• Texte et dessin de Ramina, que je remercie.


    8   Les fessées de Clodinet - par Tante Gladys et Bettina

     

    Bonjour mes chéris !

    Contente d’honorer notre rendez vous hebdomadaire sur ce blog si attractif et riche de rubriques originales, bien excitantes. Avant toute chose, et concernant mon principal centre d’intérêt, j’espère que vos fesses sont bien entretenues. notamment par vos épouses, maîtresses, amies, ou voisines, qu’importe, du moment qu’elles vous les claquent sévères! Bref, des fesses que j’espère en pleines formes…Hi, hi ... avec un «S»! Comme vous le savez, je considère que les plantureuses paires de fesses, aux rondeurs volumineuses, sont le mieux adaptées aux cuisantes séances de fessées, que j’affectionne particulièrement! Je soutien qu’un slip bien rempli, tendu à craquer sous la pression d’une virile paire de fesses gonflées de claques, après une bonne séance de fessées administrées par madame, est le signe d’une discipline conjugale saine et harmonieuse. En conséquence logique, un mari aux fesses rouges et cuisantes est un homme docile, bien dressé. Avec un bon gros god dans le derrière, il sera tranquille toute la journée et d’une obéissance absolue.

    C’est donc pour joindre l’utile à l’agréable que j’ai fait de la pratique de la fessée mon activité dominante, c’est le cas de le dire... vous ne trouvez pas? Et je ne me prive pas de l’exercer régulièrement comme un devoir conjugale à accomplir. Elle n’est pas belle la vie, rythmée par les fessées qui retentissent généreusement à tour de rôle dans toutes les pièces de la maison?

     

    Je vous raconte tout ça, parce que, figurez vous que mon cher neveu est toujours en séjour à la maison. L’état de santé de Mad son épouse maîtresse, étant encore en délicatesse, j’assume encore, et vous vous en doutez, avec grand plaisir, la responsabilité de sa discipline domestique quotidienne. Pour être plus explicite, de m’occuper de ses fesses. Ce que je fais avec zèle et un grand sens de la solidarité familiale. Conjointement d’ailleurs avec celles de Sacha, venu, lui aussi, sans son épouse, passer quelques jours à la maison pour retrouver son cousin qu’il n’avait pas vu depuis longtemps. Par voie de conséquence, j’ai donc, moi aussi le bonheur de retrouver les deux belles paires fesses que j’ai eu tant et tant de plaisir à corriger dans un passé pas si lointain. Qui plus est, je dispose maintenant avec Bettina, ma nouvelle soubrette, d’une deuxième main, largement aussi efficace que la mienne, pour assurer une service de fessées régulier et efficace. Et avec ces deux loustics , qui se comportent parfois comme de grands enfants, les motifs de fessées ne manquent pas. Et quand bien même, s’il ne s’en présente pas, on trouve toujours un bon prétexte pour leur mettre une bonne déculottée, rien que pour le plaisir de leur rougir les fesses.

     

    J’aurais pu avoir quelque mansuétude à l’égard de Clodinet et trouver des circonstances atténuantes à sa maladresse et son étourderie vu ses préoccupations du moment. Mais vous me connaissez. Tante Gladys ne laisse rien passer et ne fait aucune concession en cas de non respect des règles. J’ai trop de plaisir à déculotter et claquer un derrière bien rebondi pour me priver d'une bonne séance de fessées. A commencer par celui de mon neveu, qui en a encore mérité une sévère. Je ne sais d’ailleurs pas pourquoi je précise, avec moi la moindre fessée est systématiquement sévère. Sinon ce n’est pas une vraie fessée!
    - «Viens ici, me présenter tes fesses Clodinet... ça ne peut pas mieux tomber, je viens de me faire la main sur celles de ton cousin qui est déjà au coin pour avoir laissé des miettes sur la table après son petit déjeuner. Comme tu peux le constater, il a commencé sa journée comme d’habitude et s’en est pris une cuisante dès le matin! Il n’y a rien de mieux pour bien commencer une journée!» 

