• Une deuxième saison qui succède à la première saison intitulée "Fessées de Clodinet", même genre, mêmes personnages, même auteur, texte et dessin de Ramina, que je remercie.


    18  Journal des fessées de Clodinet par tante Gladys et Bettina 

     

    La fessée d’Arnold et Clodinet

    Bonjour mes mignons aux fesses rouges! J’espère que vous avez su vous procurer une jouissive occupation en attendant la suite de mon journal.

    En ce qui me concerne, vous vous en doutez, faire respecter, comme je la conçois, une stricte discipline dans la maison, est une affaire de tous les instants. Mais bon, pour être honnête, je reconnais user souvent de mauvaise foi pour inventer, une soit disant bonne raison, de corriger le derrière d’un récalcitrant, ou saisir un prétexte fallatieux, pour claquer une paire de fesses. Pour faire court, administrer une fessée, tout simplement parce que j’en ai envie. J’adore en flanquer par surprise, c’est encore plus efficace quand on ne s’y attend pas. Ça m’arrive encore assez souvent pour me détendre ou me faire un petit plaisir. Grace à l’arrivée d’Arnold, il y a maintenant, avec Robin, Edouard mon mari, et en ce moment Clodinet, au moins trois solides fessiers à disposition. Nous n’avons donc que l’embarras du choix, et on ne se gène pas pour en profiter. Je peux vous dire, qu’avec Bettina et Patricia qui nous a ramené son phénomène, nous formons une redoutable triplette, absolument et résolument, impitoyable.


    Et puis, je ne suis pas du genre à m’embarrasser de principe pour en parler, au contraire de m’en vanter même, je suis une fervente admiratrice des fesses, en particulier, celles des hommes. Rien ne m’attire davantage qu’un viril fessier bien plantureux. Quel que soit le lieu ou les circonstances, mon regard est irrésistiblement en éveil, quand je croise un fond de pantalon bien moulant, tendu à craquer sur une imposante paire de fesses masculine. Surtout quand il est au bras d’une forte femme à l’allure altière, qui laisse à penser qu’avec un pareil derrière sous la main, elle doit se régaler à fesser régulièrement son mari. Rien qu’à voir monsieur trottiner près de son épouse en tortillant douloureusement du derrière, il n’est pas difficile de le deviner, solidement reculotté, rouges et cuisant, au fond de son slip. De toute évidence, Madame a pris soin de lui claquer une magistrale fessée avant de l’emmener en promenade et l’obliger à exhiber en public, son imposant postérieur gonflé de claques, étroitement serré dans son pantalon. J’aime voir ces femmes de caractère, montrer avec autorité que leur mari est fermement tenu en mains par son épouse qui ,en quelque sorte, rend hommage à son provocant postérieur en le fessant régulièrement! Et c’est là mes chéris que je fantasme à mon tour. C’est plus fort que moi, j’imagine aussitôt l’inconnu au plantureux fessier, allongé, déculotté, sur mes genoux, se tortillant de douleur sous le feu d’une de ces retentissantes fessées que je prend tant de plaisir à administrer.

    En même temps, je dois avouer que c’est vraiment de la gourmandise, parce que, comme je viens de vous le dire, je n’ai pas à me plaindre. J’’ai vraiment tout ce qu’il faut sous la main, à la maison. Et pour commencer, je ne vais pas tarder à me faire la main sur l’imposant fessier du fiancé anglais de Patricia. Ma charmante fille, bien intentionnée, a eu le bon goût de m’en ramener un, particulièrement gâté par la nature, avec un slip rempli à craquer d’un alléchant exemplaire charnu.

    Le brave garçon avait l’air déjà bien dressé et de toute évidence habitué à recevoir des corrections. Ce n’était pas pour rien si ses fesses avait servi de démonstration pendant les travaux pratiques du séminaire de discipline domestique à Londres. C’est d’ailleurs là que Patricia avait été vivement intéressée par ses remarquables performances. De là à penser que c’est en grande partie pour cette raison qu’elle a mis la main dessus – c’est le cas de le dire – j’en mettrais la mienne au feu … comme aux fesses! 

