• Merci à Ramina pour ce nouveau récit.


    On y retrouve des personnages déjà très actifs dans de précédents récits célébrant les bienfaits de la fessée, punitive et érotique. Tante Gladys bien sûr, dont la réputation de sévérité n'est plus a faire,  comme celle de ses amies, toutes ferventes adeptes inconditionnelles de la fessée. Notamment Edwige la pétulante voisine à l'humeur ravageuse... Patricia, digne fille de sa mère, Arnold son fiancé anglais, Bettina, la vicieuse soubrette, Edouard le mari soumis, et un petit nouveau, le cousin Peter... soi même!  A force de réclamer de se faire rougir le derrière, il a fini par se retrouver dans l'histoire ... et quelle histoire... ça claque sec! Bonne lecture aux amateurs de femmes sévères... très sévères!


     

    UNE AFFAIRE DE FAMILLE

    Chapitre 20 : Vidéo Fessée

    Co-production Ramina / Peter pan 

     

    Robin, à plat ventre sur son lit cuvait sa fessée en pleurant. La chaleur était si intense qu’il se releva et essaya, devant son lavabo, de se passer de l’eau froide sur les fesses avec un gant de toilette. Bien mal lui en pris. Son derrière était devenu si sensible que le contact irritant avec le tissu éponge un peu rêche ne fit que raviver la cuisson. Avec des fesses aussi cuisantes, impossible de se reculotter, comme Gladys le lui imposait après chaque fessée. Tout seul dans sa chambre il pouvait en éviter la douloureuse obligation, au moins avant de devoir redescendre pour le dîner. Le slip en travers des cuisses, il retourna se jeter sur son lit, en maudissant la sévérité de sa mère et de sa sœur, qui prenaient, l’une comme l’autre, autant de plaisir à lui flanquer d’aussi cuisantes fessées.

    Après l’effort, le réconfort de l’alcool fort. En bas dans le salon, Gladys et Patricia se sont installées confortablement dans le canapé, en dégustant leur whisky préféré: Loch Glad pur malt douze ans d’âge... La main encore agréablement imprégnée de la chaleur des fesses de Robin pour les avoir si sévèrement claquées, elles regardent une vidéo de la dernière séance de discipline d’Edouard et Arnold. Quand elle ne fessent pas, elles se font plaisir devant les enregistrements des fessées qu’elles leurs ont administrées. Elles ont donc pris l’habitude de filmer certaines de leurs prestations, pour ensuite les visionner avec eux, et très souvent en public devant leurs amies fesseuses. Bien évidemment, c’est fait pour ça , ces dames toutes émoustillées, prennent alors un jouissif plaisir à accompagner les séances de fessées de croustillants commentaires et analyses d’images bien humiliantes. Dans cette torride ambiance disciplinaire, on s’excite mutuellement, avec des montées de chaleur humides entre les jarretelles. Aucun détail n’échappe à la sagacité perverse des spectatrices. Tout y passe. Mise en condition des punis, présentation des fesses, le déculottage, le rythme et la durée des fessées, l’intensité des claques, les positions, la couleur des fesses, la mise au coin en pénitence... Ces soirées chez Gladys, sont des moments de partage exaltant pour ces femmes sévères toutes adeptes inconditionnelles de la fessée.

    A genoux, de chaque côté du canapé, aux pieds de leur épouse et fiancée respectives, Arnold et Edouard n’ont d’autre choix que de regarder, en silence, l’humiliant spectacle qui leur est imposé sur l’écran de la télévision. Celui de leur propre postérieur déculotté, rebondissant en cadence sur les cuisses de ces dames, sous le feu de magistrales tournées de plusieurs fessées successives. Une seule fessée ne suffisant pas à corriger efficacement les imposantes paires de fesses.

    Patricia amusée de suivre le déroulement filmé de la correction qu’elle inflige à son fiancé fait remarquer avec une certaine fierté dans la voix:
    -- «Mais c’est ce que je fesse vraiment fort, et on voit que j’aime ça… Je m’en rend mieux compte sur la vidéo que dans le feu de l’action… tiens c’est le cas de le dire. Pour claquer, ça claque! Il faut dire aussi que je l’ai bien dressé mon chéri... Il sait, maintenant, comment il doit me présenter ses fesses pour mieux recevoir ses fessées.»
    -- «C’est vrai chérie, j’ai remarqué aussi», sourit Gladys avec bienveillance.
    Elle met la vidéo en pause.
    -- «Je dois reconnaître qu’il a beaucoup progressé. Il a appris à garder ses fesses en bonne position, bien déployées, pendant toute la durée de sa punition.»

