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Les comptines
Pour bien humilier les servantes punies, les maîtresses peuvent les forcer à chanter des comptines.
Ce sont des comptines enfantines avec des paroles spécialement écrites pour être humiliantes. La bonniche, pendant qu'elle est punie, fessée, doit chanter la comptine. Si elle se trompe dans les paroles, si elle chante faux, si elle ne tient pas le rythme, sa punition sera rallongée d'autant.Il est possible, aussi, que ce soit la fesseuse qui chante... Et quand il y a couplet et refrain, la fesseuse peut chanter les couplets, et la bonniche le refrain.
Voici les comptines des Saucissonneuses
La comptine de la Charcutière
Sur l’air de « Frère Jacques »
Charcutière, Charcutière
Fesse-moi, fesse-moi
J’ai été vilaine
Alors pour ma peine
Fesse-moi, fesse-moi
Sur mes miches, sur mes miches
Tape fort, tape fort
Qu’elles soient brûlantes
Pendant que je chante
Fesse-moi, fesse-moi
Mon cul danse, mon cul danse
Sous tes coups, sous tes coups
Comme je gigote
J’ai l’air d’une idiote
Fesse-moi, fesse-moi
Je pleurniche, je pleurniche
Continue, continue
Merci Charcutière
Tape mon derrière
Fesse-moi, fesse-moi
Sur les cuisses, sur les cuisses
Ca fait mal, ça fait mal
Le martinet frappe
Sans que j’en réchappe
Fesse-moi, fesse-moi
Sur la tête, sur la tête
Mains croisées, mains croisées
Au piquet je reste
Sans faire un seul geste
Fesse-moi, fesse-moi
La comptine de la Crémière
Sur l’air de « Il était une bergère »
Il était une Crémière
Et pan et pan, sur le cul tout nu
Il était une Crémière
Qui fessait tous les culs, cu cu
Qui fessait tous les culs
Elle sentait le fromage
Et pan et pan, sur le cul tout nu
Elle sentait le fromage
Le fromage qui pue, pu pu
Le fromage qui pue
Souillon la bonnichette,
Et pan et pan, sur le cul tout nu
Souillon la bonnichette,
Veut lui lécher le cul, cu cu
Veut lui lécher le cul
La crémière refuse
Et pan et pan, sur le cul tout nu
La crémière refuse
Lui dit « C’est défendu du du»
Lui dit « c’est défendu »
« Si tu baises mes fesses »
Et pan et pan, sur le cul tout nu
« Si tu baises mes fesses
Prends bien garde à ton cul, cu cu
Prends bien garde à ton cul »
Souillon lécha les fesses
Et pan et pan, sur le cul tout nu
Souillon lécha les fesses
Et embrassa son cul, cu cu
Et embrassa son cul
Puis Souillon mit la langue
Et pan et pan, sur le cul tout nu
Puis Souillon mit la langue
Dedans le trou qui pue, pu pu
Dedans le trou qui pue
La Crémière en colère
Et pan et pan, sur le cul tout nu
La Crémière en colère
Lâcha un pet qui pue, pu pu
Lâcha un pet qui pue
« Crémière je m'accuse »
Et pan et pan, sur le cul tout nu
« Crémière je m'accuse
D'avoir léché ton cul, cu cu
D'avoir léché ton cul »
« Souillon pour pénitence »
Et pan et pan, sur le cul tout nu
« Souillon pour pénitence
Je vais fesser ton cul, cu cu
Je vais fesser ton cul »
La peine était sévère
Et pan et pan, sur le cul tout nu
La peine était sévère
Souillon ne le fit plus, plu plu
Souillon ne le fit plus
La comptine de la Bouchère
Sur l’air de « Il pleut il pleut bergère »
Tu peux tu peux Bouchère
Chatouiller mes petons
Avec ta main légère
Bouchère que c’est bon
J’aime ton tripotage
Et tes douces manies
Mais si je suis pas sage
Là je serais punie
Mieux que de l’urticaire
Ton doux chatouillement
Me démange bouchère
Si délicieusement
Mais comme je gigote
Sans trop me retenir
Alors pour cette faute
Bouchère il faut punir
Oui fesse-moi Bouchère
Mes miches sont à toi
Je t’offre mon derrière
Bouchère venge-toi
Ma bouchère chérie
Frappe frappe moi donc
Et je serai guérie
De mon insoumission
Soigne-moi bien Bouchère
Et sur mes jambonneaux
Abat ta main sévère
Soulage tous mes maux
Ma Bouchère si belle
J’ai mérité cela
Ta fessée maternelle
Oh oui donne-moi la.
