• Ce texte est paru sur http://membres.multimania.fr/bebepat/recits/surveill.htm, je le mets ici de peur que ce merveilleux site ne disparaisse.


    Il y a 25 ans, dans les supermarchés qui s'appelaient "Montlaur" et dans le supermarché "Coopérateur", les caissières portaient des blouses Nylon bleu marine courtes fermées dans le dos par une fermeture éclair. Aux rayons alimentation et boucherie elles avaient la même blouse en blanc. Une fois j'étais, prêt à faire une déclaration d'amour osée à une jeune employée qui rangeaient les rayons car elle avait sous sa blouse bleue marine un bermuda noir, et je ne pourrai jamais pas oublier l'effet que ça m'a fait de voir son bermuda et ses jambes claires dépasser de sa courte blouse de Nylon bleu marine.


    Un jour, lorsque j'avais environ 15 ans, j'ai découvert que j'avais pour voisines dans la maison d'en face, deux soeurs qui travaillaient dans ce supermarché.
    Et tous les matins, elles attendaient devant le portail de leur maison, un ami qui habitait dans un autre quartier, pour qu'il vienne les prendre en voiture et les amener au boulot, car il travaillait dans le même supermarché.
    Ces deux jeunes filles, une de 18 ans et l'autre de 25 ans, très belles attendaient la voiture, habillées en blouse, en été avec rien sur leur blouse, sur le bord de la route. Une en Nylon bleu marine et l'autre en Nylon blanc. Cela a duré quelques mois, et tous les matins avant d'aller à l'école, je regardais de ma fenêtre située à environ 20 mètres, ces deux merveilles qui me mettaient de bonne humeur pour la journée. J'attendais avec elles durant 5 à 10 minutes tous les matins derrière ma fenêtre, bien caché, que la voiture passe.

    Un jour il s'est mis à pleuvoir, et elles ne sont pas rentrées pour prendre une veste car elles pensaient que leur chauffeur allait arriver d'une minute à l'autre. De voir ces deux belles filles coincées dehors, se mouiller et voir leurs blouses en Nylon devenir de plus en plus brillantes et transparentes , gràce à la pluie, m'a mis dans un état de plaisir sexuel inimaginable et j'ai ensuite été aux toilettes pour me soulager.
    Quelques années plus tard, j'ai connu une femme qui m'aimait beaucoup et à qui j'ai osé parler de mes goöt en matière de blouses et de tabliers. Voici dans quelles conditions je lui ai avoué mes fantasmes. Un jour qu'il faisait froid dans mon studio, elle n'avait pas apporté de pull assez chaud. Et elle me demandait si je n'avais pas quelque chose à lui prêter. J'ai ouvert le placard et je suis tombé sur une de mes blouses Nylon bien cachées.

    Je lui dis que je pourrais lui prêter cette blouse Nylon pour la soirée, afin qu'elle ait moins froid. Elle dit d'accord et enfila cette blouse. Il s'agissait d'une blouse en Nylon rouge, à manches longues et boutonnée sur le devant. Cette blouse était trop grande pour elle.
    Dès que je l'ai vu ainsi habillée, je n'ai pu m'empêcher de m'approcher pour la caresser sur tout le corps par-dessus le Nylon de sa blouse. Elle a eu l'air étonnée et j'ai continué pour aller jusqu'oò vous devinez sans lui enlever entièrement la blouse.

    Plus tard elle portait encore cette blouse en mangeant et c'est là que je lui dis que j'adorais les blouses de femmes et les tabliers en nylon. Elle s'en doutait à ce moment là un peu.
    Ensuite elle s'est installée chez moi.

