• Les séances de fessées chez Tante Gladys, Chapitre 14

    Une histoire originale de Ramina, sur une idée de Clodinet(te)


    Les séances de fessées chez Tante Gladys, Chapitre 14: Un cuisant après-midi bien rempli!

     

    La tournée de fessées, chez tantine se déroulait dans une chaude ambiance, claquante et cuisante à souhait. Clodinet et Sacha, le nez au mur en pénitence, avec déjà deux grosses fessées chacun au compteur, enduraient en pleurnichant, l’intense cuisson de leurs fesses. Plutôt que de les obliger à rester le derrière à l’air, selon le rituel habituel d’après fessée, ils avaient été prié de se reculotter mais en prenant soin d’étirer leur slip dans la raie des fesses pour bien les faire déborder des élastiques. Ce qui mettait encore mieux en valeur et rendait plus attrayantes leurs volumineuses rondeurs flamboyantes bien exposées. 

    Juste derrière eux, autour de la table basse du salon, tante Gladys, Julia et Mad les épouses, papotaient tranquillement devant une tasse de thé et de savoureux sablés cuisinés par la maîtresse de maison. Gladys confirmait avoir autant de plaisir et de talent à faire la cuisine qu’à déculotter et claquer des derrières, avec tout de même une nette préférence pour administrer des fessées. Dans ce contexte disciplinaire, la fessée était bien évidement le sujet de prédilection qui, alimentait les conversations de ces Dames. Ces séances punitives organisées donnaient l’occasion d’échanger leur avis sur leurs méthodes respectives de discipline domestique.

    Tante Gladys, toujours aussi catégorique, vantait, les avantages, selon elle indiscutables, de sa méthode disciplinaire basée sur une fréquence élevée de fessées très sévères. Pour elle pas de demi-mesure, un solide derrière, faute ou pas faute, désobéissance ou non, c’est fait pour être déculotté et corrigé régulièrement.
    – «Pour une bonne discipline, les fessées ça doit claquer tous les jours, voire plusieurs fois par jour. Edouard mon mari, et aussi mon fils, Robin, du haut de ses vingt ans, en ont manifestement besoin. Je leur en mets donc, régulièrement, même quand ils n’ont pas mérité de fessée punitive.»

    – «Je suis entièrement d’accord avec ça», dit Julia, initiée par sa belle mère aux bienfaits de la discipline domestique. «Sacha a besoin aussi de vraies bonnes fessées, régulières, et il en a à volonté, chaque fois que je l’estime nécessaire ou que j’en ai simplement envie, rien que pour le plaisir de lui claquer le derrière.»

    Gladys se lève et lisse à deux mains la courte jupe moulante de son tailleur sur son imposant fessier.
    – «Qui veut encore du thé?» demande-t-elle.
    Elle le fait en continuant à se caresser ostensiblement le derrière, sans la moindre gène. Ce qui fait toujours son petit effet sur la gens masculine dont elle aime attirer le regard sur les volumineuses rondeurs de son opulente paire de fesses.  Ignorant son attitude, Mad tend sa tasse avec un sourire qui se veut affable. 

    Elle l’agace un peu la tantine avec ses airs supérieurs, et son discours professoral sur la discipline domestique. Elle n’a pas attendu ses conseils pour savoir comme administrer une bonne fessée. Elle la laisse cependant à son exhibition fessière qu’elle juge déplacée, et attend qu’elle en finisse avec sa théorie sur ses méthodes de correction, qui n’apprennent finalement pas grand-chose à personne. Mais c’est tante Gladys, elle s’impose et on doit l’écouter, ne serait ce que pour éviter des incidents diplomatiques inutiles. Elle poursuit son petit discours de la méthode.
    – «C’est exactement ça très chère Julia, si l’on veut obtenir respect et obéissance de nos maris. Mon chéri a mis du temps à comprendre que ses fesses m’appartenaient, mais maintenant c’est acquis… Je les corrige quand je veux et aussi souvent que je le veux.»
    – «Bonne formule Belle Maman», dit Julia qui n’a d’autre choix que celui d’abonder dans le sens de sa belle-mère. Elle prend délicatement le dernier sablé et croque dedans avec gourmandise. «Sacha l’a parfaitement assimilé. J’ai maintenant une paire de fesses obéissante, bien dressée, prête à déculotter et claquer sous ma main à n’importe quel moment. A la moindre hésitation c‘est une fessée déculottée supplémentaire», elle prend un air faussement navré... «plus sévère.»

