• Je vous propose trois photos de bondage différents.

    Taillons 22 janvier

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Celle-ci, en position "hogtied", avec bâillon, inconfortable, non, je ne l'aime pas du tout. La bondagée ne peut pas rester ainsi longtemps, ce n'est pas amusant.

    Taillons 22 janvier

    Celle-ci, bien sûr, a ma préférence, elle est la plus confortable et surtout le bondage en tabliers et torchons est celui que j'aime. Et si les torchons sont humides et odorants, c'est encore mieux.

    Taillons 22 janvier

    Ce bondage là est à la fois joli et relativement confortable.

    J'attends vos préférences de bondage en commentaires, sur la position, sur la durée du bondage, sur ce que vous utilisez pour attacher.

    Pour moi, c'est torchons et ceintures de blouses, et soit allongé, soit assis confortablement sur une chaise..

     

     

     

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  • Un récit trouvé en réponse à un post sur ABKingdom, et que j'ai à peine retouché…


     

    Soumis... à une tante très sévère!

    Je venais d'avoir mes 18 ans lorsque ma mère m'envoya poursuivre mes études a une cinquantaine de kilomètres de chez nous parce que j'étais très dissipé, que je faisais encore de temps en temps au lit et qu'elle m’avait surpris en train de me toucher.

    Il était convenu que je serai hébergé par une cousine de ma mère, qui reçut la consigne de me serrer la vis.

    Tante Hortense avait alors une quarantaine d’années. C’était une belle et grande femme brune assez forte, plus grande et plus lourde que moi... Elle était très autoritaire et la mission que lui avait confiée ma mère lui plaisait beaucoup. Je ne l'avais vue que rarement, lors de réunions de famille, coquettement habillée, mais elle me reçut chez elle en blouse stricte, ce qui lui donnait une allure impressionnante que je ne lui avais jamais vue.

    Elle me dit tout de suite qu'elle serait pour moi une deuxième maman, et même plus, d'un air sévère, et qu'elle assurerait mon traitement conformément aux instructions de ma mère.



    En fait elle commença le traitement des le premier soir en mettant, sur sa blouse, un tablier et des gants en caoutchouc pour me déshabiller et contrôler elle-même ma toilette. Elle me décalotta plusieurs fois le gland avec son gant enduit de savon puis elle me sécha avec une serviette rugueuse et elle me fit passer une sorte de pyjama en plastique presque transparent pour aller dormir. Quant a mon lit il avait reçu en guise de drap de dessous une grande alèze de caoutchouc rose. Officiellement c'était pour que je ne fasse pas pipi au lit. Mais je compris la vraie raison quand tante Hortense se pencha sur moi et, avant de m'embrasser pour la nuit m'attacha les mains dans le dos avec deux torchons fermement noués. Je passais ainsi la nuit, couché sur le côté ou à plat ventre, et, bien sûr, sans pouvoir me toucher de quelque façon que ce soit, alors que le plastique sur ma quéquette m'excitait beaucoup.

    Tout mon séjour ce passa ainsi.

    Des que je rentrais je devais aller me laver, revêtir cette tenue et la conserver en permanence, ma tante mettant mes vêtements et mes chaussures sous clef...

    Et le matin, à la place ou sous mes slips ordinaires, je devais enfiler une bambinette ou une couche culotte en plastique.

    J’étais très troublé par cette situation. Tante Hortense m'impressionnait beaucoup et surtout le fait de la voir porter elle même des vêtements imperméables, tabliers sur sa blouse, gants, socques de plastique ou bottins basses de caoutchouc (et même un ciré et un fichu de plus en plastique pour sortir) me faisait énormément d'effet...

    J’étais à la fois humilié et excité.

    Tante Hortense se montrait très sévère. Pour un oui ou pour un non, elle me giflait ou encore me pinçait durement le zizi... notamment si, passant la main dans ma culotte, elle trouvait la moindre trace d’humidité suspecte.

    Ça aussi, ça me faisait beaucoup d'effet...

    Quelques semaines plus tard ma mère est venue me voir.


    Je me suis retrouvé devant elle, en pyjama de plastique, sans chaussures. Ma mère m'a regardé muette de stupéfaction puis s’est retournée vers Hortense en éclatant de rire... trouvant le remède original et efficace sans doute.

    Tante Hortense, surveilla ainsi mes études jusqu'à leur fin, et bien sûr quand je ramenais une mauvaise note, c’était la correction assurée.

    Le plus souvent j'avais droit au martinet, parfois aussi au torchon mouillé... Toujours sur ses genoux, dûment caoutchoutés, c'est à dire la blouse et par-dessus un lourd tablier à bavette de caoutchouc. Après la punition c’était la pénitence au coin, les mains sur la tête, tout nu ou avec seulement une culotte de caoutchouc... Ce qui me donnait des érections terribles avec interdiction de me soulager et je me recroquevillais sur moi même pour que ça se voit le moins possible.

    Tout cela a duré plus de cinq ans... Je ne sais pas si tante Hortense s'est aperçu de se qui se passait, elle a toujours fait semblant de rien...

    Mais moi après toute ma vie en a été marquée et ma femme aujourd'hui a la maison porte un tablier caoutchouté et je mets encore des pyjamas en plastique pour dormir.

    Et la journée je porte toujours une culotte de caoutchouc sous mon pantalon. Je n'ai rien à dire, je suis heureux...

     

     

     


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    Prête, oui, mais à quoi? Je ne sais pas, mais elle a de beaux yeux.

    La tenue est, certes, très médicale, et ce n'est pas mon genre. Mais j'ai appris que, parmi les podiaphiles, il y a des fétichistes des tabliers jetables. Et donc, cette photo est pour eux.

    Pour ma part, je n'aime pas les tabliers jetables, trop fins, pas intéressants du tout. Si on tient à protéger la blouse, ou le tablier de coton, je préfère un lourd tablier de caoutchouc, bien tombant, bien enveloppant, qu'un coup d'éponge suffira à nettoyer, même s'il devait être sali de la pire des façons. C'est comme les couches jetable, je préfère les langes en tissu qu'il faudra laver…

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    Mais quel est donc ce morceau de fourrure blanche sur ses fesses? Est-ce une queue d'animal qui orne son cul? Est-ce un ustensile ménager passé dans sa culotte? Ou un objet posé derrière, sur le plan de travail, que l'on croit sur ses fesses par effet de perspective? Vos idées en commentaire, merci.

    J'avais pensé à un plug en forme de queue d'animal, mais alors, il ne passerait pas par le haut de la culotte… Donc, je me demande ce que c'est.
    Mais j'aime le tablier, j'aime aussi ces chaussures à semelles épaisses, qui laissent voir le pied, et qui ne sont pas inconfortables, j'imagine, à porter.
    Bon, la question est de savoir si c'est une femme ou un homme, mais est-ce bien important?

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  • Je n'aime pas utiliser des mots anglais, mais je n'ai pas d'équivalent en français pour cette pratique, le "schoolgirl pinning". Proposez-moi des termes français, en commentaire, merci.

    Cette pratique, qui mélange la lutte et l'écrasement, presque le face-sitting, me plait beaucoup. La soumise voit sa dominatrice, la dominatrice voit sa soumise, la première constate sa défaite et son humiliation, la seconde jouit de la honte de la vaincue. Quelques centimètre suffisent pour faire un face-sitting. Et si, en plus, il y a une deuxième dominatrice pour tenir les chevilles de la soumise, et lui chatouiller les pieds, alors que, clouée au sol, elle ne peut pas bouger, c'est encore mieux.

    Bref, j'adore, il ne manque plus qu'un nom en français.

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