• Une deuxième saison qui succède à la première saison intitulée "Fessées de Clodinet", même genre, mêmes personnages, même auteur, texte et dessin de Ramina, que je remercie.


    20  Journal des fessées de Clodinet par tante Gladys et Bettina   

    Bonjour mes lecteurs adorés.

    Je pense que tout le monde en ce moment s’occupe, avec fébrilité, à organiser les heureux événements qui réunissent toute les familles à l’occasion des fêtes de fin d’année. En ce qui nous concerne, comme tous les ans, nous préparons en famille les séances de fessées de Noël et du jour de l’An. C’est une joyeuse tradition à laquelle je tiens, ou le rouge, couleur festive de circonstance, rayonne de tous ses éclats sur les fesses de nos petits messieurs, pour sanctionner leur comportement loin d’être satisfaisant. Comme tous les ans à cette époque, nous joignons l’utile à l’agréable en testant longuement les cadeaux de la mère Noël pour nos messieurs pas sages. Là un ensemble de nouveaux martinets, sur mesure, ici des battoirs en cuir souple, des tawsse, un assortiment de slips à fessée, des tubes de Dolpic, baume chauffant pour les fesses. Bref que des cadeaux utiles pour des soirées de fête. Je préconise qu’il en soit ainsi pour chacun d’entre vous, afin d’entretenir une discipline familiale harmonieuse, en même temps que la bonne forme de vos fesses!

     

    Maintenant je reviens sur la séance de fessées en cours en l’honneur de l’arrivée d’Arnold, le dernier fiancé de Patricia. Je dis, ‘’dernier‘’, parce qu’il y déjà eu auparavant quelques autres prétendants, éconduits, pour des difficultés à endurer le régime intense de fessées, qu’imposent les règles du ‘’vivre ensemble’’ sous mon autorité. Selon Patricia, des petites natures aux fesses trop peu endurantes pour supporter les séances de corrections, dans une maison où l’on considère qu’une bonne fessée se doit d’être naturellement toujours longue et très sévère. Mais cela semble différent avec Arnold dont l’imposante paire de fesses semble prédisposée à satisfaire nos exigences disciplinaires les plus strictes.

    Comme je le disais dans ma lettre précédente, ma douce Patricia nous ramène à la maison un solide fessier, bien entraîné, un vrai cul à fessées made in England, le pays où la pratique de la fessée est une véritable institution. Et ça tombe bien, ici aussi, où une journée sans fessée est une anomalie, aussitôt compensée par une double déculottée le lendemain. Il faut savoir se faire respecter et tenir fermement une maison. Pour nous, femmes strictes et sévères, les mots ‘’fesses’’ et ’’fessées’’ sont des mots magiques, que nous consommons sans aucune modération, sachant que cela ne peut qu’entretenir la bonne santé des virils fessiers de notre entourage… foi de tante Gladys!

     

    Et justement, après le claquement des deux éclatantes fessées, en simultané, qui avaient généreusement retenti dans toute la maison, un calme, tout à fait provisoire, était revenu dans le salon. Un silence relatif y régnait, seulement troublé par les sanglots et reniflements difficilement réprimés de Clodinet et Arnold. Finalement, nous préférions prendre notre temps avant de démarrer la troisième fessée de la soirée. Confortablement installées dans le canapé à savourer notre Pure Malt, servi par Bettina, nous les avions envoyés se positionner en pénitence, chacun à son mur d’angle, déculotté, chemise relevée au dessus de leurs fesses écarlates. Immédiatement après leur fessée, j’avais pris un ton péremptoire pour leur ordonner:
    - «Au coin! à genoux tous les deux sur deux chaises face au mur!»
    Patricia et Bettina ajoutèrent en choeur, en riant presque:
    - «Et vos grosses fesses tendues bien en vue!!»

