• Oui, j'aime les dindes.

    Les femmes un peu bêtasses, ou qui aiment jouer à l'être, j'aime les dindes dodues, pour les farcir.

    Et quand une femme en tablier cuisine une belle dinde, c'est un double plaisir.

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  • Geisha n'est certainement pas le bon terme, une geisha serait en costume traditionnel, fardée, perruquée, et tout le folklore.

    Mais douce geisha doit être un mot gentil, et comment ne pas avoir envie d'être gentil avec cette japonaise agenouillée, si mignonne avec son tablier à bavette volanté?

    Vous avez remarqué sa poitrine qui pointe sous la bavette? Splendide, non?

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  • Ce texte figurait sur un site de récits:
    site.voila.fr/achacunsavie/mapageweb/histoire_ligotage/l_education_de_suzie/leducationdesuzie.html
    Mais je l'ai mis ici de peur qu'il ne disparaisse et j'ai bien fait, le site a disparu.


    Avec Dominique, nous avons très tôt eu des jeux bizarres. Enfants, en jouant aux cow-boys et aux indiens, c'était toujours lui le prisonnier. En jouant au gendarme et au voleur, j'étais toujours le gendarme qui le gardait des mercredis après-midi entiers attaché les mains au dos, pour notre plus grand plaisir commun. Nous avions confusément conscience de ne pas entrer dans la norme et, sans jamais l'avoir évoqué, nous gardions secrets nos jeux de ficelle. Je ne me souviens pas de la première fois ou je l'ai habillé en fille. Nous devions avoir quatorze ou quinze ans. Je me souviens parfaitement, par contre, du plaisir diffus que j'ai éprouvé à le transformer ainsi. Je crois sans en être sûre que c'est ce jour là que j'ai eu mon premier orgasme, sans qu'il me touche et encore moins sans que je me caresse. Je n'ai pas compris sur le moment ce qui m’arrivait mais je savais que c’était délicieux et que j’avais envie de recommencer. Ainsi débuta ma longue quête du plaisir défendu, quête qui n’est pas terminée, loin s'en faut.

    Nous ne passions pas notre temps à ce genre de jeux. Nous avions la vie normale et frénétique des ados de notre âge, mais régulièrement, les jours de vacances pluvieux et les mercredis ou l’on s’ennuie, nous faisions l’assaut des armoires parentales et nous changions de peau et d’âme. Je me transformais en princesse, en bourgeoise, en catin au gré de mon humeur et Dominique se métamorphosait en soubrette, en écolière ou en petite fille. Que de jours délicieux avons nous passé ainsi...

    Tout naturellement, nous avons continué après notre mariage. J’ai continué à dominer et à travestir Dominique, pour notre plus grand plaisir. Maintenant que nous étions chez nous, je lui confectionnais une garde robe a mon goût. Chaque vêtement fut choisi avec soin, pour un usage spécifique. En effet, je décidais de reprendre son éducation à zéro. Dominique aimait de plus en plus sa vie de femme et avait du mal à reprendre ses habits de garçon. Il évoquait souvent sa féminité frustrée et préférait la plupart du temps rester à la maison, habillé en fille, plutôt que de sortir. Nous en avons longtemps, repoussé l'idée plusieurs fois mais nous avons fini par nous décider à sauter le pas. Mais quitte à transformer Dominique en femme, je la voulais épouse, dame de compagnie, amante et soubrette tout à la fois et son éducation de garçon, même améliorée par mes soins, ne pouvait y suffire. Un soir donc, je lui expliquais mon plan mûrement réfléchi. J’allais le faire régresser jusqu’au stade de bébé, puis le faire grandir en le modelant à mon idée, jusqu’à ce qu’il soit exactement ce que je voulais. Dominique ne fut pas difficile à convaincre et une fois l’idée acquise, fut même franchement enthousiaste. Il avait depuis toujours l’habitude se reposer sur moi pour toutes les choses de la vie quotidienne comme les décisions les plus importantes et les changements à venir ne lui faisait pas peur.

