• Cette histoire est à l'origine sur
    https://french.literotica.com/s/la-soumission-de-lucien
    Je l'ai modifiée pour la faire rentrer dans le cadre de mon fétichisme et de certains de mes fantasmes.


     

     L'histoire de Lucien

     

    Je m'appelle Lucien. Je suis très fétichiste et plus soumis encore. J'avais décidé depuis quelque temps de commencer à vivre pleinement mes fantasmes, en faire des expériences plutôt que des fantasmes platoniques. Cette découverte et ce dépassement de ma personne passaient par plusieurs phases. Voici l'une d'entre elles, de mon point de vue, mais pas seulement du mien.

     

    LUCIEN

    Ce soir-là, j'ai appelé une agence de call-girls pour avoir une séance un peu spéciale.
    - «Que désirez vous exactement?» me demande la femme au bout de la ligne.
    - «Euh... je voudrais une femme… dominatrice.»
    - «Il y a plusieurs niveaux de domination», me dit-elle après quelques secondes. «Vous pensez à quelque chose en particulier?»
    - «Oui. Euh... une femme un peu sévère, dans le genre gouvernante ou matrone, et qu'elle aie de quoi me sodomiser.»
    Elle m'a demandé aussi quelques précisions sur mes fantasmes, que je lui ai données, un peu honteux, et très excité d'être honteux.
    - «Je vois...Très bien, je sais qui vous envoyer. Mais j'ai encore quelques petites choses à vous demander. Allez prendre une bonne douche. À partir de maintenant vous ne touchez plus à votre sexe, compris?»
    Ça c'était plus un ordre qu'une demande.
    - «Oui Madame, j'ai compris.»

    En ce moment j'ai regardé ma quéquette toute dure dans ma main et instantanément j'ai arrêté de me branler. Ensuite la même voix au téléphone m'a demandé mon adresse et dit que dans deux heures j'aurais de la visite. J'ai essayé de réclamer pour le temps d'attente, mais elle m'a répondu que l'attente faisait déjà partie de la séance. Enfin elle m'a donné d'autres instructions et dit comment je devais m'habiller pour recevoir Madame Dominique, et sans me laisser le temps de dire quoi que ce soit, elle a raccroché.

    Je me suis dépêché de faire ce qui m'avait été imposé. Mes instructions, que j'avais suivies à la lettre, étaient de me doucher, me raser le pubis, la poitrine, les aisselles et les jambes. Ensuite, je devais m'habiller avec uniquement une blouse de femme et un tablier de femme, selon mon fétichisme, que j'avais exposé au téléphone. Puis je devais, dans la cuisine, me mettre à quatre pattes sur la table et regarder le côté opposé à la porte, vers laquelle étaient tournées mes fesses. Il m'avait été formellement interdit de regarder la porte sauf si j'en recevais l'ordre. Pour ne pas me faire trahir par ma curiosité et désobéir, je me suis bandé les yeux avec un torchon.

    Pour indiquer plus facilement la cuisine à Madame Dominique, je devais faire des panneaux en papier avec des flèches pour indiquer le chemin, et accrocher ces panneaux aux murs. Détail important, ces panneaux devaient aussi porter des obscénités et des insultes contre ma propre personne et décrire ce que je voulais de Madame Dominique. J'avais alors donné libre cours à mon imagination: "Je suis une salope", "Je veux me faire défoncer comme une vraie salope", "Je serai votre truie Madame", "Faites de moi votre esclave", "Permettez-moi de nettoyer vos pieds avec ma langue", "Que votre gode soit long et gros, comme je les aime". J'avais aussi, dans le parcours fléché, indiqué la salle d'eau, pour que la dominatrice puisse se rafraichir en arrivant. Il m'avait fallu une bonne heure pour tout cela.

    J'ai attendu un bon moment, à quatre pattes sur la table de la cuisine, le cul offert sous la blouse de femme, très excité de cette attente. On a sonné à la porte. Ensuite, la clef, que j'avais laissée, selon les instructions sous le paillasson, a tourné dans la serrure et j'ai entendu la porte s'ouvrir et des talons résonner sur le parquet. J'ai ensuite entendu la porte de la cuisine qui s'ouvrait…
    - «Bonsoir Madame, soyez la bienvenue, j'espère que vous avez apprécié l'accueil», dis-je un peu intimidé, sans me retourner, mais en frétillant des fesses.
    - «Et comment! Il n'y a pas de doute! pour une surprise, c'était une bonne surprise mon chéri, meilleure que la mienne.»

