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Comment je suis devenu une tante, première partie
Un récit qui sort quelque peu de ce que j'ai écrit jusque-là.
Comment je suis devenu une tante
Depuis mon divorce, j'habite seul dans la maison familiale, une grande maison de village, aux alentours de Lyon. Je suis toujours resté en bon termes avec mon ex-femme, notre fille a une belle situation à Paris, et j'exerçais comme ingénieur dans une grande boîte de la région, avec de fréquents déplacements à l'étranger. Du coup, j'étais rarement chez moi. Je faisais appel à une société, qui m'envoyait quelqu'un un jour par semaine, sans soucis, avec crédit d'impôt à la clé, en plus. Depuis des années, c'est la même dame qui venait et qui faisait très bien l'affaire.
Arrivé à l'âge de la retraite, ma boite m'a fait comprendre, comment dire, que je n'étais plus indispensable. Je suis donc parti, dans de bonnes conditions, soulagé, finalement, de ne plus avoir à faire constamment l'équilibriste entre mon vrai métier d'ingénieur, et les manies technocratiques et financières de la direction. Et la dame qui faisait mon ménage, Corinne, prenait sa retraite en même temps.
La société m'a donc proposé une autre personne à la place, avec une journée en double avec la dame, pour la mettre au courant. C'est comme ça qu'on me proposa un jeune homme, un étudiant, qui avait besoin de travailler pour poursuivre ces études. Je n'y voyais pas d'inconvénient, et je le reçu donc, avec la dame, qui lui montra le travail pendant que je partais pour faire mes dernières journées à la boîte, en temps partiel de retraite progressive. Quand je suis rentré, tout était correct. Comme j'avais mis chez moi des caméras de surveillance, bien visibles dehors et très, très discrètes dedans, je pus contrôler que tout s'était bien passé. Et je donnais donc mon accord pour le remplacement.
Quand, le premier vendredi, l'homme de ménage revint, il avait mes clés, je l'ai croisé en partant, je remarquai alors qu'il avait un casque, un sac à dos, et je vis, dehors, un scooter. Ça ne cadrait pas tellement avec l'étudiant qui devait payer ses études. Mais bon, je cherchais un peu sur les réseaux sociaux. Il était effectivement étudiant, doctorat et agrégation, dans un beau cursus de lettres classiques, et, en cherchant un peu, il avait l'air d'être plutôt à l'aise. Bon, ça ne veut rien dire, mais j'allais quand même, la semaine suivante, visionner les caméras le soir.
Et là, je vis mon homme de ménage sortir de son sac une tenue de soubrette, petite robe noire, petit tablier blanc, escarpins noirs, petite coiffe, se déshabiller, se déguiser ainsi. Et, dans cette tenue, faire très convenablement tout le ménage qu'il avait à faire, prendre trois quarts d'heure de pause à midi pour faire réchauffer son repas, le manger dans la cuisine, se remettre au travail et, à l'heure prévue, se rhabiller normalement et partir, une demi-heure avant mon retour.
Je ne suis pas un ingénu, je sais que des gens ont des goûts bizarres, mais je n'avais jamais exploré ces choses-là. En cherchant un peu sur Internet, je trouvais des informations sur des homosexuels qui aiment jouer la soubrette pour de vieux messieurs. Bon, je n'avais rien contre les homosexuels, et puis, si le ménage était bien fait… Mais j'allais dans quelques jours être chez moi à plein temps. Que faire?
Je prévins mon homme de ménage, la société m'avant donné son numéro, qu'à partir de tel jour, je serai là, mais que je ne le gênerai pas, que je resterai dans le bureau, et que j'irai faire un tour dans la journée, manger dehors. Et donc, le vendredi suivant, quand il arriva, toujours avec son sac à dos, il allait se mettre à travailler "normalement". Je lançais une amorce:
- «Louis, la société ne vous fournit pas une tenue de travail?»
- «Oui monsieur, je vais la mettre.»
Il sortit de son sac non pas la tenue de soubrette, mais une chasuble mauve, modèle de femme, bien sûr, une chasuble assez couvrante pour bien protéger les vêtements. Il l'enfila, la noua, je ne fis pas de commentaire, et je montais travailler dans mon bureau. Ce n'était pas une pièce qu'il fallait nettoyer particulièrement, il y passerait quand je serai sorti.Bien sûr, de mon ordinateur, je suivais les caméras, et je le regardais travailler. Même en pantalon sous la chasuble, il essayait d'avoir des gestes féminins, une attitude féminine. Je sortis déjeuner à Lyon avec mon club de bridge, restait jouer une partie ou deux, et je rentrais avant qu'il n'ai fini. Il termina son travail.
