• Mon épouse Maîtresse Chapitre 3

    Récit, inspiré et enjolivé d'après une anecdote vécue par Clodinette.  Toute ressemblance avec la réalité n'est donc pas le fruit du hasard, les situations sont véridiques, seul le nom des personnages a été changé.


     Mon épouse Maîtresse 

     Chapitre 3 : La punition 

     

    Cela faisait à peine dix minutes que ma fessée avait atteint son rythme de croisière, sous l’impulsion de Madame Alex (je trouve ce diminutif plus évocateur) que mes fesses, qu’elle faisait sévèrement rebondir sur ses cuisses, étaient déjà en mode feu continu. Il faut dire que, même si elle ne m’avait pas déculotté, mon slip en dentelles, transparentes, était si fin et si moulant, qu’il ne protégeait pas grand-chose de mes arrières. D’autant plus qu’elle m’en avait étiré les élastiques dans la raie des fesses pour bien les dégager.

    De toute manière je sais depuis longtemps que les fessées à travers le nylon sont elles aussi très cuisantes. C’est une matière qui a la propriété d’entretenir terriblement la chaleur. Alors déculotté ou pas, les fessées sont toujours très douloureuses, surtout quand on tape aussi fort que madame Alex. La garce, elle fesse dur! Et je reconnais que son idée de faire carreler le sol à l’endroit où elle corrige ses punis, est carrément diabolique, voir perverse, cela amplifie le rendement sonore des claques. J’ai l’impression que mes fesses sont encore plus retentissantes que  d’habitude, avec une sensation de cuisson plus intense.

    Je commençais à émettre quelques gémissements lorsque madame Alex s’est soudain arrêtée. Je n’en croyais pas mes fesses, qui continuaient à tressaillir de douleur sous l’effet de la dernière claquée, dont le bruit résonnait encore dans toute la pièce. J’entends la forte femme m’interpeler d’une voix agacée.
    - «Je ne me trompe pas, j’ai bien entendu ce que vous venez de dire?» dit-elle en posant sa main chaude sur mes fesses brûlantes, comme pour me signifier qu’elle n’en n’a pas terminé avec mon derrière qu’elle maintient à sa disposition.
    - «Euh oui, peut être… je ne sais pas... qu’est ce que j’ai dit?»  

    Davantage préoccupé par la cuisson de mes fesses, j’ai vaguement conscience d’avoir fait allusion aux fessées de mon épouse maîtresse. Ça a dû m’échapper, mais je réalise, au ton de la sévère dominatrice, que j’aurais peut être mieux fait de me taire… On dit que le silence est d’or, et la parole d’argent. La mienne en ce moment serait plutôt du cuir dont on fabrique les lanières de martinet.

    Je n’ose pas me redresser et, prudent, je reste en position, les fesses en l’air, en pleine cuisson, dans l‘attente fébrile des consignes. Bien que sur la défensive, je sens malgré moi mon corps malmené et tendu, se relâcher lentement sur les fortes cuisses de ma fesseuse. L’attente ne  dure pas longtemps.
    - «Relevez-vous, Justinet, et mettez vous debout devant moi, les mains dans le dos, au garde à vous! Et interdiction de vous frotter le derrière sinon c’est une nouvelle fessée immédiatement. Et des fessées, j’en ai plein la main, à disposition de vos fesses… je ne demande que ça!»

    Encore sous le coup de la magistrale fessée, je m’exécute, à moitié étourdi. Les chevilles entravées par mon pantalon je dois m’y reprendre à plusieurs fois avant de me redresser. J’y arrive péniblement en grimaçant, tant les fesses me cuisent. Je me relève, sous les sarcasmes de mon implacable dominatrice que mes mouvements ridicules amuse beaucoup. Devant mon regard ahuri elle précise avec un petit sourire désinvolte en regardant, entre mes jambes, la protubérance qui gonfle mon slip de nylon.
    - «On dirait que ça vous excite les fessées hein…Votre engin, aussi est au garde à vous! Il est déjà tellement raide qu’il va bientôt déborder de votre slip!»
    Elle me regarde par en dessous, en retendant ses jarretelles avec un petit sourire ironique, plein de sous entendus.
    - «Au moins vous avez su vous retenir pour éviter de jouir sur mes bas nylon. Quand ça arrive à un client, je le met à genoux entre mes cuisses et je l’oblige à nettoyer mes bas et mes jarretelles avec la langue.»
    Elle rit avec désinvolture, comme si ce qu’elle racontait était purement anecdotique.
    - «Le plus humiliant c’est d’aller chercher ce qui est incrusté dans les boucles, sous les attaches. Si le travail est bien fait, je le récompense en lui flanquant une nouvelle fessée. Si c’est mal fait, je lui en remets une aussi, pour négligence. Dans les deux cas, c’est la fessée, impossible d’y échapper… J’adore fesser!»