Bien calée sur ta chaise
Et moi sur tes genoux
Tu te sens bien à l’aise
Pour appuyer tes coups
Bientôt je serai sage
Bouchère continue
Ton si gentil fessage
Sur mon gros cul tout nu
La comptine de la Pâtissière
Sur l’air de « Il était un petit navire »
Il était une Pâtissière, il était une Pâtissière
Qui aimait do, do, donner la fessée
Qui aimait do, do, donner la fessée
Le cul tout nu !
Elle choisit dans ses servantes, elle choisit dans ses servantes
Celle-là qui, qui, qui serait punie
Celle-là qui, qui, qui serait punie
Le cul tout nu !
« Viens ici viens Marie-Charlotte, viens ici viens Marie-Charlotte
A genoux et et et viens t’humilier
A genoux et et et viens t’humilier »
Le cul tout nu !
Marie-Charlotte la bonniche, Marie-Charlotte la bonniche
Lui a deman, man, mandé sa fessée
Lui a deman, man, mandé sa fessée
Le cul tout nu !
« Je suis une méchante fille, je suis une méchante fille
J’ai mérité, té, té d’être punie
J’ai mérité, té, té d’être punie »
Le cul tout nu !
« Sur tes genoux où tu me couches, sur tes genoux où tu me couches
Dans ton grand ta, ta ta, grand tablier
Dans ton grand ta, ta ta, grand tablier »
Le cul tout nu !
« Ta main vient caresser mes fesses, ta main vient caresser mes fesses
Avant de les cla, cla de les claquer
Avant de les cla, cla de les claquer »
Le cul tout nu !
« Oui fais moi mal et fais moi honte, oui fais moi mal et fais moi honte
Je suis punie, nie nie tu as raison
Je suis punie, nie nie tu as raison »
Le cul tout nu !
« Puis à genoux je vais me mettre, puis à genoux je vais me mettre
Pour recevoir voir voir le martinet
Pour recevoir voir voir le martinet »
Le cul tout nu !
« Et j’irais au piquet honteuse, et j’irai au piquet honteuse »
Mon tablier bien bien bien retroussé
Mon tablier bien bien bien retroussé »
Le cul tout nu !
La comptine de la cuisinière
Sur l’air de « C’est la mère Michel »
C’est la Cuisinière
Qui donne la fessée
A toutes les petites
Qu’elle voit passer
C’est la Marie-Souillon
Qui lui a répondu
« Je l’ai bien méritée
Donne-moi la fessée »
Sur l’air du cul tout nu sur l’air du cul tout nu
Le cul à l’air et bien fendu
Le cul tout nu
C’est la Cuisinière
Qui lui a ordonné
« Viens t’en sur mes genoux
Dans mon grand tablier »
C’est la Marie-Souillon
Qui lui a répondu
« Mes fesses sont à toi
Maîtresse punis-moi »
Sur l’air du cul tout nu sur l’air du cul tout nu
Le cul à l’air et bien fendu
Le cul tout nu
Alors la Cuisinière
Lui dit : « C’est décidé
Si tu ne pleures pas
Tu auras un baiser »
Mais la Marie-Souillon
A trop fort pleurniché
Alors la boudinière
A doublé la fessée
Sur l’air du cul tout nu sur l’air du cul tout nu
Le cul à l’air et bien fendu
Le cul tout nu
La comptine de la Serveuse
Sur l’air de « Au clair de la lune »
« Sévère Serveuse
Je viens à tes pieds
Craintive et peureuse
Je viens m’humilier
J’ai été vilaine
Je veux pas grandir
Alors pour ma peine
Il faut me punir »
« Petite bonniche »
La Serveuse a dit
« Tu es trop godiche
Et pas dégourdie
Pour t’apprendre à vivre
Et pour te dresser
Le cul à l’air libre
Tu seras fessée »
La punie se couche
Dans le tablier
N’ouvre plus la bouche
Se fait oublier
Alors la Serveuse
Que rien n’apitoie
Sur la malheureuse
S’en donne à cœur joie
La fesseuse glisse
La main doucement
Entre les deux cuisses
De la pauvre enfant
Elle la branlotte
Et la fait mouiller
Va petite sotte
Va t’agenouiller
Alors la bonniche
Se met au piquet
En montrant ses miches
Qui sont bien marquées
Les mains sur la tête
Et le cul rougi
Elle a l’air bien bête
Elle est assagie.
La comptine de la Tripière
Sur l’air de « Le bon roi Dagobert »
La merdeuse Tripière
Avait sa culotte à l'envers.
La Marie-Torchon
Lui dit « C’est marron
Mais par le devant
C’est bien étonnant. »
« C’est vrai tu as raison ,
Viens donc me lécher ma souillon. »
L'adipeuse Tripière
Voulait se gratter le derrière.
