• Un récit de Ramina, inspiré par Clodinet, je remercie les deux.


    Chapitre 11 : La punition

     

    Gilbert Paluchaud, l’arrogant chef d’entreprise, n’était plus qu’un mari soumis, réduit à la dimension d’une paire de fesses écarlates et cuisantes, sévèrement corrigée par Gladys, nouvelle amie de sa femme. Comble d’humiliation, à la demande de cette dernière.

    A peine redescendu de la cuisse de la maîtresse femme où il venait de longuement tortiller des fesses au rythme d’une trépidante fessée, il se les tient à pleines mains dans l’ouverture de son tablier, en se dandinant sur ses talons aiguille.
    -- «Dites-moi mon cher», l’interroge sa diabolique fesseuse sur le ton de la confidence, «comment avez vous trouvé cette fessée? Vous l’avez sentie, ma main claquer sur vos fesses, elles vous cuisent bien maintenant?»
    -- «Pour ça oui, elles me cuisent bien. Qu’est ce que vous tapez fort!» proteste Paluchaud d’un ton plaintif. «Vous n’y allez pas de main morte sur les fessées, vous m’avez mis le cul en feu!»
    -- «Que voulez vous mon cher, quand on a sous la main un solide fessier comme le votre, il serait scandaleux de ne pas ,lui en mettre des sévères!»
    Elle lance un clin d’œil de connivence à Victoria.
    -- «J’en connais une qui ne va pas s’ennuyer avec une pareille paire de fesses, à la maison!»
    Victoria se trémousse de plaisir sur le canapé.
    -- «Et comment, j’ai bien l’intention de rattraper, toutes les fessées perdues!»
    -- «Et moi donc!» ajoute Véronique, assise à côté d’elle dans le canapé.
    Elle fait bruisser ses bas nylon sur ses cuisses en croisant et décroisant les jambes. Elle aime ce contact.
    -- «Si vous saviez le nombre de fois ou il aurait mérité de se faire claquer le derrière pour son odieux comportement!»
    -- «Mais quoi!» s’indigne le Gilbert qui se rebiffe une nouvelle fois, tout en se frottant les fesses. «Je n’ai fait que diriger mon personnel en tant que responsable de l’entreprise!»

    Il n’a pas eu le temps de voir arriver la gifle que lui allonge Victoria qui a soudainement bondi du canapé.
    -- «Tu ne manques pas d’air toi! Et à la maison tu es responsable de quoi… hein? De me prendre pour la bonniche? Comme celle que tu es ce soir… Monsieur la soubrette en tablier et porte jarretelles!»
    -- «Mais qu’est ce qu’il te prend tout d’un coup!» pleurniche le Gilbert en se frottant la joue d’une main et les fesses de l’autre.

    Véronique applaudit.
    -- «Bravo, ça c’est envoyé!»
    -- «Et ce n’est qu’un début, ajoute Gladys.» Elle ironise. «Parce que dites moi monsieur le Directeur, est ce que je vous ai autorisé à vous frotter les fesses après votre fessée?»
    La main sur sa joue endolorie, Gilbert, soudainement calmé, réussit à répondre assez vite pour éviter une quatrième fessée.
    -- «Non, Madame Gladys, je ne le ferai plus.»
    -- «Que vous ai-je ordonné de faire?»
    -- «D'aller voir mon épouse.»
    -- «Et pour quoi faire?»
    -- «Pour recevoir une autre fessée, Madame.»
    -- «Vous voyez quand vous voulez, on répond mieux avec les fesses bien cuites! Une autre fessée...bien sûr, mais une fessée comment?»
    La crainte de sentir encore et encore la main de la terrible femme claquer sur ses fesses le fait réagir immédiatement.
    -- «Une fessée déculottée Madame!»

    Impitoyable, Gladys prend plaisir à continuer de le tourmenter devant Victoria et Véronique qui commence à vraiment mouiller leur culotte devant la séance de dressage.
    -- «Bonne réponse mon ami! Une fessée déculottée, bien sûr! Et à propos de fessée déculottée, dites-moi, à quand remonte la dernière qui vous a bien rougit les fesses?»

