Le fendu, c'est le joufflu, un beau cul bien fendu par une profonde raie culière, entre deux fesses rondes et charnues. Bref, un cul fait pour la fessée.

Nous voyons, ici, que ces joufflus sont offerts au tape-tapis à travers l'ouverture d'un sous-vêtement vieillot, le pantalon fendu. Conçu, à l'origine, pour faire ses besoins, la fente du pantalon se révèle idéale pour mettre le cul en valeur quand il s'agit de le fesser.

Une infirmière stricte, muni d'un fessoir, va chauffer ces culs qui seront bientôt aussi chaud que les buches dans la cheminée. Remarquez le fessoir, on dirait un petit tape-tapis, mais peut-être est-ce non pas un instrument ménager dont l'usage est détournée pour en faire un instrument de punition (j'adore) mais un fessoir conçu spécialement pour cet usage.

Et, pour rester sur les fendus, un joufflu que l'on voit à travers les pans du tablier. Il est bon que les pans du tablier se referment juste ce qu'il faut pour laisser entrevoir le cul, et permettre de le toucher. Là, je les trouve un peu trop ouvert, mais qui s'en plaindrait quand on voit ces belles fesses?

Quatre servantes, pas des soubrettes, non, de vraies domestiques, qui font le ménage. Bon, la robe est noire, ou est-ce plutôt une blouse? En tout cas, c'est un uniforme. LE tablier est assorti, et la coiffe aussi. Elles nettoient la cuisine, n'hésitant pas, comme il se doit, à se mettre à genoux pour bien frotter.

Bon, un d'ail ne vous a pas échappé, leur robe est ouverte sur leur poitrine nue. Et je trouve cela tout à fait charmant, pas vous?

Le ménage est fini, il est temps, maintenant, de satisfaire le maître. Les voici toutes les quatre sagement agenouillées, le masque sur le visage, et le maître va se faire sucer tout à tour par les quatre. Enfin, je pense, ou, au moins, il va tester la bouche et les qualités de chacune. Je serais fort étonné qu'il puisse éjaculer quatre fois, il va donc falloir qu'il se partage, et se fasse sucer quelques instants par les quatre? Ou bien se faire sucer par deux, pendant qu'une troisième lui léchera les couilles, et la dernière le trou du cul? Bon, pour cela, il ne pourra pas le faire debout, il faudra une position plus confortable.

Voici, en tout cas, une situation que nous sommes nombreux à envier, non?

Une version, comment dire, capitaliste du Magicien dOz. Dorothée est sur la route de pavés jaunes, mais, ici, ces pavés sont des billets de banque, et Dorothée est une dominatrice, traditionnelle avec la cravache et les menottes dans le panier, moderne avec le téléphone portable pour répondre aux clients.

Une version flagellatrice d'Alice au pays des merveilles. Alice, avec sa classique robe bleue et son tablier à bavette blanc, porte cette fois des bottines à talons, et elle tient une verge pour fouetter le lapin blanc qu'elle a attaché dans l'herbe.

J'aime les grosses fesseuses, mais je n'aime pas, mais alors pas du tout, les marques que l'on voit sur ces corps. 

 Est-ce qu'elle fesse, où est-ce qu'elle reçoit la fessée? Peut être les deux. Mais quand je dis "fessée", on voit là des marques sur tout le corps, donc c'est de la flagellation sadique, et pas mon genre.

 La aussi, je n'aime ni la canne, instrument trop dut pour moi, ni ces affreuses marques.
mais j'aime la tenue de l'infirmière, et vous aurez remarqué que la victime porte, elle aussi, des socques.

Nous changeons encore d'instrument, c'est la ceinture cette fois. Je n'aime pas plus la ceinture que les deux instruments précédents, et je fait la même remarque pour les marques.
Mais la tenue est celle d'une ménagère, robe de maison, même s'il n'y a pas vraiment de tabliers. Et, là aussi, vous remarquerez que les deux personnages portent les mêmes chaussures.

Toujours la ceinture, toujours ces socques aux pieds, et une longue blouse blanche boutonnée devant, bien stricte, et les lunettes renforcent encore cet aspect strict de la punisseuse.

Quelques photos commentées en allemand…

La blouse de la fermière, avec une "biche" à lait. J'aime bien la couleur, et la poitrine qui tend la blouse.

Vous voyez le loup, sur la photo au mur, qui hurle? Eh bien je hurle comme lui en voyant cette fille en blouse courte.

Ces deux gouines en blouses roses se tripotent avec leurs gants de ménage, j'aime bien ça.

La blouse et le martinet pour une domination lesbienne.

Quel dommage que ces tatouages gâchent la photo…

Ah, si quelqu'un connaissant l'allemand pouvait traduire en commentaire, merci.