    En un instant, j'ai réalisé que je connaissais très bien cette voix. C'était Simone, ma compagne. Elle était partie en voyage et ne devait rentrer que deux jours après. Je me suis rappelé qu'elle avait ses clés. Mon sang a glacé et ma gorge séché. Je défis mon bandeau et me suis retourné, en sachant pertinemment qu'elle avait dû tout comprendre.
    - «Je ... je peux t'expliquer, Simone.»
    - «Je crois que ça va, tu attendais quelqu'un d'autre. Mais c'est pas grave. On va l'attendre ensemble. Remets-toi comme tu étais, salope.»

    Elle est venue jusqu'à moi, m'a donné une grande tape sur les fesses après avoir troussé ma blouse (c'était une blouse à elle, d'ailleurs), claqua ma queue bandante avec sa main, rabaissa la blouse, me remit mon bandeau. Je me suis remis à quatre pattes, après avoir remis le torchon qui me bandait les yeux, le cul tourné vers la porte. Simone est sortie se mettre à l'aise, au bout de quelques minutes est revenue, je l'ai entendu s'asseoir sur une chaise, se lever, préparer je ne sais quoi, se rasseoir et feuilleter quelque chose. Nous avons attendu, ce fut pour moi les minutes les plus longues de toute ma vie. Passé ce temps, la clef a tourné a nouveau dans la serrure et de nouveaux pas ont résonné sur le parquet.

     

    SIMONE

    La semaine de conférences avait été un peu pénible, mais j'étais contente de rentrer à la maison quelques jours plus tôt pour revoir mon chéri.

    Dès que j'ai ouvert la porte de l'appartement, j'ai été un peu étonnée de ce que j'ai lu sur le papier accroché au mur "Je suis une salope". Et les écrits devenaient plus "chauds" a mesure que j'avançais dans le couloir et suivais les flèches qui menaient vers la cuisine, en passant par la salle d'eau. Je me demandais ce que j'allais y trouver. Lucien était là, à quatre pattes sur la table, en blouse et tablier de femme, le cul tourné vers la porte. Il avait les yeux bandés avec un torchon. Et en plus, il était rasé presque partout! Qu'il était mignon comme ça, sans poils et sans défenses.

    Quand il s'est rendu compte que c'était moi et non pas la personne qu'il attendait, il a voulu s'excuser et se justifier. Hors de question! Il attendait quelqu'un? Alors, on l'attendrait ensemble. J'ai pris les devants et l'ai ordonné de revenir à la position dans laquelle je l'avais trouvé; il bandait comme un âne. J'ai parlé doucement mais avec l'autorité de quelqu'un qui n'était pas prête à écouter, ni à en débattre et il m'a immédiatement obéi. Lucien tremblait visiblement. Je me suis mise à l'aise, enlevant mes vêtements pour passer une blouse (je savais, depuis longtemps, que je l'excitait quand j'étais en blouse), et j'ai commencé à fureter dans la maison.

    Qui que soit la femme qu'il attendait, ce devait être une femme dominatrice, les écrits étaient très explicites. Une dominatrice à laquelle il était soumis, sans que je me sois jamais rendu compte. J'enrageais! Qui ça pouvait bien être? Sa secrétaire? La fille du dessus qui se fait baiser deux et souvent trois fois par nuit? C'est en me posant ces questions que j'ai regardé le téléphone et le magazine posé à côté que j'ai tout compris. C'était le Guide du Fétichiste, ouvert sur une page d'annonces d'amatrices, de salons etc, avec un numéro d'une agence de call-girls surligné. Voilà! Il avait appelé une call-girl dominatrice! Il voulait jouer à des jeux de domination/soumission? Alors on allait jouer ensemble. Il fallait faire vite car la personne devrait arriver bientôt. J'ai remis la clé sous le paillasson, comme cela était prévu, j'imagine. En attendant, je suis retournée dans la cuisine me faire un thé, et le boire en feuilletant sa revue. Lucien était toujours dans sa position ridicule.

