• Texte et dessin de Ramina, que je remercie.


    6   Les fessées de Clodinet - par Tante Gladys et Bettina

     

    Bonjour mes petits chéris !

     

    C’est bien dommage que vous vous soyez montrés si disciplinés, au point d’attendre mon autorisation pour vous reculotter après votre bisous sur les fesses  de la semaine dernière. J’aime bien sentir sur mes lèvres la chaleur d’un derrière que je viens de corriger. Je n’attendais qu’une désobéissance de votre part, pour vous flanquer une nouvelle  déculottée  bien cuisantes que je ne me lasse pas d’administrer. Tout le monde le sait, surtout ceux que je fesse régulièrement,  tante Gladys ne rate jamais l’occasion d’en claquer une sévère. Je fesse à toute heure, quel que soit l’endroit et les circonstances. Et vos fesses ne perdent rien pour attendre mes chéris, je les ai en ligne de mire.

    Mais trêve de promesses,  il faut que je vous raconte la suite de la mémorable séance de fessées que Bettina a infligée à mon neveu Clodinet. Il était prêt à s’en prendre, elle lui en à mis plein les fesses!  Pour une première correction et, bien entendu pas la dernière, ce fut une magistrale démonstration. Quand je vous disais que j’avais engagé Bettina en grande partie pour son expérience de la fessée, je viens d’avoir confirmation de la justesse de mon choix. La pétulante soubrette m’a montré un échantillon de son talent à les administrer. Elle a un sens  remarquable de la mise en scène et du  spectaculaire avec un choix de positions aussi réjouissantes qu’humiliantes, tout a fait à mon goût

    Il fallait voir notre Clodinet, habillé en fille pour sa séance de fessées. La voilà, toute tremblante d’appréhension, trébuchant sur ses talons aiguille pour se diriger d’un pas un peu hésitant vers Bettina. Elle l’attend, le regard dominateur de celle qui détient le pouvoir de fesser, petit sourire ironique sur les lèvres. Il a revêtu une petite robe très courte qui lui bat le haut des cuisses, laissant voir le revers de ses bas nylon à couture, ses boucles de jarretelles et un affriolant petit slip rose dont les élastiques tendues à craquer lui rentre dans la raie des fesses. Elle est toute mignonne, prête à fesser.

    J’ai toujours été étonnée et ravie, de l’aisance et l’élégance  naturelle avec laquelle mon neveu porte ces tenues féminines raffinées, ainsi que cette lingerie érotique si émoustillante. Ses jambes galbées, lisses, soigneusement rasées, gainées de nylon noir scintillant, ressemblent, à s’y  méprendre, à des jambes de femmes.

    Je me régale à voir Bettina en impérieuse maîtresse, mains sur les hanches, le regard sévère, avec une imperceptible lueur de plaisir dans les yeux. Elle ordonne d’un ton péremptoire.
    - «Viens ici Clodinette, viens chercher ta fessée, et dépêche toi, je n’aime pas attendre!»

    Elle a un sourire jubilatoire en insistant sur les "S" qu’elle fait longuement siffler entre ses dents pour rendre l’annonce de la fessée plus impressionnante. Elle montre aussi, ostensiblement, le plaisir pervers qu’elle va prendre à lui claquer sévèrement le derrière.

    Merveilleuse Bettina, tout comme moi, sa patronne, la fessée elle aime ça et elle va le faire sentir à sa punie. Son regard se fait plus menaçant, sa volumineuse poitrine frémissante d’impatience, elle toise Clodinette du haut de ses quinze centimètres de talons aiguille.
    - «Plus tu me feras attendre tes fesses plus j’aurai plaisir à rendre ta fessée plus longue et plus sévère mon amie!»
    - «Oui mademoiselle Bettina… tout… tout de suite…» répond l’intéressée, immédiatement soumise à l’autorité de la forte femme qui continue à la sermonner.
    - «Ne fait pas ta mijaurée avec ce petit air de victime, je déteste les mauviettes. Au contraire , tu dois être fière et reconnaissante de venir me présenter tes fesses à claquer!»
    - «Oui mademoiselle Bettina, oui, je suis fière de venir vous présenter mes f…»
    - «Alors qu’est ce que tu attends, va chercher le tabouret à fessées au lieu de bavarder inutilement!!»  

    Parole de tante Gladys,  jusque là je trouve ma soubrette à la hauteur, sûr d’elle, et de son autorité. Pour tout dire elle assure grave… La fessée s’annonce comme je les aime, sévère et sans concession.

    Clodinette obéit, le petit doigt sur l’élastique de sa jarretelle et se précipite pour aller chercher son tabouret à fessées qu'elle pose devant Melle Bettina.  Puis en geste de soumission, elle s'agenouille respectueusement devant les escarpins vertigineux de la soubrette. Les yeux baissés, elle lui tend le martinet aux larges lanières et lui dit d'une petite voix plaintive:
    - «Voilà le martinet Melle Bettina  pour que vous me punissiez comme je le mérite.»

    Puis elle s'agenouille sur le tabouret, tête baissée, et plonge en avant pour poser ses mains en appui sur le sol, les fesses projetées en l’air, bien déployées, entièrement offertes à la cuisante fessée qui l’attend. Roulant des hanches et tortillant avantageusement sont imposant fessier rebondi, Bettina s'approche alors, du visage de sa soumise.  Elle écarte bien les jambes, la saisit par les cheveux et, avec un petit sourire vicieux, engouffre sa tête entre ses fortes cuisses.
    - «Il va falloir que tu t’habitues à recevoir tes fessées dans cette humiliante position. Ma préférée, pour une magnifique exposition du derrière aux lanières du martinet!!» 

