• Une deuxième saison qui succède à la première saison intitulée "Fessées de Clodinet", même genre, mêmes personnages, même auteur, texte et dessin de Ramina, que je remercie.


    19  Journal des fessées de Clodinet par tante Gladys et Bettina  

     

    Bonjour mes chéris

     

    Vous attendez peut être impatiemment la suite de la petite séance de fessées récréatives que j’ai organisée en l’honneur de l’arrivée de notre ami Arnold, le fiancé que ma chère Patricia. Elle a eu la riche idée de nous le ramener de son séjour de perfectionnement en Angleterre. Vous pensez bien qu’avec le sens de l’hospitalité et de la discipline qui nous caractérise, nous avons accueilli sa magnifique paire de fesses avec tous les honneurs dus à son imposant format. Je dois avouer que, bien qu’habituée à effectuer de fréquentes descentes de slip, ce n’est pas sans une certaine émotion que j’ai déculotté pour la première fois ce provocant fessier. A l’évidence rompu au cuisant exercice de la fessée. Un magnifique spécimen résultant de la culture de la fessée à l’anglaise. Ah mes amis, ce que c’est que l’intuition féminine. Au moment où je faisais claquer l’élastique de son slip sur ses cuisses, j’ai eu immédiatement la certitude que cet arrogant derrière n’attendait qu’une main ferme pour rebondir sous les claques, la mienne en l’occurrence. Après celle de Patricia, naturellement. Je me doutais bien qu’elle ne s’était pas privée de tester l’endurance du volumineux derrière , avec l’implacable sévérité qui fait le charme des magistrales fessées qu’elle prend tant de plaisir à administrer. Telle mère telle fille, je ne vous le fais pas dire!

     

    Nous formions, avec Bettina, un bienveillant comité d’accueil, prêt à démontrer au cours d’une efficace séance de fessées de bienvenue, que les Anglais n’ont pas le monopole du savoir faire dans le domaine de la discipline domestique. Vous imaginez le plaisir que j’ai pris, à tester l’éclatante sonorité des belles fesses tressautantes du fiancé, au rythme d’une crépitante fessée déculottée à la main que j’ai fait joyeusement retentir dans toute la maison. Ah mes amis, qu’est ce qu’une sévère fesseuse comme moi peut demander de plus exaltant? Que du bonheur! D’autant plus qu’en face de moi, Clodinet, sur les genoux de Patricia se faisait vigoureusement claquer le derrière de la même façon, par solidarité avec Arnold… Je vous l’ai dit, nous avons le sens du partage dans cette maison.

    Ceci dit, cette fessée en double, n’était qu’une cérémonie d’ouverture de la séance.

    Après un bref séjour au coin, pour que nos petits messieurs aient le temps de savourer la cuisson de leur première fessée, pendant qu’on se reposaient le bras et la main, j’avais envoyé Arnold se mettre à genoux sur le canapé pour une séance de martinet.

    Le prétendant anglais à la main de ma fille, qui, pour le moment ne l’avait obtenue, à maintes reprises, que sur ses fesses, commençait à montrer un peu moins d’assurance. Je me régalais à faire siffler le martinet sur ses belles grosses fesses rouges, bien rebondies qui se tortillaient en cadence sur le dossier du canapé. Le reste de son corps, courbé en deux, disparaissait derrière, pour ne proposer, à la vue, que l’émoustillant spectacle de son imposant postérieur tendu vers le plafond. On ne voyais rien d’autre de son anatomie que ses fesses rouges, magnifiques, bombées sur le dossier, parfaitement déployées sous les cuisantes cinglées de lanières de mon martinet. A ma grande satisfaction , il commençait à gémir et pleurer cette fois pour de bon.

    Clodinet de retour sur les cuisses Patricia pour un deuxième service, semblait avoir oublié qu’elle lui avait ordonné de bien regarder la fessée au martinet d’Arnold, parce qu’il recevrait ensuite une correction identique.
    - «Qu’est ce que je t’ai dit Clodinet!» s’exclame t-elle en le re-déculottant.
    Sans transition elle recommence à lui claquer le derrière, en retentissants allers et retours, d’une fesse à l’autre.
    - «Tu entends comment ça claque sur les fesses d’Arnold? Regarde, Clodinet , regarde bien ce qui attend les tiennes quand j’aurai fini de les préparer!»
    - «Ouiiii Patricia! Je … aiiiie … je... re… regarde… oooh la fessééééée !!! S’il vous plaît changez de fesse!!!…. pas toujours la... même… ouaiiiiie, ça cuit troooop!!!»

