• Toujours la poésie de notre noble emblouseur, Léo de Blunnoys


    À l’école privée, il fallait, c’est notoire,
    Revêtir une blouse (alors obligatoire !)
    Ainsi donc, chaque jour que Dieu fait, sacrebleu !
    Nous portions l’uniforme en nylon rose ou bleu.
    Alors, de la rentrée à la fin de l’année,
    La blouse n’était pas à l’oubli condamnée.
    Et ma mère exigeait, mais elle avait raison,
    Que la blouse fût mise encore à la maison,
    Tous le temps et devînt, désormais, ma tenue.

    + + + + + + + + + +

    Je me suis mariée. Eh bien ! Je continue
    A porter, quelquefois avec un tablier,
    Une blouse en nylon ; je ne peux l’oublier,
    Oui, même à cinquante ans (j’ose avouer mon âge).
    J’entends des compliments de tout mon entourage
    Sur mes blouses ; c’est bien pour les activités
    De maison. Avons-nous des gens, des invités ;
    Je garde constamment ma blouse en leur présence :
    Cela n’empêche pas d’avoir beaucoup d’aisance.

    19 janvier 2006


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  • "A la blouse de Nylon" a été le premier site Internet consacré à notre fétichisme, et nous lui devons, tous, énormément.

    De peur qu'il ne disparaisse, et pour lui rendre hommage, je vous livre un texte que vous pouvez toujours consulter sur le site d'origine : www.freewebtown.com/blousenylon/livredor.html

    Ce texte raconte la découverte du site par Eric, je lui laisse la parole:

    C’est avec une joie profonde et une grande émotion que j’ai découvert ce magnifique site il y a quelques semaines. Je dois le reconnaître la surprise a été de taille.

    En effet, depuis l’enfance je fantasme au sujet de la blouse féminine. Ainsi donc en tapant à tout hasard le mot "blouse" sur un moteur de recherche, pensant trouver des sites de vêtements pro j’ai eu la merveilleuse surprise de découvrir un site sur lequel je ne me lasse plus de surfer tant il est riche en témoignages et en photos.

    Ma première réaction après l’agréable surprise a été de constater que je n’étais pas seul à nourrir un tel fantasme. En effet s’il est clair que de nombreux hommes possèdent le fantasme classique de "l’infirmière toute nue sous sa blouse", le site va bien au delà et présente les multiples facettes d’un fantasme profond et fascinant ; ou plutôt d’un ensemble de fantasmes.

    La blouse est pour moi l’objet d’une réelle vénération. La blouse est pour moi un vêtement qui confère de l’autorité à la femme qui le porte. Il s’agit à mes yeux d’un uniforme que je place au même niveau qu’une robe de magistrat ou qu’un uniforme de police ou autre (ces derniers ne me font pas fantasmer, seule la blouse a ce privilège).

    Je pense que cela date de l’école.

    En effet, j’ai eu la chance d’avoir des institutrices qui enseignaient vêtues de blouses. Les blouses en question (en nylon parfois, mais le plus souvent en coton) étaient toujours propres et bien repassées, il s’agissait de blouses classiques unies, parfois à rayures et éventuellement à carreaux, mais sans fleurs ou autres choses du genre. Les maîtresses portaient leurs blouses comme de véritables uniformes de travail. Ainsi, bien que l’usage premier de la blouse fût la protection face aux poussières de craie notamment, les maîtresses portaient en permanence la blouse y compris lors de promenades. La blouse était donc bel et bien un uniforme qui conférait de l’autorité, et non un simple vêtement de protection. La blouse était en quelque sorte un pointeur qui avait la fonction de " montrer " quelle était la personne qui détenait le savoir, quelle était la personne qui avait autorité sur les autres. (Cet aspect n’est pas sans rappeler les druides de jadis et leur uniformes blancs).
    Les élèves étaient quant à eux vêtus de tabliers d’écoliers. Je fais volontairement une distinction entre le tablier des élèves et la blouse des maîtresses. La blouse confère de l’autorité, le tablier implique l’obéissance.

