•  Sous son postérieur, un pastiche d'après Baudelaire

     

    J'ai longtemps obéi à une domestique
    Dont les longues fessées mettaient mon cul en feu
    Elle me commandait d'un air majestueux
    Et j'étais son esclave et marchait à la trique

    Sa large croupe était un beau cadeau des cieux
    Et quand je la léchais, dans une ardeur mystique
    Elle lâchait des pets dont la douce musique
    Et le goût me faisaient monter les larmes aux yeux

    Je vivais en soumis, humble, servile et calme
    Je pouvais à loisir contempler ses rondeurs
    J'étais son esclave et reniflais ses odeurs

    De sueur, de pipi, mais je donnais la palme
    A celle de sa mouille, et pour l'approfondir
    Je lui léchais la moule et la faisait jouir.

     


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