• Une affaire de famille, Chapitre 19

    Merci à Ramina pour ce nouveau récit.


    On y retrouve des personnages déjà très actifs dans de précédents récits célébrant les bienfaits de la fessée, punitive et érotique. Tante Gladys bien sûr, dont la réputation de sévérité n'est plus a faire,  comme celle de ses amies, toutes ferventes adeptes inconditionnelles de la fessée. Notamment Edwige la pétulante voisine à l'humeur ravageuse... Patricia, digne fille de sa mère, Arnold son fiancé anglais, Bettina, la vicieuse soubrette, Edouard le mari soumis, et un petit nouveau, le cousin Peter... soi même!  A force de réclamer de se faire rougir le derrière, il a fini par se retrouver dans l'histoire ... et quelle histoire... ça claque sec! Bonne lecture aux amateurs de femmes sévères... très sévères!


     

    UNE AFFAIRE DE FAMILLE

    Chapitre 19 : Le retour de Robin

    Co-production Ramina / Peter pan 

     

    Astrid et Norbert Delaniaires tenaient, dans une petite rue proche du centre ville, une boutique de cordonnerie proposant des produits de fabrication artisanale. Norbert, avait pris son neveu Robin, en stage dans son atelier pour lui donner quelques notions de travail du cuir, sa spécialité dans ce domaine. C’était toujours mieux, avait dit Gladys, que de passer une partie de son temps, au Pub, avec ses piliers de comptoir, dont Arnold le fiancé anglais de sa sœur Patricia. En voilà un qui n’avait pas mis longtemps à retrouver en France, l’ambiance cosy et joyeuse des établissements londoniens où on ne se contentait pas que de jouer aux fléchettes. La fréquentation de ces bars à bière justifiait la sévérité des fessées que Patricia lui administrait régulièrement. Quand ce n’était pas Gladys, sa belle mère qui ne se gênait pas pour le déculotter et lui claquer les fesses, conjointement avec celles d’Edouard, complice des soirées trop arrosées et des retours tardifs à la maison.

    Beaucoup de femmes de bonne société et de forte personnalité, savaient trouver, à l’intérieur de la boutique de cordonnerie d’Astrid et Norbert Delaniaires, ce qui n’était pas forcément exposé en vitrine. Le couple d’artisans faisait surtout commerce d’instruments de discipline, dont la qualité et la fiabilité faisaient le bonheur des épouses maîtresses du quartier. Une clientèle de femmes sévères, adeptes d’une stricte discipline domestique, qui appréciaient de pouvoir se fournir en modèle de martinets. Notamment, ceux fabriqués sur mesure aux dimensions exactes des fesses de leur mari. Une exclusivité de la maison, qui remportaient un réel succès. Au point que Norbert avait du mal à tenir la cadence de fabrication, tant ces dames sévères en usaient sans modération sur les solides fessiers de leurs époux respectifs.

    Robin, pris en charge dans l’atelier de fabrication de son oncle, avait retrouvé dans la boutique sa cousine Géraldine. Une pulpeuse blonde, un peu délurée sur les bords, pour ne pas dire vicieuse et provocatrice, qui n’avait pas froid aux yeux... Ni aux fesses, d’ailleurs, qu’elle avait fort développées, et qu’elle mettait à disposition de sa mère pour les démonstrations de fessées au martinet. Une belle paire parfaitement réceptive aux jouissives fessées qu’Astrid lui administrait devant les clientes, pour démontrer l’efficacité de ses martinets, fabrication maison. Elle aimait ça la fessée, Géraldine… et se vantait même de trouver du plaisir à se faire claquer le derrière, en public au milieu de la boutique.

    Elle n’eut pas à forcer son talent pour distraire son cousin et perturber son stage d’apprentissage. Astrid qui ne laissait rien passer, n’avait pas manqué d’en rendre compte à sa sœur, Gladys. Et de souligner la désinvolture de son grand paresseux de vingt cinq ans et son manque d’intérêt pour le travail du cuir... comme, d’ailleurs, pour le travail en général. La tantine, exprima sa colère et sa déception et suggéra la nécessité d’une punition à la hauteur du comportement inacceptable de son neveu. Son retour à la maison lui valu une sévère reprise en main, que sa sœur se chargea de mettre en œuvre par une de ces cuisantes déculottées qu’elle se plaisait à administrer. L’énergique jeune femme qui aimait tant flanquer des fessées, disposait maintenant, avec Robin son frère et Arnold son fiancé, de deux solides paires de fesses disponibles à volonté.