    En temps normal, si je peux dire, moi aussi, lécher les jarretelles de ma fesseuse, après avoir joui sous la fessée, ça m’aurait plutôt amusé. Mais dans le cas présent, ma situation devant la dame fesseuse ne le permet pas. D’autant plus qu’elle prend un ton plus inquiétant.
    - «C’est donc de votre épouse que vous venez de parler… Une épouse maîtresse comme vous dites, c’est bien ça?»

    Apparemment j’aurais dû m’abstenir… J’ai fait une gaffe… Mes fesses serrées dans mon petit slip me cuisent terriblement et rajoutent à mon malaise. Je tente une diversion en jetant un œil furtif sur les superbes photos accrochées aux mur. Les flamboyants fessiers, corrigés par madame, attirent irrésistiblement l’attention. Je ne pense pas que le mien soit déjà aussi rouge, mais, vu les circonstances, ça ne devrait pas tarder. Surtout qu’Alex s’impatiente et adopte un ton familier, pour mieux me rabaisser. Elle ne m’appelle plus ‘’monsieur’’.
    - «Et bien Justinet, je vous ai posé une question… j’attends... et ce n’est pas bon pour vos fesses mon ami… je suis persuadée qu’un deuxième service, les ferait encore monter en couleur et en cuisson! Alors dites moi, votre femme vous corrige…sur demande. Elle est dominante et vous soumis… c’est bien ça?»

    Qu’est ce que je peux répondre d’autre, puisque c’est la vérité. Je confirme d’un mouvement de tête résigné. Ce que je ne comprends pas, c’est que ça a l’air de la contrarier, du coup, moi aussi. Mon ‘’fifi’’ tout frétillant d’enthousiasme sur ses cuisses pendant qu’elle me claquait le derrière, est redescendu au fond de mon slip en dentelle, aussi vite qu’il était monté. Jusqu’ici tout allait bien, j’ai pris ma fessée…une sévère même, comme j’en avais besoin et voilà que tout se complique parce que j’ai parlé de mon épouse maîtresse.

    Madame Alex, me regarde comme si j’étais un hamster, coincé dans sa roue en train de pédaler dans le vide. Elle a un gros soupir d’exaspération qui soulève sa lourde poitrine débordante des balconnets de son bustier en dentelle rouge.
    - «Si je comprends bien Justinet, vous n’êtes jamais satisfait» s’exclamt-elle en croisant les jambes pour faire crisser ses bas nylon sur ses cuisses.
    J’adore ce son si excitant que je retrouve sur mes jambes épilées quand j’en porte des bas, comme en ce moment. Ça, plus le décolleté ravageur de mon hôtesse, toutes jarretelles dehors, la cuisson de mes fesses, les photos de fessées sur les murs… autant de merveilleux stimuli. Je sens mon ‘’fifi’’ s’exciter et reprendre de la hauteur, à l’insu de mon plein gré.
    - «C’est tout de même incroyable!» poursuit ma fesseuse qui fait semblant d’ignorer la torture qu’elle inflige à ma libido. «Madame s’occupe de vos fesses, à la maison, autant qu’il vous faut , mais ça ne suffit pas!!»

    Je n’ose comprendre, et me dandine d’un pied sur l’autre en me tenant le derrière à deux mains, malgré l’interdiction. Au point ou j’en suis… Je réponds sans conviction, à la question qu’elle ne m’a pas posée.
    - «Mais… mais je n’ai pas dit ça… et puis, quand même, je suis votre client, je vous paye pour ça!»
    La réponse est cinglante et me laisse comme une paire de fesses surprises par la première claque d’une fessée déculottée.
    - «Ce n’est pas une raison mon cher, ni une question d’argent. Quand on a la chance d’avoir une maîtresse à la maison, on ne va pas en chercher une autre ailleurs!» 