    J'ai entendu la porte d'entrée s'ouvrir, des pas tranquilles et une belle femme, d'un certain âge, a fait son apparition dans la cuisine. Elle était, grande, plus grande que moi et peut être même plus grande que Lucien. Elle portait trench-coat très long, elle était coiffée avec un chignon strict. Elle avait visiblement des gros seins, un air sévère et une allure imposante. Elle portait un grand sac, genre sac de sport.
    - «Bonsoir, Madame», lui dis-je en prenant les devants.
    - «Je ne savais pas que ça devait être pour deux personnes ... mais c'est pas grave. Je peux travailler en double...»
    - «Non ... enfin ... je suis désolé de vous interrompre, ce n'est que pour lui, je suis sa femme et voudrais qu'on le fasse à deux, cette salope mérite bien de se faire défoncer et mettre au pas.»
    - «D'accord ... Pas de problème ... Je suis Madame Dominique.»
    - «Je m'appelle Simone et lui c'est...»
    - «Notre salope. N'est-ce pas, salope?»
    - «Oui, Madame Dominique», répondit mon Lucien.

    J'étais complètement émerveillée par la soumission de Lucien et par la présence de cette femme. Elle a posé son sac, lui a enlevé le torchon qui lui bandait les yeux et dès qu'il l'a vue, sa queue s'est mise a grossir encore plus.

    Madame Dominique a enlevé son trench-coat. Elle portait dessous une stricte blouse blanche d'infirmière. Elle a sorti de son sac une sort de laisse de caoutchouc, qu'elle a attachée autour du cou de Lucien. Elle l'a tiré vers elle au point que sa bouche est collée à sa blouse, sous laquelle se dessinait une belle bosse.
    - «Alors comme ça, cette salope veut se faire baiser devant sa femme? Tu as l'air d'être une bonne pute bien soumise. Et toi Simone, comment est-ce que tu veux participer?»
    - «Je ne sais pas Madame Dominique... Je n'ai jamais fait ça.»
    - «Alors tu seras mon élève, d'accord?»
    - «Oui Madame Dominique.»
    - «Veux-tu être sa femme dominatrice? Le baiser autant que tu veux?»
    - «Oh oui, Madame. Je veux qu'à partir d'aujourd'hui il devienne ma salope.»
    - «Très bien, mais sache qu'au dessus de toi, il y aura toujours moi. J'aurai toujours la priorité sur lui et tu ne recevras des ordres ou des instructions que de moi. Compris?»
    - «Oui Madame Dominique, j'ai compris.»
    Elle me prit à part, le plus loin possible de Lucien, et me parla à l'oreille. J'appréciais sa franchise, et je lui répondis, à voix basse, que ça ne changeait rien. Elle sourit et dit:
    - «Voyons de quoi tu es capable. Dans mon sac tu trouveras du matériel. Sers toi.»

     

    DOMINIQUE

    Comme d'habitude, l'agence m'avait téléphoné, expliqué en quelques mots, puis j'avais reçu le mail avec l'adresse, le digicode, et des renseignements plus complets. C'était un soumis avec un fétichisme bizarres, mais à part ça des envies de soumission classiques. Rien ne pressait, l'agence savait que les soumis sont excités par l'attente. J'ai mis la tenue appropriée, j'ai rempli mon sac avec les accessoires dont j'aurais besoin, et j'ai pris un taxi.

    Arrivée devant l'immeuble, je le reconnus. Un immeuble de standing où j'étais déjà venue une fois ou deux, mais le nom ne me disait rien. Un immeuble de pervers, sans doute. J'ai tapé le code, j'ai pris l'ascenseur, la clé de la porte était bien sous la paillasson.

    J'ai ouvert, j'ai vu les petites feuilles de papier scotchées sur les mur, mon client, enfin mon soumis, ma salope, avait même eu la gentillesse de m'indiquer la salle d'eau pour que je me lave les mains. Le jeu de piste me conduisait à la cuisine, drôle d'endroit pour une rencontre, mais bon, à chacun son vice.

    Quand je suis rentrée dans la pièce, j'ai souri en voyant cet homme à quatre pattes, cul offert sous une blouse de femme. Et j'ai été surprise de voir une autre femme en blouse aussi. Mais quand elle m'a expliqué la situation, vue de son côté, et que je lui ai expliqué la chose, vue du mien, nous sommes tout de suite tombées d'accord. Je l'ai prise à part, discrètement, pour lui expliquer exactement qui j'étais, et comprendre un peu mieux la situation. Par exemple, elle me dit qu'elle avait mis une blouse de ménage parce que cette tenue affolait son homme et le faisait terriblement bander. Ce qui, pour elle, était bien sûr un avantage. Je lui confirmais aussi que son compagnon avait réglé ma prestation par carte bleue, et que de ce côté tout était en ordre.