    Tout en fessant, et sans perdre le rythme, elle jette de temps en temps un coup d’oeil dans ma direction, pour me voir cingler consciencieusement le gros derrière écarlate de son fiancé. Elle l’interpelle, visiblement satisfaite de ma prestation. On le serait à moins.
    - «Alors mon chéri, tu la prends bien ta fessée! Tu la sens bien claquer sur tes fesses, elle te les chauffe bien! Ce sont de bonnes fessées déculottées, bien sévères comme celle là, qu’il te faut pour corriger correctement tes grosses fesses! Je n’ai pas exagéré quand je t’ai dit qu’une fois à la maison, tu allais passer autant de temps le slip sur les cuisses que les fesses dedans! La fessée est l’activité préférée de belle-maman. Elle adore çà. Elle fesse bien, fort et longtemps, et ses fessées sont très cuisantes! 

    Adorable Patricia... Arnold, en larmes, tortillait frénétiquement du derrière sur le canapé sous les cinglées de mon martinet.
    - «Ooooh yes… yes... my dear. Elle fesse so hard, belle-maman… ooh my bottom ... ça cuit, darling, ça cuit!»
    Loin de s’apitoyer, Patricia, qui connaît maintenant l’endurance du derrière de son fiancé, surenchérit sans pitié.
    - «Allez maman, tape fort, corrige bien ses grosses fesses, que cela lui fasse une bonne leçon, faut pas arrêter, plus fort! plus fort!»

    Ce disant comme pour s’appliquer ces encouragements à elle même, elle accentue le rythme et la puissance des claques sur les fesses de Clodinet. Le claquement des deux fessées en simultané emplit tout le salon, résonne sur le carrelage, jusque dans la rue par la fenêtre, volontairement grande ouverte. Comme je crois vous l’avoir déjà dit, mais c’est important pour la bonne réputation de la maison, je tiens à faire savoir qu’ici, la fessée fait force de loi, dans le cadre d’une stricte discipline domestique.

    Vous me connaissez, je ne recule devant rien pour en remettre une. Sous prétexte que les traces de lanières sur le postérieur de mon puni étaient trop disgracieuses je décidais de lui flanquer une nouvelle fessée à la main pour les faire disparaître sous un rouge plus soutenu, uniformément réparti sur toute la surface. Et puis, pour être honnête, , j’avais surtout envie de profiter à pleine main, de la merveilleuse cuisson et des vibrantes réactions de ce postérieur si appétissant.

    Je jetais soudain le martinet par terre, ordonnais à Arnold de se reculotter et de revenir s’installer sur mes genoux. Docilement, malgré ses sanglots ininterrompus, il se remit volontairement en position pour bien présenter ses fesses à sa nouvelle fessée: reins cambrés au maximum, fessier éclatant, proéminent, entièrement déployé prêt à claquer de nouveau. Je savourais la manière dont il mettait encore docilement ses fesses écarlates à disposition, alors que je venais de lui flanquer deux magistrales fessées consécutives. Je trouve toujours parfaitement excitant de déculotter une paire de fesses encore rouge d’un récente fessée pour lui en remettre une autre, inévitablement plus cuisante, par dessus. Je ne peux m’empêcher de m’exclamer en le re-déculottant avec la délectation qu’on imagine.
    - «Et bien Patricia chérie, c’est un vrai cul à fessées que tu nous a rapporté là! Je viens de lui en mettre deux, bien claquées, malgré ça on dirait qu’il en redemande!»
    - «Qu’est ce que tu crois maman, c’est bon pour la santé de ses fesses et notre sport favori!»

    De nouveau mes claques retentissantes tombèrent au rythme d’un métronome sur le derrière que je faisais joyeusement rebondir sur mes cuisses gainées de nylon. Je sentais son sexe durcir contre mes jarretelles. Signe qu’en maintenant une bonne cadence j’allais réussir a le faire jouir… comme Clodinet. Ces petits hommes sensibles en dessous de la ceinture ne savent pas se retenir.

    Cette fois ni les pleurs désespérés, ni la danse frénétique des grosses fesses toutes rouges n’étaient feints! Au bout d’un moment, je laissais ma main posée sur le fessier bouillant d’Arnold gémissant, et demandait à notre soubrette qui profitait du spectacle en attendant d’y participer.
    - «Bettina ! Vous prenez le relais? C’est l’heure des glaçons. Un ’’Loch’Glad’’ pur malt, pour tout le monde!»
    Je décidais de m’en occuper pour me permettre en même temps de me reposer le bras et la main...
    - «Vous
    continuez à le fesser, apparemment, il n’a pas encore eu sa dose complète!»