    Sacha pleurait, à genoux sur sa chaise à fessées, son volumineux derrière déculotté d’un beau rouge vif. Il venait de se prendre une sacrée fessée et il s’attendait manifestement à ce que je lui en mette une autre. Ce sur quoi il pouvait compter. Tout ceux qui passent un long moment sur mes genoux à tortiller du derrière sous les claques, savent que je n’ai pas pour habitude de le lâcher aussi rapidement. J’en ai profité pour faire la leçon à Clodinet.
    - «Regarde bien la couleur des fesses de ton cousin. Tu vois comme elles sont rouges et bien claquées! C'est juste un petit aperçu de ce qui attend les tiennes, pour commencer… ce n'est qu'une première fessée. Tu en as une de retard sur lui, que tu vas devoir rattraper tout de suite pour que vous commenciez la séance à égalité.»
    - «Oh tantine… s’il vous plaît, je ferai attention la prochaine fois.»

    - «C’est trop tard mon ami, et la prochaine fois tu éviteras de renverser ton bol de café sur ma nappe toute propre! Tu sais ce que ça va te coûter?»
    - «Euuuh… oui!»

    Il ne voit pas arriver la paire de claque qui lui projette la tête de gauche à droite.
    - «Oui qui, Clodinet? Les prochaines, c’est beaucoup plus fort, et sur les fesses!»

    - «Ou… Oui Ma tante… je… je sais…» pleurniche-t- il les larmes aux yeux, en se frottant les joues.
    - «Evidemment que tu sais! Alors... qu’est ce que tu dois faire?»

    - «Ooh tantine… je… je dois préparer mes fesses…»

    Vicieuse que je suis et je m’en vante, je m’amuse à le tourmenter en prolongeant l’attente de l’inévitable fessée.
    - «Oui Clodinet, et pourquoi tu dois préparer tes fesses?»

    - «Pour… pour recevoir ma… ma fessée… ma… ma tante.»

    Fidèle à ma méthode de mise en condition avant l’administration d’une correction, j’insiste. Je l’ai fait mettre à genoux au milieu de la cuisine, et je tourne nonchalamment autour de lui, en faisant claquer mes talons aiguille sur le carrelage. J’adore fesser dans la cuisine où les fessées sont plus retentissantes, justement grâce aux surfaces carrelées. Ça les rend plus impressionnantes, et ça incite à taper fort. Vous n’avez pas idée du sentiment de puissance que cela procure à entendre le claquement retentissant de ma main sur une paire de fesses, emplir toute la résonance de la cuisine.

    Ah, il n’en mène pas large le neveu. J’aime savoir qu’il craint mes cuisantes fessées. Il a de bonnes raison pour cela, pour en avoir, maintes et maintes fois, éprouvé la sévérité. Je devine ses grosses fesses, frémissantes d’appréhension, se serrer et se desserrer au fond de son slip de nylon. Rien qu’à l’idée d’en disposer à volonté, je suis déjà en train de mouiller le mien avant même d’avoir commencé à les claquer… C’est toute la magie de la préparation d’une bonne séance de fessées.
    - «C’est bien Clodinet… c’est bien! Tu te souviens de mes leçons. Et comment tu dois préparer tes fesses pour bien recevoir ta fessée? Je t’écoute…»

    - «Euuuh… oui, ma tante… je… je dois me déculotter … pour… euuuh… et vous présenter mes fesses…»
    - «Parfait! Alors tu vas rejoindre ton cousin sur l’autre chaise à fessées et tu baisses ton slip sur tes chevilles pour me présenter tes fesses bien arrondies.» 