    Tante Gladys, repose sa tasse et se tamponne délicatement les lèvres avec sa serviette qu’elle enjolive de traces de rouge à lèvres. Elle bombe fièrement la poitrine qui n’a pas besoin de cela pour s’émanciper de son indécent décolleté.
    – «Mais bien sûr, il faut les dresser nos petits chéris si on les veut bien soumis, souples et dociles. Ne pas hésiter à leur claquer les fesses au moindre écart de comportement. Le mien est maintenant  habitué à me les mettre immédiatement à disposition dès que je lui annonce la fessée». Elle se tourne vers Mad... «Et vous, qu’en pensez vous ma chère, on ne vous entend pas. Vous avez pourtant une belle réussite de soumission avec notre Clodinet.»

    ’’Ben voyons, manquait plus que ça", se dit Mad avant de répondre. La voilà maintenant qui distribue les prix de satisfaction . Et qu’est ce ça veut dire ‘’notre Clodinet‘’ comme si elle avait une droit de propriété sur lui.

     Elle repose à son tour sa tasse sur la table avec un grand sourire.
    – «Et bien voyez vous, chère tante Gladys, même si j’adhère évidemment à la nécessité d’une stricte discipline domestique , je ne vois pas tout à fait les choses de la même façon que vous, concernant la fréquence des fessées. Figurez vous que je me suis aperçue que  la privation de fessée peut se révéler tout aussi punitive chez un soumis habitué à en recevoir régulièrement.»
    – «C’est tout à fait possible«, dit sincèrement Gladys, qui ne laisse planer aucun doute sur sa préférence à la fessée haut débit plutôt qu’à l’économie de moyen sur les punitions. «Chacune sa méthode du moment qu’elle est efficace.»
    – «C’est vrai», dit Julia. Mad n’a pas tort. «Développer un sentiment de frustration est aussi un excellent facteur de domination. Abondance de fessées ne nuit pas, mais peut créer une certaine accoutumance sur des derrières devenus très endurants à force d’être souvent corrigés...»

    Pas mécontente de son petit effet, Mad sourit intérieurement et s’enfonce dans le dossier moelleux du canapé en croisant haut les jambes. Le nylon crisse sur ses cuisses. Elle avait décidé, depuis le début, de laisser les fesses de son Clodinet entre les mains de Julia et tante Gladys, et d’attendre le retour à la maison pour le punir à sa guise, selon sa méthode habituelle. 

    Les deux punis, toujours en pénitence face au mur, n’ont rien perdu de la conversation que ces dames ont menée distinctement, à haute voix, pour être certaines de bien se faire entendre.

    Si Sacha semblait plus habitué à l’humiliant rituel des séances de fessées de son épouse et celles de sa mère, Clodinet malgré sa prise de distance avec l’emprise de sa tante sur son mental, n’en menait pas large. On l’entendait renifler ses pleurs et fréquemment se passer la main sur ses joues pour essuyer une larme. Toutefois, comme son cousin, il prenait constamment bien soin de se tourner de dos vers ces dames pour leur permettre de détailler le mieux possible sa magnifique paire de fesses rebondies que les déculottées reçues avaient rendues cramoisies. C’était bien sûr une obligation à laquelle ne pouvait se soustraire le puni. 

    Pour tante Gladys, notamment, il était impensable qu’après avoir administré une sévère fessée, elle soit privée du plaisir de constater l’effet produit. La honte sensée être endurée par cette obligation faisait partie intégrante de la punition par la fessée. A l’humiliation de devoir exhiber ses fesses gonflées de claques, s’ajoutait l’opprobre d’être un mari fermement tenu en mains par son épouse qui se targuait ouvertement de rendre hommage à son imposante paire de fesses en le fessant régulièrement! Cette pratique permettait aussi à Madame d’évaluer l’efficacité de la fessée qu’elle venait d'administrer et, par conséquent, comme ce n'était jamais suffisant, de calibrer le niveau de sévérité de la fessées suivante.