    Au collège, seules les enseignantes de sciences portaient la blouse, en effet le port de la blouse était obligatoire dans les laboratoires et pour les expériences. Il s’agissait là de blouses blanches en coton et à manches longues. Néanmoins je trouve que là aussi il s’agissait chez certaines d’un uniforme leurs conférant la même autorité qu’aux maîtresses que j’avais eu plus tôt. En effet, certaines portaient la blouse en permanence dans l’enceinte du collège, y compris pendant des séances de cours ne comportant pas la moindre expérience, voire parfois en salle des professeurs. Certaines même arrivaient "emblousées " au collège, la blouse dépassant légèrement de sous leurs manteaux ou imperméables.
    Ceci permet d’expliquer une partie de ma vénération pour la blouse féminine. La blouse représente donc pour moi un vêtement de domination. Loin d’avilir ou d’humilier celle qui la porte, loin de la soumettre ou de la rabaisser, la blouse la grandit, la blouse lui donne une nouvelle dimension.

    La blouse est donc dans mon fantasme un uniforme qui donne de l’autorité. Nous pouvons regarder quelques cas particuliers du port de la blouse.

    Les infirmières (ou les pharmaciennes) dans leurs blouses blanches traditionnelles (qui hélas perdent du terrain face aux nouveaux uniformes constitués de pantalon et de chasubles) ont de l’autorité sur les malades et les visiteurs, elles sont questionnées par tous, de nombreux renseignements leurs sont demandés car elles détiennent une partie du savoir.

    Les femmes au foyer qui portent la blouse (même si hélas elles sont de moins en moins nombreuses) sont ce que l’on appelle les " maîtresses de maisons ". Je rejoins ici totalement une autre personne dont j’ai lu avec plaisir le texte sur le site. Je dois reconnaître que la "bourgeoise en blouse" m’impressionne. Chaque fois que je croise ou rencontre une maîtresse de maison en blouse, je suis subjugué et je ressens un profond respect qui pourrait aller jusqu’à une soumission totale face à la femme en blouse en question.

    Les caissières de supermarchés, qui parfois travaillent en blouse (malheureusement pas assez souvent, le bon temps est loin hélas), sont des femmes pourvues d’autorité, en effet, c’est à elles et à leurs blouses que nous donnons notre argent.

    Les employées des Prisunics il y a quelques années portaient de charmantes blouses orange en nylon, c’est vers elles que tous les clients se déplaçaient pour demander des renseignements, la blouse là aussi montrait qui avait la connaissance, et par la même une certaine autorité. Dans ce cas précis, on pouvait voir des gens de conditions sociales parfois élevées (ou du moins se considérant comme tels) se déplacer vers la femme en question et sa blouse où se trouvait la connaissance. La blouse transformait donc une simple citoyenne en une personne supérieure dotée d’un savoir recherché, qu’elle dispensait aux autres. Dans ce cas aussi la blouse n’a rien de rabaissant ni d’humiliant ; bien au contraire.

    Venons en maintenant aux ouvrières et aux femmes de ménage. Comment considérer la blouse dans leur cas ? Le port obligatoire de la blouse doit-il être considéré comme une humiliation ?

    La blouse n’a rien d’avilissant, rien de ringard ; bien au contraire. Qui osera dire qu’il y a une quelconque honte a exercer un métier ? Certainement pas moi !


    Voici donc quelques réflexions personnelles et qui n’engagent que moi sur la blouse. Ce témoignage est bien entendu sans prétention, néanmoins il est sincère et chacun en tirera ce qu’il croit bon d’en retirer.
    A bientôt dans le monde merveilleux et fascinant de la blouse.

    Eric (23 Fév. 2001)


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  • J'ai tant de photos de Sandrine que ce serait dommage de ne pas vous en faire profiter.

