•  Un texte trouvé sur Internet, je ne sais plus où…


    Une initiation aux lavements qui se transforme en addiction

     

    J'ai découvert les lavements par hasard suite à une petite constipation passagère après les cours un samedi matin. Du coup, ma mère me dépose chez le docteur, qui était une doctoresse. C'était une grande et forte femme, en blouse blanche, comme il se doit, chignon strict, mais pas antipathique. Diagnostic, traitement j'aurais droit à un lavement. La doctoresse invite donc ma mère à revenir dans 2 heures.

    La doctoresse demande à son infirmière de préparer un lavement et les ustensiles qui vont bien avec. L'infirmière était plus jeune et plus jolie, en blouse comme la doctoresse, mais avec une coiffe, et un tablier à bavette blanc par dessus sa blouse blanche. J'étais perdu. Mais qu'est-ce qu'un lavement? J'avais le ventre douloureux au possible. J'étais plié en deux de douleur. L'infirmière est revenue dans la cabinet avec le matériel et a préparé tout ça. Un grand bock suspendu, et un long tuyau fin qui s'en échappait. La doctoresse m'a invité à m'allonger sur la table en métal. C'était froid. Et elle m'a positionné en chien de fusil et me dit:
    - «Détendez vous jeune homme. Cela ne sera pas douloureux. Je vais mettre un peu de lubrifiant sur le tuyau et votre anus pour que vous n'ayez aucune douleur».

    Pendant qu'elle me disait ça, je la voyais enfiler par dessus sa blouse un grand tablier à bavette de caoutchouc blanc, bretelles croisées dans le dos, large bavette, bien enveloppant, qui descendait à ses chevilles, on voyait à peine ses socques de travail. Elle était vraiment très impressionnante comme ça.

    J'ai tressailli quand j'ai senti le gel froid que son doigt était sur mon anus. Surprise elle me demande:
    - «Je ne vous ai pas fait mal j'espère?»
    - «Non, non docteur, ça va.»
    - «Très bien, maintenant je vais vous introduire le tuyau. N'ayez crainte, je décris tous mes gestes pour que vous ne soyez pas surpris.»

    Et je sens le bout du fin tuyau toucher ma rosette. Puis la forcer doucement. Vu la finesse du tuyau, ça rentre tout seul.
    - «Je vais ouvrir le robinet jeune homme. C'est assez surprenant au début donc ne soyez pas surpris par les sensations.»
    Et je lui réponds:
    - «Allez-y docteur. J'ai tellement mal au ventre que vous pouvez faire ce que vous voulez.»

    Je sentais le liquide blanchâtre me remplir le ventre en même temps que je voyais le bock se vider. Un mal de ventre de plus en plus atroce. C'était insupportable.
    - «Docteur? Je ne sais pas si je vais pouvoir tenir longtemps comme ça. Ca pousse trop fort.»
    - «Ne vous inquiétez pas jeune homme. Ça fait toujours ça au début. Attendez, on va faire une petite pause et nous reprendrons le lavement.»

    Cette petite interruption m'a en effet donné quelques instants de répit. Mais dès l'ouverture du robinet. Oulala, c'était diabolique.
    - «Vous y eêes presque jeune homme. Vous avez quasiment absorbé les deux litres du lavement. C'est très bien.»

    Une fois le bock vide, elle me dit:
    - «Je dois vous laissez une petite dizaine de minutes pour laisser agir le lavement. Je reviens vite.»

    Je pensais que j'allais exploser. 10 minutes à attendre. Ce fut interminable. Mon ventre était prêt à exploser. J'entends des pas. La revoilà, toujours avec son grand tablier de travail. Ouf, enfin!
    - «Vous êtes bien courageux mon garçon. Vous avez tenu 10 minutes, c'est très très bien. Je vous invite maintenant à passer à la toilette ici.»


    Ses toilettes donnait directement sur le cabinet. Je m'apprête à fermer la porte...
    - «Et pssst, on ne ferme pas la porte jeune homme. Je dois m'assurer que tout se passe bien. Et ne tirez pas la chasse avant que je vous le dise.»