    Je m’approche du patient anglais. Son pantalon moulait outrageusement sa croupe imposante et la faisant paraître encore plus proéminente. Il était en train de se déculotter devant moi, non sans difficulté. Vous ne pouvez pas savoir comme, c’était amusant et excitant, de le voir, obligé de tortiller outrageusement du derrière pour le sortir de son pantalon trop serré. Il a un petit frisson — de crainte ou d’excitation, je ne sais pas – lorsque je glisse ma main dans son slip pour lui caresser et palper les fesses dedans. Il les serre convulsivement. La sensation est merveilleuse, en gourmande, j’en savoure la souplesse et la fermeté. Je sens le solide fessier savamment travaillé sous de nombreuses séances de fessées. Un claquement sec d’élastique, je retire ma main du slip pour mieux soupeser la lourde paire de fesses sculptée dans le nylon. Il se laisse faire, il n’a pas le choix. Je me tourne vers Patricia.
    - «Et bien ma chérie, quel bonheur, voilà un formidable fessier qui en met plein la main! Ça promet!»
    - «Tu vois maman, je n’ai pas exagéré quand je t’en ai parlé au téléphone. Et tu vas voir comme il est réceptif à la fessée et bien rebondissant sous les claques!»

    Bettina suit la scène avec un sourire goguenard. Elle sait qu’à un moment ou un autre elle va avoir, elle aussi, tout loisir de faire rebondir sur ses cuisses le volumineux derrière du fiancé anglais. On a le sens du partage dans la maison.

    Pendant que je prenais possession du derrière d’Arnold, Clodinet avait été renvoyé “au coin” les fesses déculottées en attendant son tour. Sévèrement corrigé par Bettina, d’une magistrale fessée reçue après le repas du midi pour avoir négligé de débarrasser la table, en laissant des miettes partout, il restait sous la menace d’une deuxième tournée. Il semblait pour une fois plutôt abattu. Exhibant son postérieur encore rouge, et pratiquement aussi volumineux que celui d’Arnold, il se tenait bien sagement dans son coin, le nez au mur, ne tournant parfois la tête que craintivement... On l’entendait pleurnicher doucement. Manifestement il cherchait à se faire remarquer le moins possible bien qu’obligé d’exposer son imposante paire de fesses, que sa couleur rendait encore plus provocant ... Généralement partagé entre la crainte et le besoin de fessée, vu l’ambiance disciplinaire du moment, cette fois il ne la ramenait pas… Il sentait que la présence de Patricia, qui manifestait la même ferveur que sa mère pour les corrections, n’augurait rien de bon pour ses fesses déjà sévèrement prises en main par Bettina.

    Celle-ci le surveillait du coin de l’oeil, vérifiant qu’il respectait les règles en vigueur après la fessée qu’elle venait de lui mettre. Il prenait constamment bien soin de lui tourner le dos en cambrant les reins pour lui permettre de détailler le mieux possible sa magnifique paire de fesses rebondies que la déculottée reçue avaient rendues cramoisies. C’était bien sûr une obligation à laquelle chaque puni ne pouvait se soustraire. Il était impensable qu’après avoir subi une fessée, on prive la fesseuse du plaisir de constater l’effet produit. La honte censée être endurée par cette obligation faisait partie intégrante de la punition par la fessée. Cette pratique permettait aussi à la fesseuse d’évaluer le niveau d’efficacité de la correction qu’elle avait administrée et, par conséquent de juger si elle l’estimait suffisante, ou, au contraire, de calibrer en quelque sorte la fessée suivante.

    Car la soirée n’allait pas se passer sans qu’il reçoive une nouvelle fessée, conjointement avec celle que je me préparait à flanquer à Arnold. La seule chose qu’il ne savait pas encore, c’est qui, de Bettina ou Patricia allait la lui administrer. Sans trop se faire d’illusion, il espérait que la cuisson persistante de son fessier dont la rougeur encore visible était la preuve, allait lui valoir quelque indulgence pour la déculottée à venir. Mais la manière insistante avec laquelle Patricia lorgnait ses fesses ne plaidait pas dans ce sens... Par ailleurs, habitué aux sévères corrections de Mad son épouse, et maintenant de Bettina, il ne pouvait dissimuler que les fermes rondeurs de sa plantureuse paire de fesses étaient en mesure d’encaisser autant de fessées que Patricia, estimerait devoir encore lui appliquer. Il avait compris que ce serait elle qui allait s’occuper de ses fesses pendant que je corrigerai Arnold. Cette fin de journée, en l’honneur de l’arrivée d’Arnold, s’annonçait claquante et cuisante à souhait!

    La séance commença, Patricia et moi l’une en face de l’autre notre puni sur les genoux, Bettina en observation. J’avais entrepris de claquer, de toutes mes forces, le plantureux fessier d’Arnold qui s’appliquait à le présenter parfaitement. Je voyais bien qu’il était habitué a s’en prendre des sévères par Patricia et il ne cherchait pas à donner le change. Il ne se retenait pas du tout de gémir ni de pleurnicher en suppliant.
    - «Oh belle maman, please , please pas si fort la spanking… my god!!»
    - «Aaah ça mon petit bonhomme c’est moi qui décide et de toute façon je fesse toujours très fort. Vos fesses vont devoir s’y faire. Surtout que Patricia ne doit pas y aller de main morte non plus quand elle vous flanque une fessée!»