     

    LUCIEN

    Simone ne s'était pas faite prier pour rentrer dans le jeu. J'étais au comble de la honte et du désir. Cette dominatrice, Madame Dominique, était extrêmement belle, ma queue très dure et ma compagne très prête à me dominer. Simone a ouvert le sac de Madame Simone et en a sorti beaucoup de matériel, qu'elle a posé sur la table a côté de moi. Pendant ce temps, Madame Dominique s'est plantée devant moi, splendide dans sa blouse blanche. Elle m'a passé autour du cou une sorte de laisse en caoutchouc blanc. Elle a ouvert les boutons du haut de sa blouse, pour me montrer sa splendide poitrine, ferme et volumineuse. J'en ai bandé encore plus fort, quand elle m'a mis ses nichons sous le nez. Mais elle s'est reboutonnée, et m'a ordonné de lécher la longueur de son gode à travers sa blouse. Le gode ne semblait pas très long ni très gros. Puis elle a retroussé sa blouse, et j'ai compris.

    Ce n'était pas un gode, c'était un sexe, et la dominatrice que l'agence m'avais envoyée était une shemale! Mais il était trop tard pour reculer, et j'étais encore plus excité par cette bizarrerie de la nature, ou de la chirurgie, je ne sais pas, un vrai corps de femme, pulpeux, de gros seins, et un sexe et des couilles d'homme, le tout bien rasé, d'ailleurs.
    - «Tu es vraiment une pute. Lèche mon cul, sale truie», et en disant cela, Madame Dominique a pivoté pour me tendre son cul, qui était splendide, comme ses seins.
    - «Merci, Madame Dominique.«
    - «Très bien. Tu es vraiment une bonne pute. Lèche, lèche-moi bien le trou du cul. Deviens mon esclave... Ah oui... enfile ta langue plus loin salope.»

    Ma langue a pénétré dans ce trou serré et commençait à aller de plus en plus loin. Madame Dominique tenait ma tête pressée dessus et poussait en arrière. Plus je léchais et plus je me sentais autant humilié qu'excité. À cet instant, Simone est apparue à côté de cet anus que je léchais. Je me suis retourné vers elle et vu qu'elle avait déboutonné sa blouse devant et qu'elle portait aussi un énorme gode-ceinture, certainement trouvé dans le sac de Madame Dominique.
    - «Je demande la permission d'intervenir, Madame Dominique.»
    - «Accordée. Montre-lui qui commande.»
    - «Assez léché des culs, salope. Suce-moi», me dit-elle, tout en me crachant dessus.
    - «Oui, Madame.»
    - «MADEMOISELLE SIMONE. Tu vas m'appeler comme ça maintenant, salope. T'as oublié qu'on n'est pas mariés? J'ai d'ailleurs d'autres plans pour la suite de notre relation.»
    - «Oui, Mademoiselle Simone.»

    Madame Dominique donna alors la laisse à Mademoiselle Simone, qui me tira vers son gode. Son crachat, que je pris en pleine figure, coula. Madame Dominique me prit aussi le cou au moment ou Mademoiselle Simone m'a pénétré la bouche avec violence. Je pouvais difficilement prendre entièrement ce gode, tellement il était long et large, mais Mademoiselle Simone s'en foutait totalement et me pistonnait en faisant des va-et-vient de plus en plus violents. Je sentais ma bouche violée. De la salive descendait de ma bouche pour inonder ma poitrine. Ma queue était dure comme du béton et mon cul commençait à me faire mal. Car pendant que Mademoiselle Simone me violait la bouche, Madame Dominique me fessait le cul. Au bout d'une trentaine de coups, Elle s'est arrêtée. Mon dos était complètement brulant.
    - «Arrête de sucer salope, maintenant tu vas goûter aux joies du sexe anal», m'annonça-t-elle. «J'espère que tu es endurant, parce que ça va pendre un peu de temps.»

     

    SIMONE

    Quand j'ai découvert, lors de notre conversation préalable, que Madame Dominique était une shemale, j'ai été seulement à moitié surprise, une femme sent ces choses, je crois. Mais j'ai trouvé que c'était encore plus amusant.
    Je me suis sentie vengée de son inconduite, mais pas totalement. Puisqu'il aimait sucer et se soumettre, j'allais lui donner ce qu'il voulait, d'autant plus que je prenais beaucoup de plaisir à ces nouveaux jeux. Madame Dominique m'a donné la laisse et l'a poussé vers mon gros gode. C'était le plus gros que j'avais vu de toute ma vie. Il était long de plus de 20 cm, large et surtout, il avait une tête en forme de champignon encore plus large que la verge, et des veines très prononcées. Dès que je l'ai vu, je me suis dit que je n'aurais pas voulu prendre un truc pareil dans le cul. Par contre quelque chose me disait que j'allais aimer ce gode, dans l'autre sens.