    Je lui ai offert par la suite une blouse chasuble orange en Nylon boutonnée dans le dos. Elle la mettait souvent, ainsi que deux tabliers en Nylon, un rose et un vert que j'avais acheté quelques mois auparavant. Le soir elle faisait la vaisselle, et a rarement elle a pu finir cette vaisselle tranquillement parce que je l'interrompais avant la fin pour l'honorer alors qu'elle était vêtue de ce tablier Nylon. Elle s'arrangeait souvent pour mouiller son tablier Nylon, et je crois maintenant qu'elle le faisait exprès et que ça lui plaisait.
    Pour aller au lit elle mettait souvent nue avec un de ces tabliers taille en Nylon, car c'était l'été et une blouse lui tenait trop chaud. Nous refaisions l'amour, à cette époque j'étais jeune et vaillant et j'étais particulièrement excité par le Nylon.

    Après l'amour on s'endormait, sans qu'elle enlève son tablier. Ensuite dans la nuit elle allait aux toilettes, et le tablier tout froissé et taché n'était pas reluisant, alors là elle l'enlevait.
    Cette relation a peu duré, et je le regrette. A la fin elle me disait qu'elle avait peur que je n'aime plus les tabliers et blouses qu'elle. Et c'était vrai je pense, je l'aimais, mais encore plus en blouse Nylon.

    Ensuite j'ai connu une autre fille de la région parisienne qui était en vacances sur la côte.
    Elle était plus ígée que moi (30 et moi 20 ans). Je l'avais hébergée chez moi et je crois qu'elle m'avait dragué aussi pour ne pas payer d'hôtel pendant ses vacances.
    Elle était magnifique, blonde cheveux mi longs, un corps remarquable. Elle m'a beaucoup appris. Mais elle me considérait comme un jeune freluquet, un passe- temps, une amourette de vacances. Moi je n'en demandais pas plus. Au bout d'une semaine elle s'était aperçue que mes ardeurs n'étaient pas à la hauteur de sa beauté.

    Un jour au marché elle s'est acheté un tablier, car elle lavait son linge à la main et faisait un peu la cuisine. Lorsque j'ai vu le tablier qu'elle avait choisi, une horreur en gros tissus épais et ordinaire. Je lui ai dit qu'il n'était pas terrible. Elle a répondu que c'était seulement pour les vacances et qu'elle avait pris le moins cher.
    Et c'est là que je lui ai dit que j'en avais, dans mon coffre de voiture, en Nylon, et qui auraient été plus sympa. J'avais en effet planqué mes blouses et tabliers dans la voiture bien empaquetés sous la roue de secours, depuis qu'elle était arrivée chez moi.
    Elle me répond qu'elle ne mettra jamais mes blouses, et me demande aussi pourquoi je possédais des blouses de femmes. Là je lui ai dit que j'en mettais parfois pour faire du gros ménage afin de ne pas me salir. Tu ne serais pas un peu vicieux ?, me rétorqua-t-elle aussitôt. Là j'ai eu le tort de lui avouer que c'était vrai que j'aimais le Nylon et que j'adorais qu'une femme porte des blouses et des tabliers en Nylon.

    J'espérais à ce moment là, qu'elle accéderait à mes secrets désirs et qu'elle consentirait à mettre du Nylon de temps en temps. Pourquoi pas pour faire l'amour, les merveilleux souvenirs de mon ancienne copine remontaient à la surface. Elle me dit alors : Montre voir ces blouses ? J'allais au parking chercher le petit carton, tout joyeux et plein d'espoir. Je lui montais alors quelques blouses, pas toutes. Une rose fermée sur le côté par une fermeture éclair, une autre chasuble en Nylon blanc sans manches à petits volants aux épaules et boutonnée dans le dos, et en plus un ou deux tabliers taille en Nylon.
    Elle me dit : Et tu mets ça pour faire le ménage ? Et bien mets-en une pour voir comment tu es avec. J'ai cru à ce moment là que c'était un jeu et qu'elle allait en mettre une aussi. Et en plus j'étais tout émoustillé de me montrer en blouse devant ma bien-aimée. J'enfilais alors la blouse blanche boutonnée dans le dos, c'était un grande taille et je pouvais l'enfiler par la tête sans la déboutonner. De plus j'étais en short et je trouvais ça encore plus existant.
    Elle me dit alors, tu vas pouvoir faire un peu de ménage. A ce moment une érection se fit sous mon short, qui était assez collant. Elle vit la bosse sur la blouse et dis : "Mais ça te fait de l'effet, petit vicieux. Tu vas me raconter ça".
    Là j'ai dû lui raconter que lorsque je mettais une blouse ce n'était pas seulement pour le ménage, mais aussi que j'aimais m'attacher en blouse et me masturber en m'allongeant à plat ventre et en gigotant sur le lit. Cela vient de mes jeux de petit garçon de 8 ans avec ma cousine alors ígée de sept ans.
    En effet le jeu s'appelait le cheval. Moi j'étais le cheval, et étant couché à plat ventre je devais soulever ma cousine habillée dans sa blouse Nylon rouge, qui était à cheval sur mon dos. Inutile de dire que volontairement je n'y arrivais pas, et que je restais de longues minutes à plat ventre à gigoter et à me trémousser en faisant semblant d'essayer de me relever à quatre pattes, avant de réussir à me relever. Alors que ma cousine alors ígée de 7 ans dans sa blouse rouge en Nylon se faisait un plaisir de peser de tout son poids sur mon dos et indirectement gríce au sol, son poids écrasait aussi mon sexe durci par la scène.