    La voici donc de dos, dans cette blouse, qui est à mon avis, plutôt, une chasuble, puisqu'il n'y a aucune emmanchure. Elle se boutonne légèrement dans le dos, et nous montre par son ouverture le délicieux cul de Sandrine.

    Merci Sandrine, pour tout le plaisir que tu nous fais partager en te montrant.

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  • Un récit où une baby sitter pour bébés adultes porte des tabliers.
    Le récit état sur le site:
    site.voila.fr/achacunsavie/mapageweb/les_couches_au_quotidien/isabelle_baby_sitter/isabellebabysitter.html
    qui a disparu depuis.



    Mon histoire commence il y a quelques mois. Etant à la fac et dotée de parents pas spécialement fortunés, je galérais comme toute étudiante pour arrondir mes fins de mois. Je faisais du baby-sitting, un peu de sondages à l’occasion, mais rien de bien rémunérateur. Comme je m’en ouvrais à l’une de mes copines, elle m’avoua avoir trouvé un moyen de se faire un peu d’argent sans trop d’efforts.

    Je m’en vais à Toulouse à la fin de l’année, me dit-elle. Si tu veux, je te refile le plan. Tu te fais 500 francs par soirée ou 1000 francs par samedi ou dimanche, et en pour cela, tu n’as pas à te déshabiller.

    J’étais bien sûr très intéressée à l’idée de pouvoir gagner jusqu’à 2000F par week-end, c’était ce que j’arrivais à gagner en un mois, en période faste ! Je demandais un peu plus d’explications.

    -Tu verras, ca ne te changeras pas beaucoup du baby-sitting habituel, les bébés sont justes un peu plus gros, me répondit ma copine en riant. Tu n’as qu’à venir avec moi dimanche, c’est mon dernier jour. Je t’expliquerais comment ca se passe. Tu ne seras pas payée la première fois, mais si ca te plaît, tu prendras ma place.

    Caro ne voulu pas m’en dire plus, et rendez-vous fut pris pour le dimanche matin à 8h30. J’étais un peu intriguée mais pas plus que cela et le reste de la semaine, je ne n’y pensais plus.

    Le dimanche matin, fraîche et dispos, car couchée tôt exceptionnellement, je me rendis à l’adresse indiquée par Caro. C’était une maison bourgeoise en banlieue de notre ville de province, sans caractère particulier. Ce fut ma copine qui répondit à l’Interphone et actionna l’interrupteur de la barrière électrique. Elle m’attendait sur le perron, tout sourire. Elle était habillée en puéricultrice avec une blouse rose à fines rayures roses et blanches, une coiffe blanche et un tablier de coton qui lui ceignait entièrement la taille et dont la bavette était épinglée à la blouse par deux épingles à nourrice dorées. Jambes nues, elle portait des sabots blancs aux pieds.

    -Entre vite, me dit-elle, je vais attraper la mort, si je reste dehors. Et surtout, ne fais pas de bruit, les petits dorment encore.

    Je la suivis à l’intérieur, cette fois-ci vraiment intriguée. Caro me fit monter directement à l’étage jusqu’à une petite chambre.

    -C’est ma chambre, quand je viens ici, m’expliqua t’elle, je vais te donner un uniforme et en même temps je vais te dire de quoi il s’agit. Il faut que tu soit une nurse impeccable, ils sont très exigeants là-dessus.

    Elle s’exécuta et me sortit une blouse identique à la sienne, à la différence qu’elle était bleu ciel et blanc et un tablier de coton à brettelles croisées au dos. Je commençais à me déshabiller.

    -Le travail est tout simple, me dit-elle. C’est juste du baby-sitting. Tu as suivant les jours de deux à cinq bébés à t’occuper. C’est comme d’habitude, tu dois t’assurer qu’ils n’ont pas faim, qu’ils sont secs et les coucher quand ils en ont besoin. Pour le reste, tu vas voir, ils sont adorables. Ils jouent ou ils regardent des dessins animés.

