• Une deuxième saison qui succède à la première saison intitulée "Fessées de Clodinet", même genre, mêmes personnages, même auteur, texte et dessin de Ramina, que je remercie.


    17  Journal des fessées de Clodinet par tante Gladys et Bettina 

     

    Arnold

     

    Bonjour mes chérubins! J’avoue que ça m‘amuse de vous appeler comme ça. Je vous imagine petits angelots bien potelés, au derrière délicieusement rebondi, comme ils sont toujours représentés. Vous connaissez mon addiction à flanquer des fessées, je ne suis pas loin de penser que ces généreuses rondeurs sont une véritable incitation à leur en claquer des bonnes.

    Ceci dit, j’espère que votre tante Gladys préférée vous a cruellement manquée durant toute cette semaines, mais que vos fesses, au contraire, ont pu bénéficier de la cuisante attention de vos épouses et vos maîtresses respectives.

     

    Un qui n’aura pas à se plaindre du soin apporté à son arrière train, c’est mon cher neveu dont les grosses fesses ont profité au maximum de mon expérience et du savoir faire de Bettina pendant cette magnifique tournée de fessées que je vous ai racontée en détail. Ah mes petits chéris vous avez manqué la leçon finale. Il fallait le voir, mon Clodinet, à genoux  devant le lave-linge, les fesses déculottées, encore rouges de sa magistrale correction, obligé d’apprendre par coeur les différents programmes de la machine sous peine de fessée supplémentaire. Vous vous dites peut être que la punition est un peu dure... certainement pas, bien au contraire. Je pense qu’elle doit toujours être longue et très sévère, pour bien faire prendre conscience au fautif qu’il reçoit une bonne correction  méritée par son comportement inapproprié. Je vous garanti que Clodinet n’est pas prêt d’oublier sa leçon. Il a tout de même trouvé le moyen de me rendre inutilisable un porte-jarretelles et filer deux paires de bas nylon en se trompant de programme d’essorage. Trois victimes, trois fessées! C’est le tarif!  Et encore, il s’en tire à bon compte avec trois malheureuses fessées, bien sûr très sévères, mais pas plus que d’habitude… pas de quoi pleurnicher et mettre un quart d’heure à se reculotter en tortillant du derrière, sous prétexte d’avoir les fesses en feu! Ce qui est, somme toute, tout ce qu’il y a de plus normal dans une maison où la vie est rythmée par de régulières distributions de fessées. Je les administre à la moindre désobéissance ou au plus petit écart de comportement. Vous le savez, j’adore fesser, ça m’excite! Même quand je n’ai pas de motif particulier, je trouve toujours un prétexte pour claquer une fessée que je me régale à toujours mettre avec une implacable sévérité.

    Pour tout dire, la fréquence des corrections devrait encore augmenter avec le retour, tant attendu, de Patricia, partie perfectionner sa pratique de la fessée en Angleterre. Parce que, chers lecteurs, friands de croustillantes anecdotes, il faut que je vous raconte l’arrivée en fanfare de ma chère fille, flanquée de son prétendant anglais. A les voir à la descente du taxi, devant la maison, il sautait aux yeux que le jeune homme, était  manifestement sous l’emprise de la forte personnalité de sa future épouse, et déjà soumis à son autorité. J’imaginais avec satisfaction et même une certaine fierté, que la pratique de la fessée à laquelle je l’ai initiée, était certainement la raison de ce rapport de domination. Je vous raconte la scène, savoureuse.

    Patricia attendait qu‘Arnold vienne lui ouvrir la portière pour sortir. Elle ne descendit pas tout de suite et le laissa attendre debout sur le trottoir, le temps de rassembler ses affaires et de sortir de son sac de quoi régler la course.  

    Elle descendit de voiture et, sans même le regarder, lui glissa un billet de cinquante euros qu‘elle lui tendit négligemment entre deux doigt, gantés de dentelle noire.
    - «Tenez, mon ami,  voilà de quoi payer le taxi et dite au chauffeur de garder la monnaie, soyez aimable, occupez vous de nos bagages.»

