• Un homme, sans aucun doute.
    Vêtu uniquement d'un tablier de femme, bleu, à bavette, plutôt court et peu couvrant.
    De toute évidence, il est puni, une sorte de piquet qui lui est imposé, debout, les mains dans le dos. Je dis un piquet, parce que les mains dans le dos, et le dos au mur, ce n'est pas une position pour recevoir la fessée. Quand on impose le piquet face au mur, c'est pour que le puni ne puisse pas voir ce qui se passe dans la pièce, source d'inquiétude pour lui.

    Ici, il n'a pas besoin d'être face au mur, puisqu'il a les yeux bandés. Mieux que les yeux bandés, tous le visage recouvert par un classique torchon blanc à carreaux. J'imagine que le torchon ne sort pas de l'armoire, qu'il a déjà un peu servi...
    Et, pour bien maintenir ce premier torchon qui le masque, un deuxième torchon est noué comme un fichu paysan.

    Bref, c'est très excitant de rêver être à sa place.

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  • Parmi les usages du tablier, en voici un qui me ravit, c'est le tablier de nurse, ou de nounou, comme vous préférez.

    Quand il faut s'occuper d'un grand bébé comme ça, surtout s'il est sale, pissou ou même pire, il est évident qu'il faut un tablier, pour le nettoyer, le langer, le reculotter, et tout le reste.

    S'il a été gentil, il faudra le faire manger, et là aussi le tablier est bien utile. Et s'il a été méchant, il faut le fesser, et le tablier de la fesseuse est là pour l'accueillir proprement.

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  • Ce récit m'a été envoyé par Danylon, qui a posté quelques commentaires ici.
    Je le remercie, et je lui laisse la parole.


    Mon amie et moi vivions depuis longtemps ensemble, et quelquefois, pour me faire plaisir, elle acceptait de porter une blouse en nylon.
    A cette époque, je possédais quatre blouses en nylon et un tablier en nylon également; trois blouses venaient de chez "Alexandra" une bleu roi et deux blanches, la quatrième avait été achetée sur un marché local, elle était sans manches, d'un joli fuschia, et était bien cintrée.
    Elle n'était jamais très emballée à l'idée de devoir porter une blouse pour nos ébats amoureux, ce qui pour moi, créait des moments uniques.

    Jusqu'au soir où, en ouvrant la porte d'entrée, je vis mon amie vêtue de la blouse en nylon bleu, en train de preparer le repas.
    Mon étonnement fut tel que je fis un pas en arrière, elle me regarda en souriant, tout en continuant sa besogne.
    Je n'en croyais pas mes yeux, et je restai bouche bée devant ce spectacle. Elle s'approcha de moi, déposa un baiser sur mes lèvres, et me dit:
    "Tu as passé une bonne journée?"

    Je ne me souviens pas exactement, mais je crois que je n'ai rien repondu.
    "Va donc prendre ta douche, après nous passerons à table."

    Ce que je fis à la vitesse de l'éclair, je ne savais pas combien de temps elle allait rester vêtue ainsi.

    De retour dans la cuisine avec un T-shirt et un calecon ample, je lui demandais s'il y avait une raison particulière à cette tenue, et elle me repondit que non, c'était juste pour me faire plaisir.
    Je m'asseyais donc à table dans la cuisine, et je la regardais déambuler devant moi, j'écoutais le bruit du nylon, et regardais les formes de son corps se dessiner sous cette blouse.

    Pendant le repas nous parlâmes de choses et d'autres jusqu'au moment où je lui demandais combien de temps elle allait garder cette blouse. Elle me repondit:
    "Le temps qu'il faudra, ce soir, c'est ton soir mon chéri..."

    Tout cela m'enchantais, et j'essayais de la regarder le plus souvent possible. Arriva la fin du repas, et après avoir débarrassée la table, l'essuyer, elle vida les restes dans la poubelle, mit les assiettes dans l' évier, et me dit:
    "Je vais faire la vaisselle, je reviens..."