    Elle semblait brusquement gênée et cherchais visiblement ses mots.
    -Oui, et ensuite..., fis-je pour la mettre et confiance.

    -Bon, la seule chose différente des baby-sitting habituels, c’est qu’ils s’agit de bébés adultes. Ce sont des gens tout à fait normaux qui de temps en temps ont envie de redevenir des bébés. Il ne font de mal à personne, ils n’ont rien de graveleux.

    Je n’en revenais pas. Je n’avais jamais entendu parler de cela. J’hésitais entre prendre mes jambes à mon cou et la curiosité de voir à quoi pouvait ressembler ces étranges bébés. Ma copine, voyant mon hésitation, m’aida à enfiler la blouse et me noua le tablier au dos. Elle ramena mes cheveux en chignon et y piqua la coiffe à l’aide d’épingles. Elle me tourna face à un grand miroir.

    -Regarde comme tu es mignonne, Isabelle, me dit-elle en riant, n’as tu jamais eu envie d’être infirmière quand tu étais petite.

    Son rire emporta la décision. Je lui dis que j’acceptais de rester jusqu’au soir.

    Mon amie m’amena à la cuisine pour préparer le petit déjeuner de ses pensionnaires. Là trônaient trois énormes biberons manifestement destinés à des adultes. A côté, trois assiettes de bébé en plastique, décorées de motifs enfantins attendaient manisfestement leur contenu. Caro m'expliqua comment préparer tout cela, bouillie de bébé dans les assiettes et lait chocolaté dans les biberons, additionnés d'une cuillère de diurétique et d'une cuillère de purgatif légers "parce qu'ils sont parfois constipés" comme me l'expliqua ma copine.

    Il était maintenant l'heure de réveiller nos pensionnaires et Caro m'emmena au dortoir à l'étage. J'avoue que j'avais maintenant hate de voir ces curieux pensionnaires. Elle ouvrit la porte d'une vaste chambre, à peine éclairée par une petite veilleuse. Là tronaient trois grands lits de bébés, bien rangés côte à côte. C'étaient trois vrais lits de bébé à barreaux, aux proportions près, de bois blanc, revêtus de tour de lits représentant des nounours sur fond jaune.

    Caro alla ouvrir les rideaux, assortis aux tours de lit. Elle entrepris de réveiller son monde. Dans le permier lit, un gros bébé adulte nous regardait en souriant derrière sa tétine. Il était engoncé dans une douilette en pilou bleu ciel et sels ses bras, revêtus de velours vert en dépassaient.

    -Je te présentes Charles, me dit mon amie, il est tout doux, ne pleure presque jamais et obeis comme un grand garçon, bien qu'il n'ait que un an.

    Dans le lit suivant, il y avait une ravissante pouponne, toute en rose qui nous regardait aussi avec curiosité. Elle portait un joli bonnet de bébé en coton, une chemise de nuit assortie à manches courtes et était couchée dans de jolis draps jaunes.

    -Ca, c'est Justine, continua Caro, elle est toute mignonne aussi. Elle a deux ans et elle est très gentille aussi. Elle adore les bisous. Elle est juste un peu embêtante parce qu'elle veut toujours têter comme un bébé.
    -Tu la laisse te têter, demandai-je, stupéfaite.
    -Bah oui, de temps en temps, répondit-elle. Elle aime tellement ca. Mais tu feras comme tu le sens.

    Le troisième lit était occupé par un autre bébé fille adulte, On ne voyait que son visage car elle était emprisonnée dans une gigoteuse à manche longue en duvet blanc, portait des moufles aux mains et un bonnet de bébé blanc. De plus, je vis que ces mains étaient attachées par un ruban de soie rose et que la gigoteuse était sanglée au lit, empêchant tout mouvement à son occupante. Je remarquais aussi que sa tétine était attachée dèrrière la tête, lui interdisant de l'oter.