    Elle ne pris pas la peine de l’attendre, et claquant des talons aiguille, traversa l’allée du jardin d’une démarche onduleuse, balançant dans chaque main les grands sacs imprimés aux marques de son dernier shopping à Londres. Arnold suivait derrière elle en traînant les deux valises à roulettes qui rebondissaient bruyamment sur les dalles en pierre. Il portait en bandoulière un sac en cuir d’où dépassaient les lanières de ce qui ressemblait à un martinet. Le slogan bien visible imprimé sur le sac ‘’Disciplinary instruments, made in London" avec en dessous de l’image explicite d’une magnifique paire de fesses bien rouges, ne laissait  planer aucun doute sur l’utilisation de son contenu. Au moins les Anglais ne faisaient pas mystère de leur culture de la fessée. Moi non plus d’ailleurs …

    Plantée devant la porte, je regardais monter le charmant couple . Enfin, quand je dis charmant, le cher Arnold me semblait bien à la peine avec les bagages, marchant  derrière ma fille qui ne s’en préoccupait pas le moins du monde. Il était clair que son dressage à la docilité avait déjà commencé à porter ses fruits.

    Patricia  gravit d’un pas alerte les marches du perron au milieu duquel elle se retourna pour regarder Arnold se bagarrer dans l’escalier avec les valises. Il devait les soulever pour les faire passer au dessus des marches assez hautes. Elle eu un petit sourire ironique en le voyant à la peine et poussa un soupir d’impatience qui souleva son opulente poitrine, débordante de son provocant décolleté.
    - «Doucement Arnold, vous allez m’abîmer ces bagages à tirer dessus comme un malade! Ce sont des Vuitton enfin, à manipuler avec précaution»
    - «Mais c’est qu’ils sont lourds ma chérie...je ne sais ce que vous rapporter, mais ça pèse.»
    Elle le toisa de toute sa hauteur. Cambrée sur ses quinze centimètres de talon aiguille, elle le dominait d’au moins une tête.
    - «Peu importe mon ami, faites plutôt attention aux roulettes. Si jamais vous m’en cassez, ne serait ce qu’une...» Elle marqua un temps d’arrêt et sourit de toutes ses dents blanches, comme si elle allait annoncer une bonne nouvelle… «c’est la fessée, directe!»

    Arnold sursauta et faillit lâcher une valise au risque la laisser dévaler l’escalier.
    - «Ooh Patricia chérie … s’il vous plaît...pas déjà la fessée… pas tout de suite… j’ai les fesses encore cuisantes de celle que vous m’avez mise dans les toilettes du train...»
    - «Mais j’espère bien. Encore qu’il n’y avait pas beaucoup place pour vous les claquer assez fort. Inutile de pleurnicher, vous savez très bien que je déteste vous entendre essayer de négocier vos punitions. Recommencez à discuter et je vous déculotte sur le perron et vous flanque une nouvelle fessée devant tout le monde.»
    - «No, no, Patricia… please, please, pas la fessée devant tout le monde  Regardez... je fais attention! »

    Sur ce, un peu paniqué, il finit de monter précipitamment l’escalier en soulevant les deux valises à bout de bras, pour arriver en haut tout essoufflé.