Elle appela donc
La Marie-Torchon
« Gratte-moi le cul
Partout où ça pue »
« Tripière, dit Souillon
Je vais bien te gratter le fion ».
La rebondie Tripière
Avait égaré sa cuillère.
La Marie-Torchon
Lui dit « Où est donc
Caché cet objet ?
Je vais le chercher.
Il est sous tes nichons
Ou dans les plis de ton ventron ».
La bafreuse Tripière
Avait avalé de travers.
La Marie-Torchon
Lui dit : « Rôte donc
Je vais tapoter
Ton dos pour t’aider ».
Son rôt fut si cochon
Qu’elle cracha tout sur Souillon
La replette Tripière
Gloutonne mangeait du dessert.
La Marie-Torchon
Lui dit : « Attention !
Tout ce qui est mangé,
Doit être chié. »
« Souillon tu as raison
Et tu lécheras mes étrons »
Voici des comptines pour la fessée
Comment donner la fessée
Sur l’air de « Savez-vous planter les choux ? »
Comment donner la fessée
Pour punir une servante ?
Comment donner la fessée
Pour qu’elle soit bien rabaissée ?
En travers de ses genoux
Pour punir une servante
En travers de ses genoux
Dans le tablier de nounou
On la fesse avec la main
Pour punir une servante
On la fesse avec la main
Bien fort sur le popotin
On la fesse au martinet
Pour punir une servante
On la fesse au martinet
Ca soulage le poignet
On prend la cuillère en bois
Pour punir une servante
On prend la cuillère en bois
On se fait pas mal aux doigts
On se sert de sa pantoufle
Pour punir une servante
On se sert de sa pantoufle
Pour lui faire une mistoufle
Avec un torchon mouillé
Pour punir une servante
Avec un torchon mouillé
Elle sera embarbouillée
Puis on la met au piquet
Pour punir une servante
Puis on la met au piquet
A genoux les yeux bandés
A genoux, montre ton derrière
Sur l’air de « Fais dodo, Colas mon p'tit frère »
A genoux, montre ton derrière
A genoux, montre à tes nounous
Maman est venue
Fesser ton cul nu
Tatie va venir
Pour mieux te punirA genoux, montre ton derrière
A genoux, montre à tes nounous
Ta sœur rit de toi
Te montre du doigt
Ta cousine aussi
De te voir ainsi
A genoux, montre ton derrière
A genoux, montre à tes nounous
Ta belle-maman
Rit de tes tourments
Et ta belle-sœur
Rit de tes malheurs
A genoux, montre ton derrière
A genoux, montre à tes nounous
Il y a la nourrice
Qu’y est pleine de vice
Et une infirmière
Qui fait des manières
A genoux, montre ton derrière
A genoux, montre à tes nounous
La voisine est là
Pour voir tout cela
Et aussi sa fille
Qui n’est pas gentille
A genoux, montre ton derrière
A genoux, montre à tes nounous
Y’a mêm’ la concierge
Elle se goberge
Et tout’les maîtresses
Viennent voir tes fesses
A genoux, montre ton derrière
A genoux, montre à tes nounous
Y’a la Charcutière
Elle est tracassière
Et y’a la Crémière
Elle est nourricière
A genoux, montre ton derrière
A genoux, montre à tes nounous
Il ‘y la Bouchère
Aux gentilles manières
Y’a la Pâtissière
Et son gros derrière
A genoux, montre ton derrière
A genoux, montre à tes nounous
Et y’a la Serveuse
C’est la plus vicieuse
Y’a la Cuisinière
Qui est en colère
A genoux, montre ton derrière
A genoux, montre à tes nounous
Et y’a la Tripière
Elle est pissotière
Et les domestiques
Elles te font la nique
A genoux, montre ton derrière
A genoux, montre à tes nounous
Y’a la gouvernante
Qui est si méchante
Et toutes les bonnes
Qui sont bien cochonnes
A genoux, montre ton derrière
A genoux, montre à tes nounous
La fill’ de cuisine
Se lèch’ les babines
Et la camériste
Elle a pas l’air triste
A genoux, montre ton derrière
A genoux, montre à tes nounous
La femme de chambre
Son beau cul se cambre
La fille de salle
Pour bien voir s’installe
A genoux, montre ton derrière
A genoux, montre à tes nounous
La jolie soubrette
Rit de toi pauvrette
Même la plongeuse
Qui fait la curieuse
A genoux, montre ton derrière
A genoux, montre à tes nounous
Et la chambrière
Viens voir ton derrière
Et puis la lingère
Rit de ton calvaire
A genoux, montre ton derrière
A genoux, montre à tes nounous