    Je ne peux plus tenir, je me précipite vers les toilettes et m'assois. Quelle honte. je suis assis sur une cuvette, la porte ouverte qui donne sur son cabinet. Exposé à ma doctoresse. je la regarde, elle me regarde. la douleur est terrible. J'ai tellement honte de me lacher ainsi devant une dame d'âge mûr.

    Mais la douleur est plus forte que la honte et d'un coup, je me relâche, entièrement. Dans un bruit de cataracte qui m'a fait rougir comme une pivoine. Mais que ce fut salvateur. Une vraie délivrance. Ce fut limite jouissif. Une fois vidé, quelle sensation de gêne... Mais quel soulagement. J'ai tellement eu honte de croiser son regard une fois soulagé et toujours assis sur la cuvette. J'avais un sourire béat de plénitude et de bien être.

    Elle me dit:
    - «Alors jeune homme vous vous sentez mieux?»
    J'ai fait:
    - «Oh oui docteur. Quelle sensation de soulagement.»
    - «Nous avons encore du temps devant nous jeune homme. Nous allons continuer le traitement. Rafraîchissez vous rapidement le derrière et revenez à la table je vous prie.»

    Je me dirige vers la table, monte sur l'escabeau. Puis me remet en chien de fusil. Et là, elle me dit:
    - «Mettez vous à 4 pattes jeune homme. Cela sera plus pratique pour que je vous rafraichisse le séant.»

    J'ai eu droit à une toilette au gant, longue, minutieuse, l'anus, la raie des fesses, les fesses et les cuisses elles-même Je vous assure que dans cette position c'est très humiliant. Mais le gant était chaud, les gestes doux, et, bien que humiliant, c'était très agréable. J'avais du mal, pendant qu'elle me nettoyait, à retenir des pets, que je finis par lâcher, le plus discrètement possible, en rougissant de honte.

    Elle ne releva pas les flatulences, mais me dit:
    - «Jeune homme, je vais vous donner encore quelques lavements pour bien être sûre que vous n'aurez plus de désagrément. Je vais également utiliser plusieurs canules pour éviter toute fuite.»

    Une fois toiletté, elle pose sa main sur mes omoplates et pousse mon buste vers la table. Du coup me me retrouve prosterné, le cul en bombe vers elle. Je l'entends officier. elle est en train de lubrifier la canule. Et soudainement, je sens une forme arrondie sur ma rosette. Grasse de gel. Et elle me dit:
    - «Vous êtes prêt jeune homme? Je vais y aller tout en douceur.»

    Je sens l'objet commencer à s'enfoncer. C'est doux, et la forme s'élargit. Elle me demande si tout va bien. Je n'arrive pas à répondre. Elle ne se doute surement pas que j'adore déjà ce genre de caresses. Elle continue sa progression. Je frissonne. Elle s'en aperçoit. Et elle me dit:
    - «SDtes moi jeune homme, vous ne me cacheriez pas quelques chose?»
    Tout penaud je lui fais:
    - «Euh, comment ça?»
    - «Vous savez, je suis médecin et je remarque que ce que je vous introduis ne vous laisse pas de marbre. Je me trompe??? Car je ne me trompe que très rarement.»
    - «J'ai honte madame.»
    - «Mais il ne faut pas jeune homme. Vous savez c'est une qualité très rare chez un homme. Une qualité que j'apprécie moi même énormément. Regardez, vous sentez comme je joue avec la canule?»

    Moi rouge de honte:
    - «Oui docteur.»
    - «Ne dites rien alors. Je vais continuer à vous préparer pour la suite. Je vais sortir mon jeux de canules.»

    Du coup, j'ai eu un coup de sang en la voyant avec un plateau et 3 canules qui me paraissaient énormes. Elle m'a fait lui avouer mes pires turpitudes pendant toute la séance. Je veux dire par là mon goût pour la masturbation, bien sûr, mon plaisir à faire caca, à sentir les étrons sortir de mon cul, mon plaisir à de temps en temps y mettre mon doigt pendant que je me branlais, et mes rêves d'être une faible petite chose entre les mains de femmes comme elles.