    Patricia, insiste pour démontrer, preuve par l’image, la docilité de son fiancé a venir positionner son derrière à sa main.
    -- «Reviens en arrière maman… au moment où je m’installe sur la chaise à fessées et qu’il se précipite sur mes genoux…»
    -- «Si tu veux ma chérie…mais tu n’as rien a me prouver, tu sais. Ou alors c’est juste pour le plaisir...»
    La jeune femme esquisse un sourire de satisfaction en se trémoussant sur le canapé.
    -- «Pour le plaisir maman...»

    Elle lance un regard appuyé en direction d’Arnold. Tout comme Edouard de l’autre côté, il se tient discrètement, à genoux près d’elle, pantalon baissé, le derrière encore rouge de sa récente fessée, prêt à s’en prendre une nouvelle. Elle l’interpelle avec autorité.
    -- «Regarde bien Arnold, et retient la leçon, c’est maintenant comme ça que tu dois venir me présenter tes fesses à chaque correction!»
    Gladys, a fait un retour en arrière et relance la vidéo à l’endroit choisi. A l’image on voit Patricia s’asseoir sur la chaise à fessées et ordonner:
    -- «Viens ici Arnold… tes fesses … tout de suite... sur mes genoux!»

    Arnold obéit immédiatement, sans discuter, l’annonce d’une fessée ne se négocie pas. Il se précipite sur les cuisses gainées de nylon de sa future épouse. Souriante, forte de son autorité sur lui, elle s’amuse à le voir se trémousser sur ses jarretelles et s’appliquer à lui présenter son imposant fessier en bonne position pour bien recevoir sa fessée. Il s’est courbé en deux, la tête presque au sol, appuyé sur ses mains: derrière tendu à bloc, bien gonflé, bien arrondi, bien exposé..., les genoux pliés et les pieds en l’air…
    -- «En effet», dit Gladys, «tu l’as bien dressé! C’est vrai qu’il les présente bien ses fesses.… Veux tu que je repasse ça au ralenti pour mieux détailler.»
    -- «Non maman, laisse en vitesse normale, c’est plus réaliste.»
    Gladys appuie sur lecture pour redémarrer la vidéo et claironne à l’attention des deux punis.
    -- «Allez messieurs, c’est le moment! Profitez de ce debriefing pour mémoriser les bonnes positions!»

    Sur l’image vidéo, les deux fesseuses s’organisent en prenant le temps de bien préparer les derrières à leur disposition. L’attente prolongée de la fessée est un bonne façon de mieux soumettre les punis. Patricia donne ses consignes à Arnold qui fait preuve d’une parfaite obéissance.
    -- «Regarde toi dans la glace», lui ordonne t-elle en saisissant l’élastique de son slip pour le lui descendre sur les cuisses.
    Ce qu’Il voit surtout, c’est son imposant fessier déculotté, bien ferme et bien charnu, encore rouge de sa précédente fessée. Il voit aussi le visage sévère de sa fiancée, son regard fixé sans indulgence sur son postérieur rebondi.
    – «Tends le bien ton derrière…Ne serre pas les fesses!»

    Arnold sait qu’il n’a pas le choix, il est d’une docilité exemplaire. Il creuse encore les reins pour arrondir et développer son postérieur bombé au maximum afin de le présenter prêt à claquer.
    -- «Oui chérie… oui... C’est comme ça que tu les veux mes fesses… je te les présente bien pour bien recevoir ma fessée?»
    -- «Non, Arnold, applique toi!!! Et descends ton slip plus bas sur tes cuisses, en creusant les reins pour faire ressortir ton gros derrière..»
    Elle rit.