    Gilbert Paluchaud la regarde, sidéré d‘un tel cynisme, la poitrine encore secouée de violents sanglots. Il a compris, horrifié, qu’elle fesse autant par plaisir que pour punir. Elle est capable de lui flanquer autant de fessées qu’elle estimera nécessaire jusqu’à ce qu’elle obtienne une réponse satisfaisante. Et pire encore, il n’a aucune marge de manœuvre pour y échapper.
    -- «Ma dernière fessée déculottée?»... murmure-t-il en reniflant ses larmes. «Mais… mais c’est vous madame! Il y a cinq minutes! Une sacrée fessée même, c’est vous qui me l’avez flanquée! Regardez, j’ai les fesses en feu!»
    -- «Effectivement je vous les ai rougies bien comme il faut! Elles sont cuites à point! Prêtes à recevoir la fessée suivante que votre femme vous prépare.»
    -- «Quoi , encore la fessée!!! Mais... mais…»
    -- «Vous préférez peut-être la mise en ligne de vos petites manies sur internet!»
    -- «Euuuh… n… non madame!»
    -- «Alors on se reculotte et on va chercher sa nouvelle fessée!»
    -- «Comment ça je me reculotte?… Je préfère pas… J’ai trop mal aux fesses! Et pourquoi, puisque...»
    -- «Pour que votre épouse ait le plaisir de vous re-déculotter! Et cessez vos pleurnicheries, ou je vous flanque une autre fessée avant celle qui vous attend!» 

    L’argument est convainquant. Gilbert se déplaça aussi rapidement qu'il le pouvait alors que son slip en travers des cuisses, gênaient sa progression. Ses grosses fesses écarlates, cerclées de jarretelles et bien exposées entre les pans de sa blouse ouverte tressautaient au rythme de sa marche saccadée. Arrivée devant sa femme il s'arrêta, partagé entre la nécessité d'obéir à l'ordre que lui avait donné Gladys et l'envie de fuir cette situation à laquelle il ne devait pas croire encore complètement.

    Victoria l’accueillit avec un large sourire:
    -- «Alors mon ami, on vient chercher sa deuxième fessée… On fait moins le malin maintenant! Elle te les a bien claqué tes grosses fesses, Gladys, hein… elle fesse bien elle fesse fort! Et bien moi aussi figure toi, tu ne vas pas tarder à t’en apercevoir, car j’ai bien l’intention de t’en mettre une sévère!»
    -- «Non Victoria… pas toi! Tu as toujours été...»
    -- «J’ai toujours été quoi… magnanime, complaisante, patiente, avec toi! Trop conne oui! …C’est terminé tout ça , maintenant il va marcher à la fessée le Macho Man! Pour compenser toutes les hontes et les affronts que tu m’as fait subir...»
    Elle dû tortiller indécemment du derrière pour retrousser sa jupe ultra serrée qu’elle remonta au niveau de ses jarretelles. Bien campées sur ses talons aiguilles, elle montre le sol entre ses jambes écartées.
    -- «Tu vas venir me présenter tes fesses ici, pour recevoir ta fessée courbé en deux, entre mes cuisses, exécution!»
    Gilbert tente encore de négocier sans trop y croire.-
    -- «Quoi ? comme ça! En… entre tes… Ça ne vous suffit pas de me féminiser… tu veux m’humilier c’est ça?»
    -- «Ah bon, tu crois? Comment tu as deviné?»
    -- «C’est sa méthode de gestion du personnel», ajoute Véronique. «Maintenant pour lui, une grosse fessée bien sévère c’est bien, humiliante c’est encore mieux!»

    L’atmosphère dans le salon s’alourdit de plus en plus. Ça sent encore la fessée. Les prévisions météo pour les punitions annoncent un gros orage de claques sur les fesses des punis.

