• Fesses rouges et tabliers blancs, saison 2, épisode 11

     Un texte et des dessins de Ramina, que je remercie


     Chapitre 11: L'essayer c'est l'adopter!

     

    Astrid Delaniaires connaît bien son affaire et prend les choses en main. Elle ordonne à Robin d'un ton sans réplique:
    – «Allez, mon garçon amène tes fesses par ici toi et déculotte toi entièrement! Ton slip enfoncé dans le derrière ne te sert pas à grand chose! Et puis quand on a une belle paire de fesses aussi rouges, on se doit de bien les montrer!»

    Gladys approuve, et le propulse vers Madame Delaniaires d'une magistrale paires de claques (une de plus) sur les fesses qui les fait retentir dans tout le magasin en faisant un bruit éclatant. Robin ne discute pas, ce n'est pas le moment. Sans traîner, il se déculotte entièrement, non sans mal pour extraire les élastiques de son slip coincé entre ses fesses serrées de trouille. Libérées de l'étreinte du nylon elles semblent s'épanouir en développant leur opulentes rondeurs, prête à rebondir sous les cinglées d'une nouvelle fessée. Pourtant habituée à voir défiler dans son magasin d'imposantes paire de fesses de messieurs indisciplinés en attente de leur martinet, Madame Delaniaires se régale du spectacle et insiste avec un sourire pervers pour l'humilier davantage.
    – «Avec moi, on garde son slip bien tendu en haut des cuisses, pour ressentir à chaque instant la honte de recevoir sa fessée, déculotté, du début jusqu'à la fin!»

    Sous l'oeil approbateur de sa mère,  Robin descend docilement son slip, juste sous ses fesses, en poussant un petit soupir plaintif. Astrid en ronronne de plaisir.
    – «Que voilà une belle paire bien rouge, de garçon désobéissant qui a déjà reçu une belle déculottée. Je vois que maman à la main ferme. Elle fesse dur et souvent, c'est ce qu'il faut, un derrière pareil c'est fait pour les fessées à répétition!»

    Gladys tout sourire confirme.
    – «Tout a fait, il vient d’en recevoir une bonne à la maison, plusieurs même, mais maintenant, il lui faut un bon martinet pour que sa fessée soit efficace.»

    Madame Delaniaires  est du même avis. Ça tombe bien, des martinets, elle en vend. A voir la sévérité de Gladys, la fréquence des corrections qu'elle administre et l'endurance des derrières quelle corrige, elle se réjouit déjà de sa future consommation d'instruments de discipline et notamment, de martinets.
    – «Vous avez raison, à cet âge à force de se prendre de bonnes raclées, ils finissent par avoir des derrières très résistants. C'est fessée à la main et fessée au martinet qu'il leur faut... les deux... à chaque fois... La main ET le martinet.» Elle rit: «Pour les maris aussi, d'ailleurs... il faut les deux.»

    Gladys soupire pensivement avec un petit sourire plein de sous-entendus. Elle pense aux grosses fesses fermes d'Edouard dont elle a prévu de s'occuper en rentrant. Il a oublié de mettre le bol de son petit déjeuner au lave-vaisselle ce matin, avant de partir au bureau. Ça ne pardonne pas, elle lui a envoyé un SMS pour le prévenir de préparer ses fesses en rentrant.
    – «Oooh que oui... fessées main / martinet, et très souvent même!...»

    Puis elle se concentre à nouveau sur celles de son garçon.
    -- «Si vous voulez, je vais vous le tenir sous mon bras pour que vous puissiez prendre les mesures de ses fesses et ce qu’il faut comme longueur de lanières quand il est en position fessée.»
    – «Oui, ça sera plus facile. Surtout qu'elles sont déjà bien volumineuses en position normale. Je me doute qu'elles doivent prendre encore d'avantage d'ampleur quand elles sont tendues.»

    Robin, n'a d'autre choix que de se laisser faire et de se soumettre à la volonté des deux fortes femmes qui le manipulent comme elles l'entendent.

