• Abécédaire fantasmatique de M à Z

    Maîtresses

    Les Maîtresses s'appellent:

    • Boudinières : Elles aiment les boudins. Elles sont grassouillettes et ne sont pas des beautés, mais des femmes bien en chair. Nous ne sommes pas loin de l'obésophilie, l'attirance ou préférence sexuelle pour les personnes grosses ou obèses.
    • Gardiennes ou Nounous : Elles traitent leurs esclaves comme feraient des gardiennes d'enfants vicieuses.
    • Gouvernantes: Elles jouent le rôle d'une gouvernante de bonne maison, ou d'une gouvernante d'enfant.
    • Patronnes : Elles ont des bonniches.
    • Punisseuses ou Tourmenteuses : Elles aiment punir leurs esclaves.
    • Saucissonneuses : Elles saucissonnent (attachent, ligotent) leurs servantes.
    • Tablières : Elles sont toujours vêtues de tabliers de cuisine.
    • Torchonneuses : Elles aiment faire des cochonneries avec les torchons de cuisine.

    Leurs prénoms sont Maryse la CharcutièreJosiane la CrémièreColette la BouchèreAnnette la PâtissièreClarisse la CuisinièreJeanne la ServeuseGisèle la Tripière. Elles peuvent être aidées par d'autres Maîtresses: la Fromagère, la Confiseuse, etc…


    Mangerie

    Mangerie désigne une pénitence (ou une punition) bouchière qui consiste à faire manger salement une servante. La nourriture est constituée de produits laitiers, fromage, pâté ou charcuterie hâchée, pâtes, purée, ou toute autre plat facile à manger. Les restes du repas des Maîtresses, pris dans les assiettes, sont donnés aux esclaves. La nourriture peut être assaisonnée d'une production personnelle : bave, sueur, morvepisse ou merde.

    La nourriture peut-être dans une assiette, dans un torchon, sur une nappe, ou bien sur le corps d'une maîtresse. La torchonnade consiste à mettre toutes sortes de nourritures ou de restes dans un torchon sale, et à écraser le tout dedans, puis à faire manger ça à la bonniche.

    La servante mangera soit couchée par terre, soit à genoux, ou dans toute autre pénitence humiliante. La servante doit manger sans couvert, et de préférence sans les mains, le nez dans le manger.

    Par faveur, une Maîtresse peut nourrir la servante, à la main ou à la cuillère, voire lui donner au biberon ou la faire téter. C'est alors presque une gâterie.

    Le moment privélégié pour infliger une mangerie, c'est le repas.


    Marie

     

    Abécédaire fantasmatique de M à Z

    Une Marie, c'est une fille ou une femme qui peut être humiliée, rabaissée, punie comme on veut. C'est une soumise par nature, par choix ou par punition. La servante est toujours une Marie quelque-chose:

    • Marie-couche-toi-là
    • Marie-salope
    • Marie-Souillon
    • Marie-Torchon

    Marie vient souvent en complément d'un prénom, comme:

    • Marie-Carmen
    • Marie-Charlotte
    • Marie-Clémence
    • Marie-Dolorès
    • Marie-Jeanne
    • Marie-Joséphine
    • Marie-Lise
    • Marie-Louise
    • Marie-Marguerite
    • Marie-Thérèse

    Ce mot est toujours utilisé par les Maîtresses avec un ton moqueur.


    Martinet

    Le martinet est l'intrument le plus cruel utilisé pour la fessée. C'est un martinet classique, avec un manche en bois et une douzaine de lanières en cuir, comme on en trouve partout. Les lanières sont régulièrement graissées au saindoux, pour qu'elles restent souples. Le manche, pas trop gros, est toujours un peu gras, il sert aussi pour des enculades. En général, la Maîtresse garde le martinet passé dans sa ceinture.

    Le martinet est donné sur les jambons, les cuisses ou les mollets, jamais ailleurs.

    Des piments sont possibles. Souvent, c'est la punie qui, avant la fessée, doit aller le chercher et le rapporter dans la bouche, à genoux, à sa fesseuse. Ou bien la servante a le martinet passé dans sa ceinture, derrière, pour être toujours prête à le faire prendre par sa Maîtresse.

    Pour certains fessardages sévères, plusieurs Maîtresses donnent le martinet en même temps.

    Le mot pour une fessée au martinet est "martinettade", et le verbe est "martinasser"; on dit aussi "martinade" et "martifesser".


    Matériel

    La salle est équipée de tout le matériel de cuisine:

    • de la vaisselle et des couverts, très simples;
    • des instruments de cuisine, batterie complète, casseroles, poëles, plats;
    • des appareils ménagers à main (hachoir, presse-purée, essoreuse à salade, etc…);
    • des robots de cuisine;
    • des cuvettes en plastique, de toutes tailles;
    • des petits ustensiles de cuisine : entonnoirs, chinois, touillettes en bois, rouleaux à pâtisserie, pilons, etc…
    • un minuteur de cuisine;
    • une balance de cuisine;
    • etc...

    Matrone

    Matrone

    La matrone est, en général, l'infirmière en chef. Mais pour mes fantasmes, qui ne sont pas médicaux, elle représente une figure de nurse, de nounou plus dominante et plus sévère.
    Sa tenue est plus stricte, son physique plus imposant, et c'est elle qui décide des punitions, des pénitences, des traitements contraignants et humiliants et, éventuellement, des récompenses.


     Ménage

    La salle doit être tenue propre, et il faut constamment y faire le ménage.

    Les servantes s'y emploient sous la direction des Maîtresses. En blousetablier et gants éventuellement, elles nettoient, frottent, briquent, torchent, astiquent, avec leurs torchons. Sur le sol, elles passent régulièrement la wassingue.

    Tout doit briller et être propre, par hygiène, mais aussi parce que, plus c'est propre, plus on prend de plaisir à salir et à faire des cochonneries. Et ensuite, le plaisir se double en recommençant le ménage.


    Merde

    merde

    Les selles s'appellent la merde, le caca, la crème d'andouille, les étrons, les saucissons chauds, la crème au chocolat, le beurre noir. On dit aussi chier, faire caca, caguer, vider les tripes.

    Les plus belles merdes sont celles de la Tripière, toujours abondantes et molles, mais aussi de la Cuisinière, plus grosses et dures, ou de la Crémière.

    Les merdes ne sont jamais jetées tout de suite. Les étrons (on les appelle des quenelles) durs ou mous, et les pètes sont conservés dans des torchons humides, pour les empécher de sécher. Les merdes pâteuses ou liquides sont conservées dans des bols. Tout ça est réutilisé, après avoir été réchauffé, pour salir les servantes ou pour pimenter leurs repas.

    Les servantes peuvent lécher les merdes, les embrasser, ou en manger un petit peu. Elles sont aussi barbouillées avec, ou empuanties.

    Tout ça c'est de la coprophilie (ou scatologie), jouer avec le caxa, et même un peu de la coprophagie : en manger !


    Miches

    Les jambons s'appellent les miches, parce qu'elles ressemblent à de belles miches de pain, bien rondes, et plus ou moins fermes.