    Là je peux vous dire que ça obéit, sans traîner, le petit doigt sur la couture du slip! Et vous ne pouvez pas savoir comme c’est drôle de les voir se démener, en tortillant leur derrière en feu, pour le présenter selon les ordres.
    Clodinet avait couru aussitôt, sans demander son reste, se mettre dans la position ordonnée. Arnold s’était relevé péniblement et l’avait rejoint sans discuter. Chacun tournait la tête pour vérifier que ses fesses étaient aussi bien exposées que celles de son voisin. Clodinet, reprenant difficilement sa respiration, plus soumis que jamais, m’interrogea par sécurité:
    - «Elles… elles sont... bien... pré... présentées, comme... il... faut... mes fesses, tantine?»
    Arnold, s’adressant à Patricia, reprit après un coup d’oeil de vérification à son derrière.
    - «Yessss, darling... et… et mes fesses aussi?»

    Ils craignaient tellement l’inévitable fessée supplémentaire en cas de non respect des consignes de présentation du derrière, qu’ils en étaient touchants. Sans doute pour tenter de se ménager nos bonnes grâces, ce qui était tout à fait illusoire, tous les deux tendaient leur postérieur au maximum dans notre direction en essayant chacun de le faire encore mieux que son voisin. C’était à celui dont le fessier apparaîtrait le plus provocant, le plus tentant, offrant le volume le plus réceptif à la fessée, aussi sévère que je le déciderai. Nous avions maintenant devant nous les deux postérieurs larges et proéminents, avec leurs fesses bien rebondies, si rouges et cuisantes qu’il me semblait en sentir la chaleur irradiante dans le salon! En fait, on ne voyait plus que deux imposantes paires de fesses, encore rouges de la précédente fessée, comme en attente d’être maintenant portées à l’écarlate! La situation étaient délicieusement excitante.

    Nos mains, étaient encore imprégnées de la chaleur des derrières que nous venions de claquer à plusieurs reprises. Nous dégustions notre whisky, en profitant du réjouissant spectacle. C’est toujours un moment savoureux de contempler deux resplendissantes paires de fesses qu’on vient de faire sauter sous le feu d’une magistrale fessée déculottée.

    Je posai mon verre sur la table basse et m’y adossai en croisant haut les jambes. J’aime entendre le crissement de mes bas nylon sur mes cuisses et exhiber, sans complexe, ma féminité dominante, jusqu’au bout de mes jarretelles, bien tendues sur mes cuisses. Les bras en arrière, négligemment posés sur le dossier du canapé, le menton relevé, j’enveloppe d’un regard satisfait les paires de fesses enluminées d’Arnold et Clodinet.
    - «Comme ils sont devenus sages tout d’un coup nos petits chéris! On fait moins les malins maintenant qu‘on a les fesses en feu! Aaah, la fessée, la fessée...la bonne fessée déculottée, bien claquante… bien cuisante ….il n’y a pas de meilleure méthode pour mâter les désobéissants… calmer les ardeurs récalcitrantes! N‘est ce pas Patricia chérie?»

    Patricia, ne disait rien, songeuse, dans la contemplation gourmande des deux fessiers en exposition. Enfoncée dans le fauteuil, elle se détendait avec nonchalance, jupe retroussée jusqu’aux jarretelles, les jambes croisées, les talons aiguilles posés sur le rebord de la table, rafraîchissant la main qui venait de fesser autour de son verre rempli de glaçons. Je dois vous dire qu’il y a des moments où ma fille m’agace profondément au point de mériter une bonne fessée. Et je suis encore en mesure de lui en mettre une, il n’y a pas d’âge pour ça. Je suis obligée d’insister:
    - «Patricia! tu pourrais répondre, au moins, quand je te parle! Je te trouve bien arrogante et qu’est ce que c’est que cette tenue, les pieds sur la table? Continue comme ça et je ne vais pas me gêner pour te prendre sur mes genoux. Ça fait longtemps que je n’ai pas fait sauter tes grosses fesses sous une bonne fessée déculottée!»
    - «D’accord maman…» Elle repose ses pieds au sol. «J’arrête de faire la maligne.»
    - «Tu fais bien ma petite, parce que la fessée vient de te passer au ras du slip!»
    - «Oui maman, oui, je partage entièrement ton avis. Tu le sais bien. J’adore fesser en plus...»
    - «Il n’empêche… tu as l’air ailleurs.»
    - «Non maman, je pense à la suite de la punition. Arnold ne pourra pas dire qu’on ne l’a pas bien reçu à son arrivée en France.»