    Sa mère a posé son talon aiguille sur le tabouret, au milieu de la boutique et Il se retrouve plié en deux sur sa cuisse, levée à l'horizontale. Elle le tient, le buste coincé sous son bras, le derrière en l’air, déculotté, bien tendu dans une des positions qu'elle lui fait prendre pour lui flanquer ses fessées. Elle commande:
    – «Présente bien tes fesses à Madame Delaniaires... Mieux que ça! Allez!»

    La tête tournée vers la vitrine, son postérieur largement déployé, orienté vers le comptoir, Robin aperçoit par dessus son épaule, la jeune femme qui regarde le croustillant spectacle les yeux pétillant d'intérêt.

    Il sent la fraîcheur d’un centimètre de couturière, lui entourer les fesses d’une hanche à l’autre, du haut des cuisses à la ceinture, passer dans la raie, qu’une main ferme écarte sans ménagement, pour mesurer à nouveau du dessous d’une fesse à la hanche opposée. Le contact du ruban froid sur son derrière brûlant lui fait du bien. Mais il est brutalement remis debout et prié d’aller s’agenouiller sur une chaise basse du même genre que leur “chaise à fessées” à la maison. Il obéit sans rechigner, il n'a pas intérêt. Le pantalon aux chevilles, la ceinture traînant au sol, le slip tendu à craquer entre les cuisses, il va y exposer son volumineux postérieur d'une démarche chaotique.

    Madame Delaniaires, après un court moment de réflexion, fait son diagnostic.
    -- «Bon, je pense que des lanières de quarante centimètres conviendraient au format de son derrière. Cela lui enveloppera bien tout le fessier sans déborder sur les côtés. Il vaut mieux que leur extrémité arrive bien pleine fesses, pour claquer bien comme il faut et que le reste des lanières cingle efficacement toute la surface. Et, bonne nouvelle, ses fesses n’auront pas besoin d’attendre, parce que j’en ai justement de cette longueur.»

    Robin blêmit. Gladys acquiesce avec un sourire.
    – «Ah très bien, pour le reste, je vous fais entièrement confiance!» 

    La femme de l'artisan du cuir connaît bien ses articles et explique en détail les différences de modèles de martinets par rapport à leur utilisation.
    – «Il faut choisir, si vous voulez des lanières rondes ou carrées. Avec des lanières carrées cela marque plus vite et cela risque même d'abîmer un peu la peau, bien qu’un garçon ça a la peau plus dure que les filles... Mais avec des lanières rondes ou plates, vous pouvez faire durer les fessées plus longtemps tout en gardant le derrière en état pour en administrer une autre aussitôt après si c’est nécessaire... C’est d'ailleurs le modèle que je vous conseille.»

    Gladys, enchantée, écoute avec attention. La maison Delaniaires est à la hauteur de sa réputation de sérieux et de compétence. La patronne poursuit ses recommandations pour que l'article qu'elle propose soit parfaitement adapté à son usage.
    – «Il faut choisir le manche aussi! Moi je vous le conseille ni trop long, pour pouvoir vous en servir quand  vous mettez le puni à plat ventre sur vos genoux, ni trop court, pour que les coups de lanières aient assez de force… Et puis il faut qu’il soit assez gros pour bien tenir en main. Moi, à votre place, j’en prendrai un bien épais comme celui-ci. De plus, il est fabriqué avec un gros manche cannelé, que vous pourrez lui mettre dans le derrière pendant une fessée à la main. Bien enfoncé, vous ne risquerez pas de le voir ressortir et de devoir interrompre sa fessée pour le remettre en place. Une solide fessée déculottée à la main, avec un manche de martinet comme celui là planté dans le derrière, je vous garanti que ça fait réfléchir. Ça donne sûrement pas envie d'y retourner!»

    Madame Delaniaires est décidément une personne de ressource qui laisse Gladys songeuse. Bien sûr, elle a déjà flanqué des fessées avec le manche de son martinet coincé entre les fesses du puni, mais pas encore carrément enfoncé dans le derrière. Elle trouve la suggestion aussi amusante qu'excitante. Il faudra qu'elle mette cette méthode en pratique. Pour le moment, elle hésite encore sur le choix du martinet.
    – «Puisque vous dites que vous en avez de prêts, vous pouvez m’en passer un pour que je l’essaie?»
    – «Mais bien sûr chère Madame... Lanières rondes ou carrées?»
    – «Je vais suivre votre conseil: lanières rondes. J'estime qu'une bonne fessée doit toujours être très longue... Il faut qu’elle dure un bon moment pour être efficace au maximum. Mais j’essaierai peut-être après avec les lanières carrées, pour voir la différence.»