    Ravie du spectacle je me suis dit que ça commençait bien.
    - «Et bien ma chérie, tu m’as l’air en pleine forme, et quelle démonstration d’autorité!! Dois je comprendre que tu as déjà ce charmant jeune homme à ta main.»
    Patricia, me lance un clin d’oeil avec un grand sourire avant de m’embrasser.
    - «Comme tu le dis maman, ça ne change pas. Un bon mari à besoin d’être tenu en main fermement pour être serviable, et obéissant. Et pour arriver à ça, c’est toi qui me l’a appris, il n’y a pas de meilleure méthode que la fessée, rien que la fessée!» Elle rit.
    - «Effectivement , tu as bien retenu la leçon. Tu me présentes ton fiancé maintenant… On dirait qu’il s’exprime bien en français.»
    - «Oui, mais il persistait à ne vouloir parler qu’anglais. Je ne lui ai pas laissé le choix. Il a fini par capituler au bout de cinq fessées consécutives et le problème était réglé.»
    Elle se retourne vers lui, en attente derrière elle une valise dans chaque main.
    - «N’est ce pas mon chéri qu’il a fallut que je te rougisse plusieurs fois les fesses pour que tu te décides a ne parler qu’en français? Maintenant tu embrasses belle-maman.»
    - «Yes , darling… Euuuh oui…oui chérie…»
    Il regarde sa future belle mère.
    - «Yes Good spanking, elle m’en a mis cinq et elle fesse fort votre fille!!»

    Je suis tout sourire, nous nous embrassons et comme à mon habitude je ne donne pas dans la demi mesure en annonçant d’emblée la couleur... écarlate!
    - «Mais il est charmant ce garçon! Je crois que je vais bien m’entendre avec ses fesses!»
    - «Je n’en doute pas une seconde maman, ça va lui faire beaucoup de bien de sentir une autre main que la mienne lui claquer le derrière. Il en a besoin.»
    - «Sans compter celle de Bettina tout aussi ferme que les nôtres. Mais aller, on ne va pas continuer à discuter dehors… entrez mes chéris… Patricia donne moi ton sac.  J’ai l’impression que tu nous a ramené plein de jolis instruments de travail. Arnold passez devant avec vos valises…»

    En fait je ne vous cache pas que j’avais une envie irrésistible de découvrir et jauger la partie la plus intéressante de l’anatomie du nouvel arrivant dans la famille... Une paire de fesses dont Patricia, au téléphone m’avait vanté l’imposant format . Elle n’avait pas exagéré.

    S’il est avéré que le regard des hommes se porterait en priorité sur les jambes des femmes et leur décolleté, moi, c’est surtout leurs fesses m’intéressent. Rien ne m’excite autant qu’une virile et solide paire de fesses bien développées, dans la perspective du claquant et cuisant usage que je pourrais en faire. Avec Arnold j’ai tout de suite été comblée. J’ai compris immédiatement que Patricia avait mis son dévolu sur l’homme idéal, doté d’un postérieur propre à satisfaire les exigences disciplinaires, les plus sévères, de la maison. Et pourtant, je peux vous dire que j’en ai fait sauter sur mes genoux, des belles fesses plantureuses, et des gros derrières bien fournis, mais je dois reconnaître que l’ami anglais en avait une sacrée paire. Ce qui n’était pas pour me déplaire. Je ne vais pas vous le cacher, vous connaissez ma sensibilité, j’ai tout de suite senti monter une vague de chaleur entre mes jarretelles, en enveloppant du regard le fond de son pantalon, tendu à craquer sur son imposant fessier obligeamment exhibé. Le vêtement était si serré que la couture du milieu lui rentrait dans la raie des fesses sculptant les deux hémisphères avec une indécente précision. Je reconnaissais bien là une initiative de ma chère fille, si délicieusement vicieuse, qui doit l’obliger à  porter des pantalons excessivement  moulants, pour mettre ses fesses en valeur de manière la plus suggestive possible, comme une incitation permanente à la fessée. Que voulez vous, difficile de résister quand vous avez en permanence sous les yeux, une paire de fesses aussi provocante et disponible qui donne l’irrésistible envie de lui en claquer une sévère!

    Inutile de préciser à quel point le retour de Patricia avec son petit Anglais à l’imposant fessier répondait au-delà  de mes attentes. Elle l’envoya dans leur chambre défaire leurs valises et ranger leurs affaires. Il s’exécuta sans broncher. La question ne se posait même pas, de savoir ce qui attendait ses fesses s’il avait la mauvaise idée de discuter ses ordres. Connaissant l’implacable sévérité de ma fille et sa promptitude à réagir, les  fessées devaient claquer à la moindre contestation.