    Je pensais qu'elle allait aux toilettes, mais quand elle revint dans la cuisine, elle avait toujours sa blouse, mais en plus elle avait rajouté par dessus le tablier en nylon blanc, et il tranchait vraiment bien sur le bleu roi de la blouse. Elle enfila ses gants en caoutchouc "Mapa" et fit la vaisselle. J'écoutais le bruit du tablier frotter sur la blouse, c'était magique!!!

    Après avoir terminé la vaisselle, elle se retourna vers moi, et me dit:
    "Tu veux regarder les infos, ou on va dans la chambre tout de suite?"
    Quelle question!!! J'avais une érection qui tendait mon calecon, et je sentais le sang taper dans mon gland...

    Nous nous retrouvâmes donc dans la chambre, et pendant que j'enlevais le peu de vêtements que je portais, elle me demanda:
    "J'aimerai bien que tu portes une blouse en nylon comme moi..."

    Je lui répondis que ça n"étais pas dans mes habitudes mais devant son insistance, je finissais par accepter... J'eu à peine le temps de finir ma phrase qu'elle me dit:
    "Oui, mais je voudrais que tu les portes comme je le veux..."

    "Les"? Comment ca "les"? Elle me demanda si je lui faisais confiance, et, oui, je lui faisais confiance, donc j'attendais les instructions pour savoir comment porter "mes" blouses...
    Elle sortit la première blouse en nylon blanc de notre armoire, et me demanda de me retourner, je l'entendis poser la blouse sur le fauteuil derrière elle, et comme un bruit de cliquetis...

    Elle attrapa mes poignets et me menotta les mains dans le dos, je voulus me retourner pour lui demander à quoi elle jouait, mais elle m'en empécha et me dit:
    "Restes comme ca"
    Je vis alors très rapidement un rectangle noir passer devant mes yeux et venir se plaquer sur mes lèvres un peu séchement, c'était un baillon en cuir, avec à l'intérieur une espèce de petit penis.
    "Ouvre la bouche, je ne veux pas que tu parles..."
    J'ouvris donc la bouche et le baillon s'engoufra dedans, elle serra assez fort les lanières sur ma nuque, je remarquais alors que le baillon possédait une poire branchée sur un tube qui filait vers ma bouche, c'était un baillon gonflable. Mais à peine fini de relever la tête pour regarder devant moi, que je vis la première blouse en nylon blanche me couvrir, mais à l'envers, les boutons se trouvant donc dans mon dos, les manches avaient été préalablement rentrées à l'intérieur de la blouse, et elle ressemblait maintenant un peu à une camisole... en nylon.

    Mon amie boutonna les boutons un à un, et entrepris de mettre la deuxième blouse en nylon blanche par dessus. Après avoir boutonné tous les boutons, mis les cols comme il faut, elle passa devant moi, et avec un sourire et un regard un peu moqueur, elle me dit:
    "C'est pas mal... Tu me plais bien comme ça... Mais il manque quelque chose... Ha oui, la dernière blouse en nylon!"
    Elle m'enfila la dernière de facon "normale" et pris bien soin de boutonner tous les boutons en souriant...

    Cette dernière étant bien cintrée, elle me donnait presque les formes d'un corps de femme. Je sentais qu' elle se moquait un peu de moi, mais cette situation plutot humiliante me plaisait finalement. Elle me pris par les épaules, me retourna vers les miroirs des portes de l'armoire, et me demanda:
    "Alors? Comment te trouves-tu? Tu aimes porter des blouses?..."

    Je ne repondis que par un "Mmmhhhppfff" qui la fit pouffer de rire, elle me dit alors:
    "J'ai rien compris, tu veux pas articuler?", toujours en riant, puis elle repris son serieux, et dit:
    "Ce soir c'est ton soir, mais tu es à moi, je vais faire ce que je veux de toi..."