    La réplique claque aussi fort que sa main sur mes fesses il y a un instant. Rien à redire, je dois reconnaître, à l’évidence, qu’elle a raison. Limite si je ne commence pas, soudain, à culpabiliser. Comme si je venais de prendre conscience des conséquences de mes impulsions et de mes actes, en me demandant ce qu’il m’a pris de venir ici. Madame Alex me lance un regard lourd de sous entendus, dans lesquels je crois deviner, solidarité féminine oblige, une forme de complicité entre dominatrices. Je dois, moi aussi ,avoir une part d’intuition féminine, car je lis dans ses yeux lourdement fardés, qu’elle pourrait bien prendre l’initiative de me punir pour mon infidélité à ma maîtresse. Elle a deviné aussi ma pensée. La probabilité d’un retour de fessée sur ses genoux pour une nouvelle séance, se fait de plus en plus plausible.
    - «Oui mon cher, vous l’avez pensé si fort que je l’ai entendu. Puisque vous êtes là à ma merci...Vous savez ce que vous méritez et dont je vais faire profiter votre insolent postérieur de mari infidèle?» 

    Je viens de gagner une tournée de fessées supplémentaires. Mes fesses frémissantes se serrent autour des élastiques de mon slip enfoncé dans la raie. La sensation n’est pas désagréable si ce n’était l’atroce cuisson des deux hémisphères rebondis qui frottent l’un contre l’autre. 

    La forte femme n’y est pas allé de main morte sur ma première fessée. Je jette un œil dans la glace par dessus mon épaule. La transparence de mon slip, laisse voir mes fesses, encore gonflées de claques, enluminées d’un resplendissant rouge écarlate, largement réparti sur toute la surface. Surtout celle, plus exposée qui déborde des élastiques. Cuisant témoignage de la magistrale fessée qu’elle vient de m’administrer, et pourtant sans doute interrompue avant son terme. La chaleur persistante est telle que je me demande comment je vais en supporter une deuxième. Surtout si elle me déculotte et tape toujours aussi fort. Mais encore une fois, volontairement ou non, je n’ai rien fait pour éviter ça. Ce doit être mon côté masochiste qui revient au galop…

    La voix autoritaire d’Alex interrompt mes réflexions sur l’avenir immédiat de mes fesses.
    - «Nous sommes d’accord que vous avez mérité une deuxième correction pour votre manque de respect à votre épouse. Vous devrez lui avouer ce que vous avez fait et lui raconter en détail la punition que je vous ai infligée en conséquence. Je ne doute pas de de la raclée qui devrait suivre et que vous aurez amplement méritée!»

    Manquait plus que ça… telle que je connais Jade, elle va être furieuse et je vais salement dérouiller. Mon pauvre Justinet , dans quoi tu t’es embarqué. Tu voulais de la fessée ...tu en as et tu vas en avoir, au-delà de ce que tu espérais. Je joue le mari contrit, en exagérant un peu.
    - «J’ai sans doute mérité une punition, mais vous ne savez pas à quel point, Jade est sévère quand elle est en colère... très sévère!»
    - «Oh, ça mon ami, ce n’est pas mon problème, il fallait y penser avant! Occupez vous plutôt de préparez vos fesses!! Vous avez aimé la fessée sur le slip, vous allez adorer la fessée déculottée!!»

    Je n’ai pas le temps d’argumenter davantage et de toute façon, madame n’est pas de genre à se laisser apitoyer. Elle est là pour fesser… alors elle fesse, et elle fesse bien! Tu l’as voulu, tu l’as eue!

    Elle m’a envoyé au coin, le temps de s’assouplir le poignet et de lui redonner toute sa vigueur. Je ne sais pas ce qu’il me prend, j’ai le malheur, ou l’inconscience de lui demander pour combien de temps.
    - «Vous verrez bien, ça suffit. J’ai dit, le nez contre le mur, les mains sur la tête, reins cambrés, les fesses rouges  bien en évidence! Je ne veux plus vous entendre!»