- «Au revoir monsieur, à vendredi prochain»
- «Au revoir Louis, vous n'êtes pas obligé de dire "monsieur", vous pouvez m'appeler "Marc", Corinne, celle que vous remplacez, faisait comme ça. A vendredi»La semaine suivante, troisième vendredi de travail, même jeu. Je partis plus tôt au club de bridge, revint plus tard, contrôlait cependant, de l'extérieur, sur mon iPhone, les caméras, il travaillait en chasuble mais, après mon départ, il avait enlevé son pantalon, changé ses baskets pour des croques, et travaillait juste en T-shirt sous la chasuble, gardant toujours le pantalon à proximité de lui pour le remettre en m'entendant rentrer. De toute évidence, il ne se déguisait plus en soubrette, c'était trop hasardeux. Pour ma part, continuant mes recherches sur Internet, j'avais vu que ces homosexuels travestis non seulement aimaient faire le ménage, mais aimaient aussi se soumettre sexuellement. Ma retraite me privait des relations sexuelles que je pouvais avoir au hasard des rencontres et, il faut le dire aussi, des prestations tarifées dont j'usais souvent et qui n'étaient plus à ma portée sans les généreuses notes de frais. Mais j'avais toujours une amitié amoureuse avec une femme, nous nous rencontrions quatre ou cinq fois par mois, sortie, restaurant en ville, nuit chez elle au centre de Lyon, en toute liberté, sans engagement réciproque. Nos rapports sexuels étaient très classiques, et nous nous entendions très bien, notamment sur un point: ne pas vivre ensemble.
L'idée d'aller au bout des fantasmes de Louis, s'il le voulait, bien sûr, était amusante, même pour un hétérosexuel convaincu mais sans préjugés. J'aurais du, alors, me demander pourquoi cette idée m'amusait. Je crois que, moi qui voyageait beaucoup, me retrouver seul dans cette maison, en permanence, m'avait donné le besoin d'une distraction. Ceci dit, comment faire? Je n'allais pas dire, quand même, que des caméras le filmaient. Usant alors d'un bricolage informatique, je fis de faux mails entre moi et la société qui me l'envoyait.
Le vendredi suivant, son quatrième vendredi, donc, je partis au club comme d'habitude, et, en revenant, je lui demandai de passer dans mon bureau et je lui montrai les échanges, qui avaient l'air plus vrais que vrais.
Le premier mail, de son employeur, me demandait si j'étais content, avec le questionnaire de satisfaction habituel.
Ma réponse était positive et classique. Les deux étaient de vrais mails d'ailleurs.
Le deuxième mail de son employeur me demandait si je n'avais rien à ajouter de particulier sur son comportement, il était assez ambigu. C'était mon oeuvre.
Ma réponse (c'était mon oeuvre aussi, un mail qui bien sûr n'était jamais parti) était que non, mais je leur proposais de m'appeler pour en parler de vive voix, parce que j'avais "l'impression que c'était délicat comme sujet".
Le troisième mail de son employeur, faux aussi, faisait référence à notre longue conversation téléphonique, sans rentrer dans les détails, en me demandant de confirmer la bonne impression que j'avais exprimé au téléphone.
Et ma réponse était que je les remerciais de m'avoir expliqué leur "soupçons", mais que, pour ma part, je n'avais rien à rajouter à nos échanges, à savoir que je n'avais rien remarqué.Le jeune homme ne savait plus sur quel pied danser, il n'osait pas me demander le contenu de l'échange téléphonique. J'ai donc fait baisser la tension:
- «Au téléphone, on m'a expliqué des craintes sur votre tenue vestimentaire pendant le travail.»
- «Euh……»
- «J'ai bien remarqué, à la manière dont vous portiez votre chasuble, qu'il y avait quelque chose. Et plus, sans doute. Mais vous avez vu, je suis resté discret. Mais, Louis, il va falloir tout me dire, tout!»
Mon ton était ferme, bienveillant, je pense avoir dit ce qu'il fallait pour qu'il se lâche. Et il me raconta tout.Il était homosexuel, rêvait de se travestir et, surtout, de faire la domestique chez des gens plus âgés que lui. Il avait trouvé ce job d'un jour par semaine pour satisfaire ce fantasme, pas pour l'argent, sa famille pouvait lui payer ses études, mais était bien contente qu'il travaille un peu. Il aimait donc faire le ménage, et il m'expliqua même (ce que je savais) qu'il avait acheté dans un sex-shop Internet une tenue de soubrette, c'est tout ce qu'il avait trouvé, et qu'il la mettait quand il pouvait. Il m'avoua qu'il l'avait mise chez moi, et qu'il avait travaillé sans pantalon sous sa chasuble. Toutes choses que je savais, bien sûr, mais qui me permis d'apprécier sa franchise et de me faire une bonne opinion de lui.
