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    Un exemple pour tous ceux qui ne veulent pas ratifier le protocole de Kyoto: il y a plus d'un siècle, en France, on pensait déjà à économiser l'eau.

    Mais que ne ferait-on pas pour suivre l'exemple de cette domestique?

    Regardez bien son tablier, qui a deux particularités.
    Il n'a pas de bretelles ni de lien au cou, il s'épingle sur la robe.
    En plus de la ceinture, il a un autre lien, à mi-hauteur du devantier, qui vient serrer les cuisses sous les fesses...

    Ce dernier lien est très mignon, très érotique, mais quelle était son utilité, si ce n'est de mettre le fessier en valeur? Peut-être retenir la jupe de la robe pour éviter de la salir?

     

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  • La bonne est venue servir le thé, mais, de toute évidence, son service ne s'arrête pas là, et Monsieur a demandé à être fessé par dessus le marché.

    La fessée était prévue de longue date, puisque la bonne est venue avec de quoi fesser... Une longue strappe de cuir, enfin, en anglais, "strap".

    Elle est jolie, non, avec son petit tablier-taille blanc et sa coiffe?

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  • Les "bébés adultes" sont souvent attirés par les nounous en tablier... Voici donc le récit d'un bébé adulte dominé par une nounou qui porte parfois un tablier.
    Ce texte est sur un site que j'aime bien, mais, toujours par crainte de voir disparaître le site un jour ou l'autre, je le recopie ici, en vous donnant bien sur le lien d'origine: membres.lycos.fr/bebepat/recits/fiona.htm


    Depuis que j'ai quitté la maison pour commencer ma vie d'étudiant, j'ai pu rassembler différents objets qui alimentent et entretiennent mes fantasmes masturbatoires périodiques. La plus part du temps je n'ai pas besoin de cela et malgré tout je suis un peu inquiet de trouver érotique l'idée de retomber dans la petite enfance. Mais, quand je succombe, régulièrement, à ma perversion, je suis récompensé par d'extraordinaires orgasmes.

    Je pratique toutes les activités habituelles des étudiants et j'ai un certain succès auprès des étudiantes de ma résidence. En fait il y en a une qui me plaît beaucoup et nous sommes devenus intimes. Jeanne ne connais rien de mes fantasmes et heureusement ils ne nous empêchent pas de profiter de nos séances amoureuses.

    Un vendredi soir, je commis deux erreurs. La première c'est qu'avant de me laisser aller à mes fantaisies érotiques, j'ai oublié de mettre la pancarte sur la poignée de ma porte pour indiquer à la femme de ménage que je restais là tout le week-end. La deuxième c'est que je me suis endormi sans ranger mes "petites affaires".

    Je me réveillais en sursaut le samedi matin, quand Louise ouvrit ma porte avec un passe et entra bruyamment dans la chambre en tenant un seau rempli d'ustensiles de nettoyage. "Oh, pardon James" dit-elle en me voyant dans le lit. Puis elle remarqua le biberon et la sucette sur la table de nuit et me jeta un regard curieux. "Je reviendrai plus tard pour les draps. Est-ce que je peux prendre la serviette?" demanda-t-elle.

    Je ne puis répondre, j'étais trop embarrassé. Je tirais le drap sous mon menton pendant qu'elle se dirigeait vers le lavabo, en espérant qu'elle n'avait pas vu le haut de la nuisette rose que je portais. La serviette était entourée autour de mes reins pour former comme une couche. "Heu....je sortirai la serviette avec les draps un peu plus tard, d'accord Louise?" bégayais-je. Elle regarda un moment le flacon de lait de toilette et la boite de talc près du lavabo, puis me jeta un regard étrange avant de quitter la chambre.

    Je mis un moment à reprendre mes esprits, je me levai et m'habillais, puis je rangeai les affaires de bébé dans ma valise que je remis ensuite dans le placard. Je me sentais stupide et angoissé. Est-ce que Louise garderait ça pour elle? Et si non que diable pouvais-je bien faire? Je me décidai à aller lui parler et, s'il le fallait, à la supplier de ne rien dire à personne. Heureusement j'avais toujours été en bons termes avec elle et j'esperai qu'elle serait au moins compréhensive sinon complice.

    Pendant que je marchais dans le couloir, j'entendis sa voix et des rires venant de la cuisine. "...je te jure Fiona, sur ma tête, et même je suis sure qu'il portait une nuisette rose en plus!" Fiona ria encore plus fort. "Pas la peine de jurer Louise, attend un peu que je raconte ça à Jeanne."

    Fiona était une étudiante émancipée. Elle était dans la même section que moi, mais nous n'avions jamais vraiment lié connaissance. C'était une forte personnalité qui voulait tout organiser et diriger tout le monde. Notre première rencontre avait eu lieu au lavomatic où elle m'avait fait toute une histoire parce que j'avais mis mon linge dans la machine sans trier les chemises et les jeans. Ensuite elle avait suggéré qu'elle pourrait m'apprendre à repasser. Inutile d'en rajouter. J'avais refusé l'offre, cultivant mon image d'étudiant négligé. Je pris une profonde respiration et entrai dans la cuisine. Louise se retourna, l'air embarrassée. Fiona me regarda, un large sourire éclairait son visage. "Je suis vraiment désolé, Louise, que vous m'ayez trouvé ainsi." Commençais-je, "Je vous serais très reconnaissant s'il n'en était plus jamais question."

    Il était inutile de faire comme si Fiona n'était pas au courant, je me tournais vers elle. "S'il vous plaît, Fiona, n'en dite rien. Ma vie serait foutue."