    Impressionné par la marque d’autorité de la maîtresse femm, je prends la position exigées sans savoir combien de temps j’allais devoir rester là, avant de prendre ma fessée. D’habitude Jade m’envoie au coin où je dois rester, les fesses à l’air, bien exposées, pendant un bon quart d’heure… ça y est, voilà que je pense encore à mon épouse, ma vraie maîtresse… il faut que j’arrête, ou je vais finir par partir en courant. En tout cas, la méthode de Madame Alexandra est claire, me  maintenir dans l’angoissante attente de la fessée au point de finir par souhaite qu’elle arrive. Pensant naïvement pouvoir lui reposer la question, après tout j’étais son client, je me retournais en prenant la précaution de garder les mains sur la tête:
    - «Pardonnez moi, mais pensez vous que...»
    Je n’ai pas le temps d'en dire plus.
    - «Ne vous ais-je pas dit que je ne voulais pas vous entendre? Quand on est puni au piquet, on y reste en silence!»

    Elle me saisit alors par l’oreille et me traîne d’autorité vers le deuxième tabouret placé à côté de l’autre, au milieu du salon. Courbé en deux, les chevilles empêtrées dans mon pantalon, je peine à me déplacer. Elle n’en a cure, me traîne avec fermeté sur le lieu de ma nouvelle fessée. Elle s’installe sur le tabouret qui émet comme une plainte grinçante sous le poids de son lourd fessier. Puis d’un geste naturel retrousse sa courte jupe jusqu’aux jarretelles, impeccablement tendues sur ses belles cuisses gainées de nylon noir. Je n’ai pas vraiment le temps de m’en régaler, qu’elle m'allonge à plat-ventre sur ses genoux et referme ses cuisses sur mon sexe. Il frétille de bonheur au contact soyeux de ses bas nylon. Mon ventre glisse sur ses jarretelles pendant qu’elle descend mon pantalon plus bas, jusqu’à mes chevilles. Par jeu, pour offrir un semblant de résistance, je tente bien de me relever, mais je ne peut lutter contre le bras robuste de la forte femme qui, pesant sur mon dos, me maintient bien en place. Lorsque je la sens saisir  l'élastique de mon slip de dentelles  je porte instinctivement la main à mes fesses en essayant, pour la forme, d’empêcher le déculottage.
    - «Allons, allons monsieur Justinet, n’essayez pas de vous rebeller, je suis plus forte que vous. Aucune paire de fesses ne me résiste et j’en ai mâtées de plus récalcitrantes. J’ai dit, fessée déculottée, et vous allez l’avoir. Continuez comme ça et je vous en mets deux au lieu d’une!» 

    Autant dire que ça calme. Sûre de sa force, elle me maîtrise sans difficulté, me replie le bras dans le dos et, avec un sourire satisfait, n’a plus qu'à me déculotter tranquillement d‘une seule main. Elle émet un petit claquement de langue satisfait.
    - «Si vous saviez comme c’est excitant de déculotter une paire de fesses déjà rouge et cuisante d’une précédente fessée pour lui en flanquer une autre par dessus. J’ai beau en administrer souvent, je ne m’en lasse pas… les fesses sont tellement plus retentissantes quand elles sont bien cuisantes… C’est que du bonheur à claquer...!»

    Encore une fois , je ne sais pas trop quoi répondre , surtout qu’elle continue à me faire la conversation, le plus naturellement du monde, comme si de rien était.
    - «Maintenant, vous savez, que je suis intraitable sur la présentation des fesses que je corrige. Je veux des fesses bien tendues, déployées, arrondies à ma main, en bonne disposition, pour montre qu’elle sont prêtes à claquer sous la fessée.»
    – «Oui … oui Madame... je sais…»
    Même si je n’en ai pas vraiment envie, j’ai intérêt à répondre correctement aux questions qu’elle me pose, alors que mes fesses, déculottées, sont en exposition, sur ses cuisses. Elle continue, imperturbable, pour le plaisir d’augmenter mon appréhension.
    – «Vous avez aussi compris que j’aime fesser fort.»
    – «Oui madame, je sais… vous aimez fesser fort.»
    – «Alors, appliquez vous à bien me présenter vos fesses et les tenir en bonne position pendant toute la durée de la fessée. Je déteste être obligée d’interrompre une fessée en cours pour remettre un derrière en place.»