S'il avait menti, s'il avait biaisé, j'aurais clos le chapitre, et je l'aurais fait remplacer, c'était même le plan A, mais j'avais aussi un plan B, et je le mis à exécution. Nous sommes sortis du bureau et descendus à la cuisine, qui me semblait le lieu plus approprié pour continuer.
- «Louis, je ne suis pas homosexuel, mais chacun vit comme il veut. Tu (j'utilisais le tutoiement pour la première fois, pour marquer le coup), tu as été franc, je vais donc l'être aussi. J'ai de la sympathie pour les jeunes qui, comme toi, font des études, un ingénieur doit bien soutenir un doctorant et un futur agrégé. Ta petite manie ne me gène pas, il vaut mieux que tu la vives ici plutôt que de faire des bêtises ailleurs.»
Son visage se détendait.
- «Je resterai tout le vendredi chez moi, tu travailleras devant moi. A midi, en plus tu me serviras. Bien sûr, j'aurais droit de regard sur tes vêtements féminins. J'aime la simplicité, le naturel, la sobriété, pas de genre. Sommes-nous d'accord?»
Il acquiesçât de la tête, les joues rouges.
- «Allez, je te libère, à vendredi prochain.»
- «Merci monsieur. Au-revoir monsieur», dit-il en reprenant ses affaires.
Comme il allait refermer la porte, je l'achevais:
- «Ah, au fait, si tu t'habilles en femme, tu as un prénom de femme?»
- «Euh, non, monsieur, je n'ai jamais pensé à ça…»
- «Vendredi tu seras Louisette, allez, file.»Je refermai la porte derrière lui, je l'entendis après une demi-minute démarrer son scooter en me disant «Pourvu qu'il ne fasse pas une bêtise». A vrai dire, je me disais aussi "J'ai sûrement fait une bêtise". Une demi-heure après, j'avais un SMS: «Merci de votre bonté monsieur Marc. A vendredi. Louisette.»
Je dois dire que j'attendis le vendredi suivant, son cinquième chez moi, avec une certaine impatience. Je me levais, déjeunais, fis ma toilette et mis un confortable survêtement, la tenue avec laquelle j'aimais trainer chez moi et aller promener à vélo dans la campagne environnante. A l'heure prévue, j'entendis la moto, et la sonnette. J'allais ouvrir.
Il rentra, le casque d'une main, un grand sac de sport de l'autre, avec un air inquiet. J'ouvris le garage, lui fit rentrer le scooter à côté de ma voiture, et du garage, nous sommes passés dans le couloir.
- «Bonjour monsieur, j'ai porté tout ce que j'avais»
- «Bonjour Louisette, va étaler le tout dans le salon, nous allons voir si quelque chose me convient.»Il n'y avait pas grand chose qui me convenait, je dois le dire. La tenue de soubrette, des minijupes, des trucs sexy. Heureusement, dans le lot, une petite robe simple, genre robe d'été ou de plage, les croques que je lui avais vues, et la chasuble de la dernière fois. Je les lui désignais, en lui demandant de se changer seul et de venir me rejoindre dans la cuisine. Ce qu'il fit, trois minutes après, robe légère, croques, chasuble.
- «Et sous la robe, Louisette? Montre-moi s'il te plait.»
Il se retroussa, il avait une culotte de femme, mais un peu sexy. Je souris:
- «Trop sexy pour une domestique, cette culotte… Allez, au travail.»Je ne fis rien de particulier de la journée, je vaquais à mes occupations, en allant le voir travailler toutes les cinq ou dix minutes. Il était, de tout évidence, ravi de travailler ainsi, il tortillait des fesses, prenait des allures féminines, et pas seulement quand il me voyait (je le surveillais aussi avec mes caméras discrètes). En plus, ces allures étaient naturelles, pas provocantes, pas vulgaires. Je ne disais rien, à part un «Ça va, Louisette?» de temps à autre, et il me répondait, ravi «Oh oui monsieur Marc». A midi, il n'eut rien à cuisiner, comme je cuisine assez bien, et que j'aime le faire, j'avais un plat préparé d'avance. Il n'eut qu'à le réchauffer, mettre mon couvert à table, et me servir, debout derrière moi, pendant que je regardais la télévision. Je dois dire que, quand je lui ai demandé de mettre un seul couvert et de me servir, il a eu un petit mouvement, mais il fallait qu'il comprenne bien quelle était sa place: domestique. Après mon dessert, il m'a servi le café et, à ce moment seulement, je l'ai autorisé à manger, tout seul dans la cuisine, la seconde part que, brave homme que je suis, j'avais prévue pour lui.
L'après-midi se passa, Louisette travaillait vite et bien, plus vite que mon ancienne femme de ménage, la différence d'âge. La maison était bien nette, et, une fois l'heure "normale" passée, il a continué à travailler, il a fallu que je lui dise que c'était fini.
