• Un texte de mon ami Peter Pan, que je remercie encore.


    Pension Tapefort : Peter au salon de thé - 3 

    Madame Bernadette n'était pas femme à se laisser dicter sa conduite en toutes circonstances. Et comme toutes les épouses de notre quartier, elle savait souffler le chaud et le froid au sein de son foyer qu'elle régentait au cordeau, au quotidien. Elle se positionna, de telle manière que je recevrais ma punition avec le visage tourné vers les autres clientes attablées. Leurs mines reflétaient soit la colère, soit l'amusement. Elle lissa les longs plis de sa jupe rouge. Puis d'un index impérieux, elle me désigna ses genoux.
    - «Peter, en place! Sur mes genoux! Over my knees, young boy!»

    Pour faire plaisir à sa vieille cliente, elle me parla dans la langue de Shakespeare pour se donner plus d'autorité. Moi, je sentais alors la sueur glisser dans mon dos et s'insinuer dans la raie de mes fesses que je serrais au maximum, de telle manière que... j'aurais pu casser des noix!! Quelques instants passèrent et madame Bernadette, impatiente, me donna une forte claque sur ma cuisse, imprimant ses doigts sur ma peau. Elle me tira le bras et me bascula à plat-ventre, en travers de ses puissants genoux. Je tentais de me redresser mais elle passa son bras puissant autour de ma taille, me plaquant tout contre son flanc.
    La vieille cliente ricana.
    - «Very good, madame! Votre young man mériiite une very hard spanking! And, bare-bottom! Of course! Like at school!! Euh.... comme... comme à la school!!»

    Sur ces mots, ma patronne prit tout son temps pour retrousser mon kilt sur mes reins, comme un collégien paresseux, pour faire durer ma honte. De ma main libre, je tentais de me protéger les fesses. Elle me saisit le poignet et me mit en garde
    - «Peter, retirez votre main ou je prendrais mon martinet.»

    Je la devinais, le sourire aux lèvres et ses yeux revolver couleur opaline, brillants de malice. Puis, mimant la fausse surprise, elle s'esclaffa.
    - «PETER! Quelle horreur! Vous êtes cul nu sous votre kilt???»
    - «Mais, madame, vous m'aviez dit de ne rien mettre dess...»
    - «Vous vous moquez de moi, Peter!!»
    - «Non, j'vous jure, madame! C'est vrai!»
    - «Comment avez vous osé!! Que vous avais-je dis?»
    - «Madame Bernadette, c'est vous même qui m'aviez bien recom...»
    - «Cessez de me mentir, Peter!!»

    J'entendais sa vieille cliente murmurer et ricaner, en regardant mon derrière!!
    - «Oh, darling, look! Splendid bottom! Good for a very hard spanking!!»

    Madame Bernadette, avantagée par la situation, en profita pour me tapoter les fesses de sa longue main pour en prouver la souplesse. Elle soupirait comme pour feindre comme un sentiment de détachement.
    - «Je tâte toujours la marchandise avant de faire mon choix. Et c'est la même chose quant il s'agit des fessées que j'administre à tous mes "protégés". Voilà un fessier masculin comme je les apprécie, ferme et souple à la fois! Votre Maman peut être très fière d'avoir un beau jeune homme comme vous à ses côtés!!»

    Madame se comportait comme une cavalière qui choisirait son futur étalon pour un concours hippique. J'étais mor-ti-fié!!
    - «Aiiiiieeeeeeu! Aiiiiiieeeu! Madaaaaaameeeu!»
    - «Peter, vous n'avez pas honte de me mentir?»
    - «Mais madame, c'est vous même qui m'av... Aiiiie!!!»
    - «Je doublerais donc votre fessée, Peter!! Tant pis pour vous!!»
    - «Non, madaaaaame! Pas la fessée cul n... Aaaaieeu!!»
    - «Assez de comédies, Peter!! Je vais vous apprendre à mentir!»

    Madame Bernadette, soucieuse de préserver sa réputation de femme forte et la qualité de son établissement, déversa sur mes fesses écarlates une averse de claques qui enflammèrent mon pauvre derrière, qui s'apparenta alors à une gaufre à la fraise! Cinq fois... dix fois... vingt fois... sa lourde main pleine de bagues s'abattit sur mon postérieur musclé!!! Elle accompagnait chaque frappe d'un ricanement féroce, signe de son triomphe passager.

    Le tissu rugueux de la jupe longue de Madame frottait mon bas-ventre, d'autant que les boucles de ses jarretelles pointaient sous l'étoffe. Ses lourdes claques me martelaient les fesses tel un martinet de forge. Et bientôt le côté face de mon anatomie manifesta des signes évidents de forte excitation... A ma grande honte, mon "intimité" cognait contre la cuisse ennylonnée de madame Bernadette, visiblement satisfaite de cette montée du plaisir. Ma belle patronne soupira alors et je compris que cette situation qu'elle avait provoquée à dessein semblait également l'exciter. Elle remuait les cuisses. Pour donner le change, elle me criait dessus
    - «Peter, vous n'êtes qu'un vicieux!! Un sale petit vicieux!! Faire le service cul nu!!! Je vais vous apprendre, moi, le respect!!!»
    - «Pas la fessssée!! Arrêtez, madaaaaaaame!!! Aaaaieu!!!»
    - «Peter, je sens sur mes genoux quelque chose qui ne me plait guère et vraiment indigne de la part d'un jeune homme de bonne famille comme vous et élevé par sa vertueuse maman!!»
    - «Ce n'est pas de ma faute, madaaaaaame!! Ca... ça vient tout... tout seuuuuuuu! C'est pas... pas d'ma fauuuuute!!!!»
    - «Je vous dresserais, Peter et vous me demanderez pardon!!»
    - «Arrêtez, madaaame!!! Ca me brûûûûûle!! Pard...aaaaaieee!!!»
    - «J'adoooore fesser les hommes, Peter! J'adoooooore dresser les jeunes hommes trop couvés par leurs mamans!!»
    - «Non , madame, soyez indulgente, j'vous en su... supliiiiie!»
    - «Peter, attention, si je sens de humidité sur mes jambes ou une tâche sur mes bas à couture, vous recevrez le gros martinet que j'utilise pour mes neveux! Est-ce clair?»
    - «Vous êtes une vieille sa... Aaaaaaaaaaie!!! Sorcière! Vipère!!!»

    Je transpirais d'effort et de douleur tant j'avais du mal à retenir mon "trop-plein d'émotion" sur les belles jambes de ma patronne. Vicieuse comme je la devinais, elle s'amusait de mon trouble. Un flot de délicieuses sensations submergea mon esprit

     

    Peter Pan.


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