    Un peu inquiet je me demandais ce qu elle avait l'intention de faire... Elle partit vers la cuisine, en revint avec ses gants en caoutchouc, et un tube de crème... A première vue, c'était de la crème.
    Elle commenca à me carresser, à me masturber au travers de mes blouses, puis ses doigts remontèrent vers mes fesses qu'elle empoigna vivement, puis vers mon anus... Je sentais bien qu'elle voulait jouer avec, elle avait déjà esquissé des mouvements comme ceux-là auparavant...
    Je ne disais rien, toujours confiant de ma moitié... Elle m'emmena alors vers le bas du lit et me poussa dessus, je tombais lourdement sur le ventre... J'entendis alors le bruit du bouchon de tube de crème, puis un frottement gluant et caoutchouteux, puis je sentis qu'elle relevait mes blouses, et je me retrouvais donc les fesses à l'air...
    "Ecartes les cuisses mon chéri... Attention c'est froid!"
    Je sentis ses doigts me masser l'anus qui se contracta sous l'effet du gel froid, puis doucement, un de ses doigts s'immisca dans mon rectum, il allait et venait doucement, tournait en moi, puis un deuxième le rejoint, allant toujours un peu plus profondément dans mon intimité, rapidement un troisième arriva, je gémissais doucement, j'aimais ca, et mon amie le sentait...
    Elle se pencha juste à côté de mon visage, et toujours avec ce petit sourire moqueur me demanda:
    "Tu es prêt? Ca te fait du bien? Attention on passe à l'étape suivante!..."

    Elle poursuivit en me disant:
    "Je vais essayer de renter ma main dans ton anus, détends-toi, ça va aller..."
    Se détendre... facile à dire, elle n'avait pas de grosses mains, mais tout de même une main entière...

    Mais je sentais déja le bout de ses doigts commencer à forcer, à s'introduire doucement, j'étais bien, ça me plaisais, et je commençais à gémir de plus en plus fort...
    A ce moment je vis sa main saisir la poire du baillon, puis en même temps qu'elle gonfla le baillon, elle me dit:
    "Il ne faudrait pas alerter les voisins, mon chéri..."

    En effet je me retrouvais avec la bouche bien remplie et incapable de produire un son... Sa main reprit son travail de dilatation, et d'un coup, au même moment que sa main pénétrait toute entière dans mon rectum, je l'entendis:
    "Voila, c'est bien... C'est bon hein?"
    Et bien croyez-moi, mais j'avais rarement senti pareille chose, je sentais ses doigts bouger dans mon colon, tourner, sortir, rentrer... Une extase comme j'en avais rarement connue.

    Puis après un temps que je serais incapable de définir, elle retira sa main, s'essuya les gants, les enleva, m'essuya le surplus de lubrifiant qui sortait de mon anus, puis me retourna sur le dos.
    "Tu vois c'était bien? Et puis tu n'as pas eu mal... Mais c est pas fini!"

    Elle m'aida à me relever, elle rajusta mes blouses, me jeta son petit regard moqueur, et dit:
    "Tu as aimé, n'est ce pas?..."

    De honte je me retournais, jamais je n'avais été humilié de la sorte, mais j'aimais ça, je sentais que dans mon ventre ça m'excitais. C'est alors qu'elle me mit un collier assez large en cuir, comme un collier de chien, il y avait un anneau pour accrocher une laisse devant... Elle le serra, puis repassa devant et tout en attachant la laisse, elle me dit:
    "Maintenant, je veux que tu sentes l'effet d une sodomie... Allez suis-moi..."

    Et elle me tirait par la laisse jusqu'à la cuisine, là elle m'allongea à plat ventre sur la table de la cuisine, mes jambes étant le long des pieds de la table, en même temps que je me demandais ce qu'elle entendait par sodomie, je sentais des cordes s'enrouler autour des mes chevilles puis autour des pieds de la table. Elle releva mes blouses et me carressa les fesses, puis s'écria:
    "Mais dis donc, tu as une sacrée trique!!!... Tu aimes vraiment ça!... Bon tu as été sage, je vais te recompenser..."

    Elle passa donc sous la table, puis commença à m'administrer une fellation des plus appliquées, moi je n'en pouvais plus, je gémissais et respirais fort tellement elle me faisait du bien...

