• Un texte de mon ami Paul, que je remercie.


    Le couvent des Tantines 

     

    L'orage

    Il faisait un orage terrible et les flics n'avaient rien trouvé de mieux que de me dévier sur les routes de campagne car la route principale était inondée. Bon ce qui devait arriver arriva avec autant de flotte, mon moteur cale et me voilà coincé en pleine campagne, les relais téléphoniques ont aussi aussi disjonctés, je regarde le GPS, il y a une grosse bâtisse à quelques kilomètres, mais il pleut encore trop pour me risquer en dehors de la voiture, je décide donc de faire un petit somme. N’y arrivant pas, vu le bruit des gouttes sur le toit la voiture, je décide quand même de braver les éléments déchaînés, le problème est que je suis en chemise et veston d’été, je cours pour arriver complètement détrempé à la grosse bâtisse.

    Je sonne et ce que je prend d’abord pour une religieuse vient m’ouvrir et me dit d‘attendre dans le hall, je m’aperçois à sa voix que c’est un homme travesti en bonne sœur, j’ai presque envie de partir, mais où aller, il pleut des cordes et il n’y a rien d’autre comme habitation à des lieues à la ronde. Mon hôte s’éclipse et revient au bout de quelques minutes les bras chargés de serviette et un sac contenant mes futurs habits.
    – «Allez déshabillez-vous et séchez-vous avec ces serviettes», me dit-elle, «je vous préviens tout de suite que nous n’avons que des habits féminins ici, c’est un couvent fétichiste qui ne recueille que des initiés, si vous avez des préjugés, il est encore temps de partir.»

    Je m’exécute et me déshabille devant la sœur.
    – «Allez, complètement à poil», me dit cette dernière, voyant mes réticences à enlever mes sous-vêtements et me montrer nu comme un ver devant elle. «Regardez-moi cela, vous êtes trempé jusqu’aux os.»

    Trouvant que je me mettais pas assez de vigueur à m’essuyer, elle mis la main à la pâte:
    – «Bon maintenant habillez-vous!»

    D’abord le slip de femme blanc en gros coton ancien, ensuite la grande chemise blanche, tout aussi en coton ancien, la robe de bure de coton bleu épais, le scapulaire tout aussi bleu en coton, elle m’enfile ensuite le bonnet blanc de coton avec guimpe attenante et me noue les liens derrière ma nuque, elle m’enfile ensuite la longue blouse de coton bleu et me la boutonne dans le dos, vient ensuite le grand tablier de coton blanc, enveloppant, dont elle me serre les liens à m’en couper le respiration et fini ensuite par le grand voile de coton bleu qu’elle me scratche sur le bonnet.
    – «Vous voilà prêt pour nous servir de bonne», me dit-elle, «il faut bien que vous payez votre séjour.»

    Je ne savais pas encore que j'allais devenir leur Marie Madeleine…

     

    Première soirée

    Elle me fait ressuyer, toute l’eau qui était tombée quand je me suis présenté devant elle et qui a aussi coulé de mes vêtements, après que je les ai mis dans le sac qu’elle avait amené avec les serviettes mouillées, elles aussi, nous déposons cela à la buanderie avant qu’elle ne m’emmène dans le bureau de la mère supérieure.
    Je dois faire le génuflexion devant cette dernière avant de m’asseoir à son invitation, la sœur qui m’avait accueilli repart vers sa vigie et je me retrouve tête à tête avec la mère supérieure qui est aussi un travesti. Cette dernière m’explique que ce couvent est un refuge pour les travestis, mais que manquant de moyens, pour m’héberger, je devais mettre, moi aussi la main à la pâte, je serais donc Marie-Madeleine, c’est à dire bonne de couvent pendant tout mon séjour, je devrais donc m’acquitter de toutes les corvées, la dernière arrivée devant effectuer ces tâches.
    – «Je demanderais demain, quand le téléphone refonctionnera, à notre garagiste attitré de venir chercher votre voiture pour la dépanner, vous devrez porter un prénom féminin, je vous baptise donc Marie, pour l’occasion, je vais demander à sœur Gertrude de vous servir de surveillante, elle est bien charpentée et méfiez-vos elle a des mains comme des battoirs et pourra vous corriger car elle manie aussi bien le martinet qu’elle porte toujours à la ceinture pour accompagner les novices.»

    Elle appelle ensuite cette sœur Gertrude chargée de me servir de chaperon par le téléphone filaire intérieur qui est encore le seul à fonctionner, quelques minutes plus tard, une armoire à glace arrive habillée en bonne sœur. Elle m’amène des socques pour ne pas que je reste pieds nus et je commence mon service.

    La vaisselle de la journée n’étant pas faite, je dois m’y atteler, sœur Gertrude me lie un grand tablier de caoutchouc par dessus mon tablier de coton et j’enfile des gants de caoutchouc eux aussi pour me mettre à la plonge. Elle me rabroue souvent parce que je ne fais pas la vaisselle comme elle le veut. Une fois cela fini, elle me mit à plat ventre sur la table et releva mes robes pour me donner une dizaine de coups de martinet pour me punir de mes maladresses. Alors, seulement je pus aller me coucher dans ma cellule après avoir fait le lit avec de gros draps de coton ainsi que la chemise de nuit, elle aussi en gros coton épais.

     

    Deuxième journée

    Le lendemain matin, réveil à 6h00 du matin, après être passé par les douches et m’être habillé, je prépare le petit déjeuner des sœurs. Ma sœur surveillante a décidé de porter un grand tablier coton bleu à bavette doublé d’une induction, comme cela me dit-elle, elle pourra me fesser en travers de ses genoux. Entre temps, le petit déjeuner est prêt et je peux servir les sœurs à partir de 7h00.