    Peu après, un samedi matin, je me levais tôt et me préparais comme je l’avais prévu. Je m’étais procuré un véritable uniforme de nurse. J’enfilais la blouse à fines rayures roses et blanches, nouais le large tablier de coton blanc à bavette et épinglais une petite coiffe blanche sur mes cheveux relevés en chignon. Avec mes collants blancs et mes talons plats, je faisais une ravissante puéricultrice. Mon mari ne fut pas surpris de me voir habillée ainsi, comprenant que son éducation commençait. Nu comme un ver, je l’emmenais dans la salle de bains et là, après lui avoir donné un bain bien chaud, je lui administrais un bon lavement à l’eau glycérinée. C'est une pratique que nous aimons tous deux depuis longtemps. Puis j’entrepris de l’épiler entièrement. Cela pris très longtemps, car je voulais mon bébé fille toute lisse. Non pas qu’il fut très poilu, il était même pratiquement imberbe, à la fois sur le visage et corps, mais épiler complètement quelqu’un qui ne l’a jamais été est un sacré travail. Je m’attardais particulièrement sur le visage, le sexe et l’anus, que je voulais rendre vierge. Je lui épilais entièrement les sourcils, ce qui lui fut très douloureux. Comme il commençait à gigoter, je lui attachais les mains et les pieds avec de larges rubans de soie rose que j’avais préparé. Quand il fut bien lisse comme un bébé, je l’enduis d’huile précieuse pour éviter l’irritation et le talquais des pieds à la tête. Pour parfaire la transformation je lui fis un brushing car je voulais une petite fille parfaite. A ce moment, Dominique paniqua un peu. "Je ne vais plus pouvoir sortir dans la rue " s’inquiéta t-il. Je lui répondis qu’un bébé ne sort pas dans la rue et qu’il ne ressortirait pas de la maison de sitôt. Pour couper court à ses inquiétudes je le mis face au grand miroir de la salle de bain. Quel changement ! Le jeune homme qu’il était trois heures plus tôt ressemblait à un gros baigneur avec les gros noeuds de soie rose qui l’entravait. Je vis son petit sexe tout lisse se tendre instantanément. J’avais prévu cela et comme je le voulais pour l’instant asexué, je pris sa verge dans ma main et la caressais.

    Oh! La jolie petite poupée que tu as ici, lui dis-je, il ne faut pas la laisser toute nue, nous allons lui mettre une jolie robe." Et joignant le geste a la parole, j’emmaillotais bien serrée sa verge et ses testicules dans un fourreau de soie blanche orné de dentelles cousues a cet effet. Ainsi fait, Il ne me restait plus qu’à le détacher et à l’habiller. Je commençais par lui mettre ses couches. J’optais pour deux couches droites bien absorbantes que je glissais dans un large change complet de nuit avec une culotte en caoutchouc rose, fermée avec des pressions sur les cotés. Cela lui faisaint un adorable derrière bien rebondi. Par-dessus, je lui enfilais un body de coton blanc puis une grenouillère toute rose en coton, fermée aux poignets et aux chevilles par de jolis rubans bleu ciel que j’avais cousu moi-même. Avec un bandeau blanc dans les cheveux, j’avais devant moi une charmante pouponne.

    Je parlerais désormais de Dominique au féminin car à partir de ce jour, je ne l’ai jamais considérée que comme une fille, au point que je ne l’imagine même plus comme ayant été un homme. Cela me fait l’impression d’être une existence antérieure et extrêmement lointaine. Je lui expliquais les termes de sa nouvelle condition : "A partir de maintenant, tu es une petite fille. Tu t’appelles Suzie et je serais ta nounou jusqu’à ce que tu grandisses. Je serais intraitable sur la propreté et sur l’obéissance mais si tu es gentille et bien sage, tu auras plein de bisous. Mais maintenant, il est l’heure d’aller te coucher." Il était à peine onze heure du matin et je l’emmenais à quatre pattes jusqu’à la chambre d’enfants. Cette chambre était déjà aménagée quand nous avions acheté la maison et était tapissée d’un joli papier bleu ciel avec des petits nounours. Nous y avions installé un lit d’une personne pour les amis. Je la couchais sur le lit et sortis du placard la gigoteuse que je lui avais cousu dans un sac de couchage. Je la glissais dedans, lui passais les bras dans les trous prévus à cet effet, remontais la glissière et serrais la ceinture élastique. Ainsi ma petite filleJe lui attachais à nouveau les mains, pour qu’elle ne se blesse pas et lui mis une tétine dans la bouche que j’attachais derrière la tête pour qu’elle ne puisse pas la perdre. Qu’elle était adorable ainsi, entravée dans la turbulette, a ma plus entière merci. Je l’embrasais tendrement et sortis.