    Gladys s’impatiente.
    -- «Ça suffit les récriminations le Macho Man! Continuez comme ça et nous allons prendre des mesures de rétorsion plus radicales!»
    -- «Je sais moi», s’exclame Victoria, «la fessée tous les jours avec popol en cage, et pas de galipettes au lit pendant un mois!»
    -- «Évidemment privé de sexe c’est un bon moyen de pression», commente Véronique. «Pas mal aussi la fessée tous les jours, Je vois bien ça le matin, une bonne déculottée avant de partir, ça pourrait peut-être calmer ses ardeurs au bureau.»
    Gladys songeuse évoque un autre mode de punition.
    -- ¡Mad, l’épouse maîtresse de mon neveu Clodinet, me parlait récemment de l’efficacité, en matière de correction, de fesser son soumis attaché ou entravé. C’est une autre manière de faire éprouver au puni les plaisirs de la domination féminine.» 

    Véronique commence à trouver qu’on tergiverse un peu trop autour du derrière de son patron qui mérite davantage que la seule fessée qu’il vient de recevoir.
    -- «Bon, ce ne sont pas les propositions qui manquent. Et si Victoria nous faisait maintenant une démonstration de ses talents de fesseuse.»
    -- «Vous avez raison», rétorque celle-ci.
    Elle interpelle son mari avec autorité.
    -- «Gilbert, tes fesses!! En position tout de suite!»

    Gilbert Paluchaud, pas complètement idiot, a bien saisi la situation et compris que ce n’était pas le moment de trop la ramener. Il fait profil bas, très bas même puisqu’il se penche en avant et docilement, glisse sa tête dans l'espace ainsi ménagé entre les fortes cuisses de son épouse. Elle les referme sur ses joues, les coinçant comme dans un étau charnu, gainé de nylon. Radieuse elle prend le temps d’ajuster encore son slip sur ses cuisses et passant les mains sous son ventre, le fait décoller plusieurs fois du sol pour ajuster sa position, les fesses en l’air, parfaitement déployées.
    -- «Géniale, la position», s’exclame Véronique. «Les deux fesses à égale distance de la main, pas de jalouse!»

    Elle rit et s’enfonce dans le canapé pour assister confortablement au spectacle de sa revanche en attendant d’y mettre la main à son tour. Edouard, toujours au coin, pas rassuré du tout, n’a rien perdu des conversations. La boule au ventre, il se demande à quel moment il va devoir retourner chercher une inévitable nouvelle fessée auprès d’une de ces dames. Véronique ou de nouveau Gladys… en espérant que la secrétaire tape moins fort que son épouse. Ce qui n’était pas assuré, loin de là!

    Victoria, toute excitée de corriger, enfin, son mari et qui plus est, en public, commence à le fesser. Ou plutôt à le re-fesser! Quel plaisir à le sentir se trémousser entre ses cuisses, scandant chacune des claques qu'il recevait par une plainte. Ses fesses, très douloureuses qui avaient déjà été corrigées plusieurs fois et sévèrement rougies par Gladys devinrent vite écarlates.
    -- «Voyez Victoria comme il la prend bien sa fessée», l’encourage Gladys. «Surtout dans cette humiliante position. J’ai bien fait de vous l’avoir conseillée, vous en tirez le meilleur bénéfice.»
    -- «Vous ne pouvez pas savoir comme je vous suis reconnaissante de m’avoir incitée à punir Gilbert. Je ne sais pas pourquoi je n’osais pas franchir le pas.»
    Véronique pour le moment spectatrice mais par pour longtemps, soulève sa lourde poitrine d’un soupir de dépit.
    -- «Si vous aviez le nombre de fois que la main me démangeait, mais je ne voulais pas risquer ma place. Maintenant c’est différent le rapport de force s’est inversé!!»

    Victoria fesse avec enthousiasme et la satisfaction d’infliger à son Macho Man le juste châtiment qu’il mérite depuis longtemps. Il trépignait sur place, mais sans chercher à se dégager, laissant ses fesses déculottées à l’entière disposition de son épouse. Celle ci en profite largement et lui claque sa fessée sans se soucier de l’état de cuisson déjà avancé de ses fesses. Généreusement assouplies par les fessées précédentes, elles claquaient bien, retentissantes à souhait, et faisaient preuve d’une agréable élasticité sous les puissantes claquées de la nouvelle fessée. 