    Arnold gémit. Il s’exécute en se cambrant davantage, offrant à Patricia son volumineux postérieur rebondi parfaitement positionné à sa main. Il a beau redouter ses terribles fessées, ça l’excite toujours de se faire rougir les fesses, allongé déculotté sur les fortes cuisses de sa future épouse. Car la vicieuse créature sait comment s’y prendre pour le faire jouir en lui chauffant le derrière à grandes claques cuisantes. Elle prend alors un plaisir cynique à lui flanquer une deuxième fessée, pour le punir de n’avoir pas su se retenir d’éjaculer sur ses bas nylon. Les fesses rouges et cuisantes, Arnold, toujours déculotté, à genoux entre les jambes de sa dominatrice, doit, ensuite tout nettoyer avec sa langue. Contraint de lui lécher consciencieusement les cuisses en remontant jusqu’aux attaches métalliques des boucles de jarretelles. Le sentiment de puissance est si fort à ce moment là que la jeune femme en mouille, à chaque fois, son petit slip de bonheur!

    Le film vidéo continue et on voit alors Patricia enserrer la taille d’Arnold et passer sa main gauche sous son ventre pour le soulever. Elle a posé son pied sur le barreau de la chaise pour lever sa cuisse droite, obligeant son puni à grimper dessus et s’y plier en deux, les fesses tendues, largement déployées. On ne voit plus dans la grande glace du salon qu’un plantureux postérieur bien fourni, projeté vers le haut, offrant ses courbes volumineuses à la fessée qui va commencer à claquer.

    Tout à côté, Edouard est pratiquement mis dans la même position par Gladys. Elle, aussi, a posé son talon aiguille sur l’assise du tabouret et relevé sa cuisse à l’horizontale pour y courber en deux son puni. Elle le maintient ainsi, le slip à mi-cuisses , fessier déculotté, bombé au maximum, le visage vers le sol, genoux pliés et pieds en l’air...

    Les deux hommes n’ont pas dit un mot, se gardant bien de protester ou d’appeler à une clémence totalement illusoire. Gladys, télécommande en main, a appuyé sur arrêt sur image pour mieux profiter de la vue d’ensemble des deux punis, en attente de leur correction, les fesses déployées, tournées vers la caméra. Elle savoure la scène avec une moue de satisfaction.
    -- «Tout de même Patricia, regarde moi ces magnifiques paires de fesses! Te rends tu compte de la chance qu’on a d’en disposer en permanence à la maison et pouvoir les claquer à volonté quand on en a envie?»
    -- «Bien sûr, maman, je m’en rend compte à chaque fessée, quand je les déculotte! Et les fessées ça claque presque tous les jours. Mais ce n’est pas vraiment de la chance… On les a justement choisi pour leur solide postérieur et leur capacité à encaisser les fessées. Comme Arnold, mon futur mari, avec ses belles grosses fesses à claques... Tu peux reprendre la lecture maintenant?»

    Gladys préfère avancer la vidéo en accéléré et appuie de nouveau sur lecture, quand apparaît la scène qu’elle veut regarder.
    -- «Je voudrais revoir la séquence où ils sont en pénitence, au coin côte à côte, les fesses déculottés, bien en vues, pour en comparer la couleur.»
    -- «Comme tu veux maman… c’est toi qui décide…»

    Nouvel arrêt sur image où l’on voit, Edouard et Arnold à genoux au coin, slip aux cuisses, le fessier écarlate bien exposé . Gladys, ne peut s’empêcher de sourire lorsqu’elle s’entend sermonner les deux punis dans la séquence qui apparaît à l’écran.
    -- «Faites bien attention mes petits messieurs… On vous surveille.... Vous ne bougez pas d’un millimètre... et gardez le nez contre le mur... les reins cambrés, slip baissé, le derrière bien tendu... sinon gare à vos fesses, ça va encore leur tomber dessus, et au martinet cette fois!!»

    Patricia, comme à son habitude, en rajoute une couche pour surenchérir sur la sévérité de la correction…
    -- «Et vous pouvez pleurnicher tant que vous voulez... vous allez l’avoir votre fessée au martinet... comme prévu, soyez patients... elle va venir quand on le décidera!»