    Puis elle s'arrêta deux ou trois minutes après, sortit sa tête de dessous la table juste devant moi, posa son menton dessus, me regarda avec ce même sourire un peu moqueur, et me dit:
    "Tu ne croyais quand même pas que j'allais te laisser éjaculer dans ma bouche?...Non..."

    Elle se releva, et j'aperçu comme une excroissance sous sa blouse en nylon et son tablier, mais avant que j'eu le temps de me poser la question de savoir ce que c'était, je sentis quelque chose appuyer contre mon anus, elle avait enfilé un gode ceinture, et poussait maintenant pour me pénétrer... Le gode rentra sans trop de difficulté, et elle se mit à faire des va-et-vient, d'abord doucement, puis plus fort, jusqu'à m'attraper par les hanches et réellement me secouer comme un prunier! Le gode entrait jusqu'à la garde et ressortait jusqu'au bout du gland, c'était très bon, je pense avoir eu un orgasme anal mais comment le savoir, c'était la premiere fois...

    Puis elle s'arrêta, et tout en restant en moi, elle me dit
    "Je vais me retirer, puis ensuite je te détacherai... Comment as-tu trouvé?... Je devine que ça t'a plu, vu comment tu gémissais..."
    Elle se retira donc doucement, et commença à enlever son gode ceinture... Mais c'était sans compter que moi, je ne contrôlais plus mes sphincters, et un énorme pet sortit puis sans que je puisse faire quoi que ce soit, un bout de merde tomba lourdement sur le carrelage blanc de la cuisine...
    Qu'avais-je fais!

    "Non mais dis donc, tu te crois où? Tu penses que je vais nettoyer ca? Attends, tu vas le regretter!..."

    Elle ressera les sangles de son gode ceinture, détacha mes pieds, me releva, et me fit agenouiller juste devant mon exploit. Elle attrapa ma nuque, puis me pencha en avant, jusqu à environ dix centimètres de la merde.
    "Tu vois ce que tu as fais!... Tu es une véritable petite cochonne, je croyais que tu étais une gentille fifille qui se laissait bien sodomiser, mais non, en fait tu es une truie, une souillon!!!..."

    Elle me releva, puis remit ses gants. Elle s'accroupit à côté de moi, et tout en attrapant la merde entre ses doigts, elle dit:
    "Tu vas voir... C'est bon pour la peau des cochonnes..."

    C'est alors qu'elle me plaqua ma merde sur la joue gauche, puis passant sur mon nez en étala sur ma joue droite, elle étala bien le tout, et je fermais les yeux de dégoût. Lorsqu'elle eut fini, elle essuya ses gants sur mes blouses, elle se releva, attrapa une spatule en bois dans un tiroir, et me dit:
    "Je vais t'apprendre à serrer les fesses moi... Truie!..."

    Elle releva mes blouses derrière et me planta la spatule dans l'anus aussi profond qu'elle le put. Un ràle de douleur s'échappa alors de ma gorge, elle revint devant moi, et me regardait avec un regard moqueur et sévère à la fois, je subissais la plus cuisante des humiliations, et j'aimais ca. Elle attrapa ma laisse tira dessus pour me relever, puis me dit:
    "Maintenant, je vais regarder la télévision, et toi tu viens avec moi... Cochonne!..."

    Je tentais désespéremment de la suivre à son allure jusqu'au salon sans laisser échapper la spatule qui était entre mes fesses. Elle me fit agenouiller à côté du canapé où elle prit place, et commenca à jouer avec la laisse, elle dégonfla un peu mon baillon, et regarda la télévision...

    De temps en temps, elle soulevait mes blouses pour contrôler que la spatule n'était pas tombée, puis elle éteignit la television, me regarda en souriant, commenca à tripoter son gode ceinture comme si elle avait un sexe d'homme... Moi, les joues et le nez couvert de merde, je baissais les yeux de honte, elle me dit alors:
    "Viens par là..."

