-
Par Souillon le 18 Octobre 2024 à 10:36
Merci à Ramina pour ce nouveau récit.
On y retrouve des personnages déjà très actifs dans de précédents récits célébrant les bienfaits de la fessée, punitive et érotique. Tante Gladys bien sûr, dont la réputation de sévérité n'est plus a faire, comme celle de ses amies, toutes ferventes adeptes inconditionnelles de la fessée. Notamment Edwige la pétulante voisine à l'humeur ravageuse... Patricia, digne fille de sa mère, Arnold son fiancé anglais, Bettina, la vicieuse soubrette, Edouard le mari soumis, et un petit nouveau, le cousin Peter... soi même! A force de réclamer de se faire rougir le derrière, il a fini par se retrouver dans l'histoire ... et quelle histoire... ça claque sec! Bonne lecture aux amateurs de femmes sévères... très sévères!
UNE AFFAIRE DE FAMILLE
Chapitre 18 : Maxime en souffrance
Co-production Ramina / Peter pan
La fessée, provisoirement, terminée, Béatrice, triomphante, insensible à la fournaise qui irradie le derrière cuisant de Maxime, le regarde se frotter les fesses avec un sourire goguenard. L'air détaché, hautaine, elle croise lentement les jambes en s'appliquant à faire crisser ses bas nylon sur ses cuisses qu’elle exhibe complaisamment jusqu’aux jarretelles. La vicieuse fesseuse est en effet parfaitement consciente de son pouvoir de séduction sur son grand garçon. Elle en use et abuse, à volonté pour mieux le soumettre et lui faire accepter l’implacable sévérité de ses méthodes disciplinaires.
– «Alors mon chéri, tu l’as senti comment ta fessée?» demande t-elle avec un cynisme appuyé. «Bien claquée non? Ça fait du bien de se faire claquer sévèrement les fesses par maman, n'est ce pas! Elles sont à jour, jusqu'à la prochaine fessée. Voilà ce que ça coûte à la maison, une amende pour excès de vitesses et deux points de retrait sur ton permis de conduire. J'espère que tu vas t'en souvenir!»Elle se lève, sans se préoccuper de lui, le laissant par terre, en larmes, les fesses fumantes. Claquant des hauts talons elle retourne à son bureau en tortillant joyeusement son plantureux fessier. Elle s’y assoit, ravie de sa prestation, la main encore brûlante de la savoureuse fessée qu’elle vient d’administrer. Rien ne la met de meilleure humeur que d’en claquer une bonne, bien sévère sur un gros derrière déculotté. D’un index autoritaire pointé vers le sol elle ordonne à son puni de revenir se mettre à genoux en pénitence, sous son bureau, entre ses jambes écartées.
– «Il te reste une question de code à revoir. Je t'interroge dans dix minutes et à la moindre erreur je te remets immédiatement une fessée déculottée … une de plus! Finalement, ce code de la route je vais te l’imprimer sur les fesses… C’est indiscutablement la meilleure méthode.»Le derrière de Maxime, déjà bien soigné par les deux fessées précédentes, ne put échapper à une nouvelle correction. A genoux aux pieds de sa mère, le nez sur ses talons aiguille, il avait beaucoup de difficulté à fixer son attention sur les leçons de code à apprendre. Pour ne rien arranger ses fesses, bien que déculottées et libérées de la pression de son slip de nylon, lui cuisaient encore atrocement et l'empêchaient de se concentrer. Il n'était pas du tout prêt lorsque sa mère décida de l'interroger.
Trop d'hésitation, une réponse complètement à côté, Béatrice réagit immédiatement. D'un pas assuré, elle fait le tour de son bureau et le tenant par l'oreille, le traîne de force vers le tabouret à fessée. De son autre main libre, elle ramasse, au passage, le livret resté par terre. Elle est frémissante de colère.
– «Ah c'est des fessées qu’il te faut,... et bien tu vas en avoir... J’adore ça!»