    J'ai reçu mon deuxième lavement. Cette fois avec une belle canule. J'ai trouvé ça absolument divin!!! Pour son plus grand plaisir aussi:
    - «Et bien jeune homme, vous avez de sacrées prédispositions. Il va falloir que nous approfondissions tout cela ensemble. Vous voulez bien? Des amatrices, amateurs pour une suite?»

    Elle appela son infirmière, celle qui avait préparé le matériel, pour lui servir de spectatrice plutôt que d'aide, et cette deuxième présence redoubla ma honte et, donc, mon excitation.
    - «Gisèle, puisque nous n'avons plus personne, venez donc assister au traitement. Ah, prévenez au téléphone la mère de ce jeune homme qu'il est inutile qu'elle vienne le chercher à l'heure prévue, le traitement durera plus longtemps, mais nous le lui rendrons frais et dispos, dites-lui bien."

    J'étais à présent à quatre pattes sur la table, prêt à recevoir cette fois-ci une des canules qu'elle avait préparées.
    - «Ne vous inquiétez pas jeune homme, je vais être très douce.»

    Elle était derrière moi, son infirmière de trois quarts, mais plutôt en face, elle me voyait et je la voyais. Cela ajoutait encore plus à ma confusion. J'ai senti le doigt de la doctoresse, froid, lubrifié de gel se poser sur mon anus. J'ai frissonné. Le remarquant, elle m'a rassuré:
    - Cela va bien se passer jeune homme.»

    Tout en me massant l'anus délicatement en faisant des cercles de plus en plus appuyés dessus, elle a posé son autre main sur le haut de mon dos en me disant:
    - «Laissez moi faire jeune homme, penchez vous plus en avant. Le buste sur la table.»

    Ohlala, mais dans quelle position je me trouvais. Et plus la situation évoluée, plus la gêne et l'excitation augmentaient. J'ai senti son doigt s'enfoncer... J'ai émis un "mmmmpf" de surprise. Elle l'a doucement ressorti et m'a dit:
    - «Tout vas bien? je ne vous ai pas fait mal?»
    Et comme un gros bêta je lui répond:
    - «Non non, pas du tout.»
    Et elle me fait:
    - «Ah bon?»
    Elle m'enfonce à nouveau son doigt et me dit:
    - «C'est une délicieuse sensation n'est ce pas?»
    Je ne savais plus où me mettre. Elle me dit:
    - «Jeune homme, vu votre sensibilité à cet endroit, vous voulez bien me laisser explorer de manière plus approfondie?»

    Je la regarde, bouche bée. Ne sachant pas quoi répondre. Déchiré entre la bienséance et la perversion. Elle me dit:
    - «Bien, cette canule me semble un peu petite pour vous. Testons le modèle au dessus vous voulez bien?»

    En me montrant cette nouvelle canule, j'ai eu une énorme coup de chaleur. Je la trouvais belle, longue, lisse et assez grosse aussi. Je ne pouvais surement pas lui dire que j'adorais ce genre d'objet, mais je pense qu'elle l'a vu sur mon visage, parce qu'elle a souri, et que son infirmière à presque pouffé de rire.

    Sur ce elle me propose de descendre de la table.:
    - «Nous serons beaucoup mieux pour t'ausculter sur cette chaise gynécologique."

    Du coup elle me fait m'assoir sur la chaise, y fixe des étriers, et m'aide à placer mes mollets dans les goulottes et les pieds dans les étriers. Son infirmière l'aide et, une fois que je suis assis, l'aide à m'attacher les cuisses et les mollets sur les étriers, et les poignets sur les côtés de la table, avec des sangles de latex.
    - «Ce sera beaucoup mieux pour que je puisse voir tes réactions et voir ce que tu apprécies. Cela te convient?»
    - «Oui Madame. Mais je me sens très gêné dans cette position devant vous, vous comprenez.»
    - «Je comprends jeune homme. Oui c'est tout à fait normal de ressentir cela. Cependant, je vais te montrer comment passer outre et assumer ces aspects. Dis-toi bien, de plus, que si nous t'avons attaché, c'est pour ton bien pour éviter un mouvement pendant le traitement, c'est plus sûr."