    Il vaut mieux un gros cul mou qu'un petit cul ferme chez les Maîtresses, et un cul bien ferme à fesser sur les servantes, mais plus les miches sont grosses, plus grand est le plaisir d'être dessous, ce qui s'appelle un trônage.


    Minerve

    La minerve est une pénitence qui oblige la pénitente à garder constamment la tête bien droite.

    Elle est utilisée en complément de certains saucissonnages, pour mettre la servante dans une position encore plus inconfortable.

    Les Maîtresses l'imposent aussi pendant le service, ce qui est très génant pour la malheureuse punie.


    Miroir

    L'humiliation, pendant les punitions, est plus importante que la douleur. Et, pour que l'humiliation soit complète, il est bon que la soumise puisse la voir.
    Les maîtresses utilisent dont beaucoup des miroirs, pour la fessée, pour le bondage, pour toutes les punitions, afin que son reflet vienne encore faire honte à la punie.


    Mobilier

    Le mobilier de la salle comprend:

    • Des meubles de rangement, pour la vaisselle et les torchons.
    • Des chaises solides, en bois, certaines avec accoudoirs, d'autres avec des couvre-siège, des tabourets.
    • Des bancs de cuisine longs de 2 mètres, pour y attacher les esclaves.
    • De grandes tables de cuisine, en bois, ou bien carrelées dessus, pour servir de table de tripotage.
    • Des billots de boucher
    • Des lits, avec cadre en bois pour pouvoir y fixer des liens et attacher les esclaves.
    • Des grands escabeaux, pour y attacher les esclaves, ou pour d'autres jeux;
    • De grandes tables basses
    • Des matelas et des coussins recouverts de toile cirée et de toile à torchon.
    • Des piloris pour y attacher une esclave à genoux.
    • Des chaises percées, assez hautespour y mettre une esclave dessous, que l'on appelle chiardes.
    • Des tables spéciales pour attacher, que l'on appelle tripotables.

    Morve

    La morve des Maîtresses est précieuse. Elle est appelée aussi morvelle, crotte du nez, caca du nez.

    Les belles morvelles vertes et gluantes sont les plus appréciées. Maîtresses et servantes se mouchent dans des torchons ou, avec les doigts, dans une assiette. Les torchons pleins de morve sont léchés par les servantes. La morve déposée ailleurs est conservée pour être mélée à la nourriture des esclaves, ou leur être donnée seule, par exemple en tartines ou à la cuillère.

    Une Maîtresse peut aussi se moucher dessus une esclave, la morvelle coulant sur son visage. Une pénitente vient alors la lécher et l'embrasser. Par pénitence douce, une servante peut être obligée à rester morveuse. C'est souvent le cas quand elle est saucissonnée, au piquet ou au pilori.


    Moule

    La moule, c'est la tarte, le sexe féminin.

    On peut dire aussi: la baveuse, le berlingot, la chagasse, la chounette, la connasse, la cramouille, la fentounette, le fourneau, la founette,  la mounette


    Mule

    Les maîtresses mettent souvent des mules aux pieds. C'est confortable, et c'est facile à enlever pour se les faire lécher. Les servantes en portent aussi, ce qui est pratique, cette fois, pour les chatouilles. Ces mules sont plates, en tissu ou en plastique, avec souvent des motifs à carreaux, toujour simples et solides.

    Les maîtresse mettent aussi des bottes de caoutchouc.


    Nappe

    Les nappes complètent le linge d'office. Elles sont assorties aux torchons : mêmes couleurs, mêmes motifs. Certaines sont en coton, d'autres en toile cirée: cette matière est utilisée pour ne pas trop salir. Elles peuvent être neuves ou usagées.

    Les nappes servent bien sûr à recouvrir les tables, les bancs. Dans ce cas, on met d'abord une toile cirée, puis la nappe en coton. Sauf, bien sûr, si on veut que la peau de l'esclave colle à la toile cirée. Et si on veut qu'elle ait encore plus chaud, on met une alèse plutôt qu'une nappe.

    Elles servent aussi à envelopper et à torchonner les esclaves.


    Nonne

       

    Accessoirement, les Maîtresses peuvent s'habiller en nonnes, des nonnes en tablier, bien sûr. Le costume de la nonne, avec la longue robe et la cornette, ressemble bien à la blouse et à la coiffe. Et les nonnes sont des spécialistes de la pénitence.

    Ceci est sans aucun rapport avec  le fétichisme des costumes religieux, c'est juste la longue robe, le voile, la guimpe qui entoure le visage, tout cela, pour moi, complète le tablier presque aussi bien que la blouse.


    Nounou

    Certaines Maîtresses aiment à jouer le rôle d'une nounou, et traiter les servantes comme des bébés.

    Ce genre de pénitence tendre est un langeage. La Nounou met au bébé des couches, lui donne la tétée, lui nettoie les jambons et le camembert s'ils sont sales, et lui donne ensuite une fessée.

    Parmi les Maîtresses, la Bouchère et la Pâtissière aiment bien jouer à la nounou.


    Nourriture

    Il y a tout ce qu'il faut pour préparer des repas, et surtout des produits de crèmerie et de charcuterie. La nourriture sert à l'ensemble des jeux de sexe et de nourriture, qui portent le doux nom de sitophilie.

    Parmi les produits divers, on doit avoir en quantité:

    • de grandes tranches de viande;
    • beurre, huile;
    • farine, œufs, tout ce qu'il faut pour la pâtisserie;
    • sucre en poudre;
    • du miel, de la crème de marrons, de la mélasse;
    • du ketchup

    Les Maîtresses et les servantes font la cuisine. La nourriture est conservée au réfrigérateur, mais une partie est toujours sortie à l'avance, pour être à la température de la pièce.

    Pour les mangeries, il existe des plats spéciaux:

    • choucroute à la pisse, cassoulet aux étrons puants
    • tartines de merde ou de morve
    • purée ou aligot, assaisonnés aux crachats ou à la pisse

    Odeurs

    Les odeurs sont trés importantes, et tout le monde les apprécie.

    Il y a les bonnes odeurs de cuisine, celle des bons plats préparés et qu'on va manger, proprement ou salement. Il y a les odeurs fortes des bons fromages puants, et les odeurs fades de la charcuterie.

    Il y a aussi les odeurs corporelles, celles des tartes, celles des pieds, celles des trous du cul, les odeurs sous les bras, et bien d'autres.

    Il y a aussi l'odeur de la merde et des pets, et l'odeur persistante du pissou, bien meilleure quand elle est toute chaude.

    Les servantes et les Maîtresses baignent dans toutes ces odeurs, qu'elles entretiennent en ne se lavant jamais, ou presque, et encore, le savon est inutile, l'eau claire suffit pour enlever le plus gros, sans faire perdre aux corps leurs bonnes odeurs naturelles.

    Les odeurs sont donc utilisées dans les pénitences, et un baillon doit toujours sentir mauvais, qu'il soit fait avec un torchon ou avec une culotte.