– «Mais maman... s’il te plaît je…»
– «Ça suffit! Je veux des leçons apprises par cœur! Cela veut dire des réponses sans hésitation et sans faute! Alors... Tu sais ce qui t'attend.»Elle l'emmène au tabouret plié en deux au bout de sa main. Empêtré dans son pantalon en tire-bouchon autour de ses chevilles, le slip en travers des cuisses, il la suit difficilement en sautillant.
– «Aiiiie maman, mon oreille... tu me fais mal!!!»
-- «Quoi ton oreille? C’est à tes fesses que tu ferais mieux de penser! Tu sais ce qu'il leur arrive quand je ne suis pas satisfaite de ton travail?»Sans lui lâcher l'oreille, elle s'assied lourdement, en écrasant le siège sous son large postérieur rebondi. Le bois du tabouret craque sous le poids du volumineux fessier. Il constitue l'assise nécessaire à tenir la cadence infernale des grosses fessées qu'elle aime administrer sans modération.
Tiré brutalement vers l'avant, Maxime s'écroule en travers des larges cuisses gainées de nylon. Pour y séjourner souvent, ils les connaît par cœur, comme les jarretelles de dentelle élastiques qui lui irritent le ventre et le sexe. Sa voix implorante résonne sur le carrelage. Celle d'un jeune adulte de vingt quatre ans déculotté et fessé par sa mère, comme un gamin qui n'apprend pas bien ses leçons.
– «Pas la fessée maman... Ooooh non, s’il te plaît, pas encore! Je vais apprendre! Je te promets... Je vais apprendre!»
– «Trop tard Maxime, il fallait le faire avant. Tu connais la règle, une faute, une fessée! Ça ne peut pas être plus simple. Puisque tu as des difficultés à te mettre tes leçons en tête, je vais te les imprimer en rouge sur les fesses pour t'aider à les retenir! On va voir si ça fait de l'effet. Relève toi et reculotte toi, je vais te corriger à travers ton slip. Les fessées sont plus cuisantes à travers le nylon.»Maxime se redresse péniblement. Debout entre les jambes de sa mère, il se reculotte lentement avec précaution en retenant sa respiration.
– «Allez dépêche toi! Et tends bien ton slip sur tes fesses, ça les rend plus fermes.»
Il s'exécute, et se remet en position à plat ventre sur les genoux maternelles.
– «Oh maman... Non... pas encore la fessée, je vais me concentrer, je vais faire les efforts nécessaires... je te jure!».Insensible aux habituelles promesses de dernière minute, elle le fait basculer autour de ses cuisses, la tête penchée vers le sol, au dessus de son livret, ouvert, aux pages qu'il n'a toujours pas retenues. La fessée doit stimuler la lecture. C’est du moins la bonne raison qu’elle à trouvé de lui en mettre une autre. Elle aime trop claquer ses grosses fesses, alors pourquoi s’en priver. Il n'a pas le temps de réaliser exactement ce que sa mère a encore imaginé pour l'humilier davantage. Le ton est impérieux, magistral.
– «De toute évidence, tu as régulièrement besoin de fessées pour t'aider à surmonter tes difficultés d'attention et de mémorisation. Il faut croire que la méthode que j'ai employée jusqu'ici n'est pas encore assez rigoureuse Je vais donc en expérimenter une autre qui devrait être plus efficace.»Un frémissement d'angoisse parcourt l'échine de Maxime qui se reprend aussitôt. Béatrice ne supporte pas le moindre signe d'appréhension ou de nervosité, considérées comme une marque de faiblesse qu'elle sanctionne systématiquement par une deuxième fessée plus sévère. Ça rend les fesses plus endurantes et ça forme le caractère, dit-elle.
– «Pour que ça fonctionne, il me faut une derrière bien préparé.»
– «Non maman.. je t'en supplie.Il est déjà préparé, il me cuit encore!»
– «Pas assez, au contraire! Tends le bien au lieu de pleurnicher… mieux que ça.»
-- «Maman je t'en prie, j'ai encore mal… s'il te plaît....»
