne pouvait se douter, en effet, que la curieuse démarche de l'homme à côté d'elle était la conséquence d'une récente séance de fessées et qu'il emplissait son pantalon d'une paire de fesses aussi rouges et cuisantes que les braises d'un barbecue.
    – «Alors mon chéri, tu as passé une bonne journée?» plaisante Gladys en accélérant l'allure. Je crois que tes fesses ne sont pas prêtes d'oublier leur passage au salon de coiffure!»
    Pas de réponse.
    – «... Ces dames s'en sont tellement bien occupé... Je suis certaine que tu as déjà envie d'y retourner.»
    Edouard, ne répond pas. Il est tout essoufflé, et trop concentré sur les efforts à fournir, à la fois pour marcher au  même rythme que sa femme et ménager son postérieur en feu.  Autant dire qu'il n'a pas vraiment la tête à goûter la plaisanterie.  A la maison ça serait immédiatement la fessée pour insolence.
    Gladys insiste avec désinvolture.
    – «Et bien Edouard... On boude? Quelque chose t'as contrarié? Tu n'es pas content de ta coupe de cheveux?» Elle éclate de rire. Sa poitrine rebondit. «Ou alors... Laisse moi deviner... Tes fesses sont encore en train de cuire !»

    Elle régla le prix du stationnement à l'horodateur, monta dans la voiture et pris d'autorité le volant. Elle ne supportait pas se faire conduire, surtout par un homme, et à fortiori le sien. Il s'assit avec précaution côté passager sans pouvoir réprimer une grimace au moment de poser délicatement son derrière, hyper-sensible, sur le siège.

    Gladys ironisa aussitôt en mettant le contact.
    – «Et bien Edouard, tu m'as l'air bien emprunté, tu ne peux pas t'asseoir correctement!»
    Il regarda sa femme d'un air résigné.
    – «Mais chérie, j'ai les fesses en feu! Tu le sais très bien d’ailleurs, mais tu te moques de moi!»
    Elle fronça aussitôt les sourcils. Il lui sembla percevoir dans le ton de la réponse comme un infime semblant de protestation. Selon le tarif en vigueur, c'était normalement la fessée sur le champs. A défaut de pouvoir la lui administrer dans la voiture, elle estima que ce serait plus confortable au salon une fois rentrés. Mais en attendant... pas question de laisser passer ça.
    – «Baisse ton pantalon, et assieds toi direct sur le cuir. Il a chauffé toute la journée au soleil. Tu vas comprendre ce que c'est d'avoir vraiment le feu aux fesses !»
    – «Oh Gladys, s'il te plaît!...»
    – «Ça suffit, je ne veux pas t'entendre! On va régler ça tout à l'heure à la maison!»

    La durée du trajet avec les embouteillages parut une éternité au malheureux qui regretta amèrement que sa tendre épouse n'ait pas opté pour les sièges en velours. Plus adaptés à l'état de ses fesses en feu.

    Il compris vite pourquoi elle s'était garée à deux cents mètres de la maison quand, une fois descendu de voiture et lui ayant interdit de se reculotter, elle lui ordonna de faire le trajet  son pantalon à la main. Elle le faisait avancer à côté d’elle sur le trottoir en le tenant par son slip tiré dans la raie des fesses.
    -- «Allez avance et tortille bien ton derrière. Montre que tu viens de recevoir une sévère fessée, en exhibant tes grosses fesses bien rouges, débordant des élastiques de ton slip!  Je veux que tout le monde sache que mon mari se fait régulièrement claquer le derrière!»
    -- «Aïe, ouille, ouille!! Chérie, s’il te plaît… mon slip, dans la raie… tu tires trop fort… ça me scie le derrière et m’écrase devant.. raaaah, ça fait encore plus mal!!»

    Deux femmes se retournèrent en s'exclamant joyeusement sur son passage à la vue de l’imposant derrière écarlate qui tressautait au rythme de sa marche, suspendu aux élastiques de son slip. Le quartier était habité par nombre de maîtresses femmes, dont Edwige, toutes adeptes de la fessée pour discipliner leur mari. Elles trouvaient donc tout à fait naturel et plutôt réjouissant, de croiser dans la rue, un homme marchant devant sa femme, le pantalon à la main, le derrière à l'air, manifestement rougi d'une récente fessée.