    Gladys et Patricia finissaient leur whisky pur malt, en savourant ce moment de détente. Surtout Patricia, dont la main encore chaude, témoignait de la vigueur de la fessée qu'elle venait de flanquer à son frère et de la dépense d'énergie qu'elle y avait déployé. Robin, traité comme le gamin qu’il était resté, la cuvait dans sa chambre devant son travail à faire pour le lendemain. Il n'en descendrait que lorsque sa mère le lui ordonnerait. Il avait dû s'asseoir sur les cuisses, les fesses cuisantes débordant du siège pour éviter un contact trop douloureux avec le bois. Il se les frottait de temps en temps en maugréant contre sa sœur et l'habitude qu'elle commençait à prendre, de sauter sur la moindre occasion pour lui flanquer des corrections. Ses yeux encore embués de larmes, et la cuisson persistante de ses fesses encore brûlantes, lui rendaient la concentration difficile.

    Patricia faisait preuve d'autant de sévérité que sa mère et fessait maintenant presque aussi bien qu'elle. Même si elle ne tenait pas encore autant la distance, ses fessées n'en demeuraient pas moins éprouvantes et cela n'arrangeait pas du tout en ce moment les affaires de Robin. Mais, il devait se plier à la stricte discipline domestique imposée par les femmes de la maison. Elles faisaient preuve d’une autorité sans faille à faire respecter les règles de comportement nécessaires à l'aboutissement de son éducation, encore inachevée à vingt cinq ans ! Les larmes lui remontèrent aux yeux, brouillant sa vue. II n'était pas rassuré du tout sur l'avenir de ses fesses en pensant à celles d'Edouard, son beau père et maintenant à celles d’Arnold le fiancé, soumis à la même stricte discipline, imposée par sa mère et sa sœur. Il devait cependant admettre en son fort intérieur que les corrections qu'il recevait était souvent méritées, même si une bonne partie était cependant administrée pour des motifs futiles ou carrément sans raison. Ce qu’elles appelaient des "fessées d’entretien".
    -- «Pour vous maintenir la pression en rappel de la nécessaire discipline!», disaient elles, sourire aux lèvres, après avoir annoncé cyniquement comme une bonne nouvelle, l’arrivée d’une cuisante fessée déculottée.

    Robin souleva ses fesses en feu et se déculotta pour les soulager de la pression de son slip trop serré et de la cuisson entretenue sous le nylon trop tendu. Décidément Patricia fessait dur, il allait devoir s'y habituer, en plus de la redoutable puissance de feu de sa mère.

    Gladys reposa son verre sur la table basse. Elle s'adossa aux coussins du canapé en croisant les bras sous son opulente poitrine qui en profita pour adopter une stratégie de débordement. Elle fixa sa fille avec un petit sourire en coin, l'air interrogateur.
    – «Bien, maintenant ma chérie, avant de reparler du comportement de ton frère chez sa tante Astrid, tu vas peut-être me dire enfin pour quel motif, certainement justifié, je n'en doute pas, tu lui as encore gratifié le derrière d'une aussi magistrale fessée. Parce qu'elle était vraiment bonne, je n'aurais peut-être pas fait mieux pour lui rougir aussi bien les fesses!»
    – «Oh c'est très simple maman, Il est rentré, une nouvelle fois très en retard avec quelques bières en trop prises avec ses amis de bistrot. Alors je lui ai flanqué la fessée qu'il méritait. D’ailleurs Arnold ne devrait pas y échapper, non plus, puisqu’il était avec lui.»
    – «J'ai vu ça, oui. Tu as bien fait, très bien fait! Même faute, même punition. Si je comprends bien, ces jeunes gens imite le beau père... mais lui... en plein après-midi! Et bien, il va falloir sévir davantage avant qu'ils n'en prennent l'habitude.»
    – «C'est mon avis aussi. Il semble bien que les dernières fessées n'ont pas encore été assez sévères pour servir de leçon, surtout celles de Robin qui commence à les encaisser de mieux en mieux.»

    Gladys sourit et pousse un soupir de satisfaction.
    -- «C’est normal chérie, depuis le temps qu’on le déculotte pour lui claquer le derrière, il devient plus endurant et supporte mieux les fessées. On peut les administrer plus souvent, plus fortes et plus longtemps. A nous d’en profiter... D’ailleurs, je me charge de lui rappeler quelques règles élémentaires de comportement. L'occasion aussi de lui montrer que c'est moi, ici en priorité, qui distribue les fessées!»

