• A la recherche d’un emploi de femme de ménage

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    et à peine arrangé…


     

    A la recherche d’un emploi de femme de ménage

     

    Je suis depuis toujours un homme soumis fétichiste des blouses et tabliers de femme en nylon. J’adore voir les femmes les porter, mais aussi les revêtir. Il y a quelque chose de très érotique et d’envoutant dans cette matière qui à mes yeux transforme une simple ménagère en déesse que l’on vénère. Aussi, c’est naturellement que j’éprouve un grand intérêt pour faire les tâches ménagères: ménage, cuisine, repassage… Porter une blouse de femme en nylon est une féminisation qui est l’expression d’une domination féminine à laquelle on se soumet.

    Aussi, j’ai toujours été attiré par les femmes de ménage. Devoir porter une blouse, être au service d’autrui, devoir faire des taches ingrates… Mon rêve le plus fou? Etre forcé à devenir femme de ménage au service d’une femme.

    Un jour il m’est venu une idée folle: passer une annonce en me faisant passer pour une femme de ménage. Il est temps pour moi de vivre ma première expérience de soumission en blouse de nylon. Pour gagner la confiance de mes futures patronnes et prouver ma volonté de soumis j’ai proposé un premier ménage gratuit. Et cerise sur la gâteau, j’ai utilisé un prénom mixte pour me faire passer pour une femme.

    J'ai eu, après plusieurs essais, une proposition d'une certaine Madame Marina.

    J'arrive chez elle. Je porte une  blouse typique de femme de ménage en nylon bleu ciel à manches longues et boutonnage latéral. J’emporte aussi dans un sac différents tabliers, des tabliers de service, et d'autres à mettre pour les tâches les plus salissantes. Sur ma blouse, un long imperméable cache le tout.

    J’arrive chez Madame Marina, et en parcourant les derniers mètres qui mènent au perron le doute s’installe en moi. Pourquoi est-ce que je prends du temps pour venir gratuitement faire la domestique dans une tenue ridicule chez une inconnue? Il n’est encore pas trop tard pour rebrousser chemin. Mais rapidement je ressens cette force qui m’attire vers la porte. Je réalise alors que toute résistance est futile et que ma seule issue est de me soumettre à celle qui se trouve derrière cette porte. C’est là mon destin, d’homme soumis fétichiste, être une femme de ménage soumise.

    Une bouffée de plaisir me fait tourner la tête. Je sonne. Mon coeur bat très fort d’excitation. Une silhouette se dessine derrière la porte vitrée qui s’ouvre. Il m’apparait alors une superbe femme, brune les cheveux tirés en arrière, vêtue d’une très jolie robe noire à la jupe légèrement évasée. Elle me dévisage et je lis dans son regard l’étonnement de trouver non pas une vraie femme mais un homme en tenue de femme. Je me présente respectueusement en expliquant que je suis bien la personne qui vient faire son ménage. Ce petit malentendu dissipé, elle m’invite à rentrer. Je m’exécute. Sans plus attendre Madame Marina souhaite faire le tour des tâches à effectuer.

    Nous commençons le tour des pièces et des tâches à effectuer. “Bien Madame” lui dis-je à chacun de ses ordres en signe de respect, les mains croisées dans le dos et la tête baissée. Je ne manque pas d’exprimer explicitement ma soumission à cette jeune et jolie inconnue. Aspirateur, vaisselle, salle de bain… Ma Maîtresse est une femme exigeante et a largement prévu de quoi occuper sa femme de ménage. Elle se montre intransigeante sur ce qu’elle attend de moi. Déjà je sens l’emprise de cette femme sur ma personne, ce magnétisme qui fait que je ne peux qu’obéir devant sa beauté et son autorité.
    - «J’espère que vous ne me décevrez pas » me lance-t-elle. «J’ai eu plusieurs femmes de ménage avant vous et cela n’a pas fonctionné.»
    Madame Marina est une femme très exigeante, et j’ai intérêt d’être à la hauteur.
    -«Madame», lui dis-je respectueusement les mains croisées dans le dos, la tête basse et le regard juste relevé comme une domestique qui parle à sa Maîtresse, «je ferai tout ce que vous me demanderez  afin de vous donner entière satisfaction.»