    Gilbert Paluchaud avait progressivement lâché prise. Vaincu, humilié, la tête coincée entre les cuisses serrées de sa fesseuse, il avait les joues en feu sous le frottement continue de ses bas nylon. A sa grande honte il s’était d’abord mis à gémir, et supplier, puis pleurer comme un gamin, lui le directeur de l’entreprise. Il pleurait et criait depuis bien longtemps quand Victoria le laissa se relever. Il resta prostré, sur place, incapable de bouger, la bouche grande ouverte sur une douleur muette, les fesses en feu, gonflées de claques, magnifiques et flamboyantes. Il se frottait les yeux remplis de larmes.
    -- «Raaah, mais Victoria ça fait mal!!! Où et depuis quand tu as appris à flanquer des fessées et à taper aussi fort?»
    Elle lance un regard reconnaissant à Gladys.
    -- «Devine! J’ai maintenant une excellente amie qui m’est de très bons conseils!»
    -- «Vous devriez le mettre en pénitence!» recommande la sévère maîtresse de maison, qui ne cédait rien malgré l’état du malheureux époux.
    -- «Vous avez raison», admit Victoria, comblée d’avoir encore, plein la main, la cuisante sensation des fesses de son mari!

    Elle le prit par l'oreille et le conduisit au piquet.
    -- «Les mains sur la tête. Interdiction de bouger, interdiction de parler! C'est bien compris?»

    Pour faire bonne mesure, elle le ceintura, écarta les pans de sa blouse et ses jarretelles pour bien dégager toute la surface de ses fesses qu’elle souleva à la bonne hauteur pour leur flanquer une cuisante rafales de claques supplémentaires.
    -- «Vous devriez remonter encore sa chemise et lui faire cambrer les reins. Ça l’obligera à bien déployer ses fesses», conseilla Gladys. «Et surtout, la correction ne s’arrête pas à la fin de la fessée, il faut l’envoyer, au coin, en pénitence, toujours déculotté, pour que les effets en soient visibles par tout le monde!»
    Forte de son expérience de discipline conjugale, Véronique précise, avec un sourire suave:
    -- «Et puis c‘est important de pouvoir évaluer les résultats d‘une fessée pour mieux ajuster la sévérité des suivantes!»

    Victoria suivit ce conseil avisé. Elle envoya au coin un Gilbert Paluchaud, meurtri, avili, les fesses écarlates et cuisantes. Maté, le Macho Man, transformé en gamin honteux qui étouffait ses sanglots, reniflait de temps en temps, mais qui prenait bien garde à conserver la position qui lui avait été assignée.

    Impitoyable, Gladys prend plaisir à continuer de le tourmenter.
    -- «Alors, monsieur le Directeur, dites-nous, que reconnaissez vous avoir mérité pour vous punir de votre insupportable comportement?»
    La crainte de sentir de nouveau la main de la terrible femme claquer sur ses fesses l’incite à répondre immédiatement.
    -- «Une fessée déculottée Madame!»
    -- «Et comment sentez-vous vos fesses maintenant?»
    -- «Oh ça cuit Madame, ça cuit… Mais c’est trop…!!»
    Il n’a pas le temps de finir sa phrase.
    -- «C’est trop peu vous voulez dire…»
    -- «Comment ça, trop peu? … C’est bon… J’ai eu ma punition, ça suffit non!»
    -- «Monsieur à la tête et les fesses dures», s’amuse Gladys. «Il semblerait qu’il ne soit pas encore disposé à faire amende honorable après deux fessées consécutives.»
    Sourire engageant aux lèvres, elle se tourne vers Véronique.
    -- «Elle en pense quoi sa secrétaire?»
    -- «Elle en pense qu’il lui faut une troisième fessée pour le faire changer de ton et lui ôter ce petit air arrogant» déclare Véronique en soulevant son avantageuse poitrine d’un grand soupir d’impatience. «A mon tour de m’occuper de ses fesses!»
    -- «Comme je vous comprends chère amie», ajoute Victoria, «depuis le temps que vous subissez ses sales manies au bureau, comme moi son odieux comportement machiste à la maison.»