    "Si tu te comportes un peu plus amicalement avec moi, ça pourrait s'envisager Jim," répondit Fiona. "Et toi Louise qu'en dis-tu?" continua-t-elle. "Ce que vous gardez dans votre chambre ne me regarde pas James, et vous avez toujours été correct avec moi, pas comme les autres petits voyous. Seulement n'oubliez plus de fermer votre porte, et je garderai tout ça pour moi."

    Je les remerciais vivement toutes les deux et retournai à ma chambre, priant pour qu'elles tiennent parole. Une demi-heure plus tard, Fiona frappait à ma porte et je la fis entrer. "Je suis vraiment très curieuse Jim," commença-t-elle. "Fais moi voir tes 'petites affaires'." Ca n'était pas vraiment une requête, et je savais que je n'avais pas le choix. Penaud, j'attrapai la valise et l'ouvrit, observant les réactions de Fiona sur son visage.

    Elle sortit les articles lentement, l'un après l'autre, les examina et les étendit sur le lit. La nuisette, le biberon, le lait de toilette, le talc, les épingles à nourrice, la sucette, la boite de lait en poudre. "Tu n'as pas de lange ou de culotte imperméable?" demanda-t-elle, "..et où est ton bavoir?" Elle avait l'air sérieuse et intéressée, mais je n'étais pas sur qu'elle ne soit pas en train de se moquer de moi. Je me sentis rougir et répondis à contre coeur. Je ne voulais surtout pas la contrarier et je pris donc sa question au sérieux. "Je ne fais pas ça très souvent Fiona." Répondis-je "et ce que j'ai là me suffit. Je me sers de la serviette comme couche, mais je ne la mouille jamais, je n'ai donc pas besoin de culotte imperméable. Je ne sais pas pourquoi je fais cela, ça m'excite un peu, de temps en temps."

    Fiona me jeta un regard par en dessous pendant qu'elle reprenait les affaires et les remettait dans la valise. "Je pense que nous allons devenir bons amis, Jim. Nous allons aller en ville pour sceller notre nouvelle relation en prenant un verre, ensuite nous irons faire quelques petits achats." Je n'étais pas trop enchanté de devoir passer mon Samedi après-midi avec Fiona. Mais, pour un certain temps, je devais lui faire bonne figure, je lui souris, espérant paraître sincère. "D'accord Fiona, à quelle heure voulez-vous partir?" demandais-je. "Donnes moi une demi-heure, le temps de me changer, et nous y allons."

    Je me retrouvais donc à taper à sa porte, à l'heure prescrite. Fiona sortit, elle portait un long imperméable noir en plastique, étroitement froncé à la taille. Aux pieds elle portait des bottes à talons hauts, en cuir vernis. Les talons hauts la faisait plus grande que moi. Ses longs cheveux bruns étaient tirés en arrière en chignon, ce qui lui donnait un air sévère. Je fus saisi de la voir si sexy, même si je ne pouvais m'empêcher de me sentir intimidé. Elle me tendit sa main gantée de cuir, se réjouissant de l'effet qu'elle avait produit sur moi. Quand je pris sa main ce fut comme si je donnais mon agrément pour qu'elle soit la partenaire dominante dans notre relation forcée. Nous ne parlâmes pas beaucoup durant notre promenade. Il était clair pour moi que Fiona était en position de force. Mes projets de carrière excluaient toute perversion sexuelle, mes amis aussi auraient du mal à comprendre ma déviance, aussi je devais faire très attention à mon comportement avec Fiona. Une fois au café, je commandais les verres et Fiona se dirigea vers un des petits salons privés. Nous dûmes affronter le regards curieux de quelques connaissances qui, sachant mon opinion sur elle, se demandaient ce qui pouvait bien se passer en me voyant m'asseoir à coté d'elle. Elle m'indiqua la place contre le mur, puis vint s'installer très près contre moi, m'enfermant dans le petit box.

    "Je pense que le moment est venu de te dire ce que mon silence va te coûter, Jim. A partir de maintenant, nous passerons tous les week-ends ensemble et tu feras exactement ce que je te dis. C'est compris?" demanda-t-elle. "Oui Fiona." Répondis-je. Je devais approuver, jusqu'à ce que je trouve un moyen d'échapper à son emprise. "Bien;" dit-elle. Un large sourire sur le visage, elle se pencha vers moi, passa son bras autour de mes épaules et m'embrassa. Je me sentais vulnérable, mais curieusement, j'appréciais son étreinte. J'étais conscient du regard des autres, et elle aussi j'en suis sur, mais cela ne l'arrêta pas.

    Nous partîmes après deux verres supplémentaires. Fiona prit ma main et je la suivis humblement. Elle connaissait la ville mieux que moi, prenant souvent des raccourcis dans des ruelles que je n'avais jamais remarquées auparavant. C'est au fond d'une de ces petites rues qu'elle s'arrêta devant une vielle boutique sans vitrine dont l'enseigne indiquait:
    Etablissement JONES - FOURNITURES POUR HOPITAUX.

    "A présent Jim, quand nous serons dans le magasin, tu ne dis plus rien sauf quand je te questionnerai. C'est compris?" "Mais, pourquoi....." commençais-je à questionner. "Tu n'as pas besoin de savoir. Tu fais ce que je te dis! Compris?" Coupa-t-elle sèchement. "D'accord." Répondis-je, penaud.

    Elle prit ma main fermement et nous entrâmes dans la boutique. Une clochette tinta quand la porte se referma, une jeune femme leva les yeux du magasine qu'elle feuilletait. Un badge sur sa blouse blanche l'identifiait comme "Caroline". "Bonsoir, que puis-je faire pour vous?" s'enquit-elle. "Mon fiancé a un problème d'incontinence" commença Fiona.