    Arnold, dont le volumineux postérieur encaisse si bien, ne semble pas plus impressionné que ça, à la perspective d’une nouvelle fessée au martinet. Il se contente de tortiller un peu du derrière semblant dire, même pas ! Vous pouvez y aller autant que vous voulez, mes fesses sont prêtes. Il en rajoute même dans la provocation.
    -- «Je vous les présente bien mes fesses comme ça? Vous les avez bien en vue?»
    Les deux femmes se regardent en échangeant un grand sourire.
    -- «Monsieur fait le malin…» dit Patricia, «mais il est moins fier quand je commence à le déculotter. Il sait que je vais, lui en mettre une sévère à chaque fois. Et il ne déteste pas ça, les fessées, ça le fait jouir… le petit vicieux!»
    Elle rit.
    -- «Moi aussi d’ailleurs , c’est pour ça que je l’ai choisi… pour ses belles fesses à claques, bien fermes!»
    Elle rit de nouveau.

    De son côté, Edouard, habitué aux séances de corrections à répétition, apparaît plutôt résigné sur le sort de ses fesses. Sachant sa fessée filmée, il redoute l’humiliation d’un visionnage en public devant les amies de Gladys et se retient de se répandre en pitoyables pleurnicheries et autres supplications. Tout juste, émet il quelques timides murmures entrecoupés de sanglots, mal réprimés.
    -- «Ooh s’il te plaît… Gladys, pas … pas trop sévère la fessée au martinet… on… on a déjà les fesses en feu… après les fessées à la main… Vous avez tapé fort… ça … ça cuit.»
    -- «Au contraire mon chéri, pour recevoir une bonne fessée au martinet bien efficace, un derrière ça doit se préparer.»

    L’air détaché, Patricia, s’est levée du canapé et retend tranquillement ses bas nylon sur ses cuisses et rajuste ses jarretelles, détendues pendant la fessée d’Arnold . Elle commente la vidéo.
    -- «Sans compter qu’une paire de fesses bien préparées à la main, est plus cinglante sous les lanières.»
    Elle lance un regard faussement interrogateur à sa mère et fait remarquer:
    -- «Tu ne trouves pas, maman, que les fesses d’Arnold rougissent plus vite que celles d’Edouard?»
    -- «Tu as raison chérie, mais l’avantage c’est qu’il faut lui claquer le derrière plus longtemps pour obtenir la même couleur écarlate, bien répartie sur toute la surface.»

    Elle rit en remettant arrêt sur image et s’adresse alors à son mari, à genoux près d’elle, le pantalon baissé sur les chevilles, les fesses maintenues à portée de main.
    -- «Et toi Edouard, tu en penses quoi? Elles rougissent plus vite ou moins vite tes fesses, par rapport à celles d’Arnold... à durée de fessées égales, bien sûr?» 

    Le malheureux, ne sait pas quoi répondre. Connaissant les méthodes vicieuses de son épouse pour le mettre en difficulté et justifier ainsi une nouvelle déculottée, il essaye de contourner le piège qu’elle lui tend.
    -- «Mais chérie, c’est toi qui sais, puisque c’est toi qui me corrige et qui a mes fesses sous les yeux pendant ce temps là…»
    Gladys se tourne vers sa fille l’air goguenard.
    -- «Tu entends ça Patricia,… Monsieur ‘’réponse à tout’’, fait le malin. Tu crois t’en tirer à bon compte, mon ami, mais quand tu prends tes fessées devant la glace, tu peux très bien comparer la couleur de tes fesses avec celles d’Arnold, juste à côté de toi...»

    Edouard se sent soudain en mauvaise posture. Il n’insiste pas et capitule aussitôt pendant qu’Arnold s’en amuse discrètement à l’autre bout du canapé.
    -- «C’est vrai Gladys, tu as raison…» Il en rajoute, servile. «D’ailleurs tu as toujours raison ma chérie.»
    -- «A la bonne heure, j’aime entendre ça. Mais depuis quand monsieur se ridiculises en se laissant aller à la flatterie? Tu crois vraiment que je vais laisser passer ça?» 