    Bettina, qui avait déjà évalué avec intérêt l’envergure du derrière du nouvel arrivant, nous servit le thé, faisant en même temps connaissance avec la fille de la maison. L’atmosphère était joyeuse. Nous fîmes l’inventaire des magnifiques instruments de discipline que Patricia avait ramené de Londres. Chacune testant dans sa main le claquant d’un battoir en cuir, d’un paddle, d’une tawse, faisant siffler dans l’air les lanières d’un martinet, en s’enthousiasmant à l’idée de l’effet produit sur les fesses d’un puni. Je dois avouer que nous commencions à nous stimuler mutuellement. J’étais tellement excitée à l’idée d’avoir une petite conversation avec les grosse fesses d’Arnold que j’en mouillais déjà mon petit slip. Je suis très émotive de ce côté-là. La perspective d’une fessée provoque toujours chez moi cette réaction incontrôlée, mais tout à fait agréable.

    Ce n’était pas encore l’heure du pure malt mais bientôt celle de la tournée de fessées d’Arnold, que j’avais prévue avec Patricia pour lui souhaiter la bienvenue. Vous pensez bien que j’étais impatiente, et pas besoin de trouver un quelconque prétexte pour sévir. Avec un tel postérieur sous la main, la fessée s’imposait d’elle même, comme une évidence.

    Arnold était toujours en haut, en train ranger leurs affaires de toilette dans la salle de bain. Patricia  se leva du canapé.
    - «Je ne sais pas ce qu’il fabrique, mais il en met un temps pour ranger mes affaires de maquillages, mes sel de bains et tout le reste. Je vais le faire descendre moi, et en vitesse!».

    Elle pris soin de lisser sa jupe sur ses fesses pour bien les mettre en valeur et, claquant des talons aiguille se dirigea vers l’escalier en ondulant joyeusement des hanches. La main sur la rampe elle lève la tête en direction des chambres.
    - «Arnold, descends tout de suite et prépare tes fesses! Belle-maman veut leur souhaiter la bienvenue à sa manière. Et ne fais pas l‘étonné, je t’avais prévenu avant de partir, que tu n’allais pas y couper!»

     Accoudée à la rampe dans l’attente d’une réponse, elle lève une jambe l’une après l’autre pour vérifier l’alignement de la couture de ses bas sur ses mollets. Les plis de sa jupe indécemment courte, virevolte sur ses cuisses juste au niveau de ses boucles de jarretelles. La voix un peu émue d’Arnold répond de l’intérieur de la salle de bain.
    - «Oui, chérie, je suis là… je descends!  Mais pourquoi je dois préparer mes fesses...»
    - «Tu ne discutes pas! Tu as dix secondes pour les ramener au salon, Gladys n’aime pas attendre, dépêche toi!» 

    Un bruit alerte d cavalcade se fait entendre, sur les marches de l‘escalier. Arnold apparaît, tenant à deux mains son pantalon déjà dégraffé.
    - «C’est déjà la fessée… nooon! »

    Patricia le saisit par l’oreille et le traîne jusque devant moi. Ah mes amis, j’adore ce genre de situation, en position dominante quand je sens mon candidat à la fessée à ma merci et que je vais le déculotter pour lui rougir les fesses sans pitié. Je m’exclame avec emphase.
    - «Ah le voilà mon cher gendre… Il en a mit du temps à venir me présenter ses fesses, moi qui me prépare a leur souhaiter la bienvenue... sur mes genoux!»
    - «Tu entends Arnold…» le tance Patricia.« Allez tourne toi vers belle-maman, penche toi en avant et déculotte toi, pour bien lui montrer tes grosses fesses à claques.»
    - «Mais… mais qu’est ce que j’ai fait pour mériter une fess...»
    - «Rien du tout mon ami,» je l’interromps avec un grand sourire, sur un ton légèrement ironique.
    C’est plus fort que moi, j’ai envie de le provoquer un peu le brave homme avec de si belles fesses.  Je croise bien haut et bien lentement les jambes, en faisant  crisser mes bas nylon sur mes cuisses. Ça me donne des frissons, pour un peu j’en rajouterai en faisant claquer mes jarretelles. Ça les excite... moi aussi. Je poursuis la bouche en coeur.
    - «Rien du tout, mon garçon, ce n’est pas nécessaire d’avoir fait une bêtise pour recevoir une fessée de bienvenue.»
    - «Voilà, tu devrais être fier... de pouvoir profiter d’une bonne tournée de fessées en hommage à tes fesses.Tends les bien , mieux que ça, et  tiens ton slip sur tes cuisses!»