    Je n'en croyais pas mes oreilles, je regardais à mes pieds, me sentant devenir cramoisi. J'essayais de m'en aller mais Fiona serrait ma main fortement. "Ce que nous voudrions en fait c'est quelque chose qu'il puisse porter la journée pour les petites fuites, et autre chose pour la nuit quand il inonde. J'aimerai aussi un drap imperméable pour protéger le matelas." La jeune femme ne parut pas surprise, elle semblait même compatissante. Elle déballa la gamme complète d'articles d'incontinence, et discuta dans le détail de chacun d'eux avec Fiona. Elle décidèrent entre elles que j'avais besoin pour la journée, d'une culotte en plastique qui pouvait être garnie d'une couche jetable, et que pour la nuit je devrai porter des culottes jetables qui, à mon avis, ressemblaient plus à de gros changes complets pour bébé qu'à des culottes.

    Fiona choisit une alaise en caoutchouc pour le lit, et acheta aussi un tablier de caoutchouc pour elle. Juste quand je pensais que mon humiliation allait prendre fin, Fiona me prit par surprise: "S'il vous plaît, auriez-vous une pièce où mon fiancé puisse enfiler sa culotte imperméable, je ne voudrai pas qu'il rentre à la maison avec son pantalon mouillé. Et peut-être pourriez vous vérifier si nous l'utilisons comme il faut?" Je commençai à protester, mais Fiona tira fortement sur ma main et me jeta un regard menaçant qui fit taire mes récriminations. A ma stupéfaction et à mon grand embarras, Caroline se montra très complaisante. Elle nous mena dans une pièce à l'arrière et regarda pendant que Fiona m'ordonnait de baisser mon pantalon. Fiona alla au devant de mon mouvement de recul, elle m'écarta les mains du corps et défit mon jean et le fit descendre sur mes jambes. Elle s'accroupit devant moi quand mon pantalon et mon slip atteignirent mes chevilles. Je me sentis perdre l'équilibre et appuyais mes mains sur les épaules de Fiona. En levant les yeux, je vis la jeune fille qui souriait ironiquement.

    "Montez sur la table et allongez-vous" me dit Caroline, "c'est plus facile ainsi." Elles m'aidèrent à grimper sur la table et me poussèrent en arrière jusqu'à ce que je sois allongé sur le dos. Fiona m'enleva les chaussures et ôta mon jean et mon slip. La vendeuse sortit la culotte plastique de sa pochette et la tendit à Fiona. Elle fit quelques tentatives infructueuses pour ajuster la couche dans la culotte, puis la repassa à Caroline. "Pourriez-vous me montrer comment faire? Je suis très maladroite." Dit Fiona. Très obligeamment et sans hésitation, la vendeuse ajusta d'abord la garniture dans la culotte puis, à ma plus grande honte elle l'enfila sur mes pieds et la fit glisser le long de mes jambes. "Fesses en l'air!" me dit elle en attendant que je soulève mon derrière de la table. Pendant que je m'exécutais, elle ajusta la culotte en place. Pendant ce temps, Fiona regardait en prenant un malin plaisir, elle sembla même déçue quand Caroline eut terminé. "Descend de la table et remet ton pantalon, du temps que je paye." Ordonna Fiona. Le haut de la culotte dépassait au dessus de la taille du jean. Elle était même encore visible après que j'ai enfilé mon T-shirt sous la ceinture du jean. Elle était chaude et pas très confortable et craquait bruyamment à chaque pas quand je revins dans la boutique. Tous mes achats étaient empaquetés et posés sur le comptoir; je m'en saisi, souhaitant quitter la boutique le plus rapidement possible.

    "Oh, encore une chose" dit Fiona. "Avez-vous des bavoirs pour adulte?" J'aurais voulu que le sol s'ouvre et m'engloutisse, alors que la vendeuse déballait plusieurs modèles pour les montrer à Fiona. Finalement elle choisit un modèle en plastique rose avec une poche de récupération. Il ne faisait aucun doute que la vendeuse avait remarqué que cet article différait quelque peu des autres achats, mais elle ne semblait pas y prêter attention.

    "J'espère vous revoir bientôt." Dit-elle gaiement quand nous franchîmes la porte de la boutique. C'était certain que tout le monde pouvait entendre le bruit que faisait la culotte. L'épaisse couche entre mes cuisses me faisait écarter les jambes et je marchais en me dandinant. Tout au long du chemin de retour vers la cité étudiante, Fiona me tapotait souvent le derrière comme pour me rappeler ma condition et le pouvoir qu'elle avait à présent sur moi. Quand nous arrivâmes à l'entrée, Fiona se tourna vers moi. "Ce soir, Jim, je vais préparer le repas pour nous deux. Tu vas prendre une douche et ensuite nous pourrons dîner." Je ne pouvais plus attendre pour me débarrasser de la culotte, je me ruais dans ma chambre, me déshabillais, enfilais mon peignoir, saisi ma trousse de toilette et une serviette et me précipitais vers les douches, quand je fus intercepté par Fiona qui me demanda les clés de ma chambre. Mon hésitation m'attira un regard menaçant et elle tendit la main, ce qui signifiait que je n'avais pas le choix. Quand, à contrecoeur, je lui remis les clés en main, son expression se transforma en un sourire de satisfaction. "Voila un bon garçon. Après ta douche, tu viens dans ma chambre, ce soir tu vas avoir droit à de véritables réjouissances." Je me doutais un peu de ce qu'elle voulait dire, et je parti pour ma douche avec le coeur gros. Plus le temps passait et plus il me devenait difficile d'échapper à son emprise. Après ma toilette, je m'essuyais lentement, enfilais mon peignoir et me dirigeai à regret vers la chambre de Fiona, et tapais à sa porte. Il n'y eut pas de réponse immédiate, et je commençai à paniquer. Qu'allais-je faire si quelqu'un venait à passer dans le couloir et me voit dans cette tenue devant la chambre de Fiona? C'est avec soulagement que j'entrai chez elle quand elle ouvrit.