- «Êtes-vous content de moi, monsieur?»
- «Oui, Louisette, tu peux partir, c'était très bien.»
- «A vendredi, alors?»
- «A vendredi, bien sûr.»
Il se changea dans le salon, rangea ses affaires dans son sac, et sortit son scooter du garage en me faisant un grand sourire avant de mettre son casque.J'ai passé la semaine à me demander que faire? Laisser ce garçon dans son fantasme, qu'il satisfaisait avec moi, sans danger, si j'ose dire? Le laisser aller plus loin? En profiter? parce que je dois dire que la situation était, comment dire, excitante pour moi, bien que n'ayant jamais eu le moindre désir de rapports avec un homme.
Je passais donc du temps à me documenter sur Internet, tout en profitant de ma retraite toute neuve pour jouer au bridge, aller promener dans Lyon, faire du vélo autour de chez moi, bricoler dans ma maison, bref, tout ce qui me manquait avant. Et sur Internet, je vis pas mal de choses sur ces homosexuels qui aiment à jouer la soubrette, la sissy, la prostituée, même. Mais ceci ne m'amusait pas, à part l'idée de me faire sucer à volonté, et servir comme un roi de temps en temps.Le vendredi suivant, le sixième, donc, où il travaillait seul pour moi, il revint, plus tôt que prévu, souriant, enthousiaste, presque. Il me dit bonjour et me demanda s'il pouvait se changer tout de suite. Il sortit du salon avec le même petite robe, sa chasuble par-dessus, des petites socquettes blanches dans ses croques roses. Ah oui, au fait, les croques, ce sont des sabots de plastique, très pratique pour la maison.
- «Je peux vous montrer quelque chose, monsieur?»
- «Bien sûr, Louisette»
Il troussa gentiment sa robe, dessous il portait une culotte de coton blanc, plus classique, vintage, que celle de la semaine dernière. Il se tourna de profil, et je remarquais sa silhouette plus féminine.
- «Un ami m'a donné des faux seins, vous aimez, monsieur?»
Tant de fraicheur, de bonne volonté, de naturel, me fit sourire.
- «C'est bien, Louisette, allez, au travail!»
Je vis qu'il était très content. Je l'étais aussi, sans trop savoir pourquoi.La journée se passa comme la semaine dernière, je me fis servir à midi, puis il mangea après moi. Comme il allait ranger le lave-vaisselle, je l'arrêtais. J'avais acheté trouvé, vestiges de l'activité de mon ancienne femme de ménage, Corinne,, des gants de ménage et un tablier en plastique transparent, enfin, translucide, avec une bavette.
- «La vaisselle, à la main, tu trouveras ce qu'il faut dans le placard à gauche. Fais-moi le café d'abord.»
Il servit le café, puis mit le tablier, enfila les gants, très heureux, je crois, de cette attention. La vaisselle terminée, je lui fis retirer le tablier, remettra sa chasuble, et continuer le ménage.
Il termina le soir après l'heure et, avant qu'il se change, je voulus bavarder un instant avec lui. Nous nous sommes assis tranquillement au salon, moi en survêtement, lui dans sa tenue de femme. Je voulais faire un point avec lui, et je lui demandais son ressenti sur ces six journées de travail.
Il me dit qu'il était très heureux que je lui laisse faire le ménage dans la tenue qu'il aimait portait, et que, si ça m'amusait, c'était encore mieux. Qu'il n'avait jamais pensé trouver un patron tel que moi. Il commença à me parler un peu de ses études, dans un domaine qui m'était totalement étranger, mais un ingénieur s'intéresse à tout. Il me parla un peu, aussi, de sa famille, de ses projets. Au bout de dix minutes, je lui fit discrètement comprendre qu'il était temps de partir.
- «Je vous suis tout dévoué, monsieur Marc, j'aime la façon dont vous vous comporter avec moi, cette autorité discrète, et j'aime bien travailler ici.»Et c'est là qu'il me vint une idée qui, je pense, a changé une partie (une petite partie) de ma vie. Je lui demandais quand nous pourrions nous rencontrer, la semaine suivante, dans le centre de Lyon, pour une demie-heure. Nous avons pris rendez-vous, et je le laissais se rhabiller, si j'ose dire, et rentrer chez lui.
Le jour du rendez-vous, il arriva en scooter, me salua sans trop savoir comment faire. Assez curieusement, nous ne nous étions jamais serré la main. Il avait une poignée de main ferme, pas efféminée du tout, je compris que son homosexualité était discrète. D'ailleurs, en allant voir son profil Facebook, elle était non pas cachée, mais pas affichée non plus, disons que, quand on se doutait de quelque chose et qu'on avait un peu d'expérience de la vie, on le comprenait.