     Pâtés

    Les seins s'appellent les pâtés, mais aussi : les mamelles, les nénés, les nichons, la nichonaille, les nibars, les roberts, les tétés, les tétasses, les tétounes, les lolos, les loloches, les brioches, les biberons.

    Les Maîtresses ont toutes de gros nichons, qui tendent leur tablier. Ils sont plutôt en poire qu'en pomme, et resserrés entre eux. Les bouts sont très gros, et les aréoles larges et foncées. Ces loloches énormes ne sont pas fermes, mais plutôt molles, bien sûr. Sous les nichons des plus grasses, on peut facilement faire tenir un saucisson. Nous sommes dans la mammophilie et même, puique les nichons sont énormes, dans l'hypermastie.

    Souvent elles les sortent et les montrent aux servantes pour les exciter. Caresser ou embrasser le lolo d'une maîtresse est la récompense des servantes bien sages. Et les téter est encore mieux.

    Mais on peut aussi infliger au pâtés une pénitence, comme de les saucissonner en roti, ou d'y mettre au bout une pince à linge.


    Pâtissière

    La Pâtissière, Annette, est une flagellante.

    C'est une blonde avec de gros nénés, de 120D sans plus. Elle a de bonnes joues et un bon gros cul rebondi. Ses bras sont beaux, blancs et bien forts. Elle pèse environ 80 kgs.

    Elle porte le plus souvent une blouse blanche sans manches et un tablier rose, avec une jolie bavette à volants, ainsi qu'une coiffe sur la tête.

    C'est chez les Saucissonneuses la spécialiste des fessées : main, martinettorchon mouillé, cuillère en bois, elle connait toutes les subtilités de la flagellation et du fessardage. Elle aime fesser, et le fait avec vice et méchanceté. Etre couchée sur ses genoux, c'est la garantie d'un mauvais moment et de jambons rouges. La Pâtissière aime aussi jouer à la nounou.

    Elle est plus gentille que la Charcutière, mais plus sévère que la Tripière.


    Pénitence

    Une pénitence est une chose imposée par une Maîtresse à une servante, qui est, pour la servante, désagréable, humiliante, destinée à bien lui faire sentir sa condition inférieure. C'est pourquoi les servantes sont souvent appelées pénitentes.

    La pénitence est infligée sans qu'il y ait de motif particulier, autre que le plaisir de la Maîtresse. Une pénitence infligée à la suite d'une faute de la servante est, dans ce cas, une punition.

    Les pénitences comprennent les fessées, les châtiages, les abaissages, les chatouilles, les saucissonnages, la yaourtière, et autres humiliations.

    Il existe plusieurs types de pénitences:

    Les châtiments corporels ne sont jamais très douloureux, et ne doivent pas laisser d'autres marques qu'une rougeur passagère.

    La fessée est le châtiment de base. Les chatouilles sont également considérées comme un châtiment corporel.

    Les saucissonnages consistent à attacher l'esclave.

    Les humiliations sont extrémement diverses: piquetlavementenculadeléchage des maîtresses, langeagetinettesmangeriessoue, etc… Tout peut être prétexte à une humiliation.

    Quand il ya une raison pour imposer la chose, ce n'est plus la pénitence devient une punition.


    Pet

    Les pets des Maîtresses sont précieux. Chaque fois que l'une d'entre elles a envie de péter, elle appelle une servante. Celle-ci passe sous la blouse de la Maîtresse, colle son nez entre les miches, et la Saucissonneuse lâche son soupir culier sur le visage de la servante. D'ailleurs, les saucissonneuses aiment péter, et souvent la servante doit leur lécher le troufignon pour le décontracter et faire sortir le vent. Ces pets sont sonores et puants, et les Maîtresses font souvent des concours entre elles. La plus forte prouteuse est bien sûr la Tripière.

    Le moment idéal pour les prouts est le trônage.

    Par contre, les servantes ne doivent pas péter. Celle qui est surprise à le faire, soit par le bruit, soit par l'odeur, est punie.


    Pilori

    Le pilori sert à effectuer des saucissonnages particulièrement humiliants. Il est en bois peint en blanc, complété par des attaches larges, en toile à torchon. Au sol, une planche couchée comporte des attaches pour les genoux (proches ou écartés) et pour les pieds (idem). Deux poteaux s'élévent de la planche jusqu'à 2 mètres, et soutiennent une traverse réglable en hauteur. Les poteaux ont des attaches pour les mains. La traverse est une planche horizontale, percée pour passer le cou et les mains.

    Le pilori est placé face à un grand miroir, qui permet à la Maîtresse qui fesse par derrière de voir le visage de l'esclave, et réciproquement.

    La pénitente est mise à genoux (plus rarement debout). Sa tête est passée dans la traverse. Puis ses genoux, ses pieds sont attachés au sol (le plus souvent écartés, pour accéder à son entrecuisse). Ses mains sont généralement attachées bas sur les poteaux, pour ne pas faire mal à la longue, mais elles peuvent être mises dans la même traverse que la tête.

    Cet appareil peut servir à de nombreuses humiliations :

    • Une planche devant la bouche permet de poser de la nourriture que mangera la pénitente, c'est une mangerie.
    • Une toile cirée, tendue derrière la pénitente entre les poteaux, permet de lui jeter de la nourriture dessus sans en mettre partout.

    Pince à linge

    Les pinces à linge sont utilisées par les Maîtresses pour punir les servantes. Ce sont des pinces à linge en bois, avec un ressort pas trop dur, pour ne pas faire trop mal.

    Elle sont utilisées pour pincer le bout des pâtés, c'est à dire les nichons.

    Elles peuvent aussi servir de bâillon, assez douloureux, et humiliant aussi.


    Piquet

    Le piquet est une humiliation très répandue comme pénitence. Il se distingue des saucissonnages par le fait que la servante n'est pas attachée (sauf quelquefois les mains dans le dos).

    La pénitente peut aller au piquet dans un coin, au milieu de la pièce ou face à une maîtresse ou à une autre esclave. Elle peut être à genoux, debout ou à quatre pattes. Le piquet à genoux est éventuellement imposé avec les genoux sur une règle, un manche à balai, des pois chiches durs, des pignons d'olive, etc…

    La position peut être complétée par les mains sur la tête, en croix, jointes en prière, tenant les tabliers relevés, le cul nu ou la culotte baissée, un bâillon ou les yeux bandés.

    Le piquet ne dure pas plus d'un quart d'heure.


    Pisse

    L'urine se dit la pisse, le pissou, le pipi, le jus de tarte. Pour l'action, on dit faire pipi, pisser. Le petit pipi est une pissette, le gros pissou est une pissade. Le pissou est aussi un garçon pisseur.

    La pisse n'est jamais gaspillée. Si la pissade n'est pas faite sur une esclave, la pisse est recueillie dans des saladiers individuels. Elle sert à plein de choses.

    La nourriture des esclaves peut être mouillée de pisse pour l'assaisonner

    De même, on peut tremper une servante ou une Maîtresse dans un bain de pisse, pour la faire lécher ensuite par une pénitente. En général, c'est surtout le bain de pieds dans la pisse qui est pratiqué.