Y’a la repasseuse
Ca la rend heureuse
Et tout’s les souillons
Qui rient sans façon
A genoux, montre ton derrière
A genoux, montre à tes nounous
Y’a les commerçantes
Gentilles ou méchantes
Y’a la fromagère
Qui rit sans manières
A genoux, montre ton derrière
A genoux, montre à tes nounous
Y’a la confiseuse
Qui est un’voyeuse
Et la boulangère
Une vraie mégère
A genoux, montre ton derrière
A genoux, montre à tes nounous
Y’a l’épicière
Qui voit ta misère
Et tout’s les vendeuses
Qui sont bien joyeuses
A genoux, montre ton derrière
A genoux, montre à tes nounousPuis la poissonnière
Qui est putassière
Et tout’ les marchandes
Qui en redemandent
A genoux, montre ton derrière
A genoux, montre à tes nounous
Les trois fesseuses
Sur l’air de « Cadet Rousselle »
Trois fesseuses vont te fesser
Trois fesseuses vont te fesser
A la main et au martinet
A la main et au martinet
Et la troisième à la cuillère
De bois qui touille ton derrière
Ah ah ah oui vraiment
Tu finiras le cul brûlant
Trois fesseuses vont te fesser
Trois fesseuses vont te fesser
Sur leurs genoux deux t’ont couchée
Sur leurs genoux deux t’ont couchée
Et la troisième met ton visage
Dans un torchon plein de fromage
Ah ah ah oui vraiment
Tu finiras le cul brûlant
Trois fesseuses te font lécher
Trois fesseuses te font lécher
D’abord leurs mains et puis leurs pieds
D’abord leurs mains et puis leurs pieds
Enfin leurs raies du cul merdeuses
C’est le plaisir des trois fesseuses
Ah ah ah oui vraiment
Tu finiras le nez puant
Toutes les trois vont chatouiller
Toutes les trois vont chatouiller
Et tes aisselles, et tes pieds
Et tes aisselles, et tes pieds
Et pour finir c’est sur les couilles
Qu’elles vont faire des chatouilles
Ah ah ah oui vraiment
Rien de meilleur comme tourment
Les fesseuses vont t’écraser
Les fesseuses vont t’écraser
De leurs ventres et de leurs tétés
De leurs ventres et de leurs tétés
Et de leurs fesses bien puantes
Toutes salies et bien gluantes
Ah ah ah oui vraiment
Tu vas leur servir de divan
Elles vont te mettre au piquet
Elles vont te mettre au piquet
Mains dans le dos puis bras croisés
Mains dans le dos puis bras croisés
Et pour finir mains sur la tête
Ca va vraiment être ta fête
Ah ah ah oui vraiment
Tu vas y rester bien longtemps
Les fesseuses vont t’attacher
Les fesseuses vont t’attacher
D’abord debout et puis couchée
D’abord debout et puis couchée
Et enfin sur la chaise haute
En pénitence de tes fautes
Ah ah ah oui vraiment
Comme un bébé à sa maman
Allons punissons
Sur l’air de « Ainsi font, font, font »
Allons punissons
Les petites bonnichettes,
Allons punissons
Il faut que ce soit cochon.
La blouse troussée,
Montrez, montrez, bonnichettes,
La blouse troussée,
Bonnichettes dénudées.
La taille courbée,
Pliez, pliez, bonnichettes,
La taille courbée,
Bonnichettes humiliées.
Puis le front penché,
Léchez, léchez, bonnichettes,
Puis le front penché,
Bonnichettes, léchouillez.
Allons punissons
Les petites bonnichettes,
Allons punissons
Il faut que ce soit cochon.
Et elles jouiront,
Les petites bonnichettes,
Et elles jouiront,
Quand les Maîtresses voudront.
Sur le cul de Souillon
Sur l’air de « Sur le pont d’Avignon »
Sur le cul de Souillon,
On y tape, on y tape,
Sur le cul de Souillon,
On y tape sans façon.
La Crémière fesse à la main,
Ell’ peut fesser jusqu’à demain.
Sur le cul de Souillon,
On y tape, on y tape,
Sur le cul de Souillon,
On y tape sans façon.
La Charcutière au martinet,
Elle frappe sans se gêner.
Sur le cul de Souillon,
On y tape, on y tape,
Sur le cul de Souillon,
On y tape sans façon.
La Pâtissière a fessouillé,
Avec un torchon bien mouillé.
Sur le cul de Souillon,
On y tape, on y tape,
Sur le cul de Souillon,
On y tape sans façon.
La Cuisinière comme il se doit,
Avec une cuillère en bois.
Sur le cul de Souillon,
On y tape, on y tape,
Sur le cul de Souillon,
On y tape sans façon.