    Elle se lève du canapé et, d'un pas assuré, va s'asseoir sur le tabouret à fessées.
    – «Vas me le chercher je vais lui en mettre une tout de suite avant le dîner en complément de service. Ça va me détendre de lui claquer les fesses et de le voir ensuite à table, tortiller du derrière sur sa chaise en grimaçant, dit elle en commençant à retrousser la manche de son chemisier pour dégager la main qui va fesser. Tu me le ramènes ici, le pantalon aux chevilles, prêt à déculotter, ça va être bref, mais intense!»
    – «Tout de suite maman, avec plaisir! J'espère que tu vas lui en remette une bonne!»
    – «Pour ça ma chérie, fais moi confiance! Je vais profiter que son cul doit être encore sensible de la récente fessée que tu lui as mise. Je te garantis que celle là, il va la sentir passer le garçon! Je t'en ficherai moi, des bières en plein après midi! La pression, c'est pas au comptoir, c’est sur les fesses qu’il va se la prendre!»

    Quelques instants plus tard, Patricia, large sourire aux lèvres, revient dans le salon en tenant son frère par l'oreille. La discussion dans sa chambre et les protestations inutiles pendant son déculottage ont vite tourné court. Après une descente d'escalier délicate, claques aux fesses, le pantalon baissé en travers des chevilles, elle le traîne vers sa mère qui l'attend jupe retroussée, toutes jarretelles dehors, mains sur les hanches.
    – «Allez Robin, en position! A mon tour de te mettre ta fessée! Ça commence ou ça finit toujours comme ça... On n'échappe jamais aux fessées de maman!»
    – «Mais... Mais Patricia m'en a déjà...»
    – «Je sais mon chéri, je sais... j'étais là. Mais quand on a maintenant une paire de fesses aussi endurantes que les tiennes, une seule fessée ce n'est pas suffisant. Tu dois t’attendre à t’en prendre régulièrement et des sévères!»
    – «C'est pas une fessée maman... c'est deux qu'elle m'a mises! Et pas des petites… des sévères, tu sais comment elle fesse!»

    Il se tient les fesses à pleines mains. Elles sont encore lourdes et cuisantes. Il les soupèse avec précaution en s’inquiétant de leur capacité à encaisser une nouvelle fessée.…Les fessées de sa mère sont encore plus sévères que celles de sa sœur qui, pourtant, tape déjà très fort. Il pousse un petit gémissement craintif sous le regard ironique de Gladys qui lui sourit d’un air faussement compatissant:
    – «Et alors mon pauvre chéri, une ou deux malheureuses fessées, ça change quoi? De toute évidence, elles n'ont pas suffi à te servir de leçon, donc... il faut prolonger et augmenter les punitions… Comme pour Edouard et Arnold qui en méritent largement autant. Je veux qu’on entende claquer vos fesses plus souvent dans la maison. D'ailleurs, elles récupèrent vite.»

    Patricia, un peu perverse et sans pitié pour son frère qu'elle a tout de même sévèrement corrigé une heure auparavant, intervient avec insistance.
    – «Ah oui, elles sont déjà beaucoup moins rouges! Maman a raison, deux fessées ça ne suffit pas!»
    – «Bien ! On ne va pas discuter plus longtemps. Robin... tes fesses, tout de suite!»

    Gladys a changé d'avis et décide de le corriger dans une autre position qu’assise pour bénéficier d’une plus grande d’amplitude de mouvement et d’une frappe plus efficace. Elle se lève, le saisit par le bras et le courbe sous le sien en le bloquant contre sa hanche, le buste le long de sa cuisse. Elle le soulève du sol pour lui mettre les fesses à la bonne hauteur, bien à sa main. Robin, la tête en bas, le nez au ras du sol, proteste à peine et murmure timidement, pendant qu'elle le déculotte avec dextérité.
    – «Pas... Pas trop fort la... la fessée, ma...maman s'il te plaît…»
    – «Ça mon cher, tu verras bien. C'est moi qui fesse, c'est moi qui décide!»

    L'élastique du slip claque sur les cuisses. Un bruit sec familier, toujours agréable à entendre pour ces femmes sévères, puisqu'il annonce le déclenchement immédiat d’une claquante déculottée. Gladys lève très haut la main au dessus du postérieur tendu de son fils, pour un démarrage nerveux et percutant.

    Patricia, attentive, suit le déroulement des opérations, assise sur le tabouret à la place de sa mère qui ne s'embarrasse pas de préambule ou autre préparation. La fessée part immédiatement à toutes volées et se révèle très vite cuisante, car administrée sans concession sur un derrière encore sous l'effet de la déculottée précédente.