    Sachant pertinemment que la séance de fessées allait encore durer un bon moment, peut-être que les deux hommes, sans trop se faire d’illusions, espéraient ils que la cuisson de leur fessier dont la couleur incandescente était la preuve, allait leur valoir quelque indulgence pour les déculottées à venir. Mais ils se doutaient, au fond d’eux-mêmes, que le tempérament autoritaire et la réputation de sévérité de tante Gladys, ne plaidait pas dans ce sens... Par ailleurs, ils avaient bien conscience que les fermes rondeurs de leur plantureuses paires de fesses étaient en mesure d’encaisser autant de cuisantes fessées que tante Gladys et Julia, auraient encore envie de leur appliquer. Ils le savaient par expérience et elles aussi, savaient qu’ils savaient! Mad quant à elle, avait donc  décidé de rester observatrice.

    Malgré la crainte de la reprise des fessées ils maintenaient leur fessier toujours bien en vue de ces dames, osant parfois se frotter subrepticement les fesses. Quand leur regard croisait celui d’une de ces fesseuses ils affichaient une résignation soumise. De temps en temps, Clodinet, s’enhardissant,  jetait un regard de connaisseur sur le postérieur bien présenté de son cousin, mais sans aménité ...comme pensant: ‘’Eh bien mon vieux, cela te fait du bien une bonne fessée à toi aussi, et tu en mérites bien autant que moi.‘’

    Le claquement sec d’une paire de talons aiguilles, résonnant sur le carrelage en leur direction, les fit  brusquement sursauter. Clodinet comme Sacha ont un petit frémissement de crainte en reconnaissant le pas décidé de Gladys qui annonce le retour des fessées. Elle s’est placée derrière eux et, d’une claque retentissante en plein milieu, fait sauter les deux paires fesses en même temps pour leur signifier la fin de la récréation.
    – «Alors mes petits chéris», s’exclame-t-elle comme si elle parlait à des adolescents, «prêts pour une nouvelle séance? Nos mains s’ennuient déjà de vos fesses!»

    Parfaite dans son rôle de maîtresse de maison, elle dirige les opérations et attribue les derrière à corriger avec autorité.
    – «A vos fesses messieurs, après la journée de la jupe, c’est la journée continue de la fessée déculottée. Clodinet sur les genoux de Julia, et mon petit Sacha de retour sur ceux de maman! Allez, allez exécution! Et vous avez intérêt  à contrôler vos impulsions, le premier qui jouit pendant sa fessée s’en prend une deuxième immédiatement!»
    – «Pendant qu’il lèche les bas nylon et les jarretelles de sa fesseuse pour nettoyer les dégâts!» ajoute Julia carrément hilare, très contente de son idée.

    Gladys fait pivoter son grand garçon de quarante-cinq ans et le propulse vers le tabouret à fessée à claques sonores sur les fesses, qui reprennent déjà de la couleur.
    – «Mad, vous restez donc notre observatrice du bon déroulement des festivités.»

    Celle ci acquiesce, d’un simple signe de tête en affichant un sourire convenu. Tantine a compris qu’elle préférait régler les comptes à la maison, ce qui ne la dérange pas le moins du monde. La répartition est juste avec deux fesseuses pour deux paires de fesses en alternance.

    Avec appréhension , Clodinet s’est  remis en bonne position de fessée sur les genoux de Julia. Bien dressé, il s’applique à cambrer le bas du dos au maximum pour lui offrir un fessier parfaitement déployé. Celle-ci, imitant sa belle-mère, la main fermement posée sur les reins de son puni, pour l’empêcher de bouger, l’interroge d’un ton sévère:
    – «Alors comme ça Clodinet, on mérite aussi de bonnes fessées... comme son cousin?»
    – «Heu.... oui.... je suis puni!»
    – «Et alors Mad te donne des bonnes fessées sur ce gros derrière que tu me présentes?»
    – «Ooooh pour ça oui!!! En ce moment c’est une fessée le matin et une autre le soir... au moins!»
    – «Et bien, comme dirait belle-maman, c’est un bon rythme ça! Et pourquoi tu mérites autant de fessées? Serais tu arrogant, insolent avec ton épouse?»
    – «Oh non! jamais... d’abord je n’en ai pas envie... et je n’oserai pas!»
    – «Et alors, dis devant nous pourquoi tu mérites d’être de nouveau déculotté sur mes genoux pour recevoir encore une sévère fessée?»
    – «Ben, parce que je suis souvent désobéissant… je ne respecte pas les interdictions et je fais des choses en cachette que je ne devrais pas faire... Maîtresse me punit, me donne la fessée... mais je recommence... Elle a beau me punir, je lui désobéis... Je ne suis jamais assez raisonnable!»