Nous fîmes une centaine de mètre, et je le menais devant une petite boutique de vêtements de travail, dont la vitrine montrait des vêtements tant masculins que féminins. J'étais allé promener en ville pour trouver la boutique qui me convenait, après en avoir fait quelques-unes.
- «Je vais compléter ta garde-robe de domestique à ma guise, Louis, j'imagine que tu n'y vois pas d'inconvénient?»
- «Euh, non, mais je n'ai jamais osé acheter en magasin, vous n'allez pas avoir, je ne sais pas, être gêné de demander?»
- «Tu sais, Louis, quand on a tenu tête à des X-Mines en sortant d'une école d'ingénieurs certes excellente, mais pas particulièrement réputée, plus aucune conversation ne peut me faire peur!»Nous sommes rentrés dans le magasin, que j'avais déjà donc repéré la semaine dernière. Il était tenu par une dame quelconque, qui nous accueillit en souriant.
- «Bonjour messieurs, que puis-je faire pour vous?»
- «Je voudrais voir une blouse de travail pour dame, s'il vous plait, madame.»
- «Mais bien sûr, j'ai bien des modèles, mais quelle est la taille de cette dame?»
Je me tournais vers Louis, qui rougit.
- «Allez, Louis, tu le sais mieux que moi…»
Je lui souriais, très gentiment, la dame attendait, comme une bonne vendeuse, Louis rougit, se tourna vers la dame et, comprenant qu'il était pris au piège, il répondit courageusement:
- «C'est pour moi, madame.»
La dame sourit, elle en avait vu d'autres, certainement, un monsieur d'un certain âge avec un jeune homme… Elle se tourna vers moi:
- « Et quel genre de blouse voulez-vous, monsieur?»
- «Quelque chose du genre domestique, assez stricte sans être triste, madame, s'il vous plait.»
Elle sortit plusieurs modèles, j'en choisis un à fines rayures bleues et blanches, manches longues, boutonnée devant, ceinture.
- «Voulez-vous l'essayer, monsieur?»
Elle s'adressait à Louis, mais c'est moi qui répondit "Oui". La dame lui demanda sa taille d'homme, sortit deux tailles, et il fut bien obligé d'entrer dans la cabine d'essayage. Comme il n'en sortait pas au bout de deux minutes, c'est moi qui dut lui demander de sortir.
Bon, il ne sortit pas vraiment, mais ouvrit le rideau et avança d'un pas. La blouse lui allait très bien, il était de taille moyenne, mince, la dame vérifia en regardant derrière, il n'osait pas se retourner.
- «La plus grande taille vous va mieux, vous serez plus à l'aise.»
- «C'est bon, nous la prenons.»
Je lui fis signe qu'il pouvait refermer le rideau, à son grand soulagement. Je le trouvais bien courageux, ce petit… Ou bien vicieux… Ou les deux.
Pendant qu'il sortait de la cabine d'essayage, la dame me demanda:
- «Voulez-vous autre chose, monsieur, j'ai le tablier assorti, pour faire l'ensemble.»
Elle me le montra, Louis, sorti de la cabine, le regardait avec gourmandise. Je le pris, et la coiffe avec. Heureusement, le tablier à bavette avait les bretelles et la ceinture réglable, pas besoin d'essayage.
Puis je demandais à la dame si elle avait également des blouses boutonnées dans le dos. Elle sortit de sa réserve, l'article n'était plus demandé, quelques modèles, dont une vichy rose qui était "tout à fait à la taille du jeune homme". L'essayage lui fut épargné, la dame avait l'œil. Louis était dans un état exactement entre la honte la plus douloureuse et le ravissement le plus enfantin. Je complétais les achats avec un tablier à bavette blanc assez coquet, bretelles croisées, un tablier de plonge, un tablier-taille à carreaux, et deux chasubles. Et la vendeuse m'offrit, en prime, une charlotte de coton blanc. Je sortis la carte bleue, je sortis ensuite avec un grand sac plein de mes emplettes.
Dans la rue, Louis me dit:
- «Monsieur Marc, je ne sais pas comment vous remercier, pour tout ça…»
- «Pour les achats qui t'iront à merveille, ou pour la honte que tu as eue?»
- «Pour les deux…»
- «Tu as été très courageux, tu sais, tu aurais pu sortir et ne plus jamais me revoir.»
- «Oh, ça, jamais…»
Nous nous sommes séparés, et je rentrais chez moi avec mon grand sac de vêtements. J'avais, dans la pièce qui donnait sur la rue, et qui servait de buanderie, et de débarras, un petit placard qui n'était pas utilisé vraiment, j'y pendis mes emplettes en attendant le vendredi matin. En me demandant pour quelle drôle de raison j'avais fait ça…Quand il revint chez moi le vendredi suivant, pour sa septième journée de travail, il était très en avance, je n'avais pas encore déjeuné ni même pris ma douche.