    Les cris de Robin résonnent aussitôt sur le carrelage qu'il mouille, déjà abondamment, de ses larmes. Corrigé direct, sans préparation, il se tortille comme un beau diable sous les grandes claques retentissantes qui lui remettent le feu aux fesses en un rien de temps. C'est que maman ne plaisante pas. Sa main est terriblement plus lourde que celle de la sœur, qui l’a certes, bien claquante aussi, mais tout de même, moins expérimentée. Il lui faudra encore de l'entraînement pour égaler les magistrales fessées de sa mère. Celle ci se fait faussement compatissante et ironise sur la douleur qu'elle inflige à son rejeton.
    – «Mon pauvre chéri... je sais... je fesse fort et ça fait mal… ça chauffe dur! C'est normal pour qu’une fessée soit efficace elle doit être bien claquées. C’est exactement celle qu'il te faut et qui va te faire le plus grand bien au derrière! Ça t'apprendra à rentrer éméché à cinq heures et demi de l'après de l'après midi... et puis quoi encore… Incroyable!» 

    Patricia ne peut s’empêcher d’y aller de ses remarques sarcastiques.
    -- «Pour ce qu’il est question de lui faire du bien au derrière... tu peux y aller maman. Tu as de quoi faire, il y a de la surface… On dirait même qu’il a encore pris des fesses... à force de se prendre des fessées!!»

    La fessée a trouvé son rythme de croisière et les allers et retours retentissent à cadence régulière d'une fesse à l'autre, lorsque le bruit de la porte d'entrée s'ouvrant et se refermant, se fait entendre entre deux claquées. Edouard, attaché case à la main, fait une apparition discrète dans la salon. La vue de Gladys en train de corriger Robin ne lui semble pas de bonne augure. Il esquisse un demi tour stratégique en direction du bureau lorsque la voix autoritaire de son épouse l'interpelle, pendant qu'elle continue à fesser tout aussi vigoureusement le derrière qu'elle a sous la main.
    – «Et bien Edouard mon ami, où vas tu comme ça, et sans dire bonjour en plus? Veux tu revenir ici tout de suite! Tu n'as pas envie d'assister à la fessée de Robin pour voir comment je lui rougis le derrière!»

    Edouard n'a pas l'air du tout emballé par la proposition. L'atmosphère n'est pas à la sérénité. Elle l'est encore moins quand Gladys insiste.
    – «Ne serait ce que pour avoir un petit aperçu de ce qui pourrait arriver à tes fesses dans pas longtemps. Au cas où nous aurions quelques comptes à régler. Assieds toi dans le canapé, et regarde!»

    Edouard s'est débarrassé de ses affaires. Il s'étonne des menaces de sa femme.
    – «Mais voyons Gladys, je ne vois pas ce qui pourrait justifier une fessée aujourd'hui. Je fais attention aux consignes, je suis rentré à l'heure, et...»

    Gladys, continue à claquer le postérieur de son fils avec la même vigueur et sans ralentir la cadence.
    – «Je parle de fessée d'entretien mon ami. De fessée préventive à valeur d'exemple pour rappeler la sanction prévue en cas de dérapage. C'est fou comme des fesses bien rouges et cuisantes peuvent stimuler la mémoire!»
    – «Mais chérie...Je...Je sais... mais...»

    Le regard noir que lui lance sa femme entre deux allers et retours sur les fesses de son grand garçon, suffit à le faire taire. Il n'insiste pas et s'assied docilement dans le canapé devant le spectacle du derrière rebondissant de Robin pris dans la tourmente. Les circonstances lui imposent d'obéir sans discuter. Dans cette maison placée sous le régime d’une stricte discipline, une fessée, est vite arrivée, et peut claquer à n'importe quel prétexte. Lorsque Gladys vient de se chauffer la main sur une paire de fesses, elle peut enchaîner sur une autre, sans difficulté, avec la même constance et la même énergie.

    – «Je peux prendre le relais maman... si tu veux t'occuper d'Edouard», insinue, mine de rien, Patricia, toujours prête à sauter sur l'occasion d'en mettre une.
    – «Là, ma chérie ça devient de la gourmandise... Tu viens de flanquer deux fessées à ton frère il y a à peine une heure. Si Edouard doit être puni, ça sera après le dîner, et de toute façon, c'est moi qui m'en chargerai. En attendant, je vais en finir avec celui là!»

    Joignant le geste à la parole elle termine la correction de Robin d'une dizaine de claques rageusement appuyées sur chaque fesse qui lui arrachent une bordée de hurlement et le laissent écroulé, bras ballants sur sa cuisse. Il n'en finit plus de gémir.