    En tirant sur la laisse, je me retrouvais entre ses cuisses qu'elle avait écartées, et je voyais enfin son gode, couleur chair avec des veines bien marquées. Elle se pencha vers moi, et me dit:
    "Tu vas me sucer, truie... Je veux que tu suces mon gode..."

    Elle finit de dégonfler mon baillon, de la salive tomba sur ma blouse qui était deja maculée de ma merde, je puais comme jamais. Elle desserra les lanières du baillon, l'enleva, j'étais incapable de prononcer un mot tellement ma machoire me faisait mal, puis en tirant sur la laisse, elle m'approcha le visage du gode, et me dit:
    "Allez, suces-le... Souillon..."

    J'ouvrais la bouche et en fermant les yeux je commençais des va-et- vient sur sa hampe caoutchouteuse, je m'appliquais du mieux que je pouvais, pour écourter cette humiliation.

    "Regardes moi et continue à sucer mon gode..."

    J'ouvris les yeux et la regarda droit dans les siens, elle souriait, mes joues étaient rouges de honte sous la merde.

    "Tu sens la merde, tu es une truie... Et tu aimes ça sentir la merde... Et puis je vois que tu aimes ça sucer mon gode... Grosse cochonne..."

    J'ai du sucer ce gode pendant je ne sais combien de temps, mais, une fois qu'elle décida que ça suffisait, elle me traina jusqu'à la chambre où elle essuya mes joues et mon nez avec une lingette, me retira la spatule, et je serrai tellement les fesses, qu'un léger "plop" se fit entendre...

    "C'est bien, tu vois c'est pas dur de se retenir... Tu as été une bonne cochonne ce soir, mais comme tu n'es pas propre, tu vas dormir sur la descente de lit, je ne veux pas de toi dans le lit... Si jamais je t'entends, je te remets le baillon... Alors sois sage..."

    Elle enleva son gode ceinture, délia les liens de son tablier, l'enleva, le posa delicatement sur le fauteuil, puis déboutonna sa blouse, doucement, la mit sur un cintre, et posa le tablier par dessus, puis mit le tout dans l'armoire...
    Je m'allongeais sur la descente de lit, en silence, on n'entendait plus que le nylon qui glissait l'un sur l'autre...

    Elle se coucha, éteignit la lumière...
    "Bonne nuit... Ma petite truie..."


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  • Madame porte un tablier à bavette en plastique blanc, le modèle avec les bretelles croisées dans le dos qui viennent se fixer derrière sur une large ceinture. Elle porte des gants de ménage rouge, elle est sans doute en train de nettoyer la salle de bain.
    Monsieur porte un tablier à bavette en plastique blanc, le modèle avec un lien autour du cou, et, sans doute pour aider Madame, des gants de ménage bleu.

    Que, dans cette tenue excitante pour tous les deux, ils aient envie de faire l'amour, et que Monsieur pénètre Madame quand elle est penchée sur la baignoire, rien d'étonnant. Mais comment a-t-il fait pour sortir sont sexe et pénétrer Madame? Le tablier de Monsieur n'est pas retroussé.

    A moins que ce ne soit un tablier à braguette, ce qui change du tablier à bavette, mais est bien pratique, on ouvre la braguette pratiquée sur le devant du tablier, et le plaisir est à portée de main, de sexe ou de bouche, sans lever le tablier.

    Quel bon truc!
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  • Tout d'abord, je précise qu'il ne s'agit en rien d'une publicité pour le site en question, que je ne connais pas.

    Ce que j'aime dans cette photo? La blouse rose, oui, bien sûr, elle est sobre et utilitaire. Le torchon noué sur les cheveux, surtout, oui, j'adore, vous le savez. Mais les cheveux pourraient être noués en chignon pour ne pas déborder.

    Ce que j'aime aussi? Les gants de ménage et les bottes en caoutchouc rouge, qui vont bien avec la tenue et l'activité.

    Ce que j'aime moins? Le masque "sanitaire"... Quoique ça évite de respirer les poussières.

    Et ce que je n'aime pas : les bas résille et le collier de perles avec bracelet assorti... A-t-on idée de mettre ça pour le ménage?

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