    Bettina est ravie, c’est son tour de fesser. Elle termine son verre qu’elle repose sur la table en le faisant claquer d’un coup sec.
    - «Je crois bien que c’est la première fois que je mets autant de fessées en aussi peu de temps! J’ai la main qui frétille de plaisir à l’idée de claquer le beau derrière d’Arnold!»
    Patricia acquiesce avec un sourire.
    - «Chère amie, j’ai hâte de vous voir à l’œuvre, il paraît que vos fessées sont remarquablement sévères. C’est tout à fait ce qu’il faut pour mon chéri. Comme je l’ai dit tout à l’heure, c’est bon pour mon lui, de sentir d’autres mains que la mienne claquer sur ses fesses. Et d’après ce que m’a dit Gladys, la vôtre fait merveille.»
    - «Pour ça, vous n’allez pas être déçue,…et lui non plus!»

    J’aime bien l’enthousiasme naturel de ma soubrette dès qu’il s’agit d’administrer une fessée. Surtout quand il s’agit de faire connaissance avec une nouvelle paire de fesses.

    Mais bon, assez discuté, il était temps de passer de la discussion à l’action. Je tapais dans mes mains pour annoncer la reprise des festivités.
    - «Clodinet, Arnold... Venez ici tous les deux! C’est l’heure de votre nouvelle fessée! On se reculotte et on vient vite présenter ses fesses. Une fessée ça n‘attend pas!»
    - «Sinon ça claque plus fort!» ajoute Bettina en se frottant les mains.

    Elle a déjà quitté le fauteuil et s’est positionnée, jupe retroussée, toutes jarretelles dehors, sur un des tabourets à fessées. Je vais m’asseoir sur l’autre tabouret pendant que nos deux hommes se reculottent. Ils ont toujours pour consigne de se reculotter après une fessée. Ça leur maintient les fesses au chaud et pour nous, c’est le plaisir de les re-déculotter pour la fessée suivante. Le spectacle d’une paire de fesses cuisantes, déjà bien claquées, émergeant d’un slip de nylon, tendu dessus à craquer, est le meilleure stimulant pour administrer une nouvelle fessée avec davantage de sévérité.
    - «Arnold en position sur les cuisses de Bettina, Clodinet sur les miennes! On s‘active!»

    Nos deux punis ont à peine le temps de se reculotter. Ils finissent de remonter leur slip en se précipitant sur nos genoux.pour aller chercher leur fessée. On s’amuse ouvertement à les voir se déplacer en se dandinant comme des pingouins, le pantalon sur les chevilles, traînant par terre. Bettina avec son entrain habituel.
    - «Mais c’est qu’on deviendrait obéissant après une bonne fessée! Les suivantes sont prêtes, il n’y a plus qu’à les servir!»

    Ils sont plantés devant elles les mains sagement croisées dans le dos en attendant les consignes.
    Clodinet le premier commence à protester timidement.
    - «Tantine, je vous en prie, plus de fessée s’il vous plaît. On a déjà été punis plusieurs fois. On a compris… N’est ce pas Arnold?»
    - «Oooh yes! Please miss Bettina! Assez de spanking, on a les fesses encore cuisantes des précédentes!»
    Insensible à leur supplications je les regarde l’un après l’autre.
    - «Mais qu'est ce qu'il vous prend mes chéris! On discute maintenant, on négocie ses fessées, on se rebelle même?»
    D’un doigt autoritaire, je désigne l’emplacement au sol entre mes jambes écartées. Je prends un ton tranchant.
    - «Clodinet, à genoux aux pieds... Arnold, même chose devant Bettina!»