Elle ne prête aucune attention à ses supplications et poursuit sur le même ton.
– «Tu vas réviser pendant que je te fesse et je t'interrogerai ensuite. Ton derrière restera en place, sous ma main, prêt à claquer à la moindre erreur! Et je recommencerai autant de fois qu’il faudra, jusqu'à ce que tu saches tout par cœur mon chéri!»Maxime, héberlué, regarde sa mère détailler sa nouvelle méthode de travail, visiblement satisfaite d'en être l'initiatrice. Elle a même déjà trouvé un slogan: ''Fesser plus, pour apprendre mieux!» Elle ironise:
– «Qu'est ce que tu en penses?» s'amuse t-elle en caressant et tapotant le postérieur solidement culotté qui s'offre à sa main plutôt détendu, en mode récupération. Pas pour longtemps, pense -t-elle avec un sourire.Maxime n'a pas le temps de réaliser ce qu'il lui arrive. Béatrice, à déjà déclenché la nouvelle fessée et lui claque le derrière d'une main vigoureuse. Fessée promise, fessée due. Elle est comme annoncée, brève mais intense et surtout très efficace à lui recuire le derrière sous une rageuse distribution de claquées. Ça crépite à nouveau dans le salon, dont la résonance amplifie avec bonheur la brillante sonorité du fessier en pénitence.
Emportée pas une colère froide qui monte à mesure qu'elle fesse, la sévère maman sermonne son fils en appuyant les allers et retours d'une fesse sur l'autre.
– «Je t'en ficherai moi des excès de vitesse! Et des points de perdus sur le permis Sans compter que c'est moi qui vais devoir payer l'amende! Je vais me rembourser sur tes fesses! Et je te garantis que tu vas me l'apprendre ce code de la route... sous les fessées! Interrogation dans cinq minutes!»Secoué, ballotté sur les cuisses de sa mère, glissant sans cesse sur ses bas nylon, rattrapé brutalement et remis en position sans ménagement, Maxime à bien du mal à fixer son attention sur le livret posé au sol devant lui. Lire et retenir quoi que ce soit, la vue brouillées par les larmes qui tombent à grosses gouttes sur les pages, c'est pratiquement mission impossible.
Mais la méthode Béatrice s'avère réellement efficace. Cinq fessées plus tard, dont la dernière plus longue et déculottée pour mieux stimuler la mémoire, le malheureux en pleurs, les fesses écarlates et cuisantes, à genoux devant sa mère, fait un sans faute sur ses questions de code, Elle frotte sa main brûlante avec un sourire triomphant.
– «Et bien voilà mon cher! C'est un vrai plaisir de te faire apprendre tes leçons. Cinq fessées pour retenir trois pages. Tu aurais pu faire un meilleur score, une de plus et ça faisait deux fessées par page.»Elle lui fait redresser la tête en lui soulevant le menton de son index et le fixe droit dans les yeux. Le malheureux est pathétique. Ses joues luisantes, dégoulinent de larmes et de morve mêlées. Il sanglote encore en essayant de reprendre sa respiration à grandes bouffées d'air. Un gamin qui vient de se faire sévèrement corriger par sa mère. Elle ironise encore en caressant du regard les fesses écarlates et cuisantes de sa progéniture.
– « Alors Maxime… J’attends...Qu'est ce qu'on dit à sa sévère maman chérie qui vient encore de te claquer une si bonne et si cuisante fessée sur ton gros derrière déculotté?»
Il n'hésite pas une seconde. C'est une autre leçon qu'il a retenue celle là.
– «Merci maman pour cette cuisante fessée...»
– «Oui et encore??»
-- «Cette cuisante fessée méritée … euuuh... sur mon gros derrière maman…»
-- «Sur ton gros derrière comment?»
-- «Sur mon gros derrière déculotté, maman…»
-- «Quand même … recommence tout!»
– «Euuuh...merci maman pour cette cuisante fessée méritée sur mon gros derrière déculotté…»
-- «C’est tout?»
