Un dessin naïf, mais qui donne une furieuse envie d'être à la place de la victime.

Je ne vois pas si la fesseuse porte un tablier ou non, je remarque juste, chose curieuse, que son pied gauche est nu, et pourtant, elle ne fesse pas à la pantoufle, mais à la main. En tout cas, cette fessée est rigoureuse, le cul est bien écarlate, les joues sont rouges, et les pleurs sont là. Nous sommes d'accord, une bonne fessée doit faire pleurer, sinon, à quoi bon?

La deuxième femme, elle, porte un tablier à bavette, et c'est ce qui a attiré mon regard. Elle se contente de jouir du spectacle de la fessée que reçoit la victime? Oui, mais, aussi, elle attend son tour… Et son tour, à elles, se sont les verges qu'elle tient dans sa main gauche. Je pense que, une fois le cul convenablement chauffé à la main, il va être fini avec les verges, et là, après les pleurs, ce seront les gémissements, les cris, les implorations.

Bref, pour résumer, une fessée à deux, et en deux parties, dans un contexte maternel, avunculaire, domestique, que j'apprécie en tant que victime. Est-ce la mère et la tante? La mère et la domestique? Les deux me vont bien, je l'avoue.

Elle est charmante, tout simplement, chez elle, dans sa blouse rose, les nichons nus dessous, les mains dans les poches.

La blouse légèrement retroussée sur les cuisses, pour nous exciter, si tant est qu'il en est besoin, en vérité, la simple vue de cette blouse suffit à m'exciter, moi. Et vous?

Une autre blouse, et un lieu plus agréable pour moi, la cuisine. Je note, aussi, les sandales qui laissent voir les orteils, n'avez vous pas envie de vous prosterner devant elle pour les embrasser un à un? 

 La blouse ouverte, elle est ravissante. J'aime deviner la moule rasée, et j'aime ces vergetures sur son ventre. 

 En blouse blanche, cette fois, pour varier les plaisirs. Cette fille est vraiment adorable.

L'esclave de la domestique, le titre du dessin est facile à traduire.

Un de mes fantasmes, un de mes jeux de rôle préféré, et je ne suis pas le seul à avoir ces goûts.

La domestique, que, normalement, je commande, qui, normalement, me sert, eh bien, nous avons inversé les rôles. Est-ce elle qui a pris le dessus? Est-ce moi qui volontairement me suis  rabaissé et humilié? Peu importe. Je suis maintenant au deuxième dessous, je suis la domestique de la domestique. Au lieu de travailler, elle se repose (et on pourrait dire, même, avec ce dessin, qu'elle se repose sur moi). Et je fais son travail, bien sûr. Sauf que, vicieuse et perverse, elle m'impose des conditions de travail dures et humiliantes, constamment à genoux, ou à quatre pattes, ou, à tout le moins, entravé.

Et, bien sûr, en tenue de domestique. Dommage que là il s'agisse d'une tenue de soubrette en noir et blanc, je préfèrerais la blouse de femme de ménage et, par dessus, la chasuble ou le grand tablier à bavette, au lieu des escarpins, les mules, au lieu de la petite coiffe, le torchon noué.

Et qu'est-ce qui m'attend quand j'aurais nettoyé le sol? Elle a dans la main gauche la télécommande de la télévision, dans la main droite une brosse, je pense qu'elle va me fesser en regardant un film cochon.

Les mains sur les hanche, attitude dominatrice et joyeuse, maternelle et domestique, une position que j'adore.

Cette belle grosse femme est très excitante, avec ses chairs molles et débordantes, sa poitrine tombante, son ventre rebondi, qu'on devine marqué par des vergetures.

Je n'aime ni les bas ni les sous-vêtements, mais je fais une exception pour ce combiné blanc, pas assez serré pour changer la ligne de son corps. Au contraire, il montre bien que les chairs sont celles d'une femme mûre. Sur son combiné, je pense que c'est une blouse blanche qu'elle enfile, et, en train de s'habiller, elle met le poing sur la hanche. Et le poing droit doit faire pareil.

"Je suis belle, je suis grosse, je suis mûre, je m'aime comme ça", semble-t-elle dire. Et "Attends que je finisse de m'habiller, et je vais te faire voir de quoi je suis capable pour dominer les faibles hommes dans ton genre!".

Pas de poings fermés, mais les mains ouvertes sur ses hanches rondes. Un chemisier, une jupe et, puisqu'elle est dans sa cuisine, un tablier à bavette rose.

Le visage rond, les lunettes, le double menton, c'est une mamie, c'est une tante qui, fièrement campée dans sa cuisine, attend le jeune homme qui a mérité une bonne fessée. Elle s'assiéra, le couchera en travers de ses genoux, déculotté, la saucisse dans le tablier. Et, claque après claque, une main le tenant, l'autre le fessant, elle rendra ses fesses aussi roses que son tablier.

Ah, quel joli dessin.

Certes, la cravate du jeune homme est superflue, mais le reste… Le pantalon baisse sur les mollets, obligé de se branler jusqu'à gicler, en tétant la femme devant lui. Et quelle femme… Pas jeune, pas mûre, entre les deux, une poitrine un peu lourde, un nichon dehors, dans sa cuisine, pantoufles aux pieds, tabliers-taille, cuillère en bois à la main.

Cette scène raconte une histoire, oui, mais laquelle?

Le jeune homme surpris à regarder des photos cochonnes avec des scènes de tétées? Et qui a le droit de faire pareil, à condition de se branler et de jouir pendant ce temps? Et, autre condition, il devra recevoir, après avoir joui, une bonne fessée à la cuillère en bois, couché dans le tablier de sa nourrice?

J'aime bien imaginer cette histoire, oui, mais, bien sûr, j'aurais choisi une position plus confortable pour le masturbateur et la nourrice, assis par terre, par exemple. Et, bien sûr, l'homme nu, ou alors en tenue ridiculisante…

Mais c'est déjà une belle histoire ainsi illustrée, non?