    Satisfaite de sa prestation, Gladys se laisse aller à un petit sourire triomphant.
    – «Cette fois ci je pense qu'il a eu son compte! Ses fesses surtout... C'est par là que passe la prise de conscience!» 

    Elle le pousse sans ménagement et l'expédie au sol où il tombe sur le côté dans une posture ridicule. Le slip tendu en travers des cuisses, le pantalon en accordéon sur les chevilles, il tient ses fesses écarlates à pleines mains en se roulant par terre de droite à gauche.
    – «Ouaaïiïïe, maman! Qu'est ce que ça cuit! Pourquoi tu tapes si fort!!! C'était ma troisième fessée!!»
    – «Ça suffit Robin, arrête de faire ton douillet. Tu as eu les fessées que tu méritais. Continue ton cirque et ta soeur t'en remet une autre immédiatement. Elle ne demande que ça!»

    Patricia jubile en sautant d'enthousiasme sur son tabouret.
    – «Oh oui, oh oui, la fessée! Encore la fessée! Je suis prête! Une autre, une autre!»
    Sa mère refrène ses ardeurs tout de suite.
    – «Toi aussi il faut te calmer ma chérie! Une fessée ça reste une punition avant tout, pas un jeu! Si ça t'amuse, tu peux lui faire monter l'escalier en lui claquant le derrière, pour le reconduire à sa chambre... Mais je ne t'autorise pas plus pour le moment!»

    Fermement stimulé par la main ferme de sa sœur, Robin, les fesses en feu, crépitantes sous les claques, et malgré son slip tendu entre ses cuisses, ne grimpa jamais les escaliers aussi vite. Il arriva an haut, le derrière cramoisi et se précipita dans sa chambre pour aller s'écrouler en larmes sur le ventre en travers de son lit.
    – «Je reviendrai te chercher tout à l'heure pour le dîner et tu auras intérêt à te tenir, correctement à table assis sur ton gros derrière bien cuisant. En attendant digère tes fessées!» ironisa Patricia en refermant la porte de sa chambre.

     

    De rage, et d'impuissance il laboura son oreiller à coups de poing.

    (A suivre)

      

    Une affaire de famille, Chapitre 19

     

    Une affaire de famille, Chapitre 19

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  • Commentaires

    1
    andro
    Lundi 28 Octobre à 11:05

    Lisant ce nouvel épisode "une affaire de famille" je découvre que l'on peut réaliser des martinets sur mesure ! cha alors ! quelle révélation ! mesure de quoi ? j'aimerais avoir des précisions ? 

    j'observe aussi que dans ces dessins, l'ami Peter, évolue dans sa representation sexy des tenues des personnages ..les jupes raccourcissent et .on voit maintenant apparaitre nettement les attaches de porte jarretelles !  et les poitrines débordantes de ces dames !

    très excitant tout ça ! 

    2
    ramina
    Lundi 28 Octobre à 13:42

    Et oui cher Andro...

    On peut fabriquer des martinets à la mesure exact des postérieurs concernés, ou intéressés, pour une discipline plus efficace .  D'ailleurs cela fera l'objet d'une description détaillé dans un autre récit à venir " Le martinet de Clodinet" à paraître bientôt sur cet écran ... Quant à l'ami Peter , il n'est de secret pour personne que son attirance pour les sévères et plantureuses héroïnes des histoires qu'il illustre brillamment, influent considérablement sur sa libido. Je peux même dire que mon pouvoir de séduction l'a considérablement transformé... en bien évidemment. Il est  complètement époustoubourifé, subjugué de fascination par mon plantureux physique, mes tenues glamour sexy, mes lingerie affriolantes et surtout la cuisante sévérité de mes fessées.  Pour tout dire il en rêve la nuit dans son pyjama. Dès lors comme le fait justement remarquer Andro,  pas étonnant qu'apparaissent dans ses illustrations des personnage féminins à mon image, en jupe très courte, en porte jarretelles et bas nylon... De plus, selon moi, les femmes n'ont pas l'exclusivité des bas nylon. Quoi de plus esthétique et émoustillant , surtout, (j'insiste) qu'une virile paire de fesses,    présentée à la fessée dans l'encerclement d'un porte jarretelles, du revers des bas nylon et d'un slip descendu sur les cuisses. J'adore fesser un homme en porte jarretelles, c'est si excitant ! Je n'ai pas besoin d'en convaincre ce cher Andro... et je m'en régale à l'avance . Chaque détail compte pour la réussite d'un bonne séance de fessées... et je sais de quoi je parle, n'est ce pas messieurs ! .  Tante Gladys



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