    Mad du fond du canapé, est presque attendrie de la confession publique de son Clodinet qui continue sur sa lancée, sans toutefois préciser qu’il est tellement habitué aux fessées qu’il en a presque besoin . Mais au moins il n’aura plus rien à cacher.
    – «C’est vrai, je mérite des fessées... souvent… aussi sévères que Maîtresse décide... Elle peut les claquer aussi fort qu’elle veut, je le mérite toujours.»

    Julia, imperturbable, a un petit sourire vicieux en descendant son slip au milieu des cuisses pour dégager un maximum de surface à claquer.
    – «Et bien maintenant c’est moi qui vais te la donner la fessée! Et une bonne!»
    – «Oui, je sais... et Maîtresse, encore après, à la maison... Elle claque très fort... aussi avec le martinet.»

    Pendant ce temps, tantine a retroussé sa jupe et re-positionné Sacha qui retrouve naturellement sa position habituelle, à plat ventre sur les larges cuisses de maman, le ventre calé sur ses jarretelles, les jambes en l’air repliées pour présenter un derrière arrondi au maximum. C’est la position réglementaire pour une solide fessée. Le temps d’une déculottée, l’adulte de quarante cinq ans, est redevenu le petit garçon obéissant, soumis à l’autorité de sa mère. Preuve de sa soumission à sa punition, il lui demande même par dessus son épaule:
    – «Est-ce que je te les présente bien mes fesses, maman? Elles sont bien à ta main comme ça»?

    Elle sourit de son excès de docilité et, passant la main sous son ventre, le soulève un peu pour encore mieux lui faire ressortir le derrière. Il l’aide en le tendant au maximum. Elle en est positivement ravie.
    – «Il est encore mieux comme ça!» commente t-elle.

    Sans transition, elle commencé à lui flanquer sa troisième fessée de l’après midi. Implacable elle claque le gros postérieur rubicond à tour de bras. Comme si elle voulait aplatir les belles fesses rondes qu’il lui présente, au contraire, si rebondissantes, qu’elles semblent à chaque fois renvoyer les claques.

    Sacha crie à chaque aller et retour comme s’il était surpris.
    – «Ouah! ouah! houhou! ouah! Mamaaan, c’est ma troisième fesséééée, tu tapes fort encore!! Roaiiiie, ça fait mal…!»

    Maman s’en fiche comme de sa première paire de bas nylon. Insensible à la douleur qu’elle lui inflige et à ses supplicationq, elle lui administre sa fessée avec autant, sinon plus, de sévérité que d’habitude. Son fessier est déjà bien enflammé et sensible, et la main de sa mère plus ferme et plus claquante que celle de Julia...  Sacha ne peut pas encaisser longtemps la magistrale fessée en se retenant de pleurer! Une puissante série  de claquées bien appuyées sur chaque fesse suffisent à ce qu’il fonde en larmes, pleurant et sanglotant bruyamment sans retenue comme un gamin durement corrigé. Son imposant derrière rebondi à souhait, cramoisi au point d’en être  luisant , ballottait au rythme des claques que Gladys faisait retentir avec vigueur et sonorité. Le claquement retentissant de la fessée emplissait toute la maison et en sortait par la fenêtre grande ouverte!

    Cela d’autant plus que Clodinet, sévèrement fessé sur les genoux de Julia, s’y était mis aussi... Il présentait une belle paire de fesses de nouveau entièrement rouges qui progressivement, comme celles  de son cousin, prenait plutôt les couleurs d’un soleil couchant! Clodinet n’essayait pas de tricher ni en criant ou pleurant avant d’avoir mal ni en se retenant quand l’envie s’en faisait sentir  Les premières claques appliquées sur ses fesses par Julia lui avait certes fait sauter le derrière et des “houhou” ou “aaaïïeee!” les avaient ponctuées... Mais il était habitué à ce que ses rondeurs fessières supportent des claques plus vigoureuses... Lui qui finissait par pleurenicher assez rapidement quand c’était maîtresse ou tante Gladys  qui lui administrait une fessée, avait ressenti un peu plus lentement le besoin d’épancher ses larmes. Mais la fessée reçue le matin même, et les deux suivantes surtout la magistrale déculotté de tantine, avaient quand même rapidement eu raison de sa résistance. Dans une sorte de concert avec Sacha, lui aussi s’était mis à pleurer comme une sale gosse recevant la fessée, et ses plaintes bruyantes avaient  rejoints celles de son cousin comme dans un numéro de lamentations joué par des duettistes.