    Revenons à nos moutons. Après avoir écouté ma petite histoire. Elle me demande si j'aimerais qu'elle m'attache sans m'enlever la blouse et qu'elle me laisse ainsi une heure de temps. Je lui ai dit non, car il fait trop chaud, et de plus j'aurais une érection telle que j'exploserais aussitôt en mouillant mes habits et le reste de l'heure serait plutôt une souffrance qu'un plaisir. Elle me dit qu'il suffisait de mettre un préservatif. Je lui dis que non ce n'était pas la fait de salir mes habits, mais qu'après l'éjaculation, le Nylon et le fait d'être attaché n'offrait plus aucun intérêt érotique pour moi. Cela revenait quelques heures après.
    Elle n'insista pas mais me dit de rester en blouse toute la soirée si je voulais. Moi qui voulais qu'elle mette la blouse pour que je puisse l'honorer, c'est moi qui me retrouvais en blouse Nylon devant une femme qui était restée en jean.
    A ce moment là je n'en ai pas trop rajouté en pensant qu'elle avait compris mon fétichisme mais que ça ne l'attirait pas plus que ça.
    Le lendemain soir je dit lui que j'aurais aimé lui faire l'amour, alors qu'elle aurait mis une blouse Nylon. Elle me dit que justement c'était le contraire, elle aurait voulu que je lui fasse l'amour alors que moi seul serait habillé ainsi. Je me sentais quand même émoustillé et je lui dis que j'avais peur de ne pas pouvoir me retenir très longtemps habillé ainsi. Là j'ai eu tort, je lui avouais ainsi indirectement qu'elle ne m'excitait pas beaucoup, et que le blouse m'excitait plus qu'elle. Je pense que là, elle a dö se vexer dans sa féminité. Elle m'a dit de m'habiller en blouse Nylon et de mettre même par-dessus un tablier en Nylon.
    Je mis la blouse rose fermée par Zip et un tablier blanc en Nylon par-dessus. Je me trouvais tout gêné, c'était une situation nouvelle pour moi. Je n'osais pas m'approcher d'elle et paradoxalement je me sentais gêné habillé ainsi.
    Pour arranger tout elle me dit qu'elle préférerait, vu ma tenue que je me limite à des préliminaires linguistiques (si vous voyez ce que je veux dire). Cela m'arrangeait sur le moment car je comprenais que mon côté viril en blouse ne devait plus la combler.
    De plus lors de ces préliminaires linguistiques, je compris ma situation ressemblait ainsi à celle d'un esclave qui n'est là que pour donner du plaisir à sa partenaire, sans en prendre lui-même. Heureusement que la position à plat ventre me convenait parfaitement. J'ai été à la hauteur et ma partenaire avait l'air satisfaite. Vous imaginez la scène, moi à plat ventre en blouse-tablier Nylon avec la tête entre les jambes d'une femme qui en serrant ses jambes de temps en temps m'empêchait de respirer. Heureusement qu'elle n'avait pas eu alors l'idée de m'attacher les mains derrière le dos.