    Son imposante paire de fesses rendue encore plus volumineuse par la position à genoux, constitue une véritable provocation. Sans attendre de réponse, elle les lui fait sauter d’une claque retentissante, comme pour en éprouver l’éclatante sonorité. Elle lance un clin d’oeil moqueur à Patricia.
    -- «Tu vois ma chérie! Il n’y a pas que sur le derrière d’Arnold que les fessées sont retentissantes, sur celui là aussi … même à travers le slip, ça claque bien aussi! Évidemment, déculottées c’est encore mieux!»
    -- «C’est bon maman, on ne va pas faire un concours… mais, il n’empêche... on peut quand même vérifier. La vidéo c’est intéressant mais si on repassait à la pratique. Avec tout ça… quand je vois ces deux belles paires bien déployées à portée de mains ça m’excite… j’ai comme une envie de fessée… d’en claquer une sévère...pas toi?»
    -- «Ma chérie, si tu me prends par les sentiments… Pourquoi s’en priver alors qu’on a deux solides fessiers sous la main qu’on peut corriger à volonté. N’est ce pas messieurs?»

    Pas de réponse , sinon celle de Patricia toujours enthousiaste à la perspective d’en mettre une bonne, surtout un derrière présentant une aussi belle surface de frappe.
    -- «Bien sûr maman, une bonne fessée déculottée, bien claquante comme on aime les administrer. Justement pour le plaisir de leur rougir les fesses et de comparer ensuite la couleur.»
    -- «Tu as raison chérie. Les fessées sans motif, sont souvent les meilleures. Vous avez entendu messieurs?… Alors... vos fesses tout de suite!!»

    Les deux hommes ont à peine le temps d‘émettre un avis qui ressemble davantage à un murmure plaintif qu’a une réelle protestation.
    -- «Mais Gladys chérie on vient de recevoir deux fessées déculottées…» dit timidement Edouard toujours à genoux à ses pieds au bout du canapé.
    Il se tient les fesses à pleines mains.
    -- «Et des sévères!»

    Arnold, plus endurant, a glissé les mains dans son slip pour soupeser son lourd fessier afin d’en d’évaluer le niveau de cuisson. Il hésite entre la crainte d’une nouvelle fessée ou, par provocation, l’envie de s’en prendre une autre pour tester l’endurance de son solide fessier. Il proteste à peine… pour la forme.
    -- «Oui , on vient quand même de se prendre deux fessées...et des sacrément cuisantes… vous tapez fort toute les deux!»

    Patricia prend ça comme un compliment. Pour une femme sévère, taper fort c’est reconnaître la qualité et l’efficacité de ses fessées.
    -- «Viens ici trésor», dit elle d’une voix suave, faussement affectueuse.
    Elle retrousse tranquillement la manche droite de son chemisier pour bien dégager la main qui va fesser.
    -- «Viens me remettre tes fesses en position sur mes cuisses.»
    -- «Mais … mais Patricia.. ça… ça va faire la troisi...»
    Patricia , inflexible, n’est disposée à aucune concession.
    -- «J’ai dit, fessée! … troisième ou pas, tu vas te la prendre encore plus sévère que les précédentes pour avoir tenté de protester.»

    De l’autre côté du canapé, Gladys ne laisse aucun choix à son soumis.
    -- «Edouard tu reviens te mettre en position sur mes genoux... tout de suite!» 

    Le ton qu’elle a adopté ne laisse pas de place à la discussion. Elle lui ordonne de se re-déculotter. Ça l’amuse de le voir obligé de se tortiller pour avancer, à petits pas ridicules, le slip baissé, tendu en travers des cuisses, ses grosses fesses rouges tressautantes au rythme de sa marche . La situation d’Edouard ne l’incitait pas à s’engager sur le chemin de la désobéissance lorsqu’il vint reprendre sa place sur les fortes cuisses accueillantes de son épouse. Il s’y écroula en gémissant remettant ses fesses écarlates à sa disposition pour recevoir, sa troisième fessée de la journée. 

    Un clin d’oeil complice entre la mère et la fille déclenche le retour des cuisantes festivités.
    -- «Duo de fessées sur canapé!» déclare Patricia comme si elle annonçait un joyeux événement, sa main haut levée au dessus du fessier déculotté de son fiancé, prête à retomber.