    De la fenêtre du rez de chaussée de sa maison, sur le trottoir d'en face, Edwige eut a même réaction en voyant arriver le couple. Le pouce en l'air, en signe d'approbation, elle salua joyeusement Gladys en agitant l'autre main en direction du postérieur rouge d'Edouard. Celui ci, couvert de honte, faisait des efforts désespérés pour traverser le bout de jardin et atteindre la porte d'entrée le plus rapidement possible. Gravir un escalier de cinq marches, le pantalon sur les jambes, est à peu près aussi aisé que déculotter une paire de fesses avec des gants de boxe.

    Il sursaute, horrifié, lorsque l'exubérante voisine, ouvre sa fenêtre et se penche dehors, la poitrine triomphante débordant des balconnets.
    – «Bravo Gladys! s'exclame-t-elle d'une voix forte. «Tu as dû lui en mettre encore une bonne pour qu'il ait les fesses aussi rouges!  On reconnaît là ton coup de main!»
    – «Et bien non… perdu! Pour cette fois ce n'est pas moi!» répond Gladys, debout sur le trottoir devant sa maison, jouant avec sa clé de voiture dans sa main. Les deux femmes partent dans un grand éclat de rire.
    – «Pourtant, j'aurais cru!... C'est qui alors? Je suis curieuse hein!»
    – «Pas du tout, c'est même bon à savoir. C'est Béatrice, du salon de coiffure.»
    – «Ah bon! Je ne savais pas qu'elle fessait... et aussi bien! Il a encore fait le malin pour s'en prendre une aussi sévère.»

    Edouard sentait que la conversation risquait de durer un moment et qu'il allait rester dehors, les fesses à l'air, au vu et au su de tout le monde. Il n'osait pas remonter son pantalon sans autorisation. Gladys ne se serait pas gênée pour le déculotter complètement et lui flanquer une fessée en direct, sur le trottoir, devant tout le monde. Ça n'aurait d'ailleurs pas été la première fois. Elle poursuit à voix bien haute, pour qu'elle porte jusqu'à Edwige accoudée sur la barre d'appui de sa fenêtre.
    – «Monsieur s'est permis de mettre la main aux fesses de Catherine, son employée... Alors tu penses, elles ne l'ont pas raté... Et elles ont bien fait. Trois fessées elles lui ont mises! Et voilà le résultat... Beau travail non? Comme je leur ai dit, je n'aurais pas fait mieux!»
    Edwige toujours aussi démonstrative, rit bruyamment.
    – «Excellent, ça leur fait du bien ! Il faudra que je leur envoie Stéphen. Il est nécessaire de temps en temps, de faire fesser ces messieurs par d'autres mains que les nôtres pour éviter qu'ils s'habituent.»
    Gladys acquiesçe en amorçant un demi tour vers sa maison.
    – «Oh que oui! En attendant je vais rentrer, j'ai encore quelques comptes à régler avec mon chéri. Il est temps que je reprenne la main!»
    – «Moi aussi, il faut que j'y retourne, le mien attend au coin sa deuxième fessée. Le grossier personnage n'a pas arrêté de jurer toute la journée. Alors... Il faut sévir! »

    Gladys entrait la clé dans la serrure de sa porte, lorsque le claquement sec d'une fessée, accompagnée d'éclats de voix et de supplications, commencèrent à résonner jusque dans la rue, à travers la fenêtre ouverte, de la maison de la voisine. Edwige, avait repris son activité éducative préférée et tenait à ce que cela s'entende. Portée par une nature très démonstrative, elle aimait faire savoir quand elle corrigeait son mari. A juger de la qualité de brillance des claques ce ne pouvait être qu'une fessée déculottée, administrée avec sa fermeté habituelle. Edwige fessait toujours très fort.

    Une fois débarrassée de son sac et de son manteau dans le vestibule, Gladys laisse libre cours à une colère jusque là plus ou moins contenue.
    – «Ne crois pas une seconde que tu vas t'en tirer comme ça mon ami! C’est une manie chez toi de mettre la main au fesses des dames … et en public en plus!!»
    – «Mais... mais... chérie  qu'est ce que... Tente timidement Edouard... J'ai déjà eu...»
    – «Enlève ta veste et prépare tes fesses!»
    – «J'ai... J'ai déjà eu trois... trois fessées!»
    – «Et alors, que veux tu que ça me fasse! Qu'est ce que c'est trois malheureuses fessées? Depuis le temps que je te corrige régulièrement comme tu le mérites, tes grosses fesses sont habituées à s’en prendre, non!!»

     

    ( A suivre)

      

    Une affaire de famille, Chapitre 15

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