    Les deux hommes s’exécutent en regrettant déjà leur intervention. Gladys soulève le menton de son neveu d’un index tendu et le force à la regarder dans les yeux. Bettina fait de même avec Arnold.
    - «Ecoutez ce que dit Gladys!»

    Je mène l'interrogatoire avant la correction.
    - «Maintenant vous allez répondre clairement. Estimez-vous avoir mérité les fessées qu’on vous a administrées et celle qui va suivre dans quelques instant? Répondez!.. Clodinet?»
    - «Euuuh, tantine… c’est…»
    - «Réponds à ma question Clodinet! De toute façon, les fesses vont te cuire!… Alors?»
    - «Et bien… euuuh, ou...oui... en fait, euuuh...»
    - «En fait quoi? Tu les as méritées c’est tout! Alors te souviens-tu, au moins, des raisons de cette nouvelle fessée?»
    Clodinet aurait bien voulu argumenter, discuter l’extrême sévérité de sa tante, mais il connaissait trop mon caractère inflexible. La faire changer d’avis quand j'avais annoncé une fessée, c’était comme escalader le Mont-Blanc en tong. Il répond du bout des lèvres:
    - «J’ai… j’ai oublié de débarrasser la table du petit déjeuner ce matin et… et... c’est par solidarité avec la fessée de bienvenue d’Arnold...»
    - «Parfait, c’est la réponse que j’attendais. Et maintenant grimpe sur mes genoux, pour que je te re-déculotte, je vais te rappeler la règle concernant ta participation aux tâches domestiques. Bettina à vous de vous faire la main sur les fesses d’Arnold!»

    Clodinet se dandine d’un genoux sur l’autre en se tenant les fesses à pleines mains.
    - «Oooh tante Gladys, ça va faire la troisième fessée de la journée… s’il vous plaît... pas trop fort…»
    Dans ces cas là, je prend un certain plaisir à faire preuve d’une écœurante mauvaise foi.
    - «Voyons Clodinet, les autres ne comptent pas … C’était de simples fessées d’échauffement, pour préparer celle que je vais te mettre maintenant!»
    C’est d’un tel cynisme j’en ris intérieurement.

    Obéissant sans autre discussion à mes injonctions, Clodinet s’est remis en positon, à plat ventre sur mes cuisses. Les mains en appui sur le sol, il connaît par coeur la position à prendre pour me satisfaire et pousse sur ses bras pour me monter ses fesses à portée de main. Je les trouve resplendissantes, encore rouges de la fessée précédente. Ce que je ressens comme une incitation à faire encore mieux. Je le sens trembler sur mes jarretelles à l’idée de s’en prendre une autre par dessus. Il est mûre mon Clodinet.
    Je glisse alors ma main toute entière dans son slip en passant sous l’élastique et le déculotte lentement en accompagnant la descente d’une paume caressante le long des volumes fessiers. J’ai toujours ce petit sourire amusé lorsque je les sens se crisper au passage de mon doigt dans sa raie. J’étire l’élastique au maximum et je la fais sèchement claquer sur ses cuisses. C’est le signal de départ de la fessée qui éclate aussitôt bruyamment dans le salon. C’est très excitant de voir le gros derrière, immédiatement réactif, se tortiller frénétiquement sous mes claques au rythme régulier des allers et retours.