    Tous les deux présentaient des visages empourprés, inondés de larmes, la bouche ouverte bavant sur leur menton. Leurs yeux perdus, regardaient dans la grande glace du salon installée là pour ça, leurs imposants fessiers tressautant en cadence au rythme des claquées. Leurs  jambes se croisant et se décroisant en l’air à qui mieux mieux.
    – «Voilà une magistrale fessée qu’ils ne vont pas être prêt d’oublier», s’exclame tante Gladys, d’un air triomphant.
    – «Pas prêts, non plus, de s’asseoir pendant un bon bout de temps!» ajoute Julia en riant.

    Mad se plaît à suivre la double correction en pensant au retour à la maison avec son Clodinet…

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  • Commentaires

    1
    PeterPan
    Samedi 28 Janvier 2023 à 11:26

    bonjour Ramina, 

    Mais c'est Noël !!! Deux aventures de fessées : Cloclo et Max' au pays de Can... euh...des Fessées !!! Dans la même journée !!! (Faut qu'j'arrête mes jeu de mots foireux, sinon, les trois Furies vont me tomber sur le rable !!! Surtout  la grooosse Tata Gladys ("oui, oui, oui, c'est elle, Tata Gladys... celle qui fesse sur ses cuisses ! Horreur ! Malheur !"). Un vrai "Discours de la méthode" et austres considérations comme aurait dit un célèbre philosophe (parce que c'est la poule qui fit le zophe !). Ah les fessées inoubliables et bienfaisantes (?) de Maman, le fondement même, que dis-je, le socle de notre éducation (enfin pas trop fort quant on a les fesses fragiles). Elles sont terribles, ces femmes de notre vie. Elles se sentent toujours obligées de jouer "les mères fouettardes" avec nous ! Mais nous ne sommes plus des gamins, mille quenouilles !!! Et si on leur flanquait la danse des can... euh... des pétards !! " C'est la danse des pétards/ qui reçoivent chaque soir/ la claquée de nos mains / et font : Ouin! Ouin ! ". 

    Peter.

    2
    PeterPan
    Samedi 28 Janvier 2023 à 11:45

    Re-bonjour Ramina, 

    "Un horrible doute m'envahit !"  Se dit Peter, tout d'un coup." Tante Gladys sera t-elle de la fête chez Madame Beatrice, samedi prochain ?? Ich bin molto horrified, d'avance !!!  Madona ! " Mais Tante Gladys (de Tapefort) fera peut-être preuve , pour l'occasion, d'indulgence, bien que ce ne soit pas dans ses habitudes, vis-à-vis du jeune fils de sa novelle amie, la très discrète mais néanmoins stricte madame Louise ?? De toute façon, maman Louise tiendra en laisse son p'tit garnement de Peter. Et grande soeur Natacha, sera là aussi pour  rappeler à sa manière les consignes maternelles... Ca va chauffeeeer.

    Peter 

    3
    ramina
    Samedi 28 Janvier 2023 à 16:42

    Hello Peter ... 

    Ah ben oui, ben voilà !  Sûr,  ça devait arriver, on mélange tout ! Forcément avec un personnage comme Gladys, capable de claquer des paires de fesses dans deux histoires en même temps ... ça infuse de la confusion, ça baigne dans le qui pro qou, dans le mélange des pas pareil et l'impromptu de Versailles . Quand Clodinet et Maxime se rencontre et ben c'est pas possible. Galdys a beau être partou-ze, entendre tou-ze et voir tou-ze, c'est aussi improbable que de marcher sur l'eau sans ski nautique, transformer l'eau en Beaujolais nouveau , ou multiplier les pains dans la tronche. La seule chose qu'elle sait multiplier , c'est les fessées déculottées!   Et encore une fois , pour les nul en surcharge pondérale, tante Gladys n'est pas grosse... elle est plantureuse et même balèze... Ah c'est pas vrai ça , faudra le dire combien de fois, sans blague ! ...