    Gilbert Paluchaud sort un peu de sa torpeur et recommence à protester.
    -- «Hein? Quoi?… Non ce n’est pas possible, pas Véronique… c’est… c’est ma secrétaire!! Elle ne va quand même pas me flanquer une fessée!»
    -- «Justement si!» tranche Victoria, «elle est en première ligne pour supporter tes outrances et tes humiliations, toute la journée… elle a bien mérité une compensation. Allez-y Véronique, je vous confie ses fesses, mettez-lui-en une bonne! C’est le jour des règlements de compte.»
    Paluchaud tente une timide protestation.
    -- «Quand même... Victoria.. pas la fessée par Véronique.» Contre toute attente, Il se fait soudain implorant… «S’il te plaît! s’il vous plaît!»
    Il s’adresse aussi à Gladys qui s’en amuse.
    -- «Je vois qu’on est effectivement tout honteux», dit-elle sarcastique. «Voyez comme la fessée fait du bien», elle se tourne alors vers son mari, resté sagement au coin en s’appliquant à bien exhiber ses fesses dans l’ouverture de son tablier. «D’ailleurs votre ami Edouard va vous accompagner. A ce que je vois, ses fesses ont besoin de reprendre de la couleur!»

    Edouard sursaute sur ses talons aiguille, en entendant la voix impérieuse de son épouse.
    -- «Victoria, je suis sûre que vous mourez d’envie de flanquer une nouvelle fessée à mon époux pour accompagner celle que Véronique va administre au votre.»
    --« Avec plaisir chère amie. Vous me voyez ravie de retrouver ses fesses.»
    -- «Bonne idée», s’exclame joyeusement Véronique, «ça va être très stimulant de claquer les deux paires de fesses en même temps.»
    -- «Amusant aussi, de savoir laquelle claque le mieux!» ajoute Gladys qui a saisi Edouard par l’oreille pour le conduire d’autorité auprès de Victoria.

    Gilbert résigné, s’est déjà installé à plat ventre sur les cuisses, de sa secrétaire qui a retroussé sa jupe jusqu’aux jarretelles. Elle le courbe, fesses en l’air et tête en bas, la tête de coté pour l’obliger à regarder son postérieur, largement développé par sa position. Il est à l’évidence plus préoccupée par son derrière que par celui d’Edouard. Celui ci n’a pas eu le temps de dire un mot. Il est maintenant, lui aussi, couché sur les genoux de Victoria, la tête près du sol, son fessier tout en l’air, les genoux pliés et les pieds levés prêts à battre au rythme de la fessée. Ses yeux suppliants et apeurés croisent ceux de Gilbert, qui a considérablement perdu de sa superbe, son derrière proéminent entre les pans ouverts de sa blouse et l’arrondi du porte jarretelles tendu sur ses hanches. C’en est fini de la morgue du prétentieux directeur de l’entreprise. 

    Les vicieuses fesseuses se sont placées l’une en face de l’autre, de façon à ce que les deux punis se retrouvent tête bêche avec le derrière de son partenaire de fessée, sous le nez, bien en vue. Chacun profitant de la fessée de l’autre en recevant la sienne… double peine! 

    Les deux femmes ont décidé de bien prendre leur temps… Tout en positionnant le postérieur de sa victime bien à sa main , chacune le tapote, le claque un peu, écarte largement les fesses, dévoile l’anus qui s’exhibe bien visible… pelote ces viriles fessiers... les malaxe, passe un doigt indiscret dans la raie... Véronique, redoutable vengeresse, va plus loin dans son désir d’humiliation, en activant sans ménagement son majeur dans le derrière de Gilbert qui n’en peut plus de honte. Impitoyable, elle en rajoute encore avec jubilation.
    -- «Maintenant Monsieur Gilbert, demandez à tout le monde si vos fesses sont bien présentées pour recevoir votre fessée.» 