    Robin sent des gouttes de sueur dégouliner lentement entre ses fesses, moites de transpiration. Au train où vont les choses, elles ne vont certainement pas mettre longtemps à sécher. 

    La maîtresses des lieux tend un martinet à sa mère:
    – «Vous avez raison... moi c’est ce que j’utilise pour les fessées à Géraldine, la demoiselle qui est au comptoir à côté... En fait, j'ai accepté de la prendre pour m'aider au magasin parce que c’est ma nièce, mais je ne vous raconte pas comment elle m’en fait voir l'insolente! Alors les fessées ici c’est pas ce qui manque, ça claque sec! En plus elle aime ça la petite vicieuse. Du coup, je ne m'en prive pas; je m'en régale même! Elle ne marche qu'à la fessée et n'est jamais aussi efficace au travail  que les fesses rouges et cuisantes.»

    Gladys croyait quelle était une simple employée mais peu lui importe. Elle saisit Robin par les cheveux, le fait  descendre de la chaise à fessée et sans ménagement, le met en position, la tête coincée entre ses cuisses qu'elle resserre comme un étau autour de son cou. Le revers de ses bas nylon et ses boucles de jarretelles frottent douloureusement sur ses joues.
     – «Tends tes fesses bien en l'air Robin!... Montre à Madame Delaniaires comment tu prends bien tes fessées!»

    Il s'exécute en geignant et Gladys, de bon cœur, commence aussitôt à essayer le martinet sur son derrière déjà en feu... Pour un galop d'essai la fessée est sévère. Chaque cinglée lui incendie de nouveau les fesses et il se remet à pleurer à chaudes larmes sans se soucier d’être entendu. Sa mère a l'air satisfaite du résultat.
    – «Oui, il a l’air bien celui là! Je l'ai bien en main et les lanières se répartissent parfaitement  sur la totalité de son fessier... Et toi Robin, qu’est ce que tu en dis? Tu le sens comment sur tes fesses?»
    – «Roaiiiiee!! Tu tapes fort Maman!.. Il cingle dur celui là... ça fait mal! Les fessées vont être sévères... ooh maman  !!!»
    – «Bien sûr qu'elles vont être sévères, comme toutes tes fessées! La question n'est pas là, je t'ai demandé comment tu le sentais sur tes fesses ce martinet. Tu ne réponds qu'à moitié. Est-ce qu'il fesse bien?»

    – «Ooooh oui, maman il fesse bien, Aïïïe, ouiiiille!!! Par... parce que tu tapes fort!!! Ah la, la fesséééée, oui, ça claque, ça cingle!!!»
    – «C'est bien! C'est ce que je j'attends d'un bon martinet! Et là les lanières, elles rentrent bien dans la raie, tu les sens claquer les lanières entre tes fesses! Ça cuit j'espère, hein? Elle est bonne la fessée! Dis qu'elle est bonne la fessée pour que je l'achète ce martinet.»
    – «Raaaaiiie, oui... non... oui...  elle est booooonne!!!  Mais... pitié maman, paaas dans la raiiie, ouille... s'il te plaîîîît, ça fait trop maaaal!»

    Le malheureux, en larmes, se tortille comme un ver entre les cuisses de sa mère, sans pouvoir soustraire son derrière écarlate à ses cuisantes cinglées. Ses joues soumises au frottement continu des bas nylon sont de la même couleur. Implacable, Gladys décide de prolonger la séance d'essai.
    – «Je vais quand même essayer avec les lanières carrées! Ce n'est pas fini Robin. Ne te relâche pas. Continue de bien présenter tes fesses!»

    Astrid lui en tend un autre et  commente:
    – «En tout cas , vous voyez c’est la bonne longueur pour le fesser comme il faut: vous ne perdrez pas de temps, toutes les lanières lui couvrent bien la totalité des fesses, c’est ce qu’il faut: à chaque coup tout le derrière est cinglé!» 