    Vous vous doutez bien que Bettina ne s’est pas faite prier… cela faisait un moment que sa main la démangeait à voir les deux rutilants fessiers déculottés tressauter en cadence sous le feu de nos retentissantes claquées.
    - «Avec plaisir Gladys, je ne demande que ça! J’ai hâte de faire connaissance avec les fesses de Monsieur Arnold. A voir la manière dont elles encaissent les fessées et à les entendre si bien claquer, je sens que ma main va se régaler.»
    - «Vous m’en voyez ravie ma chère. Il me semble tout à fait normal que vous participiez à cette cérémonie de bienvenue. Il est important que vous puissiez évaluer dès maintenant les bonnes dispositions de ce magnifique fessier, à endurer les sévères corrections que vous aurez, vous aussi, à lui administrer lors de ses punitions.»
    - «Tout à fait!» confirme Patricia en concluant la fessée de Clodinet d’un puissant aller et retour sur chaque fesse.
    Il hurle de douleur. Elle insiste d’un ton professoral.
    - «Il va bien falloir que mon futur mari se plie à nos règles de vie communes… les fessées, c’est fait pour ça

    En bonne maîtresse de maison, et maîtresse tout court, qui sait se faire respecter, je surenchéris. C’est toujours moi qui dois avoir le dernier mot … et la dernière fessée!.
    - «Nous avons de solides arguments pour lui dresser les fesses à cet effet! Allez Arnold, on se reculotte et on les prépare à nouveau pour la tournée suivante sur les genoux de Bettina. Vous allez voir ils sont tellement confortables qu’une fois les fesses calées dessus on ne peut plus en redescendre.»
    Je regarde ma soubrette en levant un sourcil interrogateur.
    - «A moins que vous ayez envie de le fesser entre vos cuisses?»
    - «Non, pas tout en même temps, je lui ferai découvrir cette position à l’occasion d’une prochaine punition.»
    - «Comme vous voulez, c’est vous qui fessez.»

    Patricia, à fini par lâcher Clodinet, tombé à genoux entre ses jambes en gémissant. Il se tient les fesses à pleines mains, tandis qu’elle ordonne à son fiancé de suivre mes injonctions.
    - «Arnold, vous avez entendu belle maman? Vos fesses sur les genoux de Bettina… maintenant, tout de suite! Pas question de les laisser refroidir.»
    Bettina enchaîne en riant.
    - «Vous avez raison, il faut claquer le derrière tant qu’il chaud!»

    L’atmosphère est joyeuse. Ça sent bon la fessée, les fesses chaudes et les descente de slips à répétition. J’oblige Arnold, en larmes, à se reculotter devant moi, en tortillant indécemment son gros derrière gonflé de claques. L’opération est délicate et humiliante mais follement amusante. Je remouille ma petite culotte en le regardant s’échiner à faire rentrer ses grosses fesses écarlates et cuisantes dans son slip devenu trop serré pour les contenir entièrement. Par contre idéal pour entretenir l’effet de cuisson de sa récente fessée. Je dis toujours que si l’on veut une correction efficace et bien marquante il ne faut négliger aucun détail susceptible d’en renforcer la sévérité. Avant, pendant et après la fessée. Je lui met la pression.
    - «Aller Arnold, on se dépêche! Patricia à raison. La nouvelle fessée durera plus longtemps si vos fesses ont refroidie entre deux.»
    - «Rooooaaah, please belle maman please!! je vous empli…»
    Tout le monde éclate de rire, même Clodinet, moi aussi évidemment.
    - « Manquait plus que ça! Voyons Arnold, ressaisissez vous mon ami!»
    Patricia les larmes de rire au yeux.
    - «On dit ‘’je vous en prie’’ Arnold … pas – je vous empli… surtout à belle-maman! Allez maintenant, la fessée!»

    Tout penaud , il se lève docilement de mes genoux pour aller chercher sa nouvelle fessée sur ceux de Bettina qui attend la mise à disposition de son plantureux derrière avec impatience. Il gémit encore, mais timidement, cette fois presque maté.
    - «Oooh! encore la spanking… je suis déjà bien corrigé, j’ai les fesses en feu... big spanking... elles sont toutes rouges, çà cuit, ça cuit !»

    Je me demande s’il veut vraiment essayer d’éviter une déculottée de Bettina, sachant qu’elle fesse fort elle aussi. Les bonnes fessées déculottées, bien longues et bien cuisantes, ont fait la réputation de la maison. De plus, Patricia s’est fait un malin plaisir de lui parler de l’implacable sévérité de la soubrette. Elle lui tombe dessus.
    - «Si si! la fessée! Ne fais pas ta mijaurée, je t’avais prévenu que tu t’en prendrai plein les fesses en arrivant ici! Allez-y Bettina, il faut bien le corriger, sur ses grosses fesses déculottées! Elles sont faites pour ça et supportent facilement plusieurs fessées successives. Et s’il vous fait la comédie en pleurnichant, il ne faut pas hésiter à le re-déculotter immédiatement pour lui en mettre une autre sévèrement claquée, encore plus cuisante. C’est la meilleure façon de le calmer, après ça il file doux... N’est ce pas mon chéri que tu deviens docile et parfaitement obéissant après une bonne séance de deux ou trois fessées déculottée...?»
    - «Ooooh ...no...darling ...my god!!»