    Incapable de se retenir, Clodinet fond en larmes et se met à pousser des halètements de douleur en tapant des mains sur le sol. Ces manifestations bruyantes ne m’impressionnent pas le moins du monde. Indifférente à la souffrance que je lui inflige, je le provoque sans aucun état d’âme.
    - «Je sais mon ami, je sais, je tape fort, mes fessées sont très sévères, surtout celle là! C’est comme ça que je me fais plaisir à fesser!»
    Et comme pour souligner mon propos je redouble de vigueur en tapant encore plus fort. Clodinet fait des ruades, en hurlant sur mes genoux. Je sens son sexe en érection frotter en cadence sur mes jarretelles. Il ne va tout de même pas jouir une deuxième fois . Cette idée m’excite mes chéris! Je sens que ça va peut être bien m’arriver aussi , mon slip est déjà trempé . Je m’amuse de ses supplications.
    - «Pitié tante Gladys! Pitié, pas si fort! Raaaah, vous tapez dur encore! Ça suffit la fessée! Arrête, pitié! Aaaah ça cuit tantine, ça cuit!»
    Vous pensez bien que ça ne m’émeut pas pour autant. Au contraire ça m’incite à continuer à lui claquer les fesses avec la même sévérité. Je pars toujours du principe que c’est seulement à ce stade de la correction, quand elles sont uniformément écarlates, et le puni en pleurs, que la vraie fessée commence. Et j’insite.
    - «Evidement ça cuit, comme tu dis. Une bonne fessée ça doit naturellement cuire les fesses. C’est fait pour ça... pour punir, sinon ça ne sert à rien. Aller, on continue! Fais plaisir à tantine au lieu de hurler. Je veux une belle danse des fesses! Allez, tortille les bien sous les claques, pour donner du rythme à ta fessée... J’adore ça.. Mieux que ça paresseux!»

    Jusque là concentrée sur le derrière que je corrige, et sans pour autant ralentir la cadence, je jette un coup d’œil en direction de Bettina. Je suis étonnée de ne pas entendre claquer les fesses d’Arnold.
    - «Et bien Bettina, qu’est ce que vous attendez?»
    Patricia intervient:
    - «C’est vrai, les fesses de mon chéri sont en train de refroidir...»

    Bettina vient de se lever du tabouret et conduit Arnold vers le fauteuil en le tenant par l’oreille.
    - «J’ai décidé de changer de position, vous allez voir.» Puis s’adressant à son puni qui traîne, son pantalon sur les chevilles: «Allez, avancez, dépêchez vous!»
    Elle s’amuse de nos regards interrogateurs . Arrivée au fauteuil elle pousse Arnold qui s’affale, courbé en deux sur l’accoudoir.
    - «Allonge-toi là et ne bouge pas! La tête au fond du coussin!»

    Elle retrousse sa jupe en tortillant des hanches et l’enjambe pour s’asseoir sur lui à califourchon, pesant de tout son poids pour l’immobiliser sous son volumineux postérieur. Le malheureux étouffe à moitié, écrasé sous la lourde masse charnue. Sa voix parvient à peine de dessous le fessier de la jeune femme qui lui enfonce le buste dans le coussin du fauteuil.
    - «No! No miss Bettina… please… Arr...arrêtez… Pas… pas comme ça! Je ne peux pas resp.…»
    - «Mais si tu peux, voyons! C’est de la mauvaise volonté , tourne ta tête sur le côté pour pouvoir respirer!»

    Elle se soulève et se rassoit sur sa joue en faisant rebondir plusieurs fois son derrière dessus pour le caler à sa convenance. Dans le même mouvement elle lui fait relever les fesses qu’elle coince solidement entre ses fortes cuisses. Arnold est à sa merci, parfaitement immobilisé, les fesses exposées sans aucune possibilité de tenter le moindre geste de défense.
    Les mains sur les hanches, chevauchant sa victime d’une air triomphant, elle m’interpelle pendant que je continue à claquer les fesses de Clodinet avec constante ardeur.
    - «Alors Gladys, qu’est ce que vous en pensez? Pas mal la position non? C’est mieux qu’au tabouret quand même!»
    - «Excellente Bettina! Vraiment excellente! Parfaitement humiliante!»