    Fiona referma la porte derrière moi et je me tournais vers elle. Elle avait enfilé son nouveau tablier en caoutchouc rouge et se frottait les mains de satisfaction en anticipant sur ce qu'allait être la prochaine étape de ma subjugation. Mon épreuve prenait les allures d'un cauchemar, et comme dans les pires cauchemars, il n'y avait aucun échappatoire. "Enlève ton peignoir et allonge toi sur le lit" m'ordonna-t-elle. Quand je me tournais vers le lit, j'eus un frison. L'alaise de caoutchouc était étendue par dessus la couverture, et le reste des achats étaient rangés sur la table de nuit. Ma valise était sur le bureau à coté du lit.

    La réalité de la situation me glaça le sang. Je tâtonnais maladroitement pour défaire le noeud de la ceinture du peignoir, et Fiona s'impatienta. Quand, enfin, je défis le noeud, elle tira le vêtement de me sur mes épaules et me poussa vers le lit. Je m'assit lentement, et le choc au contact froid de l'alaise me fit perdre ma respiration. Ma première réaction fut de me relever, mais Fiona s'était placée devant moi et posa ses mains sur mes épaules, me forçant à rester assis. Comme je levais les yeux vers elle, elle se rapprocha et se plaça entre mes jambes, le tablier frottait contre mon torse, et elle me regardait droit dans les yeux. Malgré mes tremblements, je trouvais la situation terriblement excitante. Mon pénis réagit et Fiona sembla trouver cela amusant.

    "Cette nuit, je vais t'aider à vivre tes fantasmes. Evidemment je ne peux pas te transformer réellement en bébé, mais je vais te traiter comme tel. Tu n'as rien à dire, juste à faire ce que je te dis." Je commençais à ouvrir la bouche pour émettre une protestation de convenance, afin de ne pas avoir l'air d'accepter tout trop passivement, mais elle plaça un doigt sur mes lèvres pour me faire taire. "Allonge toi, je prépare tes affaires."

    Je fis comme elle m'avait dit. Le fin et doux caoutchouc, très froid au début, se resserra contre mon corps quand je me laissai aller sur le dos. La forte odeur assaillit mes narines, m'excitant encore plus. Je me sentais très vulnérable, j'avais perdu toutes mes forces. J'essayais de couvrir d'une main mon sexe gonflé et bandé, pour tenter de cacher mon état d'excitation. Fiona m'écarta les mains. "Vilain! il ne faut pas se toucher! De plus, maman veut voir combien tu aime être son bébé." Elle ouvrit ma valise et en sortit la sucette. "Ouvre la bouche" dit-elle, "tu va téter ton suçu, pendant que je te met ta couche." J'étais réticent à ouvrir la bouche, mais Fiona appuya la sucette contre mes lèvres jusqu'à ce que je m'exécute. Ensuite elle sortit le lait de toilette de ma valise. Elle versa le liquide froid sur mes organes et massa doucement mon pénis et mes testicules avec la lotion parfumée. Je grognais involontairement et tirai encore plus fort sur la tétine dans ma bouche.

    Elle semblait avoir deviné que j'étais près de l'orgasme, elle cessa ses caresses et me saupoudra généreusement de talc. "Il ne faudrait pas jouir trop tôt, n'est-ce pas bébé? On a aura tout le temps plus tard. Laisse moi mettre ton petit escargot dans sa coucouche." Elle ouvrit le paquet de couches et plaça un change déplié entre mes jambes. "Lève tes fesses bébé." Commanda-t-elle, et elle glissa le change sous moi. Je me sentis rougir quand elle m'enveloppa le bassin dans la couche et qu'elle fixa les adhésifs. Elle se recula pour vérifier son travail.

    "Je ne suis pas certaine qu'il n'y ait pas des risques de fuites comme ça, tu ferais mieux d'avoir ta culotte plastique par dessus." Elle enfila la culotte sur mes pieds et la tira le long de mes jambes. Je soulevais mon derrière de sur l'alaise pour qu'elle puisse bien l'ajuster par dessus le change. La masse volumineuse entre mes jambes m'obligeait à les tenir écartées, et je ressentais les élastiques de la culotte qui me serraient aux cuisses et à la taille. La sensation était accablante, je me sentais complètement sous l'emprise de Fiona, mais aussi en sécurité. Elle semblait satisfaite du déroulement des événements, et était pressée de continuer.

    Elle sortit la nuisette de la valise. "Maintenant, maman va te mettre ta jolie petite robe de bébé." Dit-elle en passant la nuisette sur ma tête et en guidant mes bras dans les manches. "Voila, très bien," dit-elle en tirant la nuisette en place "tourne-toi à présent." Quand je fus à plat ventre, elle referma les boutons de la nuisette derrière le cou. Je ne pouvais voir ce qu'elle faisait mais je sentis qu'elle montait sur le lit, puis qu'elle s'assit à califourchon sur mes jambes. Elle me saisit un poignet et le ramena dans mon dos, l'autre suivit, et elle les attacha ensemble avec ce qui semblait être une paire de collants. Quand elle relâcha sa prise, j'essayais de bouger les bras, mais je m'aperçut qu'ils étaient bel et bien entravés. "C'est juste pour être sure que tu ne te fatigueras pas à essayer de te tripoter bébé, et pour te rappeler aussi qui commande."