     Il s’exécute et reuse les reins afin d’arrondir ses fesses au maximum en ma direction. Elles paraissent encore plus volumineuses.  Je me lève pour aller constater par moi même. J’en caresse d’abord toute la surface d’un main enveloppante, puis je les soupèse l’une après l’autre, les tapote, les fait rebondir dans ma paume pour en évaluer la souplesse et la fermeté. Un vrai cul à fessées! Je suis tellement excitée que mon slip est trempé. Si je ne me retiens pas, je sens que je vais jouir dès les première claques...
    - «Et bien ma chérie, bravo, tu as fais le bon choix! Ce n’est pas seulement un homme que tu vas épouser, mais une magnifique paire de fesses qui ne demande qu’à claquer sous les fessées.»
    Patricia en roucoule de plaisir.
    - «Et maman, je peux t’assurer qu’elles claquent bien, et longtemps!»
    - «J’imagine après le stage de fessées qu’elles viennent de passer à servir pour les travaux pratiques. Ma chérie, on va se régaler.»
    Je lance un clin d’oeil complice à ma soubrette jusqu’ici observatrice.
    - «Bettina... qu’est ce que vous en pensez?»
    Elle lève les sourcils et se fend d’un sourire radieux.
    - «Comme vous Gladys, il y a de quoi se faire plaisir!»

    On sonne à la porte. Je demande à Bettina d’aller voir. On l’entend discuter avec ce qui semble un livreur. Elle revient, au bout quelques instants, avec un magnifique bouquet de roses rouges.
    - «C’est pour mademoiselle ... Un admirateur je crois. Il y a une carte…»

    Patricia se saisit du bouquet, un peu surprise, et lit à voix haute.
    - « Pour vous, Moiselle Patricia que j’admire passionnément. Tout en vous m’inspire. Votre stature si impressionnante  sur vos talons aiguille, vos formes avantageuses, votre autorité naturelle. Si j’osais, je rêve de recevoir une fessée, allongé sur vos cuisses soyeuses, gainées de nylon ... D’ailleurs accepteriez vous de m’envoyer une photo dédicacée de vous, justement, en train d’administrer une fessée… Peter Lamalisse , votre serviteur.»
    - «Charmant», dit l’intéressée, «c’est bien la première fois que ça m’arrive… Je lui en flanquerais bien une bonne avec plaisir, si ça pouvait lui calmer le derrière, mais il n’y a guère que pendant les cours d’anglais de Gérôme que je fesse à domicile.»

    Je m’approche d’elle pour voir le bouquet  par dessus son épaule.
    - «En tout cas il ne s’est pas fichu de toi. Peut être que ces roses rouges seraient une allusion à la couleur de ses fesses après être passées entre tes mains.»

    Je ne peux pas m’empêcher de rire.

    Arnold toujours penché en avant, reins cambrés, fesses en l’air, déculottées bien exposées, attend docilement sa fessée en murmurant en anglais des propos in compréhensibles.

      

    J’ai été un peu longue cette fois-ci, mes chéris, mais je voulais vous donner de quoi vous faire du bien en faisant monter la pression dans vos slips! Hi, hi … Profitez en bien, en  attendant la suite la semaine prochaine. Je vous embrasse.

     

    Tante Gladys

     

    17  Journal des fessées de Clodinet par tante Gladys et Bettina

     

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