    Lucien voulait sucer doucement, cette salope. J'allais pas en plus le laisser choisir. Sans qu'il s'y attende, je lui ai enfoncé le gode dans la bouche. Mes deux mains lui tenaient la tête fixe alors que mes coups de hanche lui envoyaient le gode en pleine gorge. Madame Dominique, au début, m'aidait à la tenir, mais ce fut vite inutile.

    Madame Dominique n'est pas restée en spectatrice. Elle a pris un martinet, un martinet de bazar, et a commencé à lui fouetter le cul. J'ai compté 35 coups en tout. Ça devait faire bien mal, d'autant plus qu'elle le fouettait avec toute sa force. Mais il n'a pas réclamé une seule fois. Il devait avoir l'habitude de la soumission et des punitions la salope. Après son fouettage, Madame Dominique a dit qu'elle voulait l'enculer, alors, j'ai reculé pour sortir le gode de sa gorge. Lucien avait failli s'étouffer plusieurs fois avec ce gros gode au fond de la gorge, mais encore un fois, aucune réclamation, au contraire, quand je me suis retirée, sa bouche a essaye de suivre le gode. Ce pourquoi il a pris deux violentes gifles.

    Madame Dominique est allée s'asseoir là où j'étais quand elle est entrée.
    - «Ramène-moi cette salope", me dit-elle.

    Je le tenais toujours par la laisse et je l'ai fait descendre de la table, puis marcher à quatre pattes jusqu'à Madame Dominique. Elle lui a demandé de se lever et de pencher, les mains appuyées sur la table. Ensuite, elle m'a demandé d'aller chercher une assiette et de le branler, sans le faire éjaculer. Avant de commencer à le branler, je lui ai donné deux claques sur les fesses, ce qui lui a fait gémir un peu. Il était debout, penché sur la table et moi, je le branlais, derrière lui. Madame Dominique a enfilé un gant long en latex et s'est mis du gel dessus. Elle commence alors a lui enfoncer ses doigts dans l'anus et faire des va-et-vient. D'abord un doigt, ensuite deux rapidement suivi d'un troisième. Notre salope gémissait et demandait "encore, encore".
    - «Tu veux te faire enculer, n'est-ce pas?» demande Madame Dominique.
    - «Oui, Madame Dominique enculez-moi.».
    - «Demande plus fort. Dis-moi quelle genre de salope tu es.»
    - «BAISEZ-MOI MADAME JE VOUS EN SUPLIE.»
    - «Alors, penche-toi bien sur la table, truie!»

    Après qu'il ait immédiatement obéi, Madame Dominique me fait signe de l'enculer. Elle prend ses deux fesses et les écarte, tandis que je masturbe un peu mon gode encore mouillé avec la salive de notre salope. J'approche le gode-ceinture de son anus et pose la tête sur l'entrée. J'étais tellement excitée et mouillais tellement que mon clito commençait a couler comme un robinet. Quand j'ai commencé a l'enculer, j'aurais voulu avoir une vraie queue et non pas ce gode-ceinture. J'aurais voulu sentir moi-même son cul se dilater. Tout comme lorsqu'il m'a sucé, je voulais le violer!! Avant c'était par la bouche et maintenant par le cul. Mais il ne se plaignait pas et en redemandait toujours autant. Madame Dominique se faisait sucer mais je le pistonnais tellement fort que plusieurs fois, il a dû arrêter de sucer pour gémir. Fatiguée de le baiser au bout de quelque temps, je suis allée m'asseoir sur une chaise, tandis qu'infatigable, cette dominatrice continuait de violer la bouche de mon ex-fiancé, et nouvelle salope. Quand Madame Dominique a arrêté, elle lui a donné permission de se branler, mais de n'éjaculer ailleurs que sur l'assiette.

     

    DOMINIQUE

    Décidément, cette Simone était douée. Elle avait compris tout de suite comme attacher sur elle le gode-ceinture, et elle l'avait mis dans la bouche de son compagnon sans ménagement. Je me suis dit qu'elle était vraiment vicieuse quand elle lui a craché dessus avant. Je l'ai aidée au début, à tenir l'homme, puis je l'ai laissée faire.