    Souvent les Maîtresses aiment arroser les esclaves de pisse par-dessus leurs tabliers, qui restent comme ça humides pisseux et puants.

    La pisse sert aussi aux lavements, à mouiller les torchons pour fesser ou manger une torchonnade dedans, à débarbouiller les esclaves.

    L'ensemble de ces jeux de pipi, s'appelle l'urolagnie.


    Pissou

    Le pissou peut vouloir dire deux choses.

    Le pissou, ou pisseux, est d'abord un garçon qui pisse dans sa culotte ou dans sa couche quand il n'a plus l'age d'en porter. On dit aussi que c'est un petit pisseux, ou même un gros pissard. Pour une fille, on ne dira pas pissou, mais pisseuse, mais il est bien plus humiliant pour un garçon que pour une fille de pisser dans sa couche.

    En général, le pissou prend plaisir à rester tremper dans son pipi. C'est pourquoi il faut à la fois le punir en le laissant mijoter dans son pipi, dans une couche trempée, dans une culotte sale, sur une alèse, mais il faut aussi, après, lui donner par exemple une bonne fessée.

    Le pissou est aussi un synonyme de la saucisse des garçons.


    Poire

    La poire est utilisée pour donner des lavements, en alternance avec le bock et sa canule, ou avec l'entonnoir.

    Les Maîtresses se servent plutôt de la poire pour les petits lavements, et du bock pour les lavements plus importants.

    L'avantage de la poire est qu'elle est facile d'utilisation, et donc qu'on peut donner un lavement à la poire pendant une fessée, par exemple.


    Prénom 

    Les prénoms des Maîtresses comme ceux des servantes sont très importants, ils participent à l'humiliation des unes par les autres.

    Ce sont toujours des prénoms trés féminins, classiques et vieillots même.

    Les Maîtresses se prénomment:

     

    Mais sont aussi des prénoms de Maîtresse:

    Pour les Maîtresses, les prénoms allemands et russes sont très appréciés.

    Les servantes ont des prénoms ridicules, souvent en "on", qui peuvent supporter le diminutif en "ette" ou en "ine", et qui sont souvent des prénoms composés avec "Marie":

    • Anne, Annette
    • Charlotte
    • Claudine, Claudette
    • Francine, Francette
    • Jeanne, Jeannette, Jeanneton, Jeannine
    • Julie, Juliette
    • Lise, Lison, Lisette
    • Louise, Louison, Louisette
    • Luce, Lucie, Lucette
    • Marie, Marion, Mariette, Marinette
    • Rose, Rosa, Rosette, Rosalie, Roselyne

    Ou bien des prénoms classiques de bonniche française ou étrangère:

    • Aïcha
    • Bécassine
    • Bertille
    • Carmen
    • Célestine
    • Clémence
    • Conchita
    • Dolorès
    • Farida
    • Fatima
    • Honorine
    • Joséphine
    • Léonie
    • Marguerite
    • Maria
    • Noémie
    • Olga
    • Pascaline
    • Rachida
    • Sidonie
    • Thérèse
    • Violette
    • Zohra

    Pour les servantes, les prénoms arabes, espagnols, portugais sont très appréciés.

     

    Certes, Annette, Jeanne, Clarisse sont des Maîtresses avec des prénoms qui pourraient être ou qui sont des prénoms de servantes, c'est encore plus humiliant pour leurs soumises.


    Prière

    La prière bien sûr n'a rien de religieux. C'est une pénitence infligée à la servante qui, agenouillée, doit prier une ou plusieurs Maîtresses, soit de la punir, soit d'être gentille avec elle.

    La prière peut aussi être faite collectivement pas plusieurs servantes, commandées par une Maîtresse qui leur dicte ce qu'elles ont à dire.

    C'est aussi une position pour le piquet.


    Punisseuses

      

    Les Maîtresses sont des Punisseuses, c'est-à-dire qu'elles aiment punir, elles y prennent beaucoup de plaisir. Elles punissent soit parce que la servante a fait une faute, a désobéi, soit, le plus souvent, pour leur plaisir. Elles ne sont pas sadiques, non, elles aiment juste infliger des punitions.


    Punition

    Il y  toutes sortes de punitions, pas seulement des fessées, des piquets, des lavement, des saucissonnages, etc.

    Tout ce qui peut humilier, contraindre, sans faire trop mal, sans laisser de trace durable, peut être une punition.


    Quenelle

     

    Quenelle veut dire étron, une quenelle est un bel étron, dur ou mou, une belle merde allongée, que la maîtresse ou la servante a chiée en continu.

    Cette quenelle pourra servir à décorer une servante, en posant la quenelle sur son corps ou sur sa bouche. Quelques belles quenelles éparpillées donneront une bonne odeur grasse et puante.

    La quenelle pourra aussi être donnée à manger à la servante, qui devra surmonter son dégoût et manger humblement et avidement la merde ronde et chaude.


    Règlement

    Règlement
    Tout manquement aux dévotions est sanctionné par une punition. Mais une servante très obéissante peut être récompensée par une gâterie.

    S'adresser aux Maîtresses:
    La servante doit tutoyer les Maîtresses.
    Elle doit leur dire "Maîtresse" ou les appeler par leur titre (Charcutière, Bouchère, etc.). Si la Maîtresse est de bonne humeur, elle peut accepter de se faire appeler "Tatie" ou "Nounou".
    La servante ne doit jamais adresser la parole directement à une Maîtresse, mais attendre une question.
    Si elle veut parler, elle doit s'agenouiller et embrasser le bas du tablier de la Maîtresse, qui lui parlera alors la première si elle veut.
    Elle doit dire "Oui Maîtresse" et "Merci Maîtresse".
    Elle doit toujours parler à la Maîtresse avec humilité, et en se rabaissant.

    Attitudes à respecter:
    L'esclave ne doit pas regarder les Maîtresses dans les yeux, mais baisser le regard.
    Quand elle se présente à une Maîtresse, elle doit faire une petite révérence avec son tablier.
    Elle doit se tenir debout ou agenouillée, avec les mains dans le dos ou les bras croisés.

    Déplacements:
    L'esclave doit marcher en tortillant des jambons, et à petit pas, même si elle n'est pas entravée.
    Si elle a les bras libres, elle doit marcher les deux mains relevant légèrement ses tabliers.
    L'esclave qui se déplace à genoux doit aussi relever ses tabliers avec les mains.

    La tenue:
    L'esclave doit toujours avoir ses blousestabliers et toute sa tenue en bon ordre.
    Elle doit toujours avoir avec elle son torchon pendu à la ceinture.
    Elle doit toujours avoir une coiffe ou un torchon sur la tête.


    Repas

    Chaque repas doit être, avant tout, un moment de plaisir. Les plaisirs gourmands de la bouche doivent s'accompagner aussi de plaisirs lubriques, avec de bonnes grosses saloperies de bouche ou d'autre chose.

    Les Maîtresses et les servantes mangent donc comme des cochonnes. Ce n'est pas grave, elles prennent plaisir à salir leur tablier, et sinon elles peuvent se mettre un torchon en guise de bavoir. Pour les servantes, le repas peut être l'occasion de faire, en punition ou en pénitence, une mangerie bien sale et bien longue.