Je le grondais un peu pour m'avoir dérangé, et je lui dit que pour se faire pardonner, il allait devoir être très gentil. Je lui montrai le placard, je lui dis de mettre la blouse bleue, la coiffe et une chasuble par dessus, et de commencer le ménage pendant que je commençais ma toilette et buvais mon café. Puis je m'installai dans le fauteuil du salon et j'appelais «Louisette, viens me voir». Il arriva si vite que je me demandais s'il n'attendait pas mon appel. Comme il restait les bras ballants, pendant la dizaine de secondes où, volontairement, je ne dis rien, il a fallu que je lui explique que, quand le maître appelle sa domestique, celle-ci doit rester à sa disposition, debout, mains dans le dos, le regard modestement baissé. Il prit la pose avec beaucoup de grâce.
- «Je crois, Louisette, que tu vas devoir être gentille avec moi, j'espère que tu l'as compris?»
- «Oui monsieur, je suis là pour faire tout ce que vous voulez, je suis votre domestique, n'est-ce pas?»
- «Va enlever cette chasuble, met à la place le joli tablier assorti à ta blouse, et apporte-moi ensuite une grande serviette propre.»Il sortit en tortillant un peu des fesses, et revint trois minutes après, le tablier sur la blouse, bien tiré, la coiffe ajustée, les socquettes blanches bien remontées dans ses croques.
- «Pose la serviette sur la petite table, et fais-moi une petite révérence, Louisette.»
De toute évidence, il s'était entrainé, il plia un genou, s'inclina, en relevant légèrement le bas de sa blouse. C'était à la fois touchant et ridicule. Je le lui dis, en précisant qu'il fallait qu'il garde cette révérence, justement parce qu'elle était ridicule. Il rougit. Puis je lui fis relever son tablier et trousser sa blouse. Sa culotte blanche était très simple.
- «Tiens ta blouse d'une main, et de l'autre, montre-moi ta quéquette, Louisette.»
Il me fallut faire un effort sur moi-même, c'était la première fois que je lui donnais un ordre à caractère sexuel, et bien qu'il fut très mignon en domestique, c'était un homme, et je ne suis pas homosexuel. Mais j'avais décidé de voir jusqu'où le jeu pouvait aller. Il rougit comme une pivoine, c'était aussi nouveau pour lui, dans notre relation, que pour moi. Tenant sa blouse et son tablier retroussés avec la main gauche, de la droite il baissa sa culotte, sur sa cuisse, tirant un peu pour que l'autre côté descende aussi. C'était une culotte ample, confortable, féminine mais dans le genre vieillot, comme je lui avais dit que j'aimais. Je vis sa petite quéquette, mignonne, pas très grande, sur ses couillettes rasées, parce que tout cet endroit était soigneusement rasé. Je ne dis rien d'autre que «C'est bon, merci Louisette». Les faux seins, la culotte à mon goût, le rasage, de toute évidence, le travestissement n'était pas, pour lui, quelque chose de vraiment nouveau, s'il ne l'avait jamais vraiment fait, je crois, il s'était renseigné et avait ses fournisseurs ou, à tout le moins, une relation, actuelle ou ancienne, qui lui avait expliqué toutes ces choses.Je me levais, lui fit étaler la serviette sur le fauteuil, et je lui demandais, tranquillement, de s'approcher, de baisser mon pantalon de survêtement, puis de baisser mon slip. Il baissa le pantalon en se penchant un peu, sur mes genoux, puis avec un peu d'appréhension, de gêne, ou de retenue, il baissa mon slip. Je me rassis sur la douce serviette éponge et, tendant mes jambes, je lui fis retirer complètement ce qu'il avait baissé. Bien soigneux, il plia le pantalon, le posa sur la table, le slip dessus. J'étais juste en T-shirt et savates, tranquillement assis devant lui.
- «Tu sais ce que tu dois faire, Louisette, pour être gentille avec moi?»
- «Oui monsieur.»
- «Dis-moi ce que tu vas faire, je veux l'entendre de ta jolie voix de bonne servante.»
- «Je vais vous sucer, monsieur.»