    -Voila Sarah, la plus difficile de nos pensionnaires. On est obligé de l'attacher, sinon elle sort de son lit et réveille les autres. Elle ne comprend que les punitions et tu verras, il ne faut pas hésiter à être ferme avec elle.

    Caro me montra comment abaisser les barreaux du lit sur un côté, libérant ainsi les bébés. Après les avoir libérés des turbulettes et leur avoir mis des chaussons, nous les emmenames au salon et Caro alla chercher les biberons. Nous les avions assis directement sur un grand tapis de jeu en mousse, comme on en voit dans les garderie. Caro retira les tétines, noua un grand bavoir au cou de chacun des bébés, bleu pour le gracon et et rose pour les filles et leur tendit un biberon. Chacun d'eux contenait bien un litre
    -Fais attention qu'ils boivent bien tout, me dit mon amie, moi je vais préparer le reste.

    Pas besoin de les encourager, mes gros bébés buvaient de bon coeur, avec force bruit de succion. Je me surpris à sourire , c'est vrai qu'ils étaient mignons. Au moment ou Caro revenait, chargée d'un plateau contenant trois assiettes de bouillie, je remarquais quelque chose.

    -Regarde Caro, on dirait que la petite Sarah a eu une fuite, son pyjama est tout trempé aux cuisses. En effet, sa grenouillère était foncée et manifestement mouillée en deux longues trainées à l'intérieur des jambes. Ma copine était furieuse.

    -Cette petite peste n'a pas réclamé le pot et vient de faire pipi comme une dégoutante alors que sa couche était déjà pleine, gronda Caro. Puisqu'elle aime mariner dans son jus, nous allons la laisser comme cela, ca lui servira de punition.

    La petite commenca a pleurer, alors que les deux autres, pas solidaires pour un sou, riaient sous cape mais Caro resta intraitable.

    -Ce n'est pas la peine de faire du cinéma, lui dit-elle durement, il fallait y penser avant. Réjouis toi plutôt que je ne te donne pas la fessée que tu mérites.

    Après cet incident, je donnais la bouillie à Charles pendant que mon amie, plus habituée, s'occupait des deux autres. Il mangeait goulument, se tartouillant allègrement la bouche, et je devais faire attention de ne pas tout mettre par terre. Puis, après lui avoir essuyé la bouche, je le tins contre moi comme Caro me l'avais montré jusqu'a ce qu'il fasse son rot. Il sentait bon le bébé et le lait chaud, bien que l'on devine aussi l'odeur d'une couche mouillée. Le cochon me fit un petit renvoi sur l'épaule de ma blouse et la bretelle de mon tablier. Tandis que je m'essuyais, il me fit un si beau sourire que je n'eus pas le coeur de le disputer. Après le petit déjeuner, nous les mimes au pot. Caro avait sorti trois pot de taille adulte en plastique de couleur vive et, les bébés couchés sur le dos, nous otames les couches mouillées. Ils portaient tous les deux des culottes de plastique, avec des dessins de nounours pour Charles, roses avec des pressions pour Justine. Caro m'appris à bien essuyer les derrières et les devants imberbes avec des lingettes et du lait. Pendant ce temps, Sarah la punie pleurnichait au coin, les mains attachées au dos.

    -On ne leur remet pas de couche tout de suite, me dit mon professeur, on va d'abord les mettre au pot.

    Elle prit sur la table une boite de médicaments et une paire de gants en latex qu'elle enfila.

    -Je t'explique. Si tu ne veux pas avoir de couches pleines de caca à changer, tu feras comme moi. Tu leur mets un bon suppo de glycérine dans la lune et tu es sûre que le pot est rempli dans les minutes qui suivent. Tu vas voir, ils on l'habitude.