    Je la laissais comme cela pendant deux heures. Vers treize heures donc, j’allais ouvrir ses volets. Ma bébé était réveillée et me regardait. Je la fis monter sur la table à langer improvisée sur la commode de la chambre. Je lui ôtais la grenouillère et changeais sa couche. Elle avait fait pipi dedans et sa poupée était tachée d’urine. Il faut dire que le matin, je lui avais fait boire deux bons litres d’eau, pour qu’elle élimine bien. Je décidais de sévir sans attendre. Je la couchais en travers de mes genoux et lui administrais une bonne fessée. Elle se tortillait mais je n’arrêtais pas avant que les fesses soient bien rouges. Sa petite poupée était toute dressée mais de quelques bonnes claques, je lui fis baisser la tête. Pas d’arrogance avec moi ! Pour ma part, je sentais la pointe de mes seins se presser contre ma blouse de nurse et ma culotte était toute chaude et humide. Je n’en laissais toutefois rien voir car je voulais être une éducatrice parfaite. J’emmaillotais à nouveau sa poupée avec un fourreau de soie que j’avais cousu le matin. Je serrais bien cette douce camisole en lui expliquant que c’était la punition de sa mauvaise attitude. Une fois nouée, sa poupée aurait été bien en peine de se redresser. Ensuite je talquais ses fesses rosies et lui remis une couche, une culotte en plastique et sa grenouillère. Ainsi habillée, je l’emmenais manger. Après lui avoir noué un bavoir autour du cou, je lui donnais un bon biberon de lait, assise sur mes genoux. Puis je lui donnais à la cuillère une bouillie et un yaourt. Comme elle avait bien mangé, pour la récompenser, je la couchais sur le ventre dans le canapé et lui passais une cassette de Babar. Pour éviter qu’elle ne tombe et ne se blesse, je lui repliais les jambes de façon à ce que ses pieds touchent ses fesses et je lui attachais les mains aux chevilles avec les rubans roses. Je lui remis aussi sa tétine car les bébés aiment se sentir en sécurité. A la fin de la cassette, hop au lit ! Je la recouchais pour trois heures. Puis le soir à nouveau, biberon, bouillie, yaourt et après deux heures dans le canapé, je la mis au lit pour la nuit.

    Ainsi se passa la première journée de la nouvelle vie de Suzie. Sa vie de bébé dura six mois. Elle resta couchée, attachée dans sa gigoteuse la plupart du temps même si de temps en temps, je la laissais l’après-midi enfermée dans sa chambre avec ses jouets. Dans ce cas, je lui attachais les chevilles et les repliait sur ses cuisses pour les y attacher ensembles. Je ne voulais pas qu’elle marche tout de suite et ainsi ligotée, j’étais tranquille. Pendant tout ce temps, elle ne me vit jamais habillée autrement qu’en nurse et ne m’appela que nounou. Avant de partir travailler le matin ou en rentrant le midi et le soir, j’allais d’abord mettre ma blouse et mon tablier blanc avant d’entrer dans sa chambre. Là, je la changeais, lui donnais à manger, la câlinais ou la punissait si ces couches étaient mouillées puis la recouchais. Pendant ces six mois, elle ne marcha qu’a quatre pattes et ne parla que comme un bébé. Elle essaya bien au début de parler comme une grande mais à chaque fois je lui lavais la bouche au savon noir puis la bâillonnais pour la journée. Elle abandonna bien vite. Tous les matins, je lui administrais un suppositoire de glycérine et la mettais au pot car je ne voulais pas changer de couches souillées de caca. Les quelques fois ou cela arriva, je lui donnais un bon lavement puis lui bouchais l’anus avec un godemichet qu’elle gardait la journée et la nuit suivante. Elle appris bien vite à régler ses intestins et les trois derniers mois, pas une seule fois elle ne fit caca dans sa couche. Sa verge aussi resta emmaillotée pendant six mois et pas une seule fois elle n’eut de le droit de la soulager. Le soir, elle venait se pelotonner contre moi. Je la sentais chaude et moite, rouge d'excitation, mais malgré mes envies je ne cédais pas et la laissais mariner des états d’éternelle frustration.