    Une fois installé, je suis totalement exposé devant elle. L'image me parait indécente. Et comme un con, la veille j'ai eu la bonne idée de tester la crème dépilatoire de ma sœur pour m'épiler intégralement.

    Une fois en place, elle s'approche avec son plateau de canules et me montre celle qui va ouvrir le bal. Elle doit faire une quinzaine de centimètres de long sur environ 3 de diamètre. Je me dis que ça va, c'est pas le bout du monde. Elle me lubrifie à nouveau l'anus, me le crochète d'un doigt:
    - «Prêt jeune homme?»

    Et là je sens le bout de la canule sur mon anneau. Je n'ai pas le temps de dire oui qu'elle commence à l'enfoncer doucement et là je lui réponds:
    - «Oui docteur.»

    J'ai ressenti un plaisir très pervers à cet instant précis. elle me fixait droit dans les yeux pour voir ma réaction. J'ai eu un gémissement involontaire qui l'a rassurée et même encouragée. Elle me dit:
    - «Dis donc jeune homme. Tu m'as l'air de connaitre le sujet non?»

    Je n'osais pas piper mot.
    - «Vous voyez, j'ai plutôt l'habitude de mes outils. Et là je sens que cette canule ne vous satisfait pas assez, je me trompe?»
    Silence de ma part....
    - «On va passer à la suivante, elle fait 20 cm de long pour 5 de large.»

    Je souriais béatement. Elle s'est même aventuré à me dire:
    - «Elle a l'air de te plaire n'est ce pas? Allez, ne sois pas timide. Tu peux tout me dire tu sais. Et saches qu'avec moi ce sera notre petit secret. Alors, on y va pour la suivante?»
    - «Oui docteur...»

    Elle me doigte à nouveau, avec un, puis deux doigts. J'en sens un troisième rejoindre les deux autres. Je commence à perdre pied. Je sens le bout de cette canule se poser sur mon anus. Frissons incontrôlables. Et cette fois elle l'enfonce avec plus d'assurance que les précédentes canules. J'ai un réflexe incontrôlable. Un soubresaut. Mon cul rue sur la canule qu'elle tient en main. Et elle me fait:
    - «C'est très bien jeune homme. C'est exactement comme ça que je veux vous voir réagir. Laisse-toi aller totalement, lâche-toi comme un petit garçon!»

    Je roulais des yeux, j'en bavais même. Et elle me dit:
    - «Tu vois, ce n'est pas si compliqué n'est ce pas?»
    - «J'ai honte d'être comme ça docteur. Je ne peux pas le contrôler.»
    - «Mais j'ai bien remarqué cela chez toi mon petit. Je raffole de ce type de personnalités. C'est extrêmement rare et il ne faut pas en avoir honte, au contraire. Tu vois bien, nous sommes en train de bavarder et je te fais coulisser une belle canule de taille fort honorable et tu ne sembles plus du tout gêné.»

    Hihi. j'avais la queue qui produisait du liquide séminal à n'en plus finir. J'en avais plein sur le ventre et le nombril. Et voyant ça elle me demande, changeant de ton maintenant qu'elle était passée au tutoiement depuis quelques temps:
    - «Tu as déjà gouté ton jus mon vilain?»

    Et tout penaud... je lui réponds que j'ai déjà essayé d'y goûter mais que c'était pas ce que je préfère. Et elle me dit:
    - «Tu verras, avec moi, le gout sera bien meilleur.»

    Elle en récupère de ses doigts et me les fourre dans la bouche. Et bizarrement, je lui suce les doigts avec une sensualité, une gourmandise hors du commun. Elle me dit:
    - «Un instant, je veux te faire profiter de quelque chose. Gisèle, le miroir, s'il vous plait.»