    Peu à peu je sens ma volonté d’homme libre m’abandonner pour me soumettre à cette autorité féminine suprême. Cela génère en moi un plaisir enivrant. En signe de soumission et de féminisation, j’enfile mon tablier chasuble jaune par dessus ma blouse bleu ciel. Je le serre bien, car j’aime me sentir ligoté dans des vêtements de nylon. Cela a aussi pour effet de faire ressortir les bonnets de mon soutien gorge, en me dessinant une poitrine plus féminine. J’appuie mon action:
    - «Voila Madame, j’ai passé mon tablier, je suis prêt à vous servir».
    Elle esquisse un sourire. J’ai vraiment envie de faire une pas de plus vers ma soumission. Je lui dis:
    - «Madame, je serais ravie que vous puissiez me tutoyer, c’est de coutume entre une femme de ménage et sa patronne.»
    Elle me répond:

    - «Très bien, vous savez quoi faire, au travail!»

    Je commence par passer l’aspirateur. Chaque mouvement provoque un crissement de mon tablier sur ma blouse, ce qui me conforte dans l’idée que je suis prisonnier de mon destin de femme de ménage. Naturellement, cela provoque un intense plaisir. Ma jeune et jolie patronne n’est pas bien loin et garde un oeil sur moi. Je ne peux la décevoir. Il faut ensuite faire les poussières. Plumeau, chiffons, dépoussiérant… Madame Marina m’a bien équipée et la poche de mon tablier est pratique pour y ranger mon matériel. Voila à peine quelques heures que j’ai commencé mon nouveau métier et j’ai déjà les réflexes d’une femme d’expérience. Il faut croire que cette profession m’était destinée…

    Je passe ensuite à la salle de bain. Nettoyer la baignoire n’est pas une mince affaire. En nettoyant la baignoire je réalise que ce métier de femme de ménage m’ouvre les portes de l’intimité de cette belle Maitresse, me tenant là ou tous les jours elle se tient nue. Le rinçage projette beaucoup d’eau sur mon tablier et ma blouse qui finissent par être mouillés et me collent à la peau en dévoilant mes dessous féminins.

    En rangeant la salle de bains, je remarque une boite de tampons. La tentation est trop forte, et j’en prends un dans ma poche. J’ai toujours adoré avoir avec moi des produits d’hygiène féminine car cela me renforce dans ma féminisation. Mais ce tampon ne vas pas rester bien longtemps dans la poche de mon tablier en nylon. Je demande à Madame Marina si je peux me permettre d’aller aux toilettes, ce à quoi elle m’autorise. Je m’assois, relève ma blouse et baisse ma culotte, afin d’uriner comme une femme. Puis je me relève et me cambre pour m’introduire le tampon de Mademoiselle dans mon petit orifice. Hmmm, quel plaisir de se sentir femme. Je ressors des toilettes en femme de ménage "tamponisée".

    Madame m’a aussi ordonné de vider le panier de linge sale pour lancer une lessive. En m’exécutant, je trouve à mon grand plaisir sa lingerie souillée parmi les autres vêtements: strings, soutien-gorge, bodys, collants… Je prends l’un de ses petits string en tulle transparente et je ne peux résister à la tentation de le porter sur mes lèvres. Quel délicieux parfum… J’ai envie de prolonger ce moment. Gardant son string dans ma main je reviens vers Madame Marina en lui demandant si elle ne préfère pas que je lave à la main ses délicats dessous.

    Elle ne semble d’abord pas adhérer à l’idée en prétextant que je n’aurais pas le temps de tout faire. Je m’empresse de la rassurer car que je serai ravi d’y consacrer le temps nécessaire en restant plus longtemps, toujours gratuitement. Pour appuyer mon propos, je ramène son string devant mon visage en prétextant qu’un si joli dessous mérite un soin particulier pour rester toujours agréable à porter.
    - «Et bien soit, si tu veux y consacrer plus de temps.»