    Après un mois de ce traitement, je trouvais régulièrement la robe de sa poupée, comme je l’appelais, souillée de semence. Dans ce cas, je la montrais a Suzie et elle savais que là aussi, elle aurait droit au lavement et au godemichet. Pour moi au contraire, la vie sexuelle était on ne peu plus active. Je me masturbais chaque jour et je collectionnais les aventures. J’amenais mes amants ou amantes chez moi pour me faire l’amour et penser a ma pauvre petite fille attachée et couchée dans sa chambre me mettais dans des états d’excitation incroyables. De temps en temps, pour m’occuper de mon bébé, je portais des boules de geisha sous ma blouse et je m’offris ainsi quelques beaux orgasmes que je lui dissimulais bien sur.


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  • Un très intéressant récit, cité dans une étude très sérieuse sur les masochismes, où le tablier prend une place importante.
    Comme d'habitude, de peur que le site disparaisse, je vous le livre in-extenso, mais je vous invite à visiter le lien:

    pagesperso-orange.fr/causepsypsycause/lesmasochismes.htm



    Un masochisme matriciel

    Cela faisait plusieurs fois que Karine me tendait la perche. Une fois aux sports d'hiver, elle avait insisté pour que je porte ses collants de laine noirs sous ma combinaison de ski, prétextant le grand froid qui régnait ce jour-là. Une autre fois, pour une soirée costumée, elle aurait voulu que je m'habille en femme…

    C'était une fin de soirée d'hiver banale. Cette fois-ci, ma femme ne paraissait pas décidée à ce que j'élude le sujet :
    "- J'ai bien remarqué comment tu lorgnes mes jupes, disait-elle en riant, ne me dis pas que tu n'aimerais pas en porter aussi".
    Je protestais, assez mollement. Nous continuâmes à jouer ainsi au chat et à la souris, jusqu'à ce j'accepte,"pour lui faire plaisir", de tenter une expérience avec elle.
    Dans la chambre à coucher, Karine me sortit sa plus belle parure. D'un bleu marine très profond, la soie scintillait et bruissait sous ses doigts, rehaussée par les incrustations de dentelle blanche… J'étais rouge de confusion et d'excitation mêlées. Enfin, elle fixa une paire de somptueux bas blancs aux jarretelles et se recula pour admirer son œuvre.
    Je me sentais légèrement mortifié et terriblement vulnérable à ce moment.
    "- Tu es merveilleux comme ça, me dit-elle, on croirait que ça a été fait pour toi".
    Elle me poussa sur le lit et m'allongea sur le dos. Là, sans un mot de plus, elle se plaça à califourchon sur moi et d'une main, sortit ma verge toute raide de sa prison de soie. Sans plus de préliminaires, elle s'assit dessus en gémissant. Je rentrais d'un coup, le vagin était tout humide et si chaud. Je laissais échapper un râle.
    Karine s'agitait doucement, en se mordant les lèvres, profitant de chaque seconde de jouissance.
    Après avoir repris nos esprits, j'étais un peu mal à l'aise mais ma femme dissipa toute gêne.
    "- C'était si bon, me dit-elle. Tu vois que j'avais raison, j'étais persuadée que cela te plairait".
    Je l'embrassais tendrement.
    "- Je dois avouer que c'était délicieux", lui avouais-je. Et c'est vrai que tes dessous m'ont toujours fait un effet incroyable.
    "- On ne trompe pas sa femme comme cela, me lança-t-elle en riant. Je l'avais deviné. Maintenant, fais-moi plaisir. Porte un truc à moi pour cette nuit."
    J'acceptais, vaincu et je dormis donc cette nuit-là en nuisette.
    " Si tu es toujours aussi gentil, tu n'as pas fini d'avoir du plaisir, me répondit-elle sérieusement. Maintenant occupe-toi de moi ".