    Le repas est toujours pris en commun, à la même table pour les Maîtresses et les servantes, mais celles-ci servent les Maîtresses à table et même sous la table. C'est la Serveuse qui est chargée de commander les servantes pendant le repas.


    Roqueforts

    Les pieds s'appellent les roqueforts, les petons, les fumerons, les petits salés. Les Maîtresses aiment qu'ils sentent fort, et donc ne les lavent pas, et au contraire les font transpirer. "Petit-salé" désigne aussi toutes les lécheries et les baisers, les suçotages que l'on fait sur les pieds.

    Les roqueforts sont en général dans des socques ou dans des chaussons de plastique, quelquefois dans des bottes de caoutchouc blanc, des bottines basses comme celles des poissonnières.

    Pour aborder une Boudinière, une manière humble consiste pour la servante à s'agenouiller devant elle et, léchant son tablier, de lui demander: "S'il te plait, Maîtresse, petit-salé." La Maîtresse tend alors, si elle le veut bien, un pied à l'esclave qui lui lèche tendrement. Après seulement, elle peut demander quelque chose à la Saucissonneuse.


    Rôti

    Le rôti est un saucissonnage qui peut se faire dans toutes les positions.

    On saucissonne l'esclave avec de la ficelle à rôti ou de la cordelette mince, pour bien la serrer et faire ressortir, si elle est grasse, ses rondeurs, ses chairs, ses plis, ses bourrelets.

    On saucissonne tout le corps de l'esclave, ou seulement une partie, par exemple, c'est très amusant de faire un rôti avec de gros pâtés mous.


    Salisseuse

    Les Maîtresses sont aussi des salisseuses (on dit aussi des salopeuses). Elles aiment salir leurs servantes avec de la nourriture, mais aussi avec du pipi et du caca. Elles aiment aussi se salir elle-mêmes et se faire nettoyer avec la languer par leurs bonniches.

    C'est pour ça que les tabliers, les blouses, les torchons doivent toujours être sales et humides.


    Salle

    La salle est une très très grande cuisine, carrelée au murs et au sol, très bien chauffée, avec au moins:

    • Deux grands éviers avec plusieurs bacs, des paillasses de chaque côté, pour laver la vaisselle et les torchons.
    • Un grand réfrigérateur pour conserver la nourriture, ainsi qu'un congélateur.
    • Deux tables de cuisson, un four complet, pour faire à manger, et deux fours à micro-ondes, pour réchauffer la nourriture ou le pipi-caca.
    • Une machine à laver, pour laver les torchons à fond, une essoreuse et un sèche-linge, une table et un fer à repasser.
    • Un grand garde-manger pour y mettre la nourriture qui est à utiliser bientôt, chambrée.

    Elle contient également du matériel et du mobilier.

    La salle doit être propre, et le sol est fréquemment passé à la wassingue.


    Saucisse

    Le sexe masculin se dit la saucisse, le saucisson, le boudin avec les olives, les boulettes, les paupiettes. Son jus blanc s'appelle la crème d'andouille.

    On utilise aussi des mots comme le zizi, la zizounette, la quéquette, le petit robinet, la pissette, la zézétte, le kiki ou le pissou.

    Les servantes qui sont des garçons doivent cacher leur saucisse et en avoir honte. Mais elles le montrent en retroussant leurs tabliers pour les révérences. Elles ne doivent jamais la toucher, sous peine de sévère punition. Par contre, les Maîtresses ont le droit de les tripoter et de les branlotter. La saucisse n'est jamais frappée ni attachée. Au pire, elle peut être enveloppée dans un torchon.

    Le sexe des filles s'appelle la tarte.


    Saucissonnage

    Les saucissonnages sont des pénitences qui consistent à attacher la pénitente, sans jamais serrer très fort. Le but est de mettre l'esclave dans une position humiliante, inconfortable, mais pas trop douloureuse.

    L'esclave peut être attachée dans diverses positions qui s'appellent des saucissons. Les liens sont soit en tissu (ceintures, torchons) soit en corde à linge plastifiée. Un grand filet ou un rouleau en toile sert à saucissonner la servante, roulée dedans comme un vrai saucisson. Un bâillon complète parfois le saucisson, plus rarement une minerve.

    Ils ont des noms comme:

    • Le bébé sur le dos : couchée sur un lit, sur le dos, mains et pieds attachés. Saucisson gentil, pour des gâteries.
    • Le bébé sur le ventre : couchée sur un lit, sur le ventre, mains et pieds attachés. C'est pour les fessouillages.
    • Le cochon à plat ventre : couchée sur une table de cuisine, sur le ventre, chevilles et poignets attachés, en croix on non. Très pratique pour les fessées, les lavements.
    • Le cochon sur le dos : couchée sur une table de cuisine, sur le dos, chevilles et poignets attachés, en croix on non.
    • La banquette sur le dos : couchée sur un banc, sur le dos. Idéal pour le trônage.
    • La banquette à plat ventre : couchée sur un banc, sur le ventre, la tête dépassant. Pour les fessées sévères.
    • Le chaisonnage : assise sur une chaise, mains liées dans le dos, chevilles attachées aux pieds de la chaise.
    • Le roti : entièrement ficelée de la tête aux pieds dans le même lien.
    • Le potelet : debout contre un escabeau, une échelle, de face ou de dos
    • La pénitente : à genoux, à une chaise, une table, un banc, un escabeau, un pilori.
    • Le cochon pendu : attachée à une barre horizontale par les mains et les pieds, rapprochés ou non.
    • La dinde : cuisses repliées sur le ventre, les bras passés entre les cuisses et les mollets, mains attachées ensemble, chevilles aussi. Le cul est ainsi bien dégagé ; la punie peut être couchée sur le dos comme ça, ou prosternée. Idéal pour les lavements.

    Le saucissonnage peut être agrémenté de pratiques complémentaires :

    D'autres pénitences peuvent être infligées pendant le saucissonnage. Sa durée n'excède jamais quelques dizaines de minutes, pour ne pas laisser à l'esclave le temps de s'ennuyer.


    Saucissonneuses

    Les Saucissonneuses sont le nom que l'on donne aux Maîtresses qui pratiquent la domination torchonnière.

    • de la plus gentille à la plus sévère : Colette la Bouchère, Clarisse la Cuisinière, Josiane la Crémière, Gisèle la Tripière, Annette la Pâtissière, Maryse la Charcutière, Jeanne la Serveuse.
    • de la plus mince à la plus grasse:

    Belles femmes de 35 à 55 ans, grandes, très plantureuses, franchement grosses. Toutes sont dodues, potelées, avec de très gros seins, de grosses fesses. Elles ont des touffes de poils sous les aisselles, la tarte bien poilue ou alors complètement rasée. Leur hygiène est fortement négligée: elles sentent des pieds, de l'entrecuisse, des aisselles. Elles sont un peu vulgaires, vicieuses mais pas méchantes. Elles sont vêtues de tabliers, portés sur des blouses ou des robes-tabliers. Elles ont une coiffe ou un torchon pour leur cacher les cheveux, et aux pieds des socques en plastique ou en bois.