    Sous le regard hilare de Gladys et les interruptions répétées de sa secrétaire qui le harcèle de questions – à son tour de harceler – Gilbert, ulcéré, n’a d’autre choix que d’obéir.
    -- «Est-ce que mon cul...»
    -- «Votre quoi? Grossier personnage?»
    -- «… Mes fesses…»
    -- «Vos fesses comment?»
    -- «... Mes grosses fesses…»
    -- «Vos grosses fesses comment?»
    -- «... Mes grosses fesses déculottées...»
    -- «Recommencez!»
    -- «Est-ce que mes grosses fesses déculottées sont bien présentées pour recevoir la fessée...»
    -- «La fessée comment?»
    -- «… la bonne fessée…»
    -- «C’est tout?»
    -- «Euuuh…la bonne fessée que j’ai bien méritée…»
    -- «On n’a pas bien entendu, recommencez tout!!»

    Il s’exécute.
    -- «Est-ce que mes grosses fesses déculottées sont bien présentées pour recevoir la bonne fessée que j’ai bien méritée?»
    -- «Et bien, vous en avez mis du temps!»

    Véronique et Victoria échangèrent un regard complice pour se stimuler mutuellement. Cette fois c’était le signal de la fessée qui démarra soudainement.

    Leurs mains, haut levées, s’abattirent à pleine force sur les fesses bondissantes avec tant d’énergie que les claques sur ces deux gros fessiers rebondis bien exposés faisaient un bruit éclatant. Le claquement retentissant des deux fessées en simultané emplissait la pièce et ,sans aucun doute, franchissait les murs... D’autant qu’Edouard, obéissant à la règle des fessées édictée par son épouse, avait ouvert les deux battants de la fenêtre donnant sur la rue, avant de se coucher sur ses genoux. Il était important de faire savoir quand le mari, recevait sa fessée sous l’autorité de sa femme.
    -- «Enfin ma revanche», s’exclama Véronique, «j’en ai tellement rêvé de cette fessée!»
    A force de claquer le derrière de mon mari, la main me démangeait de passer à celui de Monsieur Gilbert, tant il devenait insupportable au bureau.
    -- «Et moi donc,» rétorque Victoria, «des années de compromis avec un petit tyran domestique…cavaleur, en plus!»

    La sonorité de la fessée retentissait de façon si claquante sur deux derrières à la fois ,qu’elle couvrait presque les cris des punis … Gilbert, au bout de sa résistance, et déjà corrigé quelques instants auparavant, n’avait pu se retenir de pleurer et Edouard n’avait pas tardé à suivre. Véronique et Victoria, fessaient de façon méthodique en claquant systématiquement la totalité du postérieur, n’épargnant pas un centimètre de peau d’une hanche à l’autre, n’oubliant ni les flancs ni le bas des fesses, débordant sur le haut des cuisses au dessus des bas nylon, écartant les fesses de la main gauche pour abattre la droite en plein la raie… En quelques minutes, la totalité des fessiers était devenue uniformément d’un beau rouge vif qui s’intensifiait à grande vitesse. La fessée prit alors une sorte d’allure “de croisière “: fesse droite, fesse gauche, fesse droite, fesse gauche, bas des fesses, plein milieu, fesse droite, fesse gauche, etc. Les postérieurs se balançaient au rythme des claques. Les punis, dociles, restaient bien cambrés ,les reins creusés, avec leur croupe en l’air qui s’ouvrait et se contractait en suivant la cadence des claques alors que jambes et pieds battaient l’air désespérément. Deux hommes féminisés, blouses déboutonnées, ouverte sur les fesses, cerclées de jarretelles, corrigés, comme de vilaines désobéissantes au mauvais comportement.

    Edouard le premier commença à supplier, dans l’indifférence générale:
    -- «AaaaïÏÎee , ouaïïïlll madame Victoria… c’est ma deuxième fessée… pitié, pas si fort s’il vous plaît!»
    Gladys réagit aussitôt.
    -- «Edouard, ça suffit, continue à faire ta mijaurée et c’est moi qui prends le relai sur tes fesses!!»