    Je débarrasse les tables ensuite après avoir revêtu mon tablier de caoutchouc et mes gants latex pour effectuer la vaisselle. Ensuite, nous pouvons enfin prendre ensemble notre petit déjeuner dans la cuisine, toujours avec mon tablier de caoutchouc et je remets ensuite mes gants latex pour faire notre petite vaisselle. Je ramasse, ensuite, le linge que les sœurs ont déposé devant la porte leurs cellules et j'amène tout cela à la buanderie pour le mettre en machine. Pendant que cette dernière tourne, je décroche le linge sec de la veille et le repasse, ma surveillante me fait mettre à plat ventre sur la table à repasser pour me donner des coups de martinet qu’elle porte en permanence à la ceinture parce qu’elle est très insatisfaite de mon travail. Il faut dire que je n’ai jamais repassé, donc, je ne suis pas très doué.

    Une fois le repassage fini, c’est vidage de la machine à laver et accrochage du linge mouillé avant d’aller laver à quatre pattes le carrelage, avec d’autres gants latex réservés à cet effet, cette fois-ci ma sœur surveillante s’assoit et me met en travers de ses genoux pour me fesser car là, non, plus, je ne suis pas trop doué. Elle m’enfile ensuite, un plug anal et me met une protection dans mon slip de femme:
    – «Comme cela», me dit-elle, «tu ne perdras pas de temps à aller aux WC.»

    Le temps passe vite et il est grand temps d’aller en cuisine préparer le déjeuner des sœurs, je vais me changer dans ma cellule parce que je suis sale et trempée, hygiène oblige. Je prends bien soin de remettre la protection à l’intérieur de mon nouveau slip pour ne pas me prendre à nouveau une correction, une fois propre, et après inspection de ma tenue par ma sœur surveillante, y compris dans les endroits intimes pour voir si je ne m’étais pas débarrassé de ce qu’elle venait de me mettre.

    Je pars en sa compagnie en cuisine où j’épluche les légumes à la main, les cuit sous les ordres de cette sœur surveillante qui fait mettre souvent à plat ventre sur la table en relevant mes robes, pour me donner des coups de martinet, parce que là non plus, je ne suis vraiment pas doué. Le repas est enfin prêt, non sans mal et je peux servir les sœurs à midi. Le même rituel se déroule, je mets mon tablier caoutchouc, mes gants latex pour ramasser la vaisselle sale laissée sur les tables et je fais la plonge à la main entrecoupée des coups de martinet que me donne ma sœur surveillante robes relevées et mise à plat ventre sur la table de cuisine.

    Nous mangeons ensuite en tête à tête dans la cuisine où je ne suis pas autorisé à retirer mon tablier caoutchouc, uniquement mes gants latex pour les remettre ensuite pour effectuer notre petite vaisselle.

    L’après-midi se passe à quatre pattes en ce qui me concerne pour continuer à laver le carrelage sous les coups de martinet de ma surveillante qui me relève mes robes pour me les donner alors que je suis toujours à quatre pattes en plein travail. Il est maintenant temps que j’aille me changer pour aller en cuisine pour préparer le dernier repas de la journée. Inspection générale avant par la sœur surveillante qui me resserre, un coup les liens du bonnet, un autre les liens du tablier et qui vérifie que tout est en place dans et sur mes endroits intimes, je suis prêt pour préparer le repas du soir. 

    Le même rituel se déroule qu’à midi, après avoir préparé le repas du soir, je sers les sœurs. Á ce propos, elles sont habillées diversement, certaines tout en latex, d’autres en nylon, d’autres en PVC et enfin, d’autres tout en coton comme moi. J’enfile ensuite mon tablier de caoutchouc ainsi que mes gants latex pour débarrasser les tables à la fin du repas et faire la vaisselle de tout cela. Après avoir enlevé mes gants latex, nous mangeons en tête à tête avec ma surveillante et je remets ensuite mes gants pour faire notre petite vaisselle, elle en profite à la fin pour me faire mettre à plat ventre sur la table et je relève mes robes pour qu’elle m’assène les coups de martinet qui clôturerons cette journée, pour me punir, dit-elle de toutes les fautes et maladresses que j’ai pu commettre, mais je pense aussi que c’est pour son plaisir personnel.

    Nous partons ensuite, non, vers nos cellules respectives, comme je le pensais au départ, mais vers le bureau de la supérieure, ma surveillante frappe à la porte et ouvre dès qu’elle en a l’autorisation, me fait entrer, mais me laisse seul avec la supérieure en refermant la porte derrière moi. Cette dernière ne fait agenouiller devant elle en me disant:
    – «Je suis contente de votre travail et pour vous remercier, je vais vous autoriser à me faire une fellation.»

    Elle joint ensuite le geste à la parole en relevant ses robes et en baissant son slip, me présentant son membre bien raidi. Je n’ai jamais fait, non, en plus j’espère que je ne vais pas vomir, c’est vrai que c’est un de mes fantasmes, mais, delà à passer de la parole aux actes. Elle décalotte son gland et me le présente, j’ouvre ma bouche pour l’enfourner, ce n’est pas aussi rebutant que je le pensais au départ et je m’applique à faire, comme je l’ai vu faire par des femmes dans les films pornos. Elle s’est parfumée, en plus, ce qui rend la chose aussi agréable, au bout de quelques minutes, elle éjacule dans ma bouche en me disant:
    – «Avale, je ne veux pas que la moquette de mon bureau soit tachée, sinon, tu te débrouilleras pour nettoyer. Voilà, maintenant, tu peux aller coucher, j’espère que ça t’a plu, pour moi, c’était impeccable, tu est une bonne suceuse.»

     

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    Je publie cette première partie pour que vous demandiez à l'auteur d'écrire la suite.

     


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