    Servage

    Les servages sont les pénitences où l'esclave est traitée comme une servante. La Punisseuse est alors la Patronne.

    Ils comprennent:

    En réalité, tout ce que fait la servante est une pénitence.

    Les servages sont volontiers infligés par la Crémière, la Cuisinière, la Serveuse.


    Servante

    Les servantes sont aussi appelées esclaves, pénitentes, soumises, etc… Elles ont des prénoms ridicules : Charlotte, Suzon, Rosette, Louise, Marie-Souillon, Marie-Charlotte, Marie-Suzon, Marie-Saucisse, Marie-Morvelle, Marie-Andouille, Marie-Torchon, Marie-Boudin, Marie-Salope, Boudinette, Martinette, Tripette, Torchonnette, Cochonnette, Saucissette, Torchonnine. Mais les maîtresses les appellent toutes "cochonne", ou "salope", etc… Elles les insultent avec des termes serviles.

    Elles sont en général plus jeunes et plus minces que leurs Maîtresses.

    Certaines sont des garçons, habillés en filles et traités au féminin. Il doivent parler d'eux mêmes au féminin, pisser assis, etc…

    Elles sont les esclaves sexuelles des Saucissonneuses, mais elles ne sont pas vraiment maltraitées. Sur ordre de leurs Maîtresses, elles peuvent se punir et s'humilier entre elles.

    Il ne faut pas confondre la servante, qui est une position domestique humiliante, rabaissante, avec le noble métier de Serveuse.


    Serveuse

    La Serveuse, Jeanne, très vulgaire, est la plus vicieuse des Saucissonneuses.

    Elle est rousse, avec de gros lolos lourds (120D), et un très beau cul. Elle pèse environ 75 kgs. Elle est shemale, et elle a donc une petite saucisse et des couillettes.

    Elle est habillée d'une blouse bleue, sur laquelle elle met, suivant son humeur un petit tablier de serveuse chic (blanc, petite bavette, un peu de dentelle) avec une coiffe, ou d'un grand tablier en grosse toile bleu de fille de salle et un triangle sur les cheveux.

    Elle aime beaucoup humilier, salir, rabaisser; elle insulte très bien ses esclaves. Elle aime les géner dans leur service, leur mettre la main aux miches, détacher leurs tabliers.

    Pour les pénitences, elle s'occupe du visage: elle gifle, elle tripote la bouche, le nez, elle fait des masques puants, elle bâillonne, et plus généralement toutes les punitions bouchières, y compris faire sucer sa saucisse. Elle donne aussi les lavements et fait des trônages. Et elle commande les servantes pendant les repas.


    Socque

    Les socques font partie du linge. Les Maîtresses et les servantes portent des socques. Elles sont en bois, garnies de caoutchouc dessous, avec dessus des brides en plastique. Elles laissent ainsi voir leurs roqueforts.

    Pour mieux sentir des pieds, les Maîtresses portent parfois des chaussons en plastique, qui renfement les odeurs, et même des fois des bottines basses en caoutchouc. Dans ce cas, elle mettent à l'intérieur des morceaux de fromage, pour rajouter encore à l'odeur des pieds.


    Soue

    La soue est une grande cuve en plastique, carrée, de deux mètres de côté environ, au rebord peu relevé. Elle est dans un coin de la salle.

    La soue est toujours sale: on y verse de la crème, de l'huile, des restes des repas, on y vide quelques tinettes. Elle est cependant vidée et nettoyée tous les jours.

    La pénitence de la soue est très humiliante. L'esclave est mise nue, avec sur la tête une charlotte en plastique recouverte d'un torchon noué. Ses bras sont attachés le long du corps avec des liens de toile. Ainsi saucissonnée, elle est couchée dans la soue, comme une cochonne. Elle y mange, elle y fait ses besoins, toujours couchée. Les Maîtresses viennent la tourmenter et la salir. Souvent, deux esclaves sont dans la soue en même temps. Elles doivent alors se faire des cochonneries au milieu de tout ce gras.


    Tablier

    Les tabliers sont, avec les blouses, du linge indispensable et toujours porté. Ce sont des tabliers de cuisine et de service, neufs ou très usés, toujours très classiques et très féminins, en coton ou en toile, blancs, bleus, roses, unis et à carreaux. Quelques uns sont en caoutchouc.

    Les formes sont diverses :

    • Tabliers-chasuble, petits tabliers mignons, noués sur les côtés, ou boutonnés, et qui laissent voir de chaque côté les pâtés ou les jambons.
    • Tabliers à bavette, de toutes sortes, avec et sans volants. Le bas du tablier (ce qui constitue un tablier-taille) s'appelle le devantier, et le haut la bavette. Celle-ci est toujours appliquée sur la poitrine par un cordon au cou ou des bretelles.
    • Tabliers-taille, de cuisine ou de serveuse, noué par une ceinture, soit derrière, soit croisée derrière avec le nœud devant.
    • Gros tabliers en toile bleue, devantiers ou bavettes.
    • Tablier spécial, avec une poche devant, et une ouverture dans la poche pour y faire rentre la saucisse de la servante.

    Les tabliers sont toujours en rapport avec l'activité. Les Maîtresses et leurs esclaves mettent les mêmes, si les tailles vont. Les Maîtresses mettent des jolis tabliers pour se faire servir, ou pour faire des choses plutôt gentilles à leur esclave. Pour la punir salement ou sévèrement, elle mettent de gros tabliers. Le tablier bleu, ou la blouse bleue, sur la Maîtresse, est signe de lourde punition.


    Tablières

       

    Les Maîtresses s'appellent des Tablières parce qu'elles portent toujours des tabliers de cuisine ou de service, et qu'elle en font porter à leur servantes. Elles peuvent aussi porter, comme sur cette photo, des tabliers de plastique, pour changer un peu.


     Tablionner

    Tablionner, c'est faire porter un tablier, ou plusieurs tabliers.

    Les tabliers se portent sur le corps nu, ou sur des blouses, le tablionnage étant alors le complément naturel de l'emblousage.

    Un bon tablionnage comprend plusieurs tabliers. Les tabliers doivent être portés du plus grand et enveloppant, en dessous, au plus petit, mis en dernier. S'ils sont de matières différentes, les tabliers imperméables, en plastique, caoutchouc, toile cirée, sont portés par dessus les tabliers à tissu.

    Un bon tablionnage comprend par exemple:

    1. Une chasuble
    2. Un tablier à bavette
    3. Un grand tablier-taille
    4. Un tablier-taille plus petit
    5. Un tablier à bavette en plastique transparent pour protéger l'ensemble.

    Tapette

    La tapette, ou tape-tapis, est un fessoir assez cruel. S'il est fortement manié, il va rougir les miches et cuire la punie. Elle sert donc beaucoup pour les fessardages.

    Mais c'est surtout un fessoir humiliant, puisque la punie est traitée comme un objet, à savoir un tapis, une lirette, une carpette que l'on bat pour la rendre propre.