    En effet, Justine remontait déjà ses jambes, se prêtant à l'intruduction. Caro s'enduit un doigt de crème et l'enfonca sans hésiter dans son anus. Le doigt entra tout seul. Après quelques va et viens, destinés à lubrifier le petit trou, elle introduisit le suppo et rabattit les jambes. Puis elle fit de même avec Charles qui se prêta d'aussi bonne grâce, mainfestement aussi habitué à recevoir son dû. Ensuite nous les assimes sur leur pot et effectivement, après quelques minutes, nos deux bébés, assis l'un en face de l'autre libéraient leurs intestins dans les récipients de plastique.

    -Comme cela, tu es tranquille pour la journée. Si l'un deux te fait le coup de remplir sa couche quand même, soit impitoyable, tu verras que c'est trop dégoutant à nettoyer. Maintenant, on les laisse un moment sur leur pot pour préparer le bain. Nous en profiterons pour nous occuper du cas de Sarah.

    Je commencais à prendre mon "métier" à coeur et j'avais hate maintenant de voir le sort réservé à la pauvre Sarah. Je ne pensais plus du tout à quitter cette étrange maison mais était au contraire impatiente de connaitre la suite des évènements.

    Après avoir fait couler le bain de mes deux enfants sages, je les emmenais dans la salle de bain. Ils me tenaient la main, comme deux vrais bébés, en riant et en disant des bêtises. Je du les disputer en les déshabillant et les menacer de la fessée pour les calmer. Une fois dans le bain, je leur donnais des petits jouets en plastique et protégeais les cheveux de Justine sous une charlotte en plastique. Elle me réclama une tétine mais je la lui refusais. Cela ne me paraissait pas très hygiénique de suçoter une tétine dans le bain. Je leur fit promettre d'être sage et j'allais rejoindre ma copine.

    Caro avait déjà commencé à s'occuper de Sarah. Elle finissait de la déshabiller quand j'arrivais dans la salle. Elle ne pleurait plus mais elle faisait pitié avec les traces de larmes sur ses joues et les fesses toutes rougies par le pipi. Caro finit de lui retirer son body de coton et la retourna face à moi. Je vis alors que Sarah avait un petit sexe de garçon. J'étais stupéfaite ! Je ne l'aurais jamais deviné, surtout qu'elle avait deux jolis petits seins en poire. Caro s'aperçut de ma stupeur.

    -Eh oui!, notre petite Sarah est pleine de surprises, dit-elle en riant. Mais pour lui éviter de connaître son infortune, elle n'a pas le droit ni de toucher, ni même de regarder son étrange minou. Si elle le fait quand on lui enlève ses couches, elle a droit à une bonne correction, comme celle qu'elle va recevoir maintenant. N'est ce pas, ma petite pisseuse.
    -Oui, Mademoiselle, répondit piteusement Sarah.

    Je m'approchais et me penchais pour étudier son petit sexe. Complètement lisse, il était tout petit, d'environ trois centimètres et son scrotum ne formait qu'une seule petite poche accroché à la verge, comme chez un enfant dont les testicules ne sont pas descendus. Sous mes doigts, la petite verge s'érigea à moitié, tout en gardant sa taille ridicule.

    -Ce sont les hormones féminines qui lui ont rendu comme cela, m'expliqua mon amie, et quand elle sera plus grande, elle se fera opérer pour être comme les autres petites filles. A ce moment, elle pourra enfin regarder entre ses cuisses.

    Caro tapa dans ses mains, toujours gantées de latex.

    -Bon maintenant, la punition. Tu connais le principe, Sarah, mouiller ses couches, c'est normal, mouiller son pyjama, c'est la fessée. C'est Isabelle qui va te la donner. Après tu auras ton biberon et tu pourras aller jouer avec les autres.