    Cette expérience m'a beaucoup plu, le côté esclave et humiliant m'enchantait.

    J'ai eu d'autres expériences amoureuses avec cette femme durant son séjour. Mais la dernière fût la plus enrichissante.
    Le dernier jour elle attendait un copain de Paris qu'elle avait retrouvé entre- temps et que je ne connaissais pas. Il devait la ramener en voiture sur Paris car ses vacances à trente km de là finissaient. Elle avait pensé profiter de cette occasion pour faire encore des économies.
    Le matin elle me dit qu'elle voulait faire l'amour une dernière fois mais cette fois-ci elle me laisserait aller jusqu'au bout avec elle. J'étais heureux, car je m'étais résigné à ne plus avoir de relations sexuelles normales avec elle depuis une semaine, et j'attendais impatiemment que ses vacances se terminent. Elle me dit que je pouvais être habillé en blouse pour cette affaire. Je lui dis que non, ma virilité ne s'accordait pas avec le port de la blouse. Là elle me dit que si, elle avait fait des efforts pour contenter mes fantasmes et elle voulait aller jusqu'au bout. Je lui rétorquais que jusqu'au bout pour moi, ça serait elle qui serait en blouse Nylon.
    Non elle ne voulait vraiment pas, je n'insistais donc pas. Je lui dis que son collègue allait venir passer la chercher dans une heure. Elle me dit, non il a retardé l'heure de départ, il ne viendra qu'à 10 h.Et mes affaires sont prêtes. Je mis donc ma blouse blanche en Nylon en étant tout nu dessous et je me dis j'allais être à la hauteur.
    Là elle me dit: "Veux-tu que j'attache tes chevilles ça sera plus marrant ?".
    Oui pourquoi pas, en pensant que je n'en serais que plus excité. Elle m'attacha les pieds avec des courroies qu'on utilise pour ficeler les bagages. Et je devais par jeux la rejoindre en traversant la chambre en sautillant à petits pas.
    Ca a fait du bruit et comme il était 8h30 du matin, la voisine, une de mes anciennes relations amoureuses, une folle dingue de 28 ans, qui est malade du bruit, a tapé à la cloison. Ma partenaire l'a envoyée sur les roses en l'insultant car on avait déjà eu des problèmes avec elle. Ma voisine que nous appelleront Béatrice s'arrêta net de taper. Notre jeu continua, et lorsque j'avais rejoint après bien des efforts la couche de ma bien aimée, elle me retourna à plat ventre et m'attacha les poignets dans le dos. Sur le moment je protestais mais elle me dit que c'était plus rigolo de voir comment je me débrouillerais pour faire l'amour comme ça. Je riais jaune.
    Elle passa une grande courroie à travers mes liens vers la structure du lit dépliant afin que je ne puisse plus bouger et doive rester à plat ventre sans bouger. Je comprenais tout, quand je la vis se lever s'habiller et prendre ses affaires en disant que son copain allait arriver, car il n'était pas loin de 9 h. En effet il devait arriver à cette heure là. J'étais tout ému de peur et d'excitation en pensant qu'elle allait me montrer ligoté en tablier Nylon, à son mec.Mais elle ne le fit pas, et je préfère ainsi.
    Elle me dit "Merci pour l'hébergement, je ne te bíillonne pas, pour que tu puisses appeler et je ferme pas ta porte à clé. Mais lorsque nous serons à Lyon dans 4 ou 5 heures, j'appellerai Béatrice. Je lui expliquerai tout et je lui demanderai de venir te détacher, mais auparavant je lui dirais de s'amuser un peu avec toi avant de te détacher."

    Rassurez-vous, tout s'est bien terminé, je vous raconterai une autre fois...

     

    Ce texte est signé "Patuniforme"


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