    Tarte

    Le sexe féminin se dit la tarte, la tartoune. Le clitoris s'appelle le cornichon ou le petit suisse, et les grandes lèvres les escalopes. Il en sort, quand elles sont heureuses, du jus de tarte.

    Servantes et Maîtresses sont soit très fournies en poils, soit soigneusement rasées. Leurs tartes sont toujours négligées, pisseuses, et sentent fort.

    La tarte des servantes est souvent remplie par un saucisson qui la garnit. Mais elles ne doivent jamais se tripoter seules sans ordre. Elles sont aussi fricotées par les servantes qui ont une saucisse.

    Les Maîtresses aiment aussi le fricotage, et leurs tartes sont alors ouvertes à leurs esclaves.

    Le sexe des garçons s'appelle la saucisse.


    Tétée

    La Crémière et la Tripière, ainsi que certaines servantes, ont du lait. Elles se font souvent téter, soit par une saucissonneuse, soit, en matière de gâterie, par une esclave. Cette tétée peut aussi se placer avant ou après un fessouillage, pour bien faire sentir à la pénitente qu'elle est un bébé soumis à sa nourrice.

    La tétée peut être donnée couchée sur les genoux de la nourrice, comme pour un bébé. Celle-ci ouvre sa blouse et sort ses gros pâtés, ses loloches puis, main sous la tête de la téteuse, elle lui donne le bout. Cette tétée s'accompagne souvent d'une branlette.

    La tétée peut aussi être donnée à l'esclave couchée sur le dos, avec la nourrice qui écrase la téteuse de son poids.

    La tétée peut aussi être donnée au biberon. Celui-ci contient alors du lait chaud et sucré.

    Le biberon peut aussi contenir de la pisse, en guise de pénitence.


    Tinette

    Servir de tinette est la plus humiliante des pénitences. La servante peut se faire pisser ou chier dessus par une ou plusieurs Maîtresses ou autres esclaves.

    La Maîtresse est soit accroupie sur l'esclave, soit confortablement assise sur une chiarde, qui est une chaise percée perfectionnée.

    La servante est couchée; sa tête est couverte d'une charlotte en plastique pour ne pas se salir les cheveux. Elle peut recevoir sa portion de quenelles sur le visage ou sur toute autre partie du corps; elle ne doit pas bouger.

    Pour que la tinette soit plus amusante, il faut que la merde de la chieuse soit bien molle. Parfois, la chieuse prend un petit lavement pour bien se dégager.

    La servante peut être obligée de garder la bouche ouverte; elle avale alors ce qui lui tombe dedans. Souvent, elle doit nettoyer avec la langue sa Maîtresse après qu'elle ait fait ses besoins.


    Toile

    Les toiles utilisées sont la toile à torchon et la grosse toile bleue, celle qui fait les tabliers de fille de cuisine. La toile à torchon à toujours des motifs, carreaux torchons ou linteaux sur les bords.

    La toile est une toile de coton pur, ou bien mélangé avec du lin (métis) ou avec du synthétique. On utilise parfois le nylon, mais uniquement pour des blouses collantes destinées à faire transpirer. On utilise parfois, aussi, de la toile de jute, pour en faire une blouse ou une chasube à porter sous une autre blouse, et qui sera très inconfortable en provoquant des démangeaisons un peu comme du poil à gratter.

    On a fait avec ces toiles:

    • Des tabliers originaux: certains ont des ouvertures dans la bavette pour les nichons, d'autres une poche à l'intérieur du devantier pour y mettre la saucisse.
    • Des culottes fendues ou pas, devant ou derrière.
    • Des liens, longs de un mètre ou deux, pour saucissonner les esclaves.
    • Des sacs, assez grands pour y mettre une servante allongée, avec la tête qui dépasse dehors. Des rouleaux, c'est à dire les mêmes sacs, mais ouverts aux deux extrémités, pour faire dépasser aussi les pieds. Des liens permettent de serrer la pénitente dedans.
    • Des cagoules, toujours avec des trous pour respirer. Elles laissent libres, suivant le cas, les yeux, la bouche ou rien du tout.

    Torchon

    Les torchons sont des objets très importants dans le linge d'office. Ils sont en coton ou en métis, parfois en grosse toile bleue, mais jamais en éponge. Ils sont de couleur bleue ou rouge ou rose. Les motifs sont très classiques : unis ou à carreaux torchons, carreaux mouchoirs, carreaux vichy, avec des bandes sur le côté. Les torchons se font dans toutes les tailles, du petit essuie-mains au torchon presque aussi grand qu'une nappe.

    Les torchons ne sont pas tous neufs ; il y en a aussi de très usés, avec des trous. Ces derniers sont particulièrement appréciés, car ils sont plus humiliants pour celles qui s'en servent.

    Chaque Maîtresse et chaque servante a son torchon à la ceinture. Ils servent à faire un tas de choses que l'on appelle les torchonnages. Ils servent aussi à attacher et à bander les yeux ou à faire des baillons. Pendant les repas, il vaut mieux de proéger avec un torchon autour du cou; et on ne se sert pas d'une serviette mais toujours d'un torchon.

    On leur donne, suivant ce qu'ils font, des noms comme torche-pisse, torche-merde, torche-fion, essuie-morve...

    Les pratiques décrites dans cet abécédaire constituent un fétichisme, ou un ensemble de jeux pas vraiment sado-masochistes, qu'on appelle domination ou soumission torchonnière.


    Torchonnade

    Les torchonnades sont les mangeries que l'on fait dans les torchons.

    La nourriture bien collante est étalée dans un torchon. Celui-ci a été, au préalable, humidifié, avec de l'eau ou avec de la pisse, afin que l'humidité de la nourriture ne soit pas absorbée par le torchon, et qu'elle reste donc bien collante.

    Le torchon est alors placé par terre, ou sur les genoux d'une Maîtresse, ou sur une table, une chaise, etc... S'il le support est dur, on placera le torchon de la torchonnade sur une nappe pliée, afin que le support soit plus souple. C'est important, afin que la pénitente puisse bien mettre le nez dedans et s'en mettre partout.

    Une fois le torchon en place, la pénitente n'a plus qu'à manger salement ce qu'il y a dedans, en s'en mettant plein la figure.


    Torchonnage

    Les torchonnages sont toutes les choses que l'on fait avec les torchons.

    Les premiers sont les torchages. Les torchons essuient la vaisselle, bien sûr, mais aussi la table, les assiettes et les plats, même sales. Ils sont utilisés pour s'essuyer les mains, la pachole (torche-pisse) ou le cul (torche-fion) après les besoins. Ils servent aussi de mouchoir (torche-morve). Bien sûr, c'est le même torchon qui sert à tout.

    Les torchons servent aussi aux ligotages, pour attacher les mains, les pieds des servantes et aussi pour les bâillonner ou leur bander les yeux, en complément d'un emblousage . Le torchon sec sert au fessouillage, et le mouillé au fessardage.

    Ils servent à d'autres humiliations, comme par exemple pour déposer la nourriture des esclaves afin qu'elles y mangent dedans, c'est la torchonnade.