    L'infirmière revient quelques instants plus tard avec un miroir à la main. Miroir qu'elle fixe entre mes jambes et bien dirigé vers mon anus.
    - «Tu vois mon vilain, je veux que tu puisses aussi bien avoir les sensations que la vision.»
    Je vous raconte pas le phare que j'ai piqué. Quelle idée délicieusement vicieuse. Et elle me dit:
    - «Regarde... Tu vois cette grosse canule? Tu la sens te titiller le trou? Et bien regarde bien....»

    Et je la vois qui commence à forcer sur mon anneau. Qui cède avec une facilité déconcertante. E là j'ai droit à un:
    - «Et bien dis donc mon petit cochon.... Même celui-la rentre tout seul.»

    Rouge de honte je lui dit:
    - «C'est trop bon ce que vous me faites!!!»
    - «Bon, et bien passons aux choses sérieuses alors. Gisèle, le godemichet, s'il vous plait, le moyen seulement.»

    L'infirmière lui a tendu un godemichet de très belles dimensions. En la voyant, j'ai cru avoir une syncope. Je n'avais jamais vu pareil monstre. J'ai paniqué et je lui ai dis:
    - «Mais c'est trop gros, je ne vais jamais y arriver!»
    - «Ne t’inquiètes pas, je suis une experte et je vais y aller en douceur. Mon but n'est pas de te faire mal mais de te donner du plaisir.»

    Et pour tout vous avouer, c'était un gode de 25x6. j'en avais peur et j'en mourrais d'envie aussi. Une fois près de moi, entre mes cuisses, elle m'a fièrement exhiber cet outil et m'a dit:
    - «Tu vas voir mon mignon, tu vas adorer.»

    J'ai sentis le gland se poser sur mon trou. Qu'elle sensation de dingue de sentir un gland aussi gros qu'une balle de tennis. En revanche sa forme avait parfaitement le profil d'un vrai gland humain mais d'une dimension d'une autre planète.

    C’était extrêmement troublant de sentir cet énorme gland pousser sur ma rondelle. Je n'aurais jamais cru que cela soit possible. A force de patience, ma doctoresse m'a très lentement, par petits a coups, enfoncé cette énorme gland. Wow je me suis senti déchiré en deux quand j'ai senti mon anneau se refermer autour de la base du gland. Ma toubib s'est arrêté de bouger et m'a dit:
    - «Ça va mon bébé?»
    - «Oui ça va docteur... Mais c'est vraiment énorme.»
    - «Je sais mais tu vas t'habituer mon bébé. Alors, c'est déjà bon rien que comme ça hein?»

    Attendant ma réponse, elle a commencé à pousser de son poids pour m'enfoncer le godemichet. J'ai été tellement surpris que je lui ai attrapé le bras et l'ai tirée contre moi. Ce qui a eu pour effet que son gode s'enfonce et que mon cul rue en avant par réflexe. Et elle me dit:
    - «Et bien dis donc jeune homme!!! Tu viens de te prendre tout le gode d'unea traite!»

    Et là j'ai vraiment perdu les pédales. J'ai ondulé du cul pour m'empaler sur son gode. Elle me regardait, stupéfaite. Et je lui ai dit:
    - «Oui docteur, regardez comme vous me rendez. Je n'arrive plus à me contrôler. Continuez s'il vous plait.»

    Cette séance s'est terminée en séance de godage mémorable.

    Puis le docteur et son infirmière m'ont détaché, le docteur a enlevé son tablier de caoutchouc, m'a fait rhabiller, et je suis rentré chez moi avec un mot pour ma mère, un mot qui disait:
    - "Chère madame, votre fils est entièrement dégagé pour aujourd'hui. Mais il est sujet à ce genre de difficultés, et il lui faut un traitement au long terme. Vous me l'enverrez donc une fois par semaine, le jeudi à 18 heures, pour poursuivre autant que nécessaire."

     

     

    Depuis ce jour, je suis accroc aux lavements et aux gros godemichets.

     

     


    5 commentaires