    Nous avons continué quelques mois comme cela. Karine voulait maintenant que je me maquille et que je porte des talons avant de faire l'amour. De même, je m'épilais à la cire trois fois par semaine. Mon amour ne se lassait pas de m'acheter de nouveaux sous-vêtements…. Je ne fus pas réellement surpris quand je sortis la jupe droite de drap gris du paquet :
    "- Tu es sûre que c'est ma taille ? M'inquiétais-je. Je ne voudrais pas avoir à faire un régime pour rentrer dans ma première jupe".
    Karine avait bien fait les choses, comme à son habitude. Après m'avoir maquillé avec soin, nous commençâmes l'habillage. Outre la jupe, elle m'avait acheté un chemisier blanc à manches longues. Après la douche, place aux essayages. Karine commença par cacher ma verge et mes testicules sous une espèce de coquille de plastique rose qu'elle attacha comme un string, avec une ficelle à la taille et l'autre entre les fesses. Elle fit remonter d'un geste adroit les testicules dans l'aine pour qu'ils ne prennent pas de place et confina mon sexe dans cette prison de plastique.
    " -C'est parce que la jupe se porte très serrée, c'est pour qu'on ne voit pas ton petit machin, me dit tendrement mon épouse. Regarde, on dirait un joli mont de Vénus, comme pour une fille "…
    Comme c'était un grand jour, Karine continua à m'habiller. Soutien-gorge, dorénavant rembourré par des prothèses assez réussies, porte-jarretelles et culotte en satin rose pour commencer, avec des bas gris fumé très fins et des trotteurs noirs à talons de sept centimètres. J'étais face au miroir et je ne pus m'empêcher de plaquer une main sur mon nouveau minou. L'impression était très étrange et très agréable. Sous le satin de la culotte, il ne semblait y avoir qu'un sexe de femme.
    Puis vint le tour du chemisier et de la jupe, qui en effet était très ajustée. Elle descendait juste au-dessus des genoux et je sentais la doublure frotter à chaque mouvement contre mes bas. J'eus bientôt un début d'érection bien vite stoppée par sa prison de plastique.
    "- Aujourd'hui, tu es une fille, me répondit-elle dans un mouvement d'humeur. Les filles n'ont pas ce genre de problème, que je sache".
    Karine me fit me lever et tourner devant le miroir, manifestement fière de son Œuvre. Je n'en croyais pas mes yeux. J'embrassais ma femme pour la remercier et quand je sentis ses mains me peloter les fesses au travers de l'étoffe de la jupe, j'eus l'impression que mon sexe allait bondir hors de sa cage de plastique. En vain, il resta emprisonné sans espoir de se développer. L'affaire était entendue, je m'appellerais désormais Aline en version féminine.
    Je passais une journée fantastique. Je me sentais si bien en femme. La jupe droite m'enserrait délicieusement les cuisses et à chaque mouvement, me rappelait ma tenue de fille.
    Le matin, je l'aidais dans les tâches ménagères. Elle avait mis une robe courte sans manche, noire, qui la rendait très désirable et chaque fois qu'elle le pouvait, elle s'arrangeait pour me frôler les fesses quand elle ne me pelotait pas, tout simplement.
    Après le repas, mon épouse voulut aller se promener. J'étais prêt à me changer mais elle ne voulut rien entendre, malgré mes protestations. Elle exigeait que je sorte habillé en femme ! Karine me prêta son imper, un sac à main et, avant que j'aie vraiment réalisé avait mis son manteau et me poussait dans la voiture.
    En sortant du parking souterrain du centre-ville, j'étais rouge comme une pivoine. J'étais persuadé que tout le monde allait deviner la supercherie et je m'apprêtais à m'enfuir sous les quolibets. En fait, rien n'en fut. Personne ne faisait attention à moi. Il faisait plutôt frais et assez vite, il se mit à bruiner légèrement. Heureusement nous avions un parapluie et nous passâmes une bonne partie de l'après midi à faire du lèche-vitrines. Me sentir entièrement femme de la tête aux pieds, c'était le plus beau jour de ma vie.
    C'était ma première journée en femme et j'en garde un souvenir ému.