    Fiona m'aida à me retourner, et me cala avec un coussin. "Veux-tu voir combien tu es mignon bébé?" Demanda-t-elle. "Ferme les yeux, je vais t'apporter un miroir." Je savais que me voir ainsi ruinerait le plaisir que je retirais de la situation, je n'étais guère enchanté à l'idée de voir combien j'avais l'air ridicule. De son coté, Fiona s'amusait beaucoup, et me pressait d'ouvrir les yeux. A ma grande consternation, ça n'est pas à un miroir que j'offris mon regard mais au flash d'un appareil Polaroïd. Je criais, moitié de honte, moitié de colère. "Calme, calme, bébé. Ce petit instantané restera caché et secret tant que tu feras exactement ce que je te dis. Mais, si tu es une vilaine petite fille, j'aurais le grand plaisir de te montrer comme ça à toutes mes amies."

    Elle s'assit près de moi et me prit dans ses bras, tenant la photo blanchâtre devant mes yeux. Lentement, les formes vagues s'éclaircirent, et une image distincte apparut. Il n'y avait aucun doute sur le personnage de la photo, même avec la sucette qui me cachait une partie du visage. La culotte plastique et la volumineuse couche étaient nettement visibles sous la nuisette rose, alors que je paraissais calme et satisfait, allongé sur l'alaise en caoutchouc. Ma colère se transforma en sentiment d'impuissance quand je réalisai combien j'étais dépendant de Fiona pour que tout cela reste secret. Des larmes se formèrent dans mes yeux et je commençais à sangloter pour la première fois depuis bien des années. Fiona me serra contre elle et me berça doucement. "Là, là, bébé, oublie tout, maman va bien s'occuper de toi." Je ne puis résister à son étreinte; en fait j'étais presque soulagé de pouvoir me laisser aller complètement, et pendant que je retrouvais mon calme, Fiona essuya mes larmes avec son mouchoir. "Ca mieux maintenant?" Demanda-t-elle. Comme j'hochais la tête, elle continua, "je suis sure que tu vas rester là tranquille, comme une mignonne petite fille pendant que je vais te préparer à manger." Elle ôta son tablier, rangea la photo dans la poche droite de sa robe et mes clés dans l'autre poche, me laissant seul sur le lit, à méditer sur mon sort. Soumis, je n'avais d'autre choix que de rester humblement couché à attendre son retour.

    Elle revint quelques minutes plus tard. Elle entra dans la chambre avec une assiette et une bouteille qu'elle posa près du lavabo avant de vérifier si je n'avais pas essayé de me libérer. Une fois satisfaite, elle m'attacha le bavoir autour du cou puis revint vers le lit avec l'assiette. "Maman va te donner le miam-miam." Fiona m'ôta la sucette de la bouche. "Ce soir pour dîner tu as de la bonne banane écrasée, avec du sucre, comme l'aiment les grands bébés."

    Elle remua la pâtée molle sous mon nez, avant de remplir la cuillère qu'elle avança vers mon visage. Je refusais d'ouvrir la bouche et elle versa le contenu de la cuillère sur mes lèvres, il glissa sur mon menton et tomba dans la poche de récupération du bavoir. Avec la cuillère, Fiona racla la banane restée sur mon menton et me pinça le nez pour me forcer à ouvrir la bouche. La seconde fois, la purée trouva son chemin, et je l'avalais en réalisant qu'il était inutile de vouloir résister.

    Quand l'assiette fut vide, mon visage et le bavoir étaient couverts de purée de banane. Elle posa l'assiette dans le lavabo, et saisit le biberon et la boite de blédine dans ma valise. La bouteille contenait du lait chaud qu'elle utilisa pour préparer mon biberon. Fiona ria en se retourna vers moi. "Tu manges comme un petit cochon, bébé! Laisse moi te nettoyer un peu avant de te donner le poupou." Elle m'essuya le visage avec une serviette de flanelle et m'enleva le bavoir. "Comme tu as été bien mignon en mangeant ta banane, je vais te donner un traitement particulier."

    Elle grimpa sur le lit et me souleva jusqu'à ce que ma joue vienne s'appuyer contre sa poitrine. Elle plaça la tétine du biberon entre mes lèvres et, de sa main libre, souleva le devant de la nuisette et la fit glisser sous l'élastique de la culotte et sous la couche. Elle saisit doucement mon pénis et pendant que je tétais, elle se mit à me masturber. Je me mis à sucer plus fort, appuyant mon joue contre son sein. Quand j'approchai de l'orgasme, mes talons se mirent à frotter involontairement l'alaise en caoutchouc, de haut en bas

    La jouissance arriva dans un grand frisson, Fiona resserra sa main sur mon pénis, me trayant jusqu'à la dernière goutte. Ce traitement était délicieux et faisait vibrer tout mon corps. Fiona resserra son étreinte, me berçant doucement pendant que je terminais le biberons et sombrais dans un profond sommeil en sécurité entre ses bras.