    J'ai pris le martinet que j'avais sorti du sac, et j'ai commencé à fesser ma victime pendant qu'il suçait le godemichet de sa femme. C'était très agréable de dominer à deux, parce que, toutes les dominatrices le savent, tous les soumis intelligents aussi, dominer est fatigant.

     

    LUCIEN

    J'étais excité, doublement excité par l'entrée dans le jeu de ma fiancée, et par le fait que l'agence de call-girls m'avait envoyé une shemale.

    Pendant que Simone me défonçait le cul avec l'énorme gode-ceinture, Madame Dominique avait retroussé sa blouse et m'avait tendu son sexe, qui ne bandait pas encore. Elle avait les couilles rasées. J'ai du les lécher, puis prendre son sexe dans ma bouche. Il n'était pas très gros, moins gros que le gode-ceinture que m'a femme m'avait fait sucer. Le prendre dans ma bouche n'était pas pénible, mais c'était humiliant. Humiliant et excitant de sucer cette quéquette, surplombée par ces deux gros nichons. Je la sentis grossir dans ma bouche, et éjaculer, pendant que Simone me pistonnait le trou du cul. J'avalais le sperme goulument.
    - «Oh, mais quelle pute. Tu suces comme une vrai pute. Tu as bien le droit de te branler maintenant.»

    Elle posa une assiette par terre, devant les chaises où Mademoiselle Simone et elle s'étaient assises.
    - «A genoux! Branle-toi sur l'assiette maintenant pendant qu'on se repose. Ce n'est pas fini, sache-le. D'ailleurs, tu vas te branler pendant 5 minutes, toujours avec la même intensité et seulement après tu pourras éjaculer, en sachant que si dans 5 minutes et demie on ne voit pas ton sperme immonde se répandre sur cette assiette, tu vas le payer cher.»
    - «Oui Madame Dominique.»
    - «Et on veut voir beaucoup de sperme. Démerde-toi pour en avoir.»

    Je n'avais autre solution que d'obéir et d'essayer de me retenir pendant 5 minutes, alors même que j'avais envie d'exploser. Je me suis branlé, branlé, branlé, pendant que mes deux dominatrices discutaient à voix basse. Ma queue était déjà complètement mouillée et prête à éjaculer. C'est alors que j'ai eu la délivrance.
    - «Ça y est ma salope. Tes 5 minutes de branlette se sont écoulées, maintenant vas-y.»

    Au moment où j'allais éjaculer, les deux femmes ont mis leurs pieds nus dans l'assiette. J'ai giclé plusieurs fois, mais elles n'ont pas enlevé leur pieds. Au contraire, Mademoiselle Simone, ma compagne et nouvelle maîtresse a levé son pied jusqu'à ma queue et plus de sperme encore s'est répandu dessus. En posant son pied, elle est allée tellement fort qu'un peu de sperme a giclé par terre. J'ai alors levé les yeux et leurs regards sévères me les ont fait baisser tout de suite.
    - «TU AS DESOBÉI SALOPE. J'avais dit pas une goûte de sperme ailleurs que sur l'assiette et de démerder pour ça. maintenant tu vas devoir tout nettoyer, COMPRIS?»
    - «Oui Madame Dominique.»

    J'étais toujours à genoux et les deux femmes toujours assises sur les chaises. Mademoiselle Simone a levé sa jambe et son pieds s'est posé sur ma poitrine.
    - «Lèche salope!!»
    - «Oui Mademoiselle Simone.»
    - «Mieux, je veux que tu lèches et que tu suces aussi. Vas-y, sers-toi de ton propre sperme salope. Et dépêche toi, qu'il ne faut pas que ça sèche dessus.»

    Mon humiliation était totale. J'ai ouvert la bouche et Mademoiselle Simone y a enfoncé son pied, qui sentait fort en rentrant de voyage. Mon sperme était un peu chaud et très épais.
    - «Bien, très bien salope. Tu as bien sucé et léché nos pieds. Tu as désobéi et corrigé ton erreur, mais, je ne me souviens pas que tu aies été puni pour ta désobéissance», me dit ma compagne qui prenait de plus en plus les commandes. «Tu vois le sexe de Madame Dominique? Je parie que tu veux le prendre aussi, n'est-ce pas?»
    - «Oui, Madame.»

    Mademoiselle Simone est venue rapidement vers moi et m'a giflé 3 fois le visage.
    - «NE T'AI-JE PAS ENCORE DIT QUE J'ETAIS MADEMOISELLE SIMONE? SALOPE. Couche toi sur le dos, sale pute.»