    Et le salon s’emplit à nouveau du claquement retentissant des magistrales fessées menées avec une implacable sévérité, sous l’autorité des deux fortes femmes. Slip à mi-cuisses, reins cambrés, fessier tendu au maximum, croupe bien en l’air, le visage près du sol , genoux pliés et pieds en l’air, les deux punis subissent leur fessée, rythmée de leurs pleurs, et vaines supplications. Ils ont l’ordre impératif de garder le derrière ainsi bien exposé durant toute la punition. Tout forme ou tentative de relâchement est sanctionné d’une impitoyable fessée supplémentaire!

    La séance de fessées bat son plein, Gladys et Patricia s’en donne à pleine main, sur les deux formidables paires de fesses resplendissantes qui rebondissent et se tortillent en cadence sous les claques vigoureuses. Elles cuisent et rougissent à vue d’oeil jusqu’à l’écarlate, pour la plus grande satisfaction des deux femmes. 

    Les corrections se poursuivent sur le même rythme et avec la même énergie, lorsque le portable de Gladys résonne sur la table basse en face d’elle. Malgré le rendement sonore élevé de l’éclatante fessée qu’elle est en train d’administrer et les mugissements de douleur d’Edouard qui l’accompagnent, elle perçoit les vibrations de l’appareil. Ce qui l’agace au plus au point:
    -- «Tu réponds maman?» interroge Patricia entre deux séries de claques retentissantes sèchement calées sur les grosses fesses enluminées d’Arnold.
    Il fait moins le malin maintenant. C’est qu’elle ne plaisante pas la future épouse. Elle tape fort la garce et elle aime ça, claquer du derrière bien ferme!…
    – «Tu sais très bien que je déteste être interrompue quand je fesse!» s’exclame Gladys contrariée. «Vas y toi … cette sonnerie est pénible!»

    Patricia sais ce qu’il en coûte de discuter les ordres de sa mère.
    -- «Arnold, relève toi et vas me chercher ce téléphone!»

    Pendant que, tout à côté, les fesses flamboyantes d’Edouard continuent à claquer et rebondir inlassablement sur les cuisses de son impérieuse épouse, Arnold se précipite vers la table basse pour ramener le portable. Empêtré dans son slip, il offre alors au regard enveloppant de Patricia l’excitant spectacle de son gros derrière tressautant, entièrement rougi à l’écarlate du bas des reins jusqu’en haut des cuisses. L’intense chaleur qui se dégage du fessier en pleine cuisson, ne semblent pas encore satisfaire l’exigeante future épouse.
    -- «Ne traîne pas Arnold, en espérant gagner du temps! Ramène moi ce portable en vitesse et viens me remettre tes fesses en position… Ne te fais aucune illusion, ta fessée n’est pas terminée.»
    -- «Ooh chérie… je t’en prie... j’ai les fesses en feu...» larmoie l’intéressé, sans insister davantage.
    Il sait que c’est parfaitement inutile. Il apporte le téléphone et se repositionne aussitôt, docilement, sur les genoux de sa fiancée. Reins bien cambrés, postérieur rebondi, tendu au maximum pour une reprise de fessée bien sévère. Patricia prend tout de même le temps de consulter l’appel et prend la communication. Cela dure quelques secondes.
    -- «Alors c’est qui?» demande Gladys, la main en attente posée sur le derrière flamboyant d’Edouard. Il est en larmes écroulé pantelant sur ses genoux.
    -- «C’est Jade maman…»
    -- «Jade?»
    -- «Oui maman, Jade ...l’épouse de Justinet... ton neveu… ton fameux neveu à qui tu as flanqué tellement de fessées à une époque!»
    -- «Oui bien sûr, qu’est ce que j’ai pu lui mettre sur les fesses à celui là… avec son cousin Sacha! Ah les fessées déculottées ça y allait, ça claquait sec, à la moindre occasion! Faut dire qu’ils avaient tout les deux de sacrées belles grosses fesses à claques… encore maintenant j’espère… Que du bonheur!… Et Jade alors… chère Jade...qu’est qu’elle dit?»
    -- «Elle veut te parler maman. Elle dit qu’elle a besoin que tu lui rendes un petite service … c’est au sujet de Justinet.»
    -- «Mais avec plaisir … passe la moi!»

     

    (Suite à venir dans une nouvelle saison «Le Martinet de Justinet»)

      

    Une affaire de famille, Chapitre 20

     

    Une affaire de famille, Chapitre 20

    Une affaire de famille, Chapitre 20

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