    Il faisait déjà nuit quand je me réveillais. L'environnement étranger dans lequel je me trouvais me causa quelques soucis puis, en retrouvant mes esprits, les événements passés me revinrent petit à petit en mémoire. Fiona m'entendit remuer et leva les yeux du livre qu'elle lisait. "Coucou, mon petit bébé, tu as fait une bonne sieste?" Je me sentis terriblement gêné. Et encore plus quand elle s'approcha du lit et m'enfonça la sucette dans la bouche. "S'il te plaît Fiona, est-ce que je ne pourrais pas me rhabiller et retourner dans ma chambre à présent?" La sucette me faisait parler difficilement et me donnait une intonation infantile. "Tu n'as pas aimé être mon bébé tout à l'heure?" Demanda-t-elle d'un ton moqueur. Je remuais les pieds sans faire exprès, pour lui signifier ce qu'elle savait déjà. "Alors, bébé, dis le à ta maman. Si tu le dis, je pourrai peut être même le refaire quelques fois." "C'était merveilleux, Fiona, j'aimerai le refaire à nouveau."

    Elle sourit et défit mes liens. Elle m'aida à sortir de mes vêtements de bébé, me redonna mon peignoir et me rendit les clés de ma chambre. "Je garde tes affaires de bébé ici, si tu veux t'en servir, tu devras venir me voir d'accord?" Demanda-t-elle. Je fis signe que oui. Ca avait été une expérience incroyable, mais je me sentais très embarrassé maintenant que c'était fini. Tout ce que je voulais, c'était m'en aller.

    C'est à peine si je vis Fiona la semaine suivante. A mon grand soulagement, personne ne me questionna sur notre visite au café. Louise et Fiona restèrent silencieuses et la semaine se passa comme toutes les autres à l'université. Ca n'est que le Vendredi soir, quand je revins à ma chambre, que je trouvais un mot, glissé sous ma porte, qui me rappela ma situation. JE TE VOIS DEMAIN MATIN. 9h 30 PRECISE -F.-

    C'est ainsi que le lendemain matin, à 9 heures 30, je frappais à la porte de Fiona. Bien que j'ai beaucoup apprécié les événements du Samedi précédent, je me sentais offensé que l'on me dise comment je devais passer mon week-end. Fiona sembla deviner mon manque d'entrain quand je franchis sa porte, mais au lieu de la décourager, cela ne fit qu'accroître sa détermination. "Rappelle-toi tes engagements de la semaine dernière, et n'oublie pas la photo non plus." siffla-t-elle entre ses dents. "Maintenant déshabille-toi et couche toi sur le lit, je t'ai préparé quelques surprises."

    J'obéis humblement et, malgré ma résolution de ne montrer aucune émotion, je ressentis la magie du toucher et de l'odeur du caoutchouc. Quand Fiona eut enfilé son tablier et préparé la couche, j'étais déjà en pleine érection. Un sourire éclaira la face de Fiona quand elle vit ce qui se passait, et elle comprit que je n'offrirai aucune résistance. Elle pressa la sucette contre mes lèvres avant de me masser avec le lait de toilette et de me poudrer de talc. "C'est peut être dommage de cacher ça" dit Fiona, "Mais si tu es un gentil bébé, je pourrai peut être jouer avec un peu plus tard." Elle m'enveloppa le bassin dans le change et le fixa en place. "J'ai été très occupée à la salle de couture cette semaine. Je vais te montrer ce que maman à fait pour toi." Elle fit une pause pour voir ma réaction. "Pendant que tu dormais le semaine dernière, j'ai pris tes mesures et j'espère que tes nouveaux vêtements vont t'aller bien."

    D'un sac elle extraya une grande culotte faite extérieurement de satin rose et doublée intérieurement d'un tissu éponge. Quand elle enfila la culotte sur mes jambes j'entendis le bruissement d'une feuille de plastique qui était prise en sandwich entre les deux tissus. La culotte était très ajustée sur la couche et sur mes jambes, et descendait presque jusqu'aux genoux. Elle avait une ceinture intégrée, terminée par deux anneaux, et je ne comprenais pas comment on pouvait la fermer jusqu'à ce que Fiona approche un petit cadenas qu'elle referma sur les deux anneaux.

    Comme je regardais avec curiosité cette étrange culotte, je découvris les lettres brodées sur le devant où il était écrit: "LE BEBE DE FIONA"

    "C'en est trop, Fiona, ça va trop loin, enlève là moi." Suppliais-je. "Pas de caprice, bébé, vu que tu aimes porter des couches, tu vas devoir les remplir. Tu ne seras pas autorisé à utiliser les toilettes de tout le week-end. Le cadenas garanti que tu n'iras pas t'éclipser au cabinet." Je n'osais penser à ce qui allait suivre ensuite, alors qu'elle se penchait pour attraper autre chose dans la poche. "Lève-toi et essaye ta barboteuse, je suis vraiment contente de sa coupe." Elle se leva et déplia le vêtement, attendant avec impatience que je m'exécute. La culotte crissait bruyamment entre mes cuisses quand je me mis sur pieds pour me redresser. Fiona ouvrit le dos du vêtement et écarta le fond pour que je puisse y enfiler mes jambes. Elle le remonta en place par dessus la culotte et me montra que je devais passer mes mains dans les manches. Elle me fit tourner et remonta la fermeture éclair dans le dos, avant de se reculer pour jeter un oeil sur mon apparence. "Regarde dans la glace bébé, et vois comme tu es joli."

    Elle posa ses mains sur mes épaules et me fit tourner de façon que je sois face au miroir. Je n'en croyais pas mes yeux. Si ça n'avait pas été moi qui soit obligé de porter cette barboteuse, j'aurai pu apprécier le travail de la couturière. Elle était parfaitement coupée, et faite du même satin que la culotte. Le fond volumineux était bordé de dentelle rose rehaussé par des rubans et des petits noeuds assortis. Le haut était ajusté étroitement et comportait un col de dentelle assortie et des manches bouffantes.