    Je sais tenir une conversation en fessant. Je serre les dents sur une rafale fesse droite, fesse gauche plus appuyée. Clodinet s’égosille et répand ses larmes sur le carrelage.
    - «Voilà une utilisation du fauteuil originale et intéressante. Impossible de rater une fessée dans une telle position!»
    - «Faites moi confiance Gladys, depuis le temps que j’attends l’occasion... Je ne risque pas de la rater celle là!»
    Elle lève sa main bien haut, cambre les reins à la recherche du maximum d’élan, et la fessée commence, accompagnant celle de Clodinet qui claque toujours au même rythme. Le vacarme est assourdissant. Soumises aux cuisantes rafales les deux paires de fesses retentissent à l’unisson, emplissant toute la pièce de leur brillante sonorité. Cadencées avec énergie sous nos mains fermes, elles rebondissent en chœur, dans un même irrésistible élan. Celles de Arnold, effondré dans le fauteuil, écrasé sous le lourd fessier de Bettina et celles de Clodinet tressautant frénétiquement sur mes cuisses.

    A ce stade de la séance nous n’avons pas besoin de motivation particulière pour corriger nos punis. Le claquement bien rythmé des fessées suffit à entretenir notre ardeur à rougir les deux derrières, déjà bien reluisant sous les fessées précédentes. Ils s’enluminent maintenant d’un éclatant rouge écarlate du meilleur effet. J’estime que c’est la couleur naturelle des fesses bien corrigées, bien claquées… bien fessées ...

    Pour un maximum d’efficacité, il est tout à fait normal d’administrer de sévères fessées sans se préoccuper de la souffrance infligée à nos punis. Plus intense est la cuisson des fesses, meilleures sont les fessées. C’est dans cet état d’esprit que nous continuons à fesser en échangeant nos commentaires sarcastiques. J’interroge ma soubrette:
    - « Dites moi Bettina, vous ne trouvez pas ça stimulant d’administrer deux fessées en même temps?»
    - « Oh si Madame, tout à fait! Je ne sais pas ce qu’en pensent ces messieurs.»
    - «Peu importe, ces messieurs dans cette situation ne pensent pas. Ils sont trop occupés à garder leurs fesses bien en place pour ne pas risquer une fessée supplémentaire!»
    - «C‘est vrai! N‘est ce pas Clodinet?»

    Clodinet, dans la tourmente, davantage préoccupé par la cuisson de ses fesses, ne répond pas. Alors que Bettina, portée par l’euphorie de corriger le fiancé de Patricia, ne ménage pas ses forces et accélère la cadence en appuyant bien les claques. Elle se régale enfin, à son tour, de la ferme élasticité du gros derrière qu’elle à vu rebondir sur mes genoux et qu’elle sent maintenant vibrer sous sa main.

    Entre deux claquées, j’aperçois le malheureux Arnold, immobilisé sous le large fessier de ma soubrette qui le chevauche avec superbe, en le fessant sévèrement. Il subit sa cuisante déculottée sans pouvoir bouger d’un centimètre. Les plaintes et les supplications désespérées à peine audibles qu‘il lance entre deux sanglots, sont en partie couvertes par le claquement de sa fessée et finissent étouffées sous les fesses opulentes de sa cavalière. Elle maintient ses grosses fesses flamboyantes bien en place, solidement coincées entre ses cuisses et dispose ainsi d’une surface bien tendue, ferme et stable, facile à ajuster. Elle en profite à pleine main. Et ça claque d’une fesse à l’autre, sans discontinuer avec la régularité d’un métronome.
    - «Ah il va s ‘en souvenir de la première fessée déculottée de Bettina, le fiancé de mademoiselle, hein! La bonne fessée qui rougit si bien ses belles fesses déculottées!»
    - «Sûr que ça va lui faire le plus grand bien», commente Patricia. «Allez y Bettina, il a le derrière solides qui encaisse à merveille, et des plus sévères encore! Au moins il saura ce que c’est que les fessées à la française!»