    C’est alors que j’entends la voix grave et autoritaire de Bettina qui vient d’entrer dans la cuisine le martinet à la main. Le claquement sec de ses talons aiguille sur le carrelage annonce l’arrivée d’une nouvelle fessées. Et je peux vous assurer que ses fessées sont largement aussi cuisantes que les miennes. La belle garce, les fessées, elle aime ça et il suffit de regarder les fesses de Claudinet après une ,bonne déculottée , je vous garantis mes chéris, qu’elle fesse bien, fort et longtemps. Elle contemple les fesses rouges de Sacha, et me lance un petit sourire enjoué:
    - «Et bien, Gladys, je vois que vous avez pris de l’avance. Vous lui en avez déjà mis une sévère!»

    Je lui répond avec une moue de satisfaction:
    - «Oui, je lui ai un peu préparé le derrière à ce qui va suivre. Mais il vous reste à faire la même chose avec mon neveu, ses fesses sont à vous ma chère.» 

    Je n’ai jamais besoin de lui dire deux fois, lorsqu’il s’agit d’administrer une bonne correction. Elle s’approche de Clodinet en faisant de nouveau entendre le merveilleux claquement de ses hauts talon qu’elle fait exprès d’accentuer pour l’impressionner. Elle sait qu’il est excité mais qu’il a peur en même temps de l’imminence de la fessée qu’elle lui prépare. Selon le rituel de préparation, il n’a pas le droit de se retourner et doit avoir les main sur la tête en attendant les ordres de la maîtresse de cérémonie. Sacha est dans la même position le nez tourné vers le mur.
    - «Ils ne sont pas mignons comme ça, nos petits messieurs en pénitence?» ironise la soubrette, toute joyeuse. «A genoux sur leur chaise, en train d’attendre docilement la bonne tournée de fessées qu’on va leur claquer au derrière!» 

    Inutile de vous préciser, chers soumis, qu’elle a déjà mon assentiment pour prendre la direction des opérations et user de son autorité. Elle ordonne à Clodinet d’un ton ferme:
    - «Déculotte-toi plus largement, en te penchant en avant et en creusant les reins pour faire ressortir tes grosses fesses, bien tendues, pendant que tu baisses lentement ton slip!.. Lentement j’ai dit, pour nous faire savourer ton déculottage!»

    Je m’amuse à en rajouter une couche pour faire bonne mesure et leur remettre un peu de pression:
    - «Sacha , même punition, tu me remontes ton slip et tu te re-déculottes entièrement en même temps que Clodinet … Entre cousins, il faut être solidaire, dans le déculottage comme dans la réception des fessées. C’est ça l’esprit de famille!» 

    Bettina me lance un clin d’œil complice. Je lui renvoie un sourire ironique en retour. Nous nous régalons à voir les deux hommes s’exécuter en pleurnichant. Ah mes mignons, je vous laisse imaginer notre état d’excitation, en préliminaire aux fessées, devant le savoureux spectacle des deux volumineuses paires de fesses déculottées, que nous offrent ces messieurs. D’autant plus que celle de Sacha avec une raclées d’avance, irradiait le salon d'un resplendissant rouge écarlate. Comme à mon habitude je n’y étais pas allé de main morte sur sa fessée. Que voulez vous, on est sévère, ou on ne l’est pas, et j’aime ça! Et sur ce plan là, je fais confiance à Bettina. Elle allait vite mettre les fesses de Clodinet à égalité de couleur et de cuisson avec celles de son cousin.

     Vous ne pouvez pas savoir mes chéris, à quel point ma soubrette est une vraie perle. Aussi efficace aux tâches domestiques qu’à contribuer à faire respecter la discipline du même nom. Toujours prête à déculotter un derrière, à prendre l’initiative de flanquer une correction, claquer une bonne tournée de fessées, quand elle l’estime nécessaire. Elle ne se contente jamais d’une seule, ou alors une longue, et sévère, souvent sans motif, seulement pour satisfaire l’envie soudaine de claquer une belle paire bien ferme. Vu ses dispositions, je lui ai donné carte blanche, ou plutôt rouge, pour mettre autant de fessées qu’elle veut et quand bon lui semble.