    Fiona regardait mon reflet par dessus mon épaule, et découvrit mon expression d'horreur. "J'ai l'air ridicule, Fiona, enlève-moi ça." "Tu dois m'appeler maman durant tout le week-end, et je te trouve adorable. Tourne-toi maintenant." Ordonna-t-elle. Découragé, je fis demi-tour, à son grand amusement. "Embrasse maman et dis lui combien tu es content." Je me sentis rougir mais j'avançai vers elle, je sortis la sucette de ma bouche et l'embrassais sur sa joue tendue. "Merci, maman, pour mes nouveaux habits." bégayais-je. "Mignonne fifille. Reprend ta sucette et couche-toi sur le lit pendant que maman se prépare." Une fois allongé, je la regardais avec une inquiétude grandissante. Elle avait enlevé son tablier et attrapa son imperméable et ses bottes dans un placard. Pendant qu'elle s'habillait pour sortit, je fus pris de panique. Ma gorge devint sèche et mes oreilles se mirent à bourdonner. "Tu ne vas sûrement pas me faire sortir habillé comme ça." Protestais-je; "Parce que je ne veux pas!"

    "Tu feras ce qu'on te dis" coupa-t-elle; "Enfile ça par dessus tes nouveaux vêtements" ajouta-t-elle en me tendant une tenue de pluie. La grosse combinaison de pluie dissimulait les formes de mes nouveaux vêtements, mais je n'étais toujours pas enthousiaste à l'idée de sortir ainsi. Cela me semblait très risqué. "Seulement toi et moi savons." assura-t-elle, personne ne remarquera quoi que ce soit. Assied toi, je vais te mettre tes chaussures."

    Malgré mes réserves, je n'offris aucune résistance quand elle me mit les chaussures et qu'elle attacha les lacets. A ce moment je compris que sa volonté était plus forte que la mienne et que je resterai soumis à ses désirs. Comme nous nous dirigions vers la porte, elle sortit la sucette de ma bouche et la mit dans sa poche. Elle me prit la main et me mena le long du couloir jusque vers la sortie. Je marchais difficilement, la volumineuse masse de la couche épaisse et de la culotte me faisaient me dandiner. Le froufroutement bruyant de la culotte nous suivait pas à pas. Fiona sentit mon hésitation à l'approche de la porte, mais elle serra ma main et accéléra le pas. En approchant de la ville, le nombre de passants augmentaient. J'étais certains qu'ils regardaient tous mon gros derrière. J'étais terriblement gêné et Fiona prenait grand plaisir à ça. "Fiona, ne peut-on retourner à présent, tout le monde me regarde" suppliais-je. "Nous ne sommes plus très loin, et appelle moi maman, je ne te le répéterai pas." Comme elle avait dit, nous tournèrent dans une petite rue et après une quinzaine de mètres, Fiona ouvrit un portillon et me fit pénétrer dans le jardin d'une petite maison isolée. Le portail se referma derrière nous, et je vis des rideaux bouger à une fenêtre. Quand nous approchâmes, la porte s'ouvrit, et la jeune vendeuse du magasin de couches vint à notre rencontre. "Je suis si contente que vous ayez pu venir, Fiona" dit Caroline en me prenant par mon bras libre. "J'ai pu me procurer tout ce que tu m'as demandé." Elles me tirèrent à l'intérieur, et fermèrent la porte derrière moi. Caroline ouvrit la veste de mon vêtement de pluie et me l'ôta, ne montrant aucune surprise quand elle découvrit ma barboteuse. Pendant ce temps, Fiona m'avez enlevé les chaussures et avait baissé le pantalon de pluie, attendant que je l'enjambe. Je n'essayai même pas de résister, résigné à mon sort, des larmes d'impuissance se formaient aux coins de mes yeux.

    "Tati Caroline va te garder pendant que je vais faire quelques courses, tu seras une gentille fifille n'est-ce pas." Elle attendait un réponse. "Oui maman." murmurais-je. Avant de sortir, elle prit la sucette dans sa poche et la donna à Caroline. La porte se referma derrière elle, et je restais désemparé au milieu du hall, me demandant ce qui allait se passer à présent.

    "Viens avec Tati Caroline, bébé, et regarde ce que nous avons acheté pour toi" dit-elle en me guidant vers la pièce de devant. Je la suivis, découragé. "Maman t'a acheté une véritable poussette, assieds-toi pour l'essayer." Un grand fauteuil roulant pliant, en forme de poussette, était au milieu de la pièce. Le dossier et le siège était en tissu brillant à rayures, et il avait une capote en plastique transparent. Je remarquais avec inquiétude les nombreuses sangles fixées au repose-pied et aux accoudoirs. Caroline maintint les poignées pendant que je grimpais pour m'asseoir dedans. Une fois en place, elle relâcha le frein et me poussa vers la cuisine. "Tu es arrivé juste au bon moment, je viens de préparer ta dînette. Ecarte les bras que je te mette ton bavoir." Elle avait saisi un énorme bavoir avec manches qu'elle enfila sur mes bras avant d'attacher le ruban derrière la nuque. Elle revint sur le devant de la poussette et boucla une sangle serrée autour de la taille. Comme je commençai à protester, elle me mit la sucette dans la bouche. "Reste calme bébé, sinon je dirai à maman que tu as été vilain et tu auras de sérieux problèmes." Elle attacha ensuite mes chevilles au repose-pied, et termina en entravant mes poignets aux accoudoirs. "Voila, comme ça tu seras une mignonne petite fille avec Tati Caroline." Et elle commença à me faire manger. Mon repas consistait en une purée vite prête et un biberon de lait. Elle était volontairement maladroite et la moitié des cuillers finissaient sur mon visage ou sur le bavoir. Au bout d'un moment, j'eus conscience d'un besoin de faire pipi. La sangle autour de ma taille augmentait mon malaise. "Pouvez-vous me détacher s'il vous plaît, que je puisse aller aux toilettes." Demandais-je à Caroline. Elle me regarda et sourit. "Oh non! Maman a dit que tu devais uniquement utiliser tes couches, alors tu vas rester là jusqu'à ce que tu le fasse." Caroline s'amusait de ma gène. "D'ailleurs tu vas avoir un autre biberon pour que ça vienne plus vite."