    Quant à moi, figurez vous, au point où j’en suis à me régaler sur le cul en feu de mon Clodinet, je ne sais plus où taper. Ses fesses sont maintenant reluisantes d’un éclatant rouge cramoisi, du bas des reins jusqu‘en haut des cuisses. Définitivement maté, il pleure toutes les larmes de son corps, écroulé sans résistance, bras et jambes pendant de part et d’autre de mes cuisses.
    - «Oh tantine, arrêtez les fessées… Je vous en prie, ça… ça fait trop mal.»

    J’ai un petit sourire satisfait, en parcourant la surface de son postérieur en feu de la main brûlante avec laquelle je fesse. Comme si j’étais à la recherche d‘un espace un peu moins rouge qui nécessiterait une petite gâterie supplémentaire. Il n’y en a pas. La cuisson des deux fesses est parfaite, aucune retouche à faire. 

    Bettina a mis aussi un terme à la fessée d’Arnold, mais le maintient encore solidement dans le fauteuil, immobilisé sous le poids de son imposant fessier qu’elle fait peser sur sa tête. Ses fortes cuisses, serrées sur ses hanches, lui maintiennent les fesses en l’air, rayonnantes de chaleur. Pour accentuer son statut de soumis, elle l’oblige ainsi à exposer le résultat spectaculaire de la magistrale fessée qu’elle vient de lui administrer. L’humiliante exhibition, slip aux cuisses, les fesses déployées, en pleine cuisson, doit se prolonger encore après la fessée. Le souffle court, il peine à reprendre sa respiration sous la pression du lourd derrière. Il pousse des petits gémissements, qui, loin d’attendrir la soubrette, la renforce dans le sentiment du devoir de punition accompli. 

    Le visage rayonnant, nous échangeons des sourires satisfaits et sans plus attendre, envoyons nos deux fessés au coin cuver leur correction. Et pour corser le menu, avec interdiction de décoller leur nez du mur mais l’ordre de bien faire ressortir leur postérieur qu’ils doivent arrondir le plus possible. Patricia, décidément insatiable, commande à son fiancé de bien garder sa position sous peine de s’en prendre une autre… évidement!
    - «Arnold, ressort davantage tes fesses! mieux que çà!»
    Bettina, rivalisant d’autorité, à mon neveu:
    - «Clodinet creuse bien tes reins! Encore, mieux que çà!»

    Toutes les trois installées dans le canapé, nos bas nylon crissant sur nos cuisses à chaque croisement de jambes, la main encore chaude et l’oeil pétillant de plaisir, nous sirotons une deuxième tournée de ‘’Loch Glad’’. Après avoir crépité sur les fesses, le feu cette fois récidive dans la cheminée, le bruit des glaçons, tinte joyeusement dans les verres. Pas question de perdre une miette du croustillant spectacle, avant les fessées de Noël et du jour de l’An.

    Et voilà, mes lecteurs chéris, le dernier épisode de cette deuxième saison. Je ne sais pas encore s’il y en aura une troisième... Peut être qu’entre deux fessées, il vous restera le temps de m’envoyer un petit commentaire pour m’inciter à reprendre ce journal. J’aime à penser que vous m’écrirez, les fesses rouges et cuisantes, d’une sévère fessée, administrée par une mère Noël glamour, en guêpière rouge, bas nylon et talons aiguilles... Ce que je vous souhaite de mieux pour bien commencer la nouvelle année!!

     

     Bizzzzz à vous! Tante Gladys

     

     

     

     

     

    20 Journal des fessées de Clodinet par tante Gladys et Bettina

     

    20 Journal des fessées de Clodinet par tante Gladys et Bettina

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