- «Alors suce-moi, et prend tout ton temps, Louisette.»J'écartais bien les cuisses, exhibant ma bite qui commençait à se réveiller. Il s'agenouilla, se pencha, me reniflât. Si j'étais rasé, je n'avais pas encore pris ma douche, et je sentais, donc, sans être sale pour autant, les odeurs de la nuit. Si cela lui déplut, il n'en montra rien. Ses faux seins tendaient sa blouse, sa coiffe, sur ses cheveux mi-longs, le féminisaient complètement. Du coup, je n'avais pas vraiment l'impression de faire ce que je faisais, c'est à dire, pour être objectif, avoir un rapport homosexuel oral. Il me sourit, plaqua ma bite sur mon ventre avec sa main, et commença à me lécher doucement entre les couilles. Il les prenait l’une après l’autre dans sa bouche, alternait, puis remontait le long de ma bite avec la pointe de sa langue, jusqu’au gland. Mon sexe, déjà, était prêt à exploser, décuplé par le savoir faire comme par l’excitation que me procurait la situation, ce garçon habillé en fille, soumis et content de l'être.Tout en prenant mon gland entre ses lèvres, il caressait mes couilles, les soupesant, jouant avec, les malaxant. Mon gland coulissait entre ses lèvres. Sa langue descendait le long de ma bite, revenait plus haut, redescendait. Je dois dire que je gémissais de plaisir, les mains agrippées au fauteuil. Il me suça ainsi pendant de longues, très longues minutes, que j'aurais voulu ne jamais voir s'arrêter. Il fit couler un filet de bave sur mon gland, qu'il s’empressa de nettoyer consciencieusement en avalant ma bite sur toute sa longueur, son nez venant alors jouer avec les poils de mon pubis. Il leva vers moi un regard soumis, puis se retira de quelque dizaines de centimètres, pour embrasser mes genoux avec dévotion. Il se remit en position, se mit à me sucer à rythme soutenu, tout en me chatouillant l'anus d'une main et en me caressant les couilles l’autre. Je sentais que j’allais venir. Il marqua un temps d’arrêt, replongea entre mes jambes, accéléra et, au moment ou je criais de plaisir, éjaculant tout ce que je pouvais donner, il continua de me lécher sans faiblir, jusqu’à la dernière goutte, nettoyant mon gland de la moindre trace de sperme.
C'était, je dois le dire, une pipe très bien faite. Je le remerciais, et le renvoyais à son travail, en lui demandant d'enlever le tablier pour remettre la chasuble de ménage.
La journée se passa comme les précédentes, je lui faisais faire la petite révérence quand il rentrait ou sortait de la pièce ou j'étais, je lui demandais de se trousser… Je me fis servir à midi, et il fit la vaisselle en changeant de tablier. L'après-midi, il fit du repassage, la table à repasser dans la cuisine, avec le tablier-taille à la place de la chasuble, et je restais dans cette pièce pour le voir travailler, en lisant des magazines. Quant il eut fini toutes les tâches ménagères, je lui fis remettre son joli tablier, et je me fis sucer de la même façon que le matin. J'y pris autant de plaisir que la première fois, et lui aussi. Finalement, c'était comme si j'avais une vraie domestique femme, compétente, docile et un peu vicieuse.
Je voyais bien qu'il n'avait pas envie de partir, je l'invitai donc à s'asseoir à côté de moi sur le canapé du salon, pour bavarder, mais toujours en tenue de service. Il me parla de sa famille, catholique, dont il était l'ainé des quatre enfants, une enfance heureuse, une homosexualité que sa famille avait accepté, mais que, par amour pour eux, il gardait très discrète. Dans sa famille, des gens d'église, assez bien placés, donc des relations. Ses études, une colocation entre étudiants, un partenaire régulier, qu'il aimait bien, mais qui avait une homosexualité classique, le genre "entre mecs" me dit-il. Sa thèse qu'il terminait, le concours de l'agrégation, qu'il buchait, le poste qui, si tout allait bien, l'attendait après à l'Université Catholique de Lyon. En confiance, il commença à parler de ses fantasmes. Pour lui faciliter la tâche, je le fis mettre à genoux devant moi, enlaçant mes genoux de ses bras, tête baissée.
Il me racontât sont gout du travestissement ancillaire, blouses, tabliers, tenues domestiques, ça, je le savais. Il me parla aussi de ses autres goûts de soumission. Il m'avoua aimer les fessées enfantines, les piquets, le bondage, les humiliations, les pénitences, en me donnant des exemples de ce dont il rêvait. Il avouait tout ça naturellement, m'expliquant que les autres homosexuels ne le comprenaient pas, que, à part les amateurs de travestis en lingerie, et d'exhibitions nocturnes, personne ne partageait ses goûts. Sa voix s'enrouait…
Je le fis se relever, se rasseoir à côté de moi, puis s'allonger pour reprendre ses esprits, la tête sur mes cuisses. Il se reprit vite, me remercia avec beaucoup de sincérité et de simplicité, puis se changea et reparti en scooter.Le lendemain, Louis m'appela, me remercia pour ce "moment d'écoute", une nouvelle fois, et me demanda s'il pouvait revenir. Ce garçon me touchait, et puis, ma fois, de devrais bien arriver à le fesser. Je lui dit donc qu'il pouvait poursuivre sont travail chez moi, bien sûr. Mais que, comme je payais une femme de ménage, il était hors de question que ses fantaisies se fassent au détriment de ma maison, et que, donc, il faudrait qu'il reste plus longtemps chez moi. Je dois dire qu'il accepta avec enthousiasme, qu'il pourrait partir en fin de soirée, même, et me servir le repas le soir.