    Oui madame ? Comment ça Madame... que c'est vilain de se mettre en colère ? Ah mais oui, mais non, je suis pas en colère, je suis furieux! Y z'arrêtent pas de dire que tante Gladys est grosse alors que c'est même pas vrai... elle est en pleines formes... avec un "S" !  Y m'énervent à la fin ! Quoi ? C'est pas bien se s'agacer les nerfs .. Ah bon... la fessée ?... sur vos genoux ?... Au secours tantine !!!... Euuh non, j'ai rien dit... elle est encore plus sévère !   Ramina

      • PeterPan
        Samedi 28 Janvier 2023 à 19:34

        Bonsoir Maitre Ramina, 

        J'approuve à juste titre votre très légitime colère !! En effet, Tante Gladys n'est pas grosse, encore moins en surcharge pondérale. Elle est délicieusement proportionnée. M'enfin ! Il serait plus élégant de déclarer : "Belle dame, votre gracieuse silhouette enchante tous mes sens !!!" (- Z'avez vu, le Peter ?! Toujours prêt à bouffer son bonnet pour se racheter une conduite ! ). Coupez. 

        Peter. 

    4
    clodinet
    Lundi 30 Janvier 2023 à 10:09

    "Si j'aurais su..j'aurais pas venu..." Cette formule pour tester les connaissances des spécialistes du 7 ème art qui nous épatent régulièrement sur ce site par leurs connaissances et leurs citations sur le cinéma: dans quel film cette réplique et par qui ?

    Mais aussi je la reprends à mon compte: si j'aurais su..." je serais pas venu chez cette Tantine qui s'acharne sur mon fessier au point que ....j'ai mal même virtuellement et que j'en rêve là nuit...et que je supplie ma Maîtresse adorée de me ramener à la maison...je lui promet que je ne fantasmerais plus jamais sur les grosses cuisses de ma tante ...ni sur aucune autre grosses femmes.....

    Clodinet

      • PeterPan
        Lundi 30 Janvier 2023 à 10:50

        Bonjour mon bon Clodinet, 

        J'espère que le week-end s'est passé dans une harmonie absolue...  Mais, chut, ne parlez pas de "Grooosse Tantine", mon bon ami. Il ne faudrait pas agacer cette  bienveillante Maitresse Mad. (oui, je flatte comme à mon habitude. Votre bonne Maitresse mérite notre reconnaissance). Eh bien , si mes souvenirs sont exacts, cette réplique est prononcée par le héros Petit Gibus dans "la Guerre des Boutons" (1960) avec Jean Richard (LeBrac) et Jacques Dufilho.  Version meilleure que celle de 2006. Mais bon... Mon confrère Ramina pourra le confirmer.  

        Peter.

         

      • PeterPan
        Lundi 30 Janvier 2023 à 10:55

        (A a-parté pour Clodinet : 

        Heu... je parle tout bas, au cas où... Je réfléchis à la manière d'inclure votre double dans mes saynètes. Si vous êtes toujours d'accord, bien sûr ? ) 

        Peter.

    5
    clodinet
    Lundi 30 Janvier 2023 à 12:12

    cher Peter...jerépond encore plus bas au creux de ton oreille gauche( celle qui entend mieux) oui bien sur je suis toujoirs d'accord pour tout . même pour ce que je ne sais pas !

    6
    Clodinette
    Lundi 30 Janvier 2023 à 13:32
    Et bravo pour les références de la citation de petit Gibus ! Je suis bien d'accord pour préférer cette version...c'est comme la version de la cage aux rossignol avec Noël Noël les remakes sont souvent décevant
      • PeterPan
        Lundi 30 Janvier 2023 à 14:42

        Re bonjour Clodinet,  avec Fernandel 

        Ah oui, c'est juste, Les versions re-mises en scène n'ont pas l'originalité, la primeur du premier film? Sauf quelques exceptions. Souvent américaines. Comme "Gladiator" et "les Gladiateurs" avec Victor Mature, entre autres. Ou encore le film "L'Auberge Rouge" de  1951 avec Fernandel et celle de 2006 avec Clavier et Balasko, pourtant acteurs talentueux. L'acteur Noël-Noël a joué dans le film "Les Vieux de la Vieille (Garde)" (1960) aux côtés de Pierre Fresnay ( cf Monsieur Vincent/ 1947 - La Grande Illusion- 1937) et Gabin. "Attendez-moi, les vieux gars !" -Réplique du film tourné dans le 85. Bon film. Peter. 