    Pour faire simple c’est fessées à volonté en complément, bien sûr, de celles que j’administre moi-même. Je ne vous le fais pas dire mes petits chéris, mais vous l’avez pensé si fort que je l’ai entendu... ces messieurs de la famille, Clodinet comme Sacha , Edouard mon mari comme Robin mon grand dadais de fils, ont intérêt à se tenir à carreau. J’en connais qui risquent de passer autant de temps le slip tendu entre les cuisses que les fesses dedans! Que du bonheur!

    Vous le savez comme moi, les préparatifs des fessées sont aussi importants que les préliminaires dans le domaine du sexe. Je savoure le dialogue qui s’instaure entre Bettina et son soumis.
    - «Tu sais ce qui attend tes fesses pour te  punir de la bêtise que tu as faites?» 

    - «Oui mademoiselle Bettina … répond Clodinet dans un souffle.»
    - «Et bien dis le et parle plus fort, je t'entends à peine.»
    - «Une… une petite fessée mademoiselle.»
    - «Une petite fessée… voyez vous ça! Mais enfin Clodinet tu sais bien que chez ta tante, les petites fessées ici ça n’existe pas! Et pourquoi donc tu n’en mériterais qu’une petite»?
    - «Passe que c'est pas grave, ce que j'ai fait.»
    - «Ah parce que maintenant c’est toi qui décide de la gravité de ce que tu fais! Mais aujourd'hui avec ton cousin vous allez encore faire plein de bêtises…»
    - «Non mademoiselle, promis, juré!»
    - «Ah, tu vois, tu commences déjà à mentir! Et avec quoi tu vas recevoir ta fessée?» 
    - «Euuuh... je ne sais pas mademoiselle Bettina!»
    - «Et voilà tu mens encore, petit insolent mal élevé! Tu sais très bien avec quoi je vais te fesser. Elle brandit le martinet qu’elle tient dans la main.»
    - «Oui mademoiselle, je le vois mais... j'ose pas le dire ...je préférerais...»

    Et il se tait...
    - «Tu préférerais quoi Clodinet?…»
    Silence ...elle lève le martinet.. et menace. Il reste encore silencieux. Elle lui cingle deux fois les fesses. Il gémit:
    - «Vas tu parler Clodinet!»
    Il chuchote alors timidement:
    - «Je préfère la fessée déculottée sur vos cuisses, comme la première fois!»  

    Bettina rit et s’esclaffe en lui allongeant un grand coup de martinet en travers des fesses.
    - «Oui, bien sûr, la fessée déculottée, sur mes cuisses, pour que tu jouisses dessus et salisse mes bas nylon en m’en mettant plein les jarretelles! Espèce de gros cochon!» 

    A ce moment de la conversation j’ai trouvé bon d’intervenir.
    - «De toute manière Bettina, vous allez lui chauffer les fesses à la main sur vos genoux, pour bien les préparer à la fessée au martinet.»

    - «Oui, évidemment!»
    - «Et un conseil chère amie. Moi, quand un de ces messieurs jouit sur mes bas pendant une fessée, ce que nous recherchons, tout de même, pour les humilier davantage, n’est ce pas... je lui fait lécher et entièrement nettoyer avec la langue. C’est délicieusement excitant de la sentir laper et glisser sur les cuisses à travers le nylon. Après, bien sûr, je lui flanque une fessée supplémentaire pour n’avoir pas été capable de se retenir… Doublement excitant!»

    Bon, mes chéris, j‘ai été un peu longue cette fois ci. Quand je pars sur des histoires de fessées, j’ai du mal à m’arrêter! Mais ça en vaut la peine non? Maintenant que vous êtes bien excités vous aussi, je vous recommande d’utiliser une serviette ou un mouchoir en papier pour éviter de vous en mettre partout. Un gant de toilette aussi, ça éponge et ça râpe bien!

    Je vous embrasse, à la semaine prochaine… pour une magnifique séance de magistrales fessées… comme je les aime!

     

     

    Tante Gladys

     

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