    D'un commun accord, nous avons décidé que je passerais désormais tous mes week-end et les vacances habillé en fille et très rapidement, c'est aussi les soirs de la semaine que je passais en femme.
    J'adorais mon nouveau rôle de petite femme d'intérieur. En effet, Karine qui est médecin et surchargée de travail, me délégua la tâche d'entretenir la maison. Pour acheter mon assentiment, elle m'offrit de jolis tabliers et des livres de cuisine…
    Au bout d'un an, j'avais acquis une aisance qui me permettait de sortir seule. Le seul problème était ma voix, aussi quand Karine me proposa un traitement hormonal sous son contrôle, j'acceptais sans hésiter. Mes seins commencèrent à pousser, ma voix mua progressivement, mes hanches s'épaissirent et j'eus à m'épiler moins régulièrement. Je changeais physiquement mais aussi psychologiquement. Je me sentais de plus en plus femme, au point de renier l'homme que j'avais été. Je me dégoûtais habillé en homme et n'aspirais plus qu'à vivre en femme.
    Mon épouse, elle, avait pris la responsabilité du ménage et ne manquait pas de me le faire sentir mais j'adorais tant mon nouveau rôle de petite femme modèle que je ne lui en voulais pas. Je lui portais son petit-déjeuner en dessous de satin sous mon tablier et je la déchaussais quand elle rentrait de son cabinet le soir pour lui passer ses mules.

    Peu de temps après, je me suis fait licencier. Je ne saurai jamais si cela a un rapport avec mon changement physique, mais il est vrai que sur la fin, je croisais des regards amusés de la part de mes collègues. J'avais de plus en plus de mal à cacher ma poitrine naissante et avec mes sourcils épilés et ma voix qui commençait à changer, j'étais de plus en plus mal à l'aise. Quelques semaines plus tard, j'étais devenue assistante médicale.

    Karine était devenue incroyablement exigeante. Un jour où j'avais taché ma blouse (car je fais le ménage en plus du secrétariat), elle a même dit à une cliente que j'étais sale et négligée. J'étais écarlate de honte.
    À la maison ce n'est pas mieux : je sers à la fois de bonniche et d'objet sexuel. Matin et soir, un tablier noué sur ma robe, je m'active pour servir Madame. Les remontrances sont moins rares que les compliments et bien souvent c'est une paire de gifle que je reçois comme récompense. Je sèche alors mes larmes dans mon tablier et je viens demander pardon, abjecte de soumission. Karine, triomphale dans son rôle de maîtresse de maison, m'autorise alors parfois à la lécher pour me faire pardonner. Si elle est vraiment de mauvaise humeur, c'est alors le coin, où alors je suis envoyée au lit sans manger où parfois même je suis fessée comme une gamine, couchée en travers de ses genoux et troussée jusqu'à la taille.

    En fait ce qu'elle voulait et qu'elle a obtenu, c'est une petite femme d'intérieur, soumise et effacée. Je n'ai ni chéquier, ni carte bleue. Je n'ai pas le droit de m'acheter des vêtements toute seule et c'est toujours mon épouse qui choisit pour moi, du manteau au soutien-gorge. Grâce aux hormones j'ai d'ailleurs eu de vrais petits seins et Karine m'a faite opérer pour en avoir de plus gros. Je fais maintenant un bon 90c. J'ai une petite vie bien remplie et bien réglée et c'est vrai que si parfois j'aimerais un peu plus de liberté, j'y trouve un réel confort.

    Entre mon travail d'assistante médicale et mon activité d'épouse dévouée, je n'ai pas le temps de chômer. Je suis debout aux aurores pour faire du repassage ou du ménage et je ne m'endors qu'après avoir effectué mon devoir conjugal… Comme mon sexe est maintenant trop petit pour la satisfaire, je dois utiliser principalement ma langue et mes doigts pour lui donner du plaisir, mais aussi des godemichés qu'elle ne manque jamais de me planter dans l'anus après lui avoir servi. Je dois avouer que j'adore cela et que de temps à autre, elle me fait porter un plug pour la nuit ou en journée, seule la punition qui m'attend si je suis surprise à me masturber me retient de me caresser.

    Je m'épanouis à l'ombre de ma femme pour notre plus grand plaisir.


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  • Je ne sais pas qui elle est, je ne sais pas d'où vient cette photo.

    Cette femme est belle sous ce tablier, elle serait belle même sans tablier, mais ce tablier bavette rouge à volants lui donne encore plus de charme.

    Merci, Madame.

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