    Clodinet, à plat ventre fesses en l’air sur les cuisses de Patricia se mit immédiatement à jouer la comédie comme il savait le faire de temps en temps. Avant même de recevoir la première claque, alors que sa fesseuse avait encore la main levée, il s’était mis à gémir comme si il avait peur, ou même, déjà mal.
    - «Roaiiiiie Patriciaaa, pas trop fort sur mes fesssses, elles sont encore sensibles de ma précédente fessée... il n’y a pas longtemps…»
    - «Au contraire Clodinet , vous allez encore mieux sentir celle-là!»

    Il ne s’arrêta plus et à chaque fois qu’il recevait une claque c’était, en faisant frétiller son derrière tout en le gardant bien exposé.
    - «Aïeee ! mes fesses!! Hou la la, çà cuit! Oh la la, la fessée ça fait mal!»

    Difficile de savoir s’il en rajoutait ou pas. Cela ne l’empêchait pas du tout de vérifier qu’on le voyait bien recevoir sa fessée ni de contempler son imposant postérieur en train de rougir dans la grande glace du salon.
    Bettina, pour ne pas être en reste, ne se privait pas de nous encourager. Nous n’en avions pas vraiment besoin mais cela contribuait à renforcer cette chaude ambiance de discipline.
    - «Encore! encore! plus fort la fessée sur leurs grosses fesses déculottées! Ils le méritent et que ça serve d’avertissement à Arnold. N’est ce pas mademoiselle Patricia?»
    - «Oh oui, ça va lui faire du bien de changer de main et de sentir celle de belle-maman claquer sur ses fesses!»
    - «Et Clodinet aussi! Claquez la plus fort sa fessée, et n’arrêtez pas... Il faut bien le corriger que cela lui serve de leçon. Ça lui apprendra à ne pas débarrasser la table!»

    A la longue, les grimaces de Clodinet étaient moins feintes... des larmes coulaient de ses yeux... ïl était clair pour lui que maintenant la fessée faisait son plein effet. La belle paire de fesses rebondies étaient maintenant cramoisies et se tortillait pour de bon sur les genoux de Patricia. Son sexe en érection frottait en cadence sur ses bas nylon et ses jarretelles. Il n’allait pas tarder à jouir.

    Les deux fessées claquaient joyeusement de concert sur un bon rythme et faisaient retentir les deux paire de fesses de plus en plus fort dans toute la maison. Pour une première, je décidais de faire la démonstration de toute la sévérité dont je m’honore à chaque correction que j’inflige. Après une dernière retentissante claquée bien appuyée, je fais relever Arnold. Je l’avais déjà bien fessé. Il a de belles les fesses écarlates, bien cuisantes et les larmes aux yeux, mais n’a pas encore pleuré. Preuve en est de son endurance aux fessées. Je lui ordonne sèchement:
    - «Allez Arnold! Je veux vous voir à genoux sur le canapé, vos fesses déculottées bien tendues. Vous allez voir comment je vais vous les faire danser avec le martinet!»
    Exagérant sa crainte, il supplia:
    - «Oh no, no... pas le martinet! Please belle-maman, pas la fessée au martinet! Vous m’avez déjà bien corrigé, bien accueilli… Please, pas le martinééé, plus la fessséééee!»

    Patricia le reprit aussitôt tout en continuant à claquer le derrière de Clodinet.
    - «Mais Arnold, qu’est ce que c’est que ces manières? Depuis quand on fait sa petite mauviette alors qu’on a pris qu’une seule fessée!»
    Elle me lance un regard appuyé.
    - «Ne l’écoute pas Maman, tu vois bien que c’est de la comédie, il a le derrière solide. Je te garantis qu’il en supporte bien davantage!»

    Vous n’imaginez tout même pas que j’allais me laisser attendrir. Sans fléchir, je l’ai attrapé par une oreille et la tordant sans ménagement, je l’ai traîné hurlant vers le canapé où il s’est agenouillé en pleurnichant. Il nous offrit aussitôt la vue, sous un nouvel angle et en gros plan, de son volumineux postérieur épanoui, que la fessée, c’était évident, chauffait désormais terriblement au vu de sa couleur écarlate.

    Et bien mes chéris — Ô temps suspend ton vol! — patience et longueur de temps! Il va vous falloir relire cet épisode et peut être les précédents en attendant mardi prochain pour la suite de mon journal des fessées… Et un petit conseil pour ne pas vous fatiguer le poignet... changez de main… hi, hi...

     

    Tante Gladys

     

    18  Journal des fessées de Clodinet par tante Gladys et Bettina

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