    Tourmenteuses

    Les Maîtresses s'appellent des Tourmenteuses, parce qu'elles tourmentent leurs victimes, les pauvres petites servantes qui sont leurs souffre-douleurs. Entre Tourmenteuse, Punisseuse et Bourrelle, il n'y a pas une bien grande différence, mais ce sont des mots excitants.


    Tripotable

    La tripotable fait partie du mobilier. C'est une table spéciale pour attacher et tripoter les servantes.

    Elle est en bois peint, solide, large, longue de deux mètres. Le plateau se règle en hauteur, et peut être incliné dans les deux sens.

    A chaque extrémité, il y a un cadre de bois, pour attacher chevilles et poignets. Ce cadre peut pivoter, ce qui permet de retourner l'esclave sans la détacher. Aux pieds se trouvent également des étriers, pour écarter les cuisses et ouvrir la pénitente.

    A la hauteur des jambons la table est percée et fermée par un panneau mobile. En l'enlevant, on peut accéder, si la pénitente est sur le dos, à ses miches, si elle est sur le ventre, à sa saucisse. Le même dispositif est fait à l'emplacement de la tête, ainsi la servante peut être à plat ventre, et sa figure est accessible par en-dessous.

    La tripotable peut être recouverte d'une toile cirée ou d'une nappe, ou même d'une alèse, percées aux bons endroits.


      Tripière

    La Tripière, Gisèle, est la plus grosse de toutes les Saucissonneuses.

    Elle pèse près de 120 kgs. Ses loloches font 140E, et elles tombent sur son ventre rebondi ; elles ont toujours du lait. Ses miches, ses cuisses sont imposantes; son corps grassouillet est plein de fossettes. C'est une blonde, avec la tarte grasse et rasée.

    Elle est souvent habillée d'une grande blouse blanche, et par dessus un tablier-taille rose, avec un torchon noué sur les cheveux.

    Sa spécialité est de faire des pets à volonté, ainsi que de belles merdes molles et grasses. Elle est plutôt gentille, plus méchante que la Crémière, mais moins que la Pâtissière. Elle est très habile pour donner des lavements ; elle manie avec plaisir le bock et la poire. Elle aime aussi enfouir une servante entre ses nichons ou entre ses cuisses, faire manger quelque chose dans ses replis graisseux. L'abaissage par la Tripière est un sévère châtiage.


    Trônage

    Le trônage fait partie des abaissages. On l'appelle aussi le nez-au-cul.

    Une Maîtresse s'asseoit sur la figure d'une servante. Elle fait bien attention de ne pas l'écraser ni de l'étouffer. Il y a deux variantes, selon que la Maîtresse tourne son ventre ou son dos vers les pieds de l'esclave.

    Le jeu consiste à mettre sur le nez de l'exclave sa tarte ou son camembert salle et puant, pour lui faire respirer ses odeurs, et au besoin lacher de bons pets foireux.

    Les trônages sont faits surtout par la Tripière et par la Serveuse.

    Bien sût, l'esclave doit consciencieusement lécher sa Maîtresse.

    Cela suppose que le trônage qui, vous l'avez compris, est finalement un face-sitting, soit fait sans l'intermédiaire d'un vêtement quelconque, même pas une petite culotte. Mais il est bon que la Maîtresse garde sa blouse, la retrousse pour s'asseoir et la laisse retomber, pour mieux garder la chaleur et l'odeur.


    Tourmenteuses

    Comme c'est le féminin de "tourmenteur", qui est un mot trop dur, on n'utilise pas trop ce mot de tourmenteuse pour les maîtresses, et pourtant il est excitant... Mais les Tourmenteuses ne sont jamais  pour torturer, juste pour faire semblant, et les tourments qu'elles infligent sont délicieux.

    On utilise aussi le terme de "Bourelle".


    Ustensiles

    La cuisine est équipée d'ustensiles divers, qui servent aussi à asservir les esclaves.

    • Des règles carrées en plastique pour frapper les servantes ou les faire s'agenouiller dessus.
    • Des martinets.
    • Des canules et des brocs à lavement, avec tuyaux de raccord, robinet.
    • De la corde à linge, pour fouetter et attacher.
    • Un grand filet en matière plastique extensible pour saucissonner les servantes.
    • Un pèse-personne.
    • Une balance de ménage.
    • Des bidets pliants en plastique.
    • Une grande cuve, en plastique, pour servir de soue.
    • Entonnoirs, chinois, touillettes en bois, rouleaux à pâtisserie, pilons

    Vichy

    Le vichy, ce motif de tissu à petits carreaux, alternant le blanc et une autre couleur, en plus clair et en plus foncé, est très apprécié pour les tabliers, pour les blouses, pour les torchons, pour tout le linge.

    Le vichy rose convient bien aux servantes, il fait très enfantin et très humiliant. Le vichy bleu, lui, est plus adapté aux Maîtresses, il donne l'air bien plus sévère. On utilise aussi du vichy rouge ou jaune, le rouge fait plutôt bouchère, et le jaune, lui, est plus enfantin.


    Voile

    Le voile, comme celui que portaient les infirmières ou les nonnes, est une très jolie coiffe, la plus jolie, même, puisqu'elle cache bien les cheveux et retombe agréablement sur la blouse. Elle est très impressionnante, pleine de sévérité et de charme pour une Maîtresse.


    Wassingue

    La wassingue, que l'on appelle aussi "pièce à frotter" ou "chiffon de parterre", est un grossier torchon utilisé pour nettoyer le carrelage.

    Le carrelage doit toujours être très propre, puisqu'il est fréquent qu'on y jette à manger pour les punies, et l'humiliation de la mangerie au sol ne doit pas s'accompagner d'un risque pour la santé. Inutile de déranger l'infirmière pour rien.

    Voilà pourquoi, dans toutes les tâches du ménage, passer la wassingue est une tâche très courante, et très courue.

    Il est évident que, pour la servante, la wassingue se passe toujours à genoux ou à quatre pattes, dans la position la plus humiliante, la plus basse, la plus rebutante, la plus salissante possible.

    Son cul est ainsi offert aux caresses et aux fessées de ses Maîtresses.


    X-cross

    La position en croix, en X, est une bonne position de saucissonnage. Ainsi, la servante est bien ouverte, bien écartelée, son entrecuisse est bien accessible, et on peut lui faire toutes sortes de pénitences ou de gentillesses. Si elle est baillonnée, c'est encore mieux.


    Yaourtière

    La yaourtière est une variation de saucissonnage. La servante est d'abord enduite de crème ou de yaourt, bien badigonnée partout. Ensuite, on la met au chaud sous une alèse de caoutchouc, en lui laissant juste de quoi respirer, comme on met au chaud le lait pour faire des yaourts.

    La crème ou le yaourt qui colle, qui commence à sentir, la chaleur, l'immobilité, font de la yaourtière une pénitence sévère.

    Une Maîtresse reste toujours à côté de la yaourtière, pour surveiller la fermentation.


    Zézette

    La zézette, on la trouve parfois où on ne l'attend pas ! ! !