      • PeterPan
        Lundi 30 Janvier 2023 à 14:50

        Rebonjour Clodint, 

        Je dois ma passion du "vrai " cinéma  à mes parents, datant d'une époque où la TV était absente des foyers. D'où bien sûr, mes références dans mes commentaires qui, encore une fois, n'agacent pas notre petit cercle...  Merci d'avance. Peter.

    7
    ramina
    Lundi 30 Janvier 2023 à 15:38

    Amis conspirateurs, flatteurs et comploteurs... aspirateur, motte de beurre ... euuh, sory, je m'égare!

    Et bien n'en voilà des conciliabules, des confidences sur l'oreille (r) gauche... Peter l'instigateur des mystères et boule de gomme partout ... Chuuuut, parlons bas monseigneur , il y a toujours un traître pour vous trahir d'une traîtresse trahison ... caché derrière un pilier, une colonne , une porte volée ... euh non, dérobée ... une tenture masquant une escalier secret avec plein de marches qui montent et qui descendent. Après on a inventé les ascenseurs qui font pareil mais en moins fatigant.  Un traître c'est toujours caché derrière quelque chose , sinon c'est pas un vrai traître ... c'est un faux traître ... un faux jeton quoi !

    Bon Oui, "la Guerre des Boutons" , (à l'époque où la fermeture éclair n'existait pas encore ) de Yves Robert . L 'original en noir et Blanc sorti en 1962, un petit chef d’œuvre de drôlerie poétique , reflet nostalgique d'un monde rural d'après guerre. Des gamins en culotte courte à bretelles  (Peter était figurant dans le rôle des bretelles ! ) entretiennent une rivalité folklorique de villages en s'affrontant à la sortie de l'école . Les vainqueurs coupent les boutons de culotte des vaincus.  Et ça sent l'école publique de campagne, la blouse grise et les taches d'encre sur les doigts, ...  

    S'il l'aurait su, Clodinet l'aurait pas venu chez sa tante ... Mais l'aurait peut être pas goûté au plaisir sulfureux de la fessée, ..hé, hé ! Mais attendons le dernier épisode des cuisantes aventures de son derrière chez tante Gladys ... SI ça se trouve notre bon Clodinet pourrait y trouver une porte de sortie ... de secours!  Ramina

      • PeterPan
        Lundi 30 Janvier 2023 à 18:37

        Hello amigooo Raminaaaaa,

        Ich bin very honteux : je me suis gouré sur la date !!! Aieu ! Bon, je ferais dix fois le tour du pâté de maison  en patins à roulettes. Yves Robert faisait partie de la joyeuse équipe des Branquignols avec Brosset, Dhéry ( Les Frères Castagnieeer) Legras et alt. " Bas les masques ! Tu es démasqué ! Tu pensais cacher  ta face de traitre dans les plis de ton manteau ! A présent, rends nous ton épée ! - Jamais ! Viens la prendre toi-même ! Espèce de faux-jeton ! Messieurs, en garde ! "Lagardère est mort ! Vive le Bossu !" Coupez !   

        Peter.

      • clodinet
        Lundi 30 Janvier 2023 à 19:05

        Non seulement le gros chat, manipulateur malicieux, de La tantine et de sa fille, n'a aucune pitié pour mes fesses virtuelles et les cauchemars que provoquent chez moi ses récits et leurs lectures sous la férule de ma Maîtresse , mais je le soupçonne de concocter un final encore plus frappant pour mon pauvre postérieur et celui de mon cousin....aussi je demande secour  à Peter, qui a une réelle influence sur les actes de Ramina, de bien vouloir intervenir auprès de lui pour

        qu'il atténue la force des fessées qu'il en visage de leur faire distribuer au cours de ce dernier épisode … sinon je risque de me sauver !

