• Léo de Blunnoys
    J'avais mis un lien vers ses poèmes, mais le site a fermé.
    J'ai recherché sa littérature, j'en ai retrouvé une partie, que je vous livre ici.
    Je n'ai jamais su qui se cachait derrière ce pseudonyme si parlant...

    Voici le poème :



    Que je fusse au lycée, au collège, au... salon !
    A l’époque, j étais très féminine, altière ;
    On découvrait, heureux, dans mon joli vestiaire,
    Une robe, une jupe, et point de pantalon.

    Que je fusse très gaie ou fort triste, selon
    Mes espoirs, mes regrets ; pendant l’année entière
    Je portais dans la classe, et pour chaque matière,
    Tout naturellement, ma blouse de nylon.

    Cette scène se passe en... mil neuf cent soixante ;
    Je me revois gamine en blouse bien crissante :
    Lorsque je marche, on voit onduler le tissu.

    Ô ma gentille muse, à toi je me confie ;
    On ne met plus de blouse et j’en suis fort déçu,
    Car je n’ai même pas une photographie.

    19 novembre 2005


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  • Le nec plus ultra, la blouse blanche longue, avec des manches longues, une ceinture, et le boutonnage dans le dos.

    Pour tous les amateurs de ce sous-sous fétichisme particulier à l'intérieur de la podiaphilie : le fétichisme des blouses boutonnées dos.

    Imaginez comme il est difficile de mettre et d'enlever seule une telle blouse. L'humilation subie quand, devant la maîtresse, on doit se contorsionner pour boutonner ou déboutonner.
    Et si on n'y arrive pas, il faut alors demander, quémander, supplier la maîtresse (ou une autre bonne) de le faire, et en payer le prix.

    Mumm...

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  • Superbe, tout simplement.

    Nous sommes dans une pièce où est accrochée toute une collection de blouses et de tabliers, et cette belle matrone (enfin je pense...) est en train de faire des essayages.

    Une blouse vieillote, vraiment, pour commencer, puis un tablier à bavette en caoutchouc rouge. Ce qui m'étonne, c'est le tablier taille blanc, qui lui, est en tissu... Pourquoi mettre du tissu, qui peut se mouiller, qui ne se nettoie pas facilement, sur du caoutchouc? A mon avis, pour le plaisir de la superposition.

    Et pour compléter la tenue, les gants de caoutchouc, et un fichu de la même matière.

    Vraiment, j'aimerais être habillé comme ça, et partager les jeux de cette personne avec elle.

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  • La grosse Pamela est une femme comme je les aime, avec des nichons énormes, mous et tombants.

    Ils débordent de son tablier à bavette jaune, elle est vraiment handicapée par ses grosses tétasses, la pauvre Pamela.

    Mais ça ne l'empèche pas de faire sa vaisselle et d'autres choses.

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  • On aimerait les voir toutes, toujours, comme ça.

    Portant une blouse et un tablier, bien sûr, et vous voyez, sur cette photo, la blouse et le tablier sont simples, utilitaires, faits pour travailler.

    Au travail, bien sûr, et donc là, faisant le ménage.

    A genoux, ou courbée, ou à quatre pattes, pour mettre en valeur le fessier. Je reconnais que sur la photo, les fesses ne ressortent pas trop, mais c'est l'idée de les avoir à portée de main sous la blouse qui me plait.

    Enfin, les pieds nus, qu'en pensez vous? J'aime les pieds nus, mais pas s'ils ont marché, parce qu'alors ils sont sales, et on ne peut pas jouer avec....

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