    Si je me doutais bien qu'une bonne fessée attendait la petite Sarah, je ne m'attendais pas à la donner moi-même. Une douce chaleur que je connaissais bien m'étreignit le bas-ventre et je sentais ma culotte se mouiller délicieusement. Caro avait sorti un tablier de caoutchouc blanc qu'elle noua à la taille. Je me laissais faire sans comprendre.

    -Voilà, tu es prête me dit-elle. Je vais t'aider pour la première fois.

    Elle me fit asseoir sur une chaise droite et plaça Sarah, toute nue, en face de moi.

    -D'abord la politesse, annonca Caro. Je t'écoute Sarah.
    -Merci Mademoiselle pour la punition que vous aller me donner, répondit-elle en faisant une petite révérence. J'en ferais bon usage et je promets de changer mon comportement.

    Satisfaite, mon amie la placa en travers de mes genoux. On voyait que la punie avait l'habitude car elle ramena elle-même ses mains derrière son dos et écarta les jambes. Seuls le bout de ses doigts de pieds touchaient encore le sol.

    -Comme tu débutes, je vais lui attacher les mains mais quand tu auras l'habitude, tu pourras lui tenir ses poignets d'une main et fesser de l'autre, me dit mon professeur, très sérieuse.

    Elle prit un ruban de satin rose et attacha les mains de la punie, puis je commençais à fesser. Je commençais doucement, en prenant mon temps entre chaque coup, pour lui laisse le temps d'appréhender chaque claque. Puis j'accélérais progressivement. Les claques sonnaient divinement sur son joli derrière et je sentais mes joues s'empourprer, tant par l'effort que par l'excitation. Les fesses rougissaient au fur et à mesure, et je m'appliquais à ne pas laisser un centimètre carré de peau blanche. Sarah geignait au rythme de mes claques mais je voyais bien qu'elle n'osait pas crier. Elle devait avoir l'éxpérience de punition plus douloureuse encore en cas de cris intempestifs. Le fessier était maintenent écarlate mais j'attendis que ma copine me dise d'arrêter pour stopper la correction. Caro me regardait d'un air admiratif pendant que Sarah pleurait sans bruit.

    -Pour une débutante, tu es une sacreé fésseuse, me dit-elle en détachant Sarah. On voit que tu y mets tout ton coeur, tout comme moi d'ailleurs.

    Elle aida la punie à se remettre sur ses jambes et je compris alors pourquoi Caro m'avait mis un tablier de caoutchouc. La petite cochonne s'était oubliée sur mes genoux. Une petite tache de sperme s'étalait en plein milieu du tablier et sur le ventre de la punie. Caro aperçut ma grimace.

    -La petite s'est oubliée, fit-elle. Elle a fait son pipi blanc sur toi. Elle le fait presque à chaque fois. Tu comprends pourquoi j'ai été obligée de te protéger avec ce tablier de caoutchouc.
    -Mais c'est dégoutant, elle mérite bien une autre punition tout de même.
    -Non, non, car vois-tu, Il est normal qu'elle soit incontinente. C'est pour cela qu'elle doit porter des couches jours et nuits.. Il en aurait été autrement si elle s'était touchée. Là, bien sûr, elle aurait été sévèrement corrigée.

    Vaincue par les arguments de mon amie, je tapotais les fesses rougies de la jolie Sarah.

    -Allez, c'est fini, lui dis-je. Ravale tes larmes. Un bon biberon, un bon bain, et il n'y paraitra plus.

    FIN


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  • Est-ce une nurse, une infirmière? Ou est-ce une nonne, une religieuse, une bonne soeur?

    Bizarre tenue, en tout cas, que cette blouse bleue qu'elle semble enfiler sur le tablier de caoutchouc. Et ce grand voile blanc sur la tête semble bien être en caoutchouc aussi, non?
    Les bottes viennent compléter la tenue.

    Je me suis demandé, avant de vous proposer la photo, si ce n'était pas un homme, mais non, je crois, la poitrine est bien formée...

    Si quelqu'un connait l'origine de la photo, je suis preneur.

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