    Robin gémit et cambre docilement les reins pour arrondir son derrière au maximum. Gladys l'a dressé à toujours présenter ses fesses parfaitement tendues, quel que soit le nombre de fessées déjà administrées.
    – «C'est ça, les fesses bien déployées», s'exclame-t-elle. «Montre à Madame Delaniaires ce que c'est qu'une bonne éducation à la fessée. Comment maman t'a appris à  présenter tes fesses pour les rendre plus excitantes à claquer  et mieux te faire profiter de tes fessées!»

    Robin, reçoit les premières cinglées avec le second martinet… ça claque sec, les arêtes de ses lanières carrées sont coupantes et il hurle… Gladys, après quelques vigoureux allers et retours bien ajustés, donne son avis.
    – « Ah il n'est pas mal non plus celui-là, il cingle bien, mais je préfère le premier. J'ai l'habitude de taper fort et avec celui-ci je serais sans doute amenée à lui chauffer le derrière beaucoup trop vite. Je veux que ses fessées durent longtemps pour qu’il ait le temps de bien les sentir et de montrer ses fesses déculottées en train de cuire et rougir. Je vais vous prendre le premier! Je reviendrai avec mon mari pour lui faire essayer le sien.»

    Elle desserre les cuisses et, sans ménagement, le laisse s'écrouler sur le parquet. Il s'y tortille aussitôt de douleur en se frottant frénétiquement le derrière, entièrement strié de  traces de lanières cramoisies.
    – «Tu peux te reculotter maintenant!» dit-elle en rajustant une à une ses jarretelles détendues pendant la correction.

    Elle l'enjambe, sans un regard, pour se diriger vers la caisse en lissant, a pleines mains, sa courte jupe sur son imposant fessier.
    – «Et bien tendu sur les fesses le slip, s'il te plaît!» ajoute t-elle avec un clin d’œil complice en direction d'Astrid tout sourire.
    – «Il faut qu'il ressente encore la cuisson de cette fessée, pour mieux savourer l'efficacité de son nouveau martinet pendant la prochaine qui l'attend à la maison.»

    Elle rit en tortillant joyeusement du derrière, comme pour simuler la future danse des fesses de Robin et de celles d'Edouard, qui ne va pas y échapper non plus.

     

    (à suivre)

     

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    1
    PeterP
    Jeudi 1er Septembre 2022 à 14:10

    Bonjour Ramina, 

    Aujourd'hui, la rentrée décoiffe ! On ressort les fournitures d'école. On s'installe en silence. Maitresse Gladys va commencer sa journée par un cours pratique. Madame Delaniaires joue les conseillères en discipline domestique. Une sommité locale: Maitre-ès Science fessologique, Diplomée en Martinetologie. Maitresse Gladys fait un examen de passage à son fils Robin. L'épreuve se passe sans encombre et le jeune homme y réussit haut la main. Certes non sans quelques dégâts... épidermiques ! Mais avec une aussi redoutable et bienveillante Maman comme Gladys. On n'en attendait pas moins. Mais que font Mesdames Bellebourge et Lamalisse ? N'ont -elles pas rendez-vous elles aussi dans ce temple de la discipline domestique.... Comme chaque rentrée scolaire ? Attendons la suite...                                 Peter.

    2
    Ramina
    Jeudi 1er Septembre 2022 à 15:32

    Ami  Pet' bonjour, et bien venu sur notre antenne.

    Brillant commentaire, comme j'aime, avec un affinage d'expressions, dignes des meilleures méthodes pour les fromages à pâte cuite. "Comté " sur Mesdames Gladys et Astrid pour affiner avec le même soin, le derrière déculotté ,sans protection de leur protégé et protégée...Robin et Géraldine si vous nous entendez... préparez vos fesses !! ... 