        Clodinet

      • PeterPan
        Lundi 30 Janvier 2023 à 19:20

        Bonsoir Clodinet, 

        Je comprends tout à fait votre détresse. Malgré une certaine complicité  entre auteurs, mon influence reste malgré tout limitée. Mais connaissant la franchise de Ramina, il proposera peut-être un "happy end" qui satisfera tous les partis . Je me dévouerai éventuellement pour prendre les claques de Tante Gladys à votre place (depuis le temps que la grooosse Tata Gladys rêve de me claquer le baigneur sur ses jambes enjarretelées !)  mais, je ne risque pas de tenir plus de deux minutes.  Ou bien  reste alors la solution du "J'coupe la poire en deux" : un qui crie en coulisse et l'autre qui pleure. 

        Peter.

    8
    Mad
    Lundi 30 Janvier 2023 à 19:20

    je surprends à l'instant mon galopin et le message qu'il vient d'écrire en demandant à son complice, l'autre galopin en culotte courte à bretelles, d'intervenir après de Tante Gladys ( alias Ramina) pour qu'elle attenue la force de ses fessées dans le dernier épisode ... non seulement il ne faut pas l'écouter, mais je tiens à ce que mon clodinet subisse jusqu'au bout et aussi fortement les fessées prévues pour que cela lui serve de leçon et qu'il cesse de fantasmer sur d'autres cuisses que les miennes !

      • PeterPan
        Lundi 30 Janvier 2023 à 19:40

        Bonsoir.... Mai... Maitresse Mad....

        Damned, je suis demasked ! Je... je me jettes à vos pieds en implorant votre légendaire  indulgence ! Ô divine et impérieuse souveraine ! Une maitresse est toujours magnanime ! Un peu comme une reine qui sait reconnaitre ses loyaux  garnements en bermudas à bretelles en tissu des autres (J'en avale ma salive de travers. Mazette ! qu'est ce que je vais prendre sur le derche si ma bonne maman Louise apprenait ma baffe.... euh.... ma gaffe... comme Gaston !) Ca va être la "danse des  pétards ! ".  Mea maxima culpa ! 

        Peter.

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    9
    Mad
    Lundi 30 Janvier 2023 à 19:29
    j'ajouterais, puisque l'autre galopin semble ètre en manque de "fessées sur des cuisses jarretellées",  que le créateur de Gladys et compagnie, devrait acceder à ses delires et fantasmes, et l'introduire dans le casting de ses récits dans la catégorie des receveurs de fessées et autres punitions! sinon dans le dernier épisode qui est  peut ètre déja bien avancé, mais dans de futurs récits à venir ... j'espère !
    Mad
    10
    ramina
    Mardi 31 Janvier 2023 à 00:06

    Bonsoir les fantasmeurs du soir .

     Ce que c'est que l'intuition féminine , ou presque !! Comme le prévisionne Mad, la divine Maîtresse, Pythie prophétesse, gare à tes fesses, celles de Peter le trublion, à force de facéties et autres provocations, ne sont  pas à l'abri d'un embrasement du croupion! Voir le chapitre 33 de "Fesses rouges et Tabliers blancs" bientôt sur votre écran...Bonbons caramels,  esquimaux, chocolats glacés, chantait l'ouvreuse, en agitant son panier d'osier sous son opulente poitrine ...La même dont on suivait les hauts talon dans le rayon de sa lampe de poche, qui nous guidait vers notre place, dans la pénombre de la salle obscure du cinéma de quartier. C'est là qu'on avait rit devant " La guerre des boutons"  Ramina  ...

      • PeterPan
        Mardi 31 Janvier 2023 à 08:42

        Hello maitre Ramina, 

        Que vous êtes Prolix', (in : "Astérix: le devin"/1972) par Toutatix ! En effet, ces dames ont le don de clairvoyance... (comme l'avait aussi ma maman, qui s'en angoissait parfois). C'est sur cette note "optimiste" que se concluait votre récit précédent. (Mazette ! qu'est ce que je vais recevoir avec la grooooosse "Tata" Béatrice, en travers de ses groooosses cuisses ! Enfin, j'espère que cette  magnanime commerçante ne sera pas trop sévère avec mes fesses toutes maig' ??? Sinon, pourrais plus m'asseoir !). Merci pour cet instant de rêve. On s'y croirait.Et cette belle dame avait une opulente poitrine ??? Mieux que le film à l'écran !!! (rires) Mon plus ancien souvenir de cinéma, c'est le film en 2 parties : "les Misérables" de Le Channois, réalisé en 1957 (?) et que j'ai vu, gamin (vers 6-7 ans). Bele époque.

        Peter.



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