    Me voila ainsi officiellement laveuse des petites culottes de Madame, ce qui m’excite terriblement. Je n’ai qu’une envie: qu’elle me voit prendre plaisir à lui laver ses dessous. Je remplis l’évier de la cuisine d’eau tiède et de lessive et je pose ses dessous sur le plan de travail. Lentement, j’en fais l’inspection, un à un.. String en tulle brodée transparent, petite culotte brésilienne en microfibre noire et dentelle blanche, body en polyamide blanc…

    Madame Marina a du goût pour les dessous sexy. Il y a encore quelques heures, je ne connaissais pas cette belle et jeune inconnue, et me voila désormais à son service en train de lui laver à la main ses petites culottes souillées. J’ai réussi à rentrer dans son intimité. Cela m’excite terriblement. Peut-être trop.

    Madame Marina me dévisage du regard, ayant remarqué qu’il se passait quelque chose. Je me décide à franchir encore un pas en lui demandant si certains dessous, comme ses strings, on été d’avantage souillés lors de ses règles. Le plus naturellement elle me répond que oui, il y a probablement un ou deux strings, et qu’il faut que je vérifie. Ce que je m’empresse de faire très consciencieusement. Je réalise un double contrôle: visuel et olfactif, en portant chaque petite culotte et string prêt de mon visage.

    Quel plaisir de m’imprégner ainsi du doux parfum de Madame Marina. Je nettoie avec la plus grande attention, et la plus grosse érection, sa lingerie. Soudainement je sens le bout de mon sexe gonflé par le plaisir sortir du haut de ma petite culotte. Mon gland est en contact avec le nylon de ma blouse, ce qui ne manque pas de faire une bosse sous mon tablier. L’occasion est trop belle. A chaque mouvement de lavage je comprime mon sexe sur le bord de l’évier, ce qui provoque un frottement du gland sur ma blouse. Je suis terriblement excité, à tel point que je porte l’un des strings de Madame Marina sur mes lèvres, laissant ma langue se régaler d’un pré-lavage. Cela combiné à la caresse du nylon sur mon sexe, je me sens dans un état de plaisir rarement atteint.

    Après le lavage, pendant que les dessous sèchent, je continue le ménage. Puis il est temps de demander à Madame Marina de faire son inspection. Ai-je été à la hauteur des exigences de Madame Marina et réussi mon examen de femme de ménage? C’est le moment de vérité. Je veux lui prouver que dans tous les cas, j’abandonne à ses pieds ma condition d’homme libre pour me consacrer entièrement à sa volonté.
    - «Madame, n’hésitez pas à me corriger si la moindre chose vous déplait» lui dis-je avec assurance, certain de la qualité de mon travail.

    L’inspection commence bien, et Madame Marina semble satisfaite. Je la suis comme sa soubrette, les bras croisés dans le dos, au garde à vous dès qu’elle s’adresse à moi.
    - «C’est bien ici!»
    - «Merci, Madame!»
    Mais lors de l’inspection du salon, elle remarque de la poussière sur une étagère en passant son doigt. Elle me regarde sévèrement:
    - «Ce n’est pas terrible ici!»

    Je réalise alors que j’ai complètement oublié de nettoyer cette étagère. Je suis confus, humilié. Moi qui pensait pouvoir me prétendre femme de ménage, j’ai encore du chemin à faire. Et je suis prêt à en subir les conséquences.
    - «Je vous présente toutes mes excuses, Madame. Aussi, je vais tout de suite reprendre cette étagère. Je vous demande pardon et accepte d’être réprimandé pour cela.»
    Ainsi, je viens de lui tendre une perche, espérant alors une punition corporelle. Mais elle me répond simplement:
    - «Ça va pour cette fois, mais que cela ne se reproduise plus!»
    Je baisse la tête et lui répondant avec la plus grande humilité:
    - «Bien, Madame!»

    Heureusement, ou malheureusement pour moi, Madame Marina se montre satisfaite du reste de mon travail. Pas de correction aujourd’hui pour moi.

    Madame Marina doit maintenant cuisiner. Après plus de 3 heures de ménage, je pensais en avoir fini avec le nettoyage. Tout naturellement, je lui demande:
    - «Madame, que puis-je faire pour vous servir maintenant, peut être de la cuisine?»