    Pour illustrer ses propos et mieux maîtriser sa proie, elle resserre ses cuisses puissantes sur les joues de sa victime, en même temps qu’elle pèse sur sa nuque de tout le poids de son imposant fessier. Clodinette prisonnière de l’étau charnu, respire difficilement dans la tiédeur parfumée du savoureux entrecuisses. Elle sent les boucles métalliques des jarretelles de sa fesseuse s’incruster dans la peau de son cou.
    - «Alors on est bien la?» Ironise Bettina triomphante. «La tête bien au chaud calée entre mes cuisses, sous mes fesses, avec le derrière en l’air, prêt à claquer!» 

    Ah mes chéris qu’elle splendide position nous offre là ma bien joliment perverse soubrette! Je la vois serrer les cuises de toutes ses forces pour bien immobiliser Clodinnette qui se met à gémir sous la pression. Difficile de savoir si c'est de douleur ou de plaisir.  A mon avis ce doit être les deux!

    Bettina maîtresse de la situation, prend tout son temps et continue d’humilier sa victime  en prolongeant à plaisir l’atroce attente de sa fessée.
    - «Mais c’est qu’on a enfilé un bien joli petit slip de femme pour recevoir sa punition. Sans doute pour rendre son déculottage plus excitant!»

    Elle insere le bout du manche du martinet sous l’élastique de son slip et dans un délicieux crissement de nylon, lui baisse sous les fesses, découvrant ainsi les volumineuses rondeurs de son derrière parfaitement tendu.
    - «Hummm , quel bonheur de disposer de cette magnifique paire de fesses qui n’attendent que de claquer sous la cuisante fessée que je leur prépare!» s’exclame la soubrette avec cynisme.

    Elle prolonge encore l’attente en s'amusant à caresser la peau frémissante avec les lanières, remontant et descendant le long de la raie des fesses. La pauvre Clodinette mortifiée supplie d'une petite voix craintive:
    - «S’il vous plaît  Melle Bettina, pas trop fort le martinet...»
    - «Ta maîtresse a dit de ne pas te ménager, c’est donc ce que je vais faire. Tu recevras ce que tu mérites!» 

    Elle lève le martinet et commence à cingler consciencieusement les fesses bien tendues. 

    Mais chers lecteurs avant de continuer mon récit, tante Gladys tient à préciser que, si cette position la tête bien serrée entre les cuisses, préconisée et utilisée par Bettina, présente l'avantage de bien immobiliser la soumise, et de parfaitement exposer ses fesses au fouettage, elle nécessite cependant, l'utilisation d'un martinet ou de tout autre instrument de discipline. Un choix rendu nécessaire compte tenu de la distance entre la fesseuse et le postérieur de la punie. Mais revenons à  notre séance de fessée.

    Bettina en pleine démonstration de maîtrise de maniement du martinet, se montre impitoyable sur les fesses de Clodinnette qu’elle tortille en cadence sous les cuisantes cinglées.
    - «Ta maîtresse à dit que pour bien te rougir le fessier il te fallait au moins 50 cours de martinet! Alors on va commencer comme ça!»

    Et les coups de martinet pleuvent avec une régularité de métronome sur les fesses qui commencent à bien rougir et faire apparaître de petites zébrures.

    Mais comment croyez vous que notre Clodinette réagit pendant ce temps? Certes elle souffre et en plus elle sent le métal  des attaches des jarretelles lui labourer les joues  mais, elle fleure aussi le parfum capiteux qui émane de l'entrecuisses de Bettina. Partagée entre la douleur de la fessée et le plaisir de la recevoir, elle frôle de ses lèvres gourmandes le satin de sa peau au dessus des bas nylon… Ce qui  l'excite terriblement et lui fait presque oublier la morsure des lanières du martinet qui ne cesse de lui cingler le derrière. Et ivre de désir elle tente une caresse avec sa main sur l'extérieur de la cuisse de Bettina, cherchant le soyeux des bas nylon et la douceur de la chair. Celle-ci s'en aperçoit et réagis vivement:
    - «Et bien, Clodinette, petite vicieuse!!  Elles te plaisent mes cuisses, hein? Mais madame Gladys m’a prévenu que ta Maîtresse bien avisée nous avait dit que tu tenterais ces caresses interdites. Et que pour un touché de mes cuisses ce serait 10 coups de martinet supplémentaires!»

    Vous pensez bien mes chéris que vu la tournure de la correction et les gestes déplacés de Clodinette,  je ne me suis pas privée d’en rajouter:
    - «Et que s’il ose caresser les fesses de sa fesseuse, c’est 20 coups de martinet en plus!!! Allez y Bettina, plus fort, sa fessée est loin d’être terminée!!»

    Alors que croyez vous que cette vilaine Clodinette à fait par la suite, après cette mémorable  fessée  ? Je vous le donne en mille pour la semaine prochaine ! 

     

    Bizzz à vous et  gare à vos fesses, je tiens toujours mes promesses!  Tante Gladys

     

     

    6   Les fessées de Clodinet - par Tante Gladys et Bettina

     

     

     

    Pin It

    14 commentaires