Un bébé adulte, ou un diaper lover, et ses deux langeuses.

Tout d'abord, je signale que l'opération se fait sur une simple table recouverte de toile cirée, et j'aime beaucoup, vous le savez, les grandes et lourdes tables de cuisine recouvertes d'une nappe en toile cirée, je suis donc servi!

Passons maintenant aux langeuses, puisqu'on ne voit pas leur sujet. Une nette différence entre les deux, bien évidemment.

Celle de gauche, en robe et juste un petit tablier-taille léger, sans doute avec de la dentelle, n'est pas vraiment équipée pour ce genre de travail. Celle de droite, par contre, a tout à fait une tenue de nounou, grande blouse, tablier à bavette et même ce très joli bonnet sur les cheveux, sans compter les lunettes. Drôle de paire, non?

Celle de gauche, certainement, est la maîtresse, l'humiliatrice, la dominatrice. Celle de droite, que je soupçonne être un homme, est sa servante, la vraie langeuse, celle qui torche, qui nettoie, qui enlève les couches sales, pisseuses et merdeuses, qui les lave, sans doute, aussi. Bref, une qui commande et une qui exécute les tâches serviles.

Et j'aimerais bien jouer ce dernier rôle. Il suffit d'une maîtresse qui soit, comment dire, dégoûtée par les choses sales qu'elle imposent à sa soumise ou à son soumis, et pour laquelle je ferai tout ce qui est trop sale pour elle, être son aide, son auxiliaire, quoi…

Point de tablier, dans cette photo mais uniquement du plastique. Une matière qui n'est pas ma matière préférée, le plastique, vous savez que je suis d'abord coton, et un peu caoutchouc. Mais le plastique a ses avantages, pour certaines tenues, il est plus léger que le caoutchouc, tout aussi imperméable, il tient chaud, aussi, et fait transpirer dedans. Voici donc quelques avantages du plastique qui, en plus, quand il est transparent, laisse voir le corps de l'autre.

Et cette jeune femme est intégralement en plastique.

Tout d'abord, cette robe, enfin, je dis "robe", mais ce pourrait être, aussi, une chemise de nuit. Mais elle est assez longue pour me plaire, elle descend aux chevilles, j'aime, donc. Et elle montre les seins, sous un frisottis du plus bel aspect.

Ensuite, la charlotte, vous appellerez ceci une charlotte, ou un bonnet, comme vous voulez, je l'aime beaucoup. Mais à quoi sert-elle, puisque les cheveux débordent? Une charlotte est faite pour protéger les cheveux, et si ceux-ci sont longs, il faut les rassembler en chignon sour la charlotte, ce qui n'est pas le cas ici.

Enfin, la culotte. Vous ne la trouvez pas trop grande, cette culotte, par rapport à la femme? Alors, deux possibilités. Ou bien elle est destinée à quelqu'un d'autre, un gros bébé adulte, de l'un ou l'autre sexe, d'ailleurs. Ou bien elle est destinée à la femme blonde de la photo, et, alors, elle est prévue pour être abondamment garnie de langes de tissu, qui vont lui faire un cul énorme, et dans lesquels elle pourra pisser et transpirer tout à sa guise.

Et voici, toujours sans tablier, une autre version en latex.

Déjà, le bonnet couvre tous les cheveux, et les nichons sont bien lourds sour le latex transparent. Un autre genre…

D'un grand classicisme, cette photo.

Le fessifié, d'abord. Il est penché sur un banc de fessée, on voit le bois et le cuir. Est-il attaché? Nous ne le saurons pas avec certitude, le cadrage de la photo ne le montre pas. Mais, comme on voit, sur son vêtement retroussé, ce qui ressemble plus à une sangle qu'à une ceinture, il est probable, oui, que cette sangle le plaque contre le chevalet. Et donc, sans doute, il a aussi, au moins, les chevilles attachées, pour ne pas battre des jambes, et, peut-être aussi, les poignets.

Le fessoir, ensuite. Un strap de cuir, longue, large et lourde lanière, épaisse, aussi. Elle est percée de 10 ou 12 trous, je pense que ces trous sont là pour rendre la fessée plus cuisante, mais il faudra que quelqu'un de plus connaisseur que moi nous explique pourquoi les trous font plus mal. Pour une bonne prise en main, le strap à une longue poignée, plus plate que ronde, d'ailleurs, sans doute dans le même cuir que la lanière. On voit, sur les fesses, les marques larges que laisse ce redoutable fessoir.

La fesseuse, enfin. Comme je les aime, en tablier. Une tenue de servante victorienne, robe noire, poignets et col blancs. Et, sur cette robe, le grand tablier à bavette, long aux chevilles, certainement, couvrant jusqu'au côté de chaque cuisse, avec la large bavette et les bretelles, dont on ne sait pas si elles sont droites ou croisées.
On le voit, la fesseuse s'applique, et l'expression de son visage montre, même, un certain plaisir à faire ce qu'elle fait.

Certes, la qualité n'est pas bonne, mais ces dessins ont un charme fou.

La fessée et le lavement, et même la fessée pendant le lavement. Et, on le voit bien, la canule est dans le trou du cul, le sac à lavement est pendu, et donc, le lavement passe dans les boyaux de la punie pendant qu'elle reçoit cette bonne fessée à la brosse.
Nous sommes dans la chambre, donc, il n'est pas prévu que le lavement soit relâché de si tôt. En tout cas, la fesseuse est en tablier, pour le cas où il y aurait des fuites pendant la fessée. Fuite du lavement, certes, mais aussi, peut-être, irrépressible pipi ou alors, abondance de mouille.

Une scène de lavement plus, comment dire, plus "jolie". Rien de punitif là-dedans, non. C'est pour son plaisir que la maîtresse se fait lavementer par ses deux domestiques, ses deux soubrettes, ses deux femmes de chambre. Une est juste là pour trousser la chemise de la dame sur ses fesses rondes. L'autre porte le clystère et, comme il est enveloppé, il doit être, sans doute, chaud ou tiède, en tout cas, juste à la température qui fera du bien.
Et ensuite? Lui faudra-t-il une fessée en complément? Ou juste se faire gougnotter par une de ses domestiques? 

Ce dessin est célèbre et, là, on voit bien que la lavement est punitif et évacuateur. Nous sommes dans une pièce aménagée à cet effet, avec la table, recouverte d'une alèse, et la cuvette des toilettes à côté.
La canule dans le cul et, au bout, un entonnoir, dans lequel la lavementeuse verse sa préparation. Comme le volume n'est pas bien grand, je pense que c'est la nature de la préparation qui est laxative ou punitive. Et nous voyons, posé à côté de la punie, un petit plug gonflable qui, une fois le lavement versé, servira à boucher le cul de la punie, jusqu'à ce qu'elle soit autorisée à s'asseoir sur la cuvette et à se vider.

Nous sommes, sans doute, dans la même pièce que ci-dessus, mais la scène est différente.
La lavementeuse est plus jolie, moins stricte, moins revêche, son tablier, même est plus coquet. Et comme le lavement est dans un sac de volume moyen, sans doute il n'y a pas de préparation particulière.
Il y a presque, dans cette scène, de la tendresse qui est absente de la précédente.