    Elle avait giflé tellement fort que j'avais senti mes joues en feu. Je me suis couché sur le carrelage. Mademoiselle Simone s'est avancée jusqu'a ce qu'elle se trouve juste au-dessus de mon visage. "Oh non, elle va me pisser dessus", ai-je pensé. Mais au lieu de ça, Mademoiselle Simone s'est lentement assise sur ma langue, qu'elle m'a ordonné de sortir au maximum.
    - «Mets ta langue dans son trou du cul, poufiasse», dit Madame Dominique.

    J'ai obéi sans réclamer de quoi que ce soit. Madame Dominique me prît alors les deux jambes, qu'elle a levées bien haut et s'approcha, sortant son sexe entre les boutons de sa blouse.
    - «Tu sens comme il est dur? Prends-le dans ta main.»

    J'ai tendu mon bras jusqu'a ce que je puisse toucher. Il n'était pas vraiment dur, depuis que je l'avais sucé, mais je n'allait pas contredire ma dominatrice. Madame Dominique m'a ordonné de la branler. J'ai alors commence a faire des va-et-vient. Ma queue était a nouveau toute dure, mais maintenant elle me faisait un peu mal. J'ai vu Simone faire passer, sur sa demande, un godemichet à Madame Dominique. Quand elle m'a pénétré, ça m'a vraiment déchiré l'anus, même si son godemichet était moins large que le gode de mon ex-fiancée et nouvelle Maitresse. D'un côté, je me faisais défoncer le cul, de l'autre, ma langue devait pénétrer un cul au plus profond. Au bout de quelques minutes, Madame Dominique m'a annoncé qu'elle était fatiguée de cette position, m'a ordonné de ma coucher sur le côté, et la séance a continué. Mademoiselle Simone, est revenue vers ma bouche et recommençait à me la violer. Un quart d'heure après, elles se sont retirées. Mon anus me faisait très mal.

     

    DOMINIQUE

    Déjà, quand j'avais lu le mail avec les demandes du client, qui voulait être enculé en portant une blouse de femme par une femme en blouse, je m'étais dit que je ne m'ennuierais pas, ça me changerait du cuir et des chaines. Quand j'avais vu les petits papiers au mur, puis sa compagne, ça m'a confirmée dans mon idée.

    Simone était douée pour la domination, je me demande même pourquoi ce couple ne l'avait pas déjà fait seul, mais bon, il faut parfois un événement exceptionnel pour déclencher les choses. J'avais aimé faire rougir ses fesses au martinet, puis me faire sucer et jouir dans sa bouche. Je ne rebande pas facilement, mais, pour satisfaire son désir d'être enculé par moi aussi, j'avais un godemichet qui ferai très bien l'affaire.

    Comme il était en plus fétichiste des pieds, je pensais bien que faire lécher les miens, et ceux de Simone, couverts de son sperme, allait lui faire plaisir. Si j'avais été mieux informée, je ne me serais pas lavée avant de venir, mes pieds étaient bien propres, alors que ceux de Simone, qui rentrait de voyage, étaient plus odorants.
    Mais au moment de l'enculer, avec l'énorme gode qu'il avait pris, je me suis dis que ma quéquette lui ferait peu d'effet, j'ai donc préféré utiliser un godemichet.

     

    SIMONE

    J'étais complètement émerveillée par la capacité de mon nouvel esclave à se faire sodomiser par un aussi large gode-ceinture et avec toute la violence que Madame Dominique y avait mis. Moi-même je ne lui avais pas fait cadeau.
    - «Tourne-toi salope, on veut voir ton cul», lui dit Madame Dominique. «Remets-toi a quatre pattes. Reviens dans ta position de truie.»

    L'esclave s'est remis dans son ancienne position et Madame Dominique lui a écarté les fesses.
    - «Viens voir Simone. Tu vois comment je lui ai écarté le trou du cul? J'ai dû lui faire un peu mal, mais c'est exactement ce qu'il aime. Se faire défoncer sans ménagement. Avec son cul aussi ouvert, je pourrais le fister ou enfoncer un large plug gonflable. Je crois qu'il pourrait même se prendre un large saucisson sans problème. N'hésite jamais à en arriver là, sauf si ton esclave te demande d'arrêter. Autrement, tu peux le pousser à ses limites. Chaque séance doit le mener à se dépasser un peu plus, à le faire sentir encore plus soumis à toi. N'hésite pas à le tester.»

    Madame Dominique s'est ensuite levée pour commencer à ranger son matériel, me le donnant avant à nettoyer.