    Bettina a retroussé sa courte jupe au dessus de ses jarretelles. Plus ou moins résigné, Arnold s’installe parfaitement sur ses cuisses gainées de nylon, son plantureux fessier écarlate bien déployé sous ses yeux, bombé au maximum... La tête redressée, il regarde chacune d’entre nous à tour de rôle avec la mine éplorée du vaincu… Tournant la tête vers sa future épouse, il lui lance un regard de soumission, comme pour finalement lui demander de l’assurer que ses fesses sont dans la meilleure position possible pour bien recevoir sa nouvelle fessée... Bettina , aux anges devant l’imposant postérieur enluminé, déjà bien claqué, l’ajuste bien à sa main dans la position qui lui convient. En prévision des secousses de la trépidante fessée qu’elle se prépare à administrer, elle recale son opulente poitrine dans son décolleté qui a tendance à se laisser déborder par les tremblements de chaires difficilement contrôlables . Elle demande à Arnold qui, pour montrer sa totale soumission à la fessée, l’attend en déployant ses fesses autant qu’il le peut.
    - «Et alors monsieur Arnold, qu’est ce que ça fait de se faire claquer les fesses en France? Il n’y a pas que chez vous qu’on sait administrer de bonnes fessées! Vous allez voir que pour ce qui est de s’occuper de belles paires à rougir, on sait y faire ici... Vous êtes bien tombé ici avec mademoiselle Patricia,madame Gladys et moi même? Vos fesses sont en bonnes mains, elles ne vont pas chômer!»

    Arnold ne répond pas. Ce n’est sans doute pas la meilleure façon de le rassurer, mais par contre, c’est la bonne méthode pour le maintenir sous la menace de la fessée qu’on peut lui claquer aux fesses n’importe où à n’importe quel moment. Souvent sans raison, quand on a simplement envie de s’offrir un moment de détente en administrant une cuisante déculottée sur une belle paire à disposition. Et ça arrive fréquemment.

    Je profite de cet échange de paires de fesses, pour récupérer celles de Clodinet. Il n’y a pas de raison de le dispenser d’une troisième fessée ne serait ce que pour accompagner celle d’Arnold. Je me doute qu’à tout choisir, il aurait préféré se la prendre la tête coincée entre les cuisses de Bettina, mais il n’aura pas à se plaindre de s’en ramasser une bonne, bien claquantes sur celles de tantine, qu’il connaît par coeur.
    «Allez Clodinet, viens ici! A plat ventre sur mes genoux, pour une bonne fessée!»

    Il s’approche, le slip en travers des cuisses, en passant les mains sur ses fesses encore et brûlantes. La cuisson est encore intense de la fessée de Patricia… Il se couche docilement sur mes genoux, jambes repliées, reins creusés, son imposante paire de fesses, rouge écarlate, bien ressorties. Lui aussi, bien dressé, montre son entière soumission à la fessée qui l’attend. Il me demande même d’une petite voix craintive.
    - «Cela va comme çà tantine, je suis en bonne position? Tout le monde voit bien mes fesses? Elles sont bien déculottées, bien à votre main? N’est ce pas!»
    Je profite sans scrupule de ma position dominante, en exerçant mes pleins pouvoirs sur le derrière pourtant bien déjà présenté, de mon neveu.
    - «Pas encore Clodinet, les fesses plus hautes et plus tendues, et le slip plus bas sur les cuisses pour dégager une plus grande surface à claquer! C’est la grosse fessée déculottée qui t’attend mon cher!»
    Il se trémousse frénétiquement sur mes genoux pour satisfaire à mes exigences, et se déculotte plus largement en poussant sur les fesses. Son humiliation est totale.
    - «Elles sont encore mieux comme çà mes fesses, tantine?»

    Je m’accorde un petit sourire vicieux. Je passe ma main sous son ventre et le soulève un peu pour encore mieux faire ressortir son derrière pendant qu’il m’aide à le tendre au maximum en accompagnant le mouvement... Il est outrageusement rebondi, parfaitement déployé, à portée de main, prêt à claquer sous la magistrale fessée que j’ai l’intention de lui mettre . La préparation des fesses et leur positionnement est toujours un savoureux moment.

    Et c’est là, mes chers amis que vous allez devoir attendre la suite... pendant une semaine. Une des qualités d’une sévère maîtresse c’est de savoir faire attendre ses soumis. N’est-ce-pas? Et le meilleur moyen de patienter c’est de prendre le temps de s’en faire mettre de longues et bien claquantes sur les fesses en attendant… N’est-il pas?

     

    Tante Gladys

     

    19  Journal des fessées de Clodinet par tante Gladys et Bettina

     

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