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Par Souillon le 4 Septembre 2021 à 10:39
Sous son postérieur, un pastiche d'après Baudelaire
J'ai longtemps obéi à une domestique
Dont les longues fessées mettaient mon cul en feu
Elle me commandait d'un air majestueux
Et j'étais son esclave et marchait à la triqueSa large croupe était un beau cadeau des cieux
Et quand je la léchais, dans une ardeur mystique
Elle lâchait des pets dont la douce musique
Et le goût me faisaient monter les larmes aux yeuxJe vivais en soumis, humble, servile et calme
Je pouvais à loisir contempler ses rondeurs
J'étais son esclave et reniflais ses odeursDe sueur, de pipi, mais je donnais la palme
A celle de sa mouille, et pour l'approfondir
Je lui léchais la moule et la faisait jouir.
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