     

    LUCIEN

    Toujours à genoux, j'ai lavé et rangé le matériel, gode, martinet, laisse.

    Madame Dominique et Mademoiselle Simone discutaient joyeusement et il m'a même semblé qu'elles échangeaient des idées pour une nouvelle séance.
    - «Ne vous inquiétez pas. Il est riche et peut bien payer quelques petits amusements pour sa nouvelle Maîtresse, n'est-ce pas salope?» me demanda Mademoiselle Simone.
    - «Oui Mademoiselle.»

    Pendant que je rangeais, Madame Dominique et Mademoiselle Simone papotaient sur des achats. Madame Dominique a montré à Simone, sur mon ordinateur, le site d'une sex-shop en ligne spécialisée dans la domination et le caoutchouc.
    - «J'achète tous mes accessoires ici, on paie en ligne, on est livrée sous 48 heures, veux-tu que je te montre ce qu'il te faudrait?»

    Je les entendis bavarder amicalement, de godes, de plugs, de martinets, d'accessoires en caoutchouc. Je dus venir, à genoux, voir la liste de commande, faire à mon nom. Il y avait le même gode-ceinture que celui qu'utilisait Madame Dominique, un autre godemichet, un plug gonflable et vibrant, de bonne taille, un martinet de bazar, un strap en caoutchouc, la laisse et le collier en caoutchouc aussi, deux bâillons, boule et anneau, un grand tablier de caoutchouc blanc, et même du matériel de lavement.
    - «Voici ta commande, me dit Madame Dominique. J'ai choisi le gode noir, tu te rappelles? Celui que portait Simone et qui t'a si bien défoncé. Elle a aimé et je le lui ai conseillé, comme tout le reste.»
    - «Pas de problème Madame Dominique.»
    J'ai payé en ligne avec ma carte bleue.

    Madame Dominique avait remis ses chaussures et son trench-coat. Je lui tendis son sac.
    - «Quelle bonne salope tu fais. Viens, accompagne-moi jusqu'à l'ascenseur.»

    Toujours blouse et en tablier de femme, et à quatre pattes, j'ai accompagné Madame Dominique, jusqu'à la porte. Simone me suivait. Lorsqu'elle a ouvert la porte, nous avons entendu des voix. Malgré moi, Madame Dominique me tenait par l'oreille et me tirant vers le couloir de l'immeuble, tandis que Mademoiselle Simone restait sur le pas de notre porte. Heureusement, le couple dans le couloir, nos voisins de palier, nous tournait le dos et a fermé la porte juste après être entrés. Je crois qu'ils ne se sont doutés de rien. Mais lorsque l'ascenseur est arrivé, il n'était pas vide!

    Il y avait un homme à l'intérieur. Après l'avoir salué, Madame Dominique avec l'air le plus naturel du monde, est revenue sur ses pas, a fait la bise à Mademoiselle Simone et est entrée dans l'ascenseur. J'étais mort de honte et bandais comme un cheval. La porte de l'ascenseur s'est refermée et nous sommes retournés chez nous.

    Dès que nous sommes entrés et après avoir fermé la porte, elle m'a demandé:
    - «L'homme de l'ascenseur, c'est pas celui qu'on entend de temps en temps baiser bruyamment? Celui qui a organisé une partouze il y a une semaine?»
    - «Euh ... oui, Mademoiselle Simone, je crois que c'est lui qui habite juste au dessus de nous.»
    - «J'ai eu l'impression, par la remarquable bosse dans son pantalon, qu'il a aimé ce qu'il a vu, tu crois pas?... En tout cas, merci pour la surprise a mon arrivée salope. Un de ces jours on va rendre visite à notre voisin, d'accord?»
    - «Oui Mademoiselle Simone.»
    - «Nous attendrons pour ça que j'ai reçu ma commande, enfin ta commande. Et puisque tu aimes les blouses et les tabliers de femme, on va en acheter encore, à ma taille et à la tienne.»
    - «Merci, Mademoiselle Simone.»
    - «Ah, Madame Dominique m'a parlé de stage de dressage de longue durée, pour les salopes comme toi. Nous verrons, pour les vacances…»

    Et là, je n'ai eu plus rien à dire…

     

    DOMINIQUE

    J'avais reconnu, dans le monsieur de l'ascenseur, le client pour lequel j'étais déjà venue dans cet immeuble. Nous nous sommes souris discrètement, et nous avons échangé un regard complice.

    Je crois que, à un étage ou à l'autre, on fera appel à mes services sous peu.


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