    Véronique ne perd pas son temps à discuter. Le visage sévère, elle ne quitte pas des yeux le gros fessier de son patron qui gigote désespérément. Il a compris que, à l’exemple d’Edouard bien dressé, il n’a d’autre alternative que de se soumettre à la fessée en gardant son fessier en l’air, bien bombé, les mains posées sur le sol. Malgré sa honte et sa rage de se trouver à la merci de ces maîtresses femmes, il ne peut s’empêcher de sangloter en continu, bavant , les yeux écarquillés débordant de larmes. Son sexe coincé entre les cuisses de Véronique se raidit douloureusement au contact irritant de ses bas nylon. Il est piégé.

    Au plus fort des deux fessées, Gladys intervient en brandissant un martinet, pour, dit-elle, varier les plaisirs. Elle le tend à Véronique qui continue de fesser son puni avec énergie.
    -- «Edouard goûte souvent aux lanières entre deux fessées à la main. Je pense que vous devriez en faire découvrir la saveur à ce cher Monsieur Gilbert. Ce n’est pas son épouse qui me contredira.»
    -- «Certainement pas!» s’exclame Victoria occupée à monter le derrière d’Edouard à l’écarlate. Allez-y Véronique!»

    Véronique attrape le martinet d’une main ferme. L’instrument idéal pour parfaire la correction. Gilbert frémit d’horreur, sous l’effet de sa fessée, au bord d’une catastrophique éjaculation sur les cuisses de sa secrétaire. Celle ci, s’en est bien aperçu et pour pousser le bellâtre à l’irréparable, lui donne le choix entre deux options aussi vicieuses l’une que l’autre.
    -- «Vous préférez les lanières sur les fesses ou le manche dans le derrière avec la fessée à la main?»
    Le Gilbert en souffrance, les fesses en pleine cuisson ne sait comment répondre à la provocation et ne répond rien. Véronique profite de son hésitation pour décider à sa place, en choisissant ce qui lui apparaît comme le plus avilissant. Elle ironise.
    -- «C’est un très bon choix monsieur Gilbert, ce sera la fessée à la main avec le manche du martinet dans le derrière!»

    Elle lui commande de bien écarter les fesses, ce qu’il fait, à la fois craintif et curieux de ces nouvelles sensations, et lui enfonce lentement dans le fondement, le rondin de cuir cannelé, anneau par anneau. Il gémit pendant l’introduction, sans avoir le temps de réaliser. Véronique a repris la fessée et redouble les claques, le manche du martinet et les lanières oscillant entre les fesses rebondies dont la couleur vire au cramoisi par endroit. Gilbert, suffoquant de douleur et d’une intense excitation, commence une étonnante métamorphose, nourrie de nouvelles sensations, sous la cuisante fessée administrée sur les genoux de sa secrétaire, décidément, très particulière. Il jouit, comme un adolescent post pubère, fessé par sa mère ou sa tante.

    Démonstration faite des bienfaits de la fessée, il sera convenu, avec la complicité de Victoria, que Véronique prépare les fesses de Gilbert chaque soir avant de quitter le bureau. Ceci afin que sa sévère épouse dispose d’une belle paire bien rouge à déculotter, prête pour sa séance de fessées quotidienne qui l’attend en rentrant après une dure journée de labeur .

    Et Macho Man se mit à garer sa voiture tout seul sur son parking, sans importuner Magalie, l’hôtesse d’accueil. Il cessa aussi de tripoter les fesses de sa secrétaire qui savait si bien s’occuper des siennes. Il avait par contre, quelques problèmes à masquer ses difficultés à s’asseoir en arrivant chaque matin à son bureau, après la cuisante fessée que lui administrait Victoria son épouse devenue maîtresse, pour l’encourager à bien commencer sa journée. Seule Véronique savait pourquoi il se dandinait d’une fesse sur l’autre dans son fauteuil.

     

    FIN

     

    La métamorphose de Macho Man, chapitre 11 

    Et une illustration pour finir en beauté.

     

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