    Des nouvelles du front disciplinaire. On apprend de sources bien informées sur le marché de la fessée déculottée, que   Madame Bellebourges est actuellement en rééducation de la main, pour ne pas l'avoir ménagée sur le derrière de son Gérôme adoré. Sous couvert de cours particuliers d'Anglais, elle aurait récemment bénéficié pour son poussin, de belles séances de fessées à domicile assurées par Mademoiselle Patricia la fille Tapefort, .  Certes non remboursée par la sécurité sociale mais heureusement  très efficaces. Après chaque séance le grand paresseux ne pouvait pas s'asseoir pendant trois jours .. Des nouvelles de Madame Lamalisse, récemment installée dans un quartier réputé pour l'usage intensif de la fessée pour corriger les garçons désobéissant et Messieurs indisciplinés. Elle vient tout juste de découvrir l'existence  de la maison Delaniaires. Il est fort probable qu'elle vienne s'y équiper en nouveaux instruments de discipline . Son grand ahuri de Peter, poussé par l'autre faux jeton de Robin, n'a rien trouvé de mieux que de raccourcir récemment les lanières de son martinet !  Madame Lamalisse qui fesse beaucoup à la main ( et elle bien raison)  n'est pas très loin, non plus, d'une distension des ligaments du poignet . Ah, ces grands adolescents attardés, ils nous feront tourner en bourrique. On n'a pas une vie facile, ma Pov' Dame !  Ramina

      • PeterP
        Jeudi 1er Septembre 2022 à 16:38

        Re-hello Amigo...

        Hélas, cette bonne Mam'e Lamalisse (Louise- Loulou pour les intimes) se repose en cure de rhumatologie articulaire pour étirement des tendons secondaires des phalanges droites, suite à une malheureuse entorse pour rattraper le martinet tombé des fesses de son  fils Peter.  Bien sûr, le garnement s'est vu ainsi offert des vacances inattendues mais Maman est bientôt de retour... et les leçons de maths également. Mais Maman pourra t-elle solliciter les services de moizelle Patricia, déjà très occupée avec Gérome, le nouveau camarade de classe de son p'tit Peter ? Rien est moins sûr... Il y aurait éventuellement une possibilité avec Marie-Brigitte, la copine de fac de sa grande soeur Natacha. Ben, faut voir.                    Peter.

      • PeterP
        Jeudi 1er Septembre 2022 à 16:47

        Re-hello à tous...

        Je vous annonce un scoop : la grande soeur de Peter, Natacha (Pas l'héroïne de Walthéry ! Hélas !), a profité de l'absence de Maman Louise pour aller en fac en mini-kilt d'étudiante ! Alors que Maman le lui avait interdit et demandé de le mettre à la poubelle ! En plus, elle l'avait  plié dans une housse et caché dans le placard à balais ! Maintenant que je le sais, eh ben je la menacerai de tout balancer à Maman ! C'est ma vengeance ! Et toc !!!  .                                           Peter.

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    3
    Ramina
    Vendredi 2 Septembre 2022 à 18:10

     

    hello Pet' le Conteur,

     

    Après la multiplication des petits pains ( mais faudrait quand même vérifier) et le changement de la flotte en pinard ( ce qui rend furibard les ligues antialcoolique ... hic!) Peter dérégule les naissances, enfonce le planning familial et file un pied de nez à la décroissance . Croissez et multipliez à dit le seigneurs des agneaux, et des brebis égarées. La famille de  personnages de l'univers poétique du poussin à sa maman, Pet' : illustrateur émérite de ''c'était pas si mal que ça avant, que c'est plus pire maintenant", raconteur d''histoire à dormir par terre, dialoguiste hystérique, metteur en scène tyrannique, (oui je sais ça fait un peu long pour un seul homme ) bref, les personnages du génie de la distribution de rôles de cinéma, se multiplient et se démultiplient en multiplications multiples !

     

    Avec dans l'ordre d'apparition à l'écran.

     

    Ma'ma Thérez, Gérôme et ses frangines, Anna et Bérénice, la cousine Isabelle, le cousin Rodolphe et toute l'armada des bonnes soeurs de Ste Marie mère de Dieu , la dessus , Natacha et sa copine Marie Brigitte, Mme Lamalisse la petite dernière ... sans compter les figurants !

     

    Qui madame ? qu'est ce qu'il raconte encore le Ramina...Qu' il y en a au moins autant dans ses histoires à la mords moi le n.. Comment ça madame, sur vos genoux ...tout de suite , déculotté! Mais j'ai rien dit de mal, au contraire ...je parlais des nœuds marins. Ah bon... quand même? Ramina

     



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