-- «Ou… oui maman... euuh...»
-- «Non maxime! On remercie aussi maman de t’avoir si bien claqué les fesses… répète!»Maxime s’exécute et répète à la suite.
– «A la bonne heure... Il connaît la règle mon grand garçon: s’il oublie de remercier maman quand elle lui a flanqué une bonne déculottée, il s’en prend une autre sur le champs, quel que soit le nombre de fessées qu’il a reçues avant!»
-- «Mais maman…»
-- «Quoi encore, maman?… Tourne toi et regarde dans la glace. Elles ne sont pas magnifiques tes grosses fesses rouges resplendissantes après cette bonne séance, hein?»Maxime ne sait plus quoi répondre devant le reflet de son imposant derrière cramoisi largement déculotté. Sur les injonctions de sa mère il dû s’appliquer à le faire encore mieux ressortir en creusant les reins et l’arrondissant le plus possible, exhibé dans toute son ampleur, plus provocant que jamais. Il semblait effectivement, avoir encore pris du volume, gonflé sous les claques et les cinglées de martinet. Bien obligé d’en constater l’excitante attractivité.
-- «Euuuh … non … si… si... oui maman, mais....»
-- «Il n’y a pas de ‘’mais’’ Maxime, je veux que tu sois fier de tes fesses. Elles sont le témoignage de la réputation de sévérité des fessées de maman.»Souveraine, elle allonge le bras pour obtenir un baise main. Rendu docile par les fessées, Maxime à genoux devant elle, embrasse la main nonchalamment tendue, encore imprégnée de la chaleur de ses fesses, pour avoir autant claqué dessus. Béatrice a un petit frisson de volupté. Elle savoure le délicieux sentiment de puissance qu'elle éprouve devant la soumission de son fils et le spectacle de ses belles fesses écarlates magistralement corrigées. Se promettant d'être plus sévère la fois suivante pour obtenir un fessier durablement plus rouge... Il est toujours possible d’améliorer les performance, fesser plus fort... plus longtemps... plus souvent... Elle ne sait pas encore.
– «Bien, tu peux te reculotter et au lieu de retourner au coin, tu vas t'occuper de ton martinet en guise de pénitence.»
– «Oui maman... Oui...Tout de suite.»
– «C’est ça, tout de suite, fais le malin! Tu mériterais une autre fessée, pour que je sois obligée de te le rappeler. Je veux que tu en prennes soin, que tu l'entretiennes régulièrement au moins une fois par mois. Je l'ai trouvé moins cinglant tout à l'heure. Tu vas me cirer et lustrer chaque lanière pour qu'elles soient bien souples et plus compactes. J'attends un résultat parfait. Il y en a douze, si tu en oublies une, je te les fait toutes reluire sur les fesses!»
– «Je prends quoi comme huile maman?»
– «Quelle question! Comme si tu ne savais pas... De l'huile de massage, bien sûr, la même que j’utilise pour t’assouplir les fesses. Et je veux du cuir qui brille, ça claque mieux!»
-- «Oui maman je vais m’appliquer. Promis ça va briller!»
-- «Tu as intérêt mon ami, j’y compte bien. Et c’est surtout tes fesses que je vais faire reluire avec ça!»Pendant que Maxime, le derrière toujours cuisant de sa récente déculottée, s’occupait d’entretenir son martinet avec le soin qu’exigeait sa mère, quelques maisons plus loin, Robin, le fils de Gladys venait de rentrer de son séjour d’apprentissage chez sa tante Astrid Delaniaires. Plus exactement auprès de son oncle Norbert qui, à la demande de Gladys, avait accepté de le prendre dans son atelier pour l’initier au travail du cuir. Notamment sur la conception d’instruments d’un usage particulier, qu’en bon artisan il fabriquait sur mesure. La boutique des Delaniaire était renommée pour son sérieux, la qualité et la solidité de ses productions auprès de toutes les maîtresses femmes de la ville.
(A suivre)
7 commentaires