Je me documentais, dans la semaine, sur la fessée, et d'autres choses, Louis m'avait envoyé des liens Internet vers des récits, des photos qui l'excitaient particulièrement. Je regardais tout ça, des choses entre adultes, bizarres, parfois rebutantes, enfin, pour le soumis, mais rien de méchant., Le huitième vendredi, il eu droit, en plus du ménage, du comportement de domestique, des fellations, à deux fessées. Je l'avais prévenu qu'il était, pour moi, hors de question qu'il fasse, exprès, des fautes pour être puni, et que je le fesserai sans raison, et pour le plaisir seulement. Il reçu donc une fessée en milieu de matinée, et une en fin d'après-midi. Les deux données en travers de mes genoux, commencées sur sa culotte, blouse troussée, et finies à cul nu. La première était, certes, maladroite, mais je dois dire qu'avoir sous la main son petit cul bien formé, très féminin, et de le voir se tortiller sous mes claques, était bien excitant. La seconde fut plus facile pour moi, et je commençais à savoir varier le rythme, espacer les claques, laisser ma main caresser après avoir porté le coup, lui parler en le fessant, pour son humiliation. D'ailleurs, de crois bien que, à la deuxième fessée, sans éjaculer, non, il était très excité. Je l'envoyait au piquet, debout mains sur la tête, blouse troussée et culotte baissée, pour dix minutes. Cela me mit en appétit, il me servit à table, et me suça après le café. Puis il fit la vaisselle, et partit après avoir fait son temps de ménage, largement, en faisant des choses qui sortaient du planning habituel, m'avoir donné du plaisir avec sa bouche habile, et avoir reçu sa dose de douleur et d'humiliation.
La suite la semaine prochaine
Tags : Humiliation, Travesti, Domination/soumission
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Commentaires
3LisaDimanche 16 Octobre 2022 à 18:17Bonsoir Marie,
Très jolie histoire qui m'a bien fait bander, merci.
Bonne soirée.
Paul.
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LisaLundi 17 Octobre 2022 à 15:39
oh ouiii je sentais bien mon sexe bouger dans ma couche pisseuse....
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5raminaLundi 17 Octobre 2022 à 19:22Amis de la fiction poé-ro-tique... bonsoir.
Notre hôte de ces bois, fait preuve d'un joli talent d'écriture . Encore une histoire de famille ou les tantes sont une nouvelle fois projetées sur le devant de la scène dans une histoire de dominant: dominé qui bien que travesti n'en travestit pas pour autant une forme de vérité . Voici un texte particulièrement bien troussé , pour ne pas dire déculotté, dans un style alerte , vivant , percutant et surtout habilement imagé. Exercice de style autour d'une métamorphose érotique ( plus que Kafkaïenne) à travers un enchaînement de situations, entre désir, convoitise, mutation, et accomplissement jouissif . La longue description détaillée, d'une fellation à domicile, extrêmement visuelle et troublante de réalisme, a dû en émouvoir plus d'un (une ?) sous le manteau ! La bandaison papa, ça ne se commande pas, disait Notre Georges Brassens national, question garde à vous celle ci donne dans l'hyperréalisme . Notre ami(e) Souillon nous ferait il part d'une réelle expérience en la matière, succion et fiction faisant bon ménage .
En tous cas bravo pour ce texte bien écrit et surtout bien documenté qui doit ravir les amateurs . Ramina
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Mardi 18 Octobre 2022 à 00:15
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ClodinetteMardi 18 Octobre 2022 à 09:36"pompée ailleurs "!!! Ho Tatie. Schoking !!!
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6ginetteJeudi 20 Octobre 2022 à 20:59belle histoire qui emoustille super. si certaines voudraient la vivre je pense que d autres l'on vécue... cette histoire rapelle des s et des experiences réllement vécues et des souvenirs tu veritable service domestque pour bonne réelle en service réel... a quand la suite merci pour ce bon moment
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Jeudi 20 Octobre 2022 à 21:26
Bonsoir Ginette,
Il y a une histoire, comme cela sur le Net, sur le site de l'Obs, où un jeune mec raconte son expérience de bonne travestie, mais je suis un peu partagé, bien que la journaliste assure que l'histoire est vrai et que seul le prénom de la personne a été changé, je suis sceptique sur la véracité de cette histoire qui ressemble un peu trop à nos histoires fétiches.
Histoire d'une bonne masculine
Bonne soirée.
Paul.
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magnifique texte j'aimerais etre a la place de louisette mais je suppose quil est fictif
Bien évidemment, c'est une fiction entièrement sortie de mon imagination.