    Je me débattais inutilement dans les courroies qui me maintenaient en place pendant que Caroline remplissait à nouveau le biberon de lait et revenait vers moi. Je refusais d'ouvrir la bouche et, au lieu de s'énerver, Caroline desserra le frein de la poussette et me mena vers la porte d'entrée. "Où m'amenez-vous?" M'écriais-je. "Tu vas aller dehors jusqu'à ce que tu apprennes à obéir à ce qu'on te commande" répliqua-t-elle. "Maintenant, une dernière chance, est-ce que tu veux le boire ton biberon?" "Oui Tati Caroline." Répondis-je vaincu et désespéré. Je dus me forcer pour boire, non seulement ce biberon, mais encore un de plus en punition pour n'avoir pas obéi tout de suite.

    Je demeurai sur la poussette tout le restant de l'après-midi, sachant que tôt ou tard je serai contraint de faire pipi dans ma culotte. Le problème c'est que je n'y arrivais pas. Ca n'est qu'après de pénibles efforts que je parvins à échapper quelques gouttes, ce qui était insuffisant pour soulager la pression dans ma vessie. Caroline s'inquiéta de me voir rougir d'effort. "Il faut te relaxer," me dit-elle. 'Prends un de ces cachets" et elle me tendit une petite pilule rouge. "Ce sont des tranquillisants, pas très forts" ajouta-t-elle en voyant mon regard inquiet. J'ouvris la bouche, elle y enfourna le cachet qui fut suivit par un autre biberon de lait. Peu de temps après, mes paupières devinrent lourdes et je ne pus garder les yeux ouverts.

    C'est le bruit des voix qui me réveilla. J'étais toujours attaché sur la poussette qui avait été ramenée dans la pièce de devant. Le manteau de Fiona était posé sur un fauteuil, et une pile de paquets était à coté de moi. "...les deux chambres à la cité sont libérées à présent" je pouvais entendre Fiona dans l'entrée, "...et j'ai donné ses affaires à l'armée du salut. Je suis sure que la lettre à son professeur va nous donner tout le temps qu'on aura besoin. Allons voir si bébé est réveillé." Il semblait qu'elles avaient l'intention de me garder ici plus longtemps qu'un week-end. Je me débattis dans mes liens quand elles entrèrent, bras dessus, bras dessous. Amusées, elles regardèrent un moment mes vaines tentatives pour essayer de me libérer, puis, elles s'approchèrent. "Ca ne sert à rien joli-coeur, tu es à nous à présent." Dit Fiona. Elle posa la main sur ma culotte, à l'entrejambe, et tata la doublure éponge trempée à l'intérieur. "Notre petit bébé a mouillé sa couche." Dit-elle à Caroline avec un plaisir évident, "Est-ce que je la lui change, ou bien veux-tu le faire?" "Tu peux le faire si tu as en envie, chérie, j'aurai plein d'autres occasions désormais." Ce fut le commencement de mon retour forcé à l'enfance. Ma résistance diminua, et à présent j'apprécie le sentiment de sécurité d'être en couches et le confort de la fuite des responsabilités. J'éprouve toujours l'envie d'envoyer un message dehors, à ma famille, à mes amis, pour leur dire ce qui m'est arrivé, mais pour être tout à fait franc, je ne suis pas sur de vouloir être "sauvé". Mon seul acte de rébellion à l'encontre de ma nouvelle maman et de ma nouvelle tatie, c'est ce récit des événements et qui, malgré moi, est devenu une prière pour que tout cela continue. A présent, résigné et heureux de mon sort, je dois signer:

    LE BEBE DE FIONA

    Traduit de l'anglais par Bébé Jean -9505- Janvier 97.

     


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  • Une nurse qui fesse une nurse, voici qui est sympathique, tablier sur tablier...

    J'imagine le tablier de la punie en contact avec celui de la punisseuse, quel régal.
    Quel régal aussi que ce solide joufflu encadré en haut par la blouse retroussée, en bas pas la culotte baissée, et sur les côtés par les porte-jaretelles.

    Remarquez, je dis que la punie est une nurse, mais elle ne porte pas toute à fait le même uniforme, c'est peut-être une aide-soignante ou une fille de salle...

    La hiérarchie est donc respectée.

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  • Banal, le titre de l'article? Oui.

    Mais la soubrette n'est pas banale, reconnaissez-le, et elle a vraiment de gros et beaux nichons.

    Aimeriez-vous les flatter? Les caresser? Les palper? Les tripoter? Les pétrir? Les lécher? Les sucer? Les têter?

    Et pour en revenir au titre, comment les appelez-vous?
    Les nichons?
    Les tétés?
    Les tétasses?
    Les mamelles?
    Les nibards?
    Les roberts?
    Les lolos?
    Les loloches?

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