    Je m’imaginais déjà à ses ordres dans la cuisine, elle portant ce joli petit tablier rose qui est accroché à coté du frigo, moi dans ma blouse et mon tablier en nylon. Mais non. Elle me tend une bassine de linge propre.
    - «Non, tu vas me faire du repassage pendant que je cuisine!»

    Voilà qui me remet à ma place: celle d’une domestique au service de sa Maîtresse. Il ne me reste plus qu’à obéir. J’installe ma table à repasser dans la cuisine afin de rester près d’elle, ce qui nous donne l’occasion de discuter. Elle enfile son petit tablier rose. Elle est sublime dans cette tenue avec sa petite robe noire. J’ai envie de m’agenouiller devant elle.

    Madame Marina m’explique que la cuisine est son petit plaisir. J’en profite pour lui vanter mes talents en la matière. Ce à quoi elle me répond:
    - «Très bien, si c’est ce que tu veux!»

    Madame Marina interrompt son travail pour se préparer un thé. Je m’empresse de l’interrompre.
    - «Madame, permettez-moi de faire votre thé, c’est pour moi un plaisir de vous servir!»

    Et me voila officiellement sa bonne à tout faire. Elle en profite pour en savoir un peu plus sur moi. Je lui explique que j’ai choisi ce métier par vocation, car j’ai toujours aimé servir les femmes. Elle me sourit en retour. Aurait-elle une expérience en la matière? Je saute aussi sur l’occasion pour lui demander ce qu’elle pense de ma tenue, explicitement féminine. En tant que soumis fétichiste, J’ai toujours ressenti un immense plaisir à être exhibé en blouse de nylon féminine devant des femmes, comme si c’était pour moi un moyen de réfuter ma virilité en leur avouant mon désir de féminisation et soumission.
    - «Puis-je me permettre de vous demander ce que vous pensez de ma tenue, Madame? J’attache une grande importance à mon apparence et hygiène, d’ou le port d’une blouse et d’un tablier en nylon, très pratique pour le ménage.»

    J’ai volontairement enfoncé le clou en espérant une réponse humiliante dans laquelle elle m’avouera me trouver ridicule dans cet accoutrement de ménagère d’un autre temps. Mais à mon grand étonnement elle me rétorque:
    - «Je trouve que cela fait très professionnel.»

    Je suis sous le choc et le charme. Madame Marina vient d’accepter ma tenue pourtant si féminine. Je pousse alors encore plus loin le questionnement afin de mettre en évidence mon gout pour la féminisation.
    -Mais vous ne trouvez pas que c’est un peu trop féminin? Mon coté féminisé ne vous dérange pas?»
    Elle me répond alors:
    - «Pas du tout, je trouve même que cela te va bien!»

    J’ai du mal à contenir mon émotion, et je ressens alors ma petite culotte se gonfler à nouveau de plaisir. Me voila femme parmi les femmes. J’ajoute alors:
    - «Merci Madame pour votre grandeur d’esprit!»
    Ce à quoi elle me répond simplement par un petit sourire coquin. Je renchéris:
    - «C’est un honneur et un plaisir pour moi de vous servir comme femme de ménage, Madame.»
    Elle me reprend:
    -«Tu peux dire homme de ménage!»
    Je me permets de lui répondre:
    - «Sauf votre respect, Madame, j’aime être appelé femme de ménage. Il s’agit pour moi d’une question de respect et d’équité. Pourquoi le masculin devrait il toujours l’emporter? De très nombreuses femmes ont fait ce métier avant moi et c’est leur rendre respect et hommage que de garder le nom de femme de ménage. C’est aussi ce qui justifie ma féminisation, Madame. Et puis on dit bien aussi Sage-Femme et pas Sage-Homme, n’est ce pas Madame?»

    A l’écoute de mon "coming out" de féminisé, Madame Marina finit par adhérer à mon point de vue.
    - «C’est vrai, tu as raison!»

    Me voila donc officiellement, femme de ménage de Madame Marina. Je suis alors sur un petit nuage, je me sens alors femme, et si bien avec cette femme qui d’ici peu de temps deviendra peut-être ma Maîtresse… Qui sait?

     

    Fin

    « Baise en tablier rouge

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