• Texte et dessin de Ramina, que je remercie.


     2   Les fessées de Clodinet - par Tante Gladys et Bettina

     

    Et bien je ne suis pas mécontente de moi, je remplis consciencieusement la mission que Mad m’a confiée. Quel bonheur de me donner carte blanche (rouge je devrais dire)  pour m’occuper des fesses de son Clodinet pendant la durée de ses empêchements.

    J'ai encore bien manœuvré pour justifier une nouvelle correction, au prétexte, abusif, certes mais tous les moyen sont bons pour se faire plaisir, au prétexte, disais-je, de montrer à ma nouvelle soubrette un échantillon du genre de fessée musclée dont mon neveu a besoin. La nature l’a doté d’un solide fessier auquel il ne suffit pas d’en promettre, il faut  lui en mettre et souvent! Vu les dispositions et l’enthousiasme que Bettina manifeste pour administrer les fessées, je ne suis pas certaine que ce genre de démonstration soit vraiment nécessaire pour elle. Mais vous connaissez mon tempérament autoritaire et mon goût pour une discipline strict, sans aucune concession. J’ai pour règle de conduite de ne jamais rater l’occasion de flanquer une bonne déculottée. C’est mon activité favorite. Que je pratique assidûment lorsque j’ai une belle paire de fesses bien ferme à disposition sous le main. A fortiori quand il s’agit de claquer l’imposant derrière de mon neveu.  Je dois avouer que ne m’en lasse pas et j’en profite donc un maximum, quitte à avoir, parfois, un peu mal au poignet en fin de soirée. Mais c’est tellement agréable de sentir dans sa main la chaleur intense d’un fessier qu’on vient de claquer, après l’avoir corrigé plusieurs fois dans la journée. C’est que du bonheur, à en tremper son a petit slip de nylon!

    Je dois vous dire que la présence de Bettina dans la maison est une réussite dont je m’honore. Ce que c’est que l’intuition féminine au service de la discipline domestique. J’ai eu du flair, Bettina se révèle une dominatrice hors pair dotée d’une impressionnante force de frappe qui devrait faire merveille sur les grosses fesses de mon Clodinet.  Elle est rayonnante d’autorité et fait preuve d’une impitoyable sévérité dans la rigoureuse application de mes méthodes d’éducation et de dressage. Elle les prend en charge avec un plaisir non dissimulé. Un bijou! Son imposant physique rendu plus impressionnant du haut de ses quinze centimètres de talons aiguille, comme le reste de ses provocantes tenues,  jupe ultra courte jusqu’au dessus des jarretelles, bas nylon à couture, et petit tablier blanc à dentelles, font un effet très stimulant sur la libido de Clodinet.  Excité comme une puce sous la cuisson des fessées, au point de ne pouvoir maîtriser sa raideur avec les accidents de projection incontrôlable que cela entraîne. L'inconscient !!  D’ailleurs j’ai bien l’intention de calmer les ardeurs éjaculatoires de son insolent organe sous la magistrale déculottée que je lui prépare. Un vrai taureau en rut, qui vous lessive une paire de bas pratiquement à chaque fessée

    Mais revenons à mon impétueuse Bettina, qui se vante sans complexe et à qui veut l’entendre, d’être adepte inconditionnelle de la fessée comme méthode de punition idéale. Tout comme moi, ça ne peut pas mieux tomber! Et c’est qu’elle fesse bien, la bougresse! Fort et longtemps avec une puissance de feu en parfaite conformité avec mes exigences en matière de discipline. Car nous avons, cela en commun, d’ignorer ce que c’est qu’une petite fessée. Pour des raisons évidentes d’efficacité, je considère qu’il est nécessaire d’en adapter l’intensité, et la durée, au format de la paire de fesses qu’on corrige. C’est, pour moi, une façon naturelle de leur rendre hommage. Grosses fesses, grosse fessée!

    Cette concordance de point de vue sur l’exercice de la discipline, est la raison principale pour laquelle j’ai pris Bettina à mon service. Car il ne s’agit évidemment pas que des tâches ménagères. Il y a, aussi, l’entretien des solides derrières des hommes de la maison. Edouard, mon mari, mon  fils Robin, et quand elle en a envie, celui aussi de Patricia qui aime se faire claquer une bonne déculottée aux fesses, de temps en temps…

    Elle a bien raison, ça la fait jouir à chaque fois, et elle au moins, bien élevée à la fessée par sa mère qui lui a montré l’exemple, n’inonde que sa petite culotte...

    Toujours est il que c’était, pour Bettina, une offre d’emploi plutôt originale et excitante, vous ne trouvez pas? A ma grande satisfaction, elle n’a pas hésité un instant. Et en plus, elle a un petit côté vicieux pour pimenter les séances de corrections, que j’adore. Elle prend plaisir à accentuer l’impact avilissant des fessées en les administrant dans les positions les plus humiliantes possible. Et je peux vous dire qu’elle fait preuve de beaucoup d’imagination dans ce domaine...

    Mais je vous en parlerai plus en détail la prochaine fois. Je ne voudrais pas faire attendre trop longtemps mon Clodinet dont les fesses requièrent une solide préparation, avant de les confier à la cuisante force de frappe de Bettina. Je me réjouis déjà d’entendre sa large main ferme claquer avec détermination sur ses fesses déculottées. Je suis certaine que ça va lui faire le plus grand bien, de sentir une autre paume que la mienne lui chauffer le derrière. 

    C’est qu’à force de se prendre fessées sur fessées, il finirait bien par s’habituer à mon, pourtant vigoureux, coup de poignet... le grand galopin!

     

     A très bientôt mes chéris… Et gare à vos fesses, une déculottée est vite arrivée !

    Tante Gladys

     

     

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