    En appui sur les mains, le haut du crâne près du carrelage, je pousse sur les bras, m’efforçant à déployer mon postérieur vers ma fesseuse, et le lui mettre à sa main pour une reprise efficace de ma fessée. En bon soumis, docile et obéissant, Jade m’a dressé à favoriser le bon déroulement de mes propres fessées. Madame  Alex, me descend le slip au milieu des cuisses où elle s’amuse à faire bruyamment claquer l’élastique. C’est le signal de départ de la fessée.

    Je serre les dents instinctivement, mais surtout pas les fesses, sachant par expérience que ça les rend plus dures, donc plus douloureuse sous les claques. Mais non, la belle garce, prend son temps et me fait encore attendre. Elle me caresse les fesses, les tapote affectueusement du plat de la main pour les faire rebondir dans sa paume et me signifier  qu’elle en reprend possession. Je  gémit sourdement, le nez sur le carrelage. Dans mon champs de vision au ras du sol, les talons aiguille de l’élégante femme et la couture de ses bas nylon  qui soulignent le galbe de ses mollets cambrés.

    Je n’ai guère le temps de m’émoustiller car sa main ferme et bien enveloppante se remet en action pour claquer de nouveau, avec force, sur mes fesses. Implacable, plus lourde et plus serrée, la fessée remonte très vite en puissance, dépassant la précédente en intensité. 

    Madame Alex a maintenant, confortablement à sa main, mon volumineux postérieur, déjà bien cuit, qu’elle fait rebondir sur ses cuisses avec entrain. Elle le tient fermement en respect sous le feu de la magistrale fessée déculottée qu‘elle m’administre en deuxième partie de punition. Elle me fesse avec toute la sévérité requise, comme elle estime naturel de procéder pour sanctionner les outrances de comportement inadmissible du mari irresponsable que je suis . Elle me refesse pour me punir de trahir mon épouse. Et elle fesse fort, à cadence régulière, pleine fesses d‘abord, puis alternativement sur chaque fesse, en plusieurs rafales sur une seule, pour passer à l’autre et lui infliger le même traitement.

    Cette fois ci, je l’ai ma fessée, déculottée, superbe, implacable, magistrale. Elle me l’inflige au rythme de sa main cuisante, qui virevolte d’une fesse à l’autre en les faisant rebondir en cadence sur ses genoux. Mon ventre et mon sexe, au bord de l’explosion, s’irritent sur le nylon de ses bas et ses jarretelles tendues sur ses fortes cuisses. Madame Alex fesse, et en bonne professionnelle, s’offre le luxe d’ironiser en me donnant une leçon de fessée.
    - «Alors monsieur Justinet… heureux! On se la prend bien sa fessée… on la savoure...on la sent claquer sur ses grosses fesses déculottée? Hein  Vous entendez  ce claquement de fesses bien sec et régulier, comme celui d’un métronome? Le sens de la régularité, Justinet, c’est si important…. Fesse droite – fesse gauche! Fesse gauche –fesse droite – fesse droite – encore fesse droite – et re-fesse gauche. Ça claque bien n’est ce pas! Une solide fessée bien sévère, comme j’aime à les administrer, ne peut se concevoir sans un bon sens du rythme. C’est le rythme qui permet ensuite d’improviser et de varier l’effet des claquées pour rendre la fessée plus cuisante… plus efficace.  C’est amusant non? Et ça chauffe bien!»

    Pour chauffer, ça chauffe dur. Elle enchaîne par une formidable volée de claques retentissantes qui, je le sens bien, sont en train de me monter les fesses de l’écarlate au cramoisi. La garce tape fort. J’ouvre la bouche, mais, dans un premier temps, je suis incapable de sortir le moindre son. Bien décidée à me flanquer une fessée magistrale, Madame Alexandra, en professionnelle, rompue à l’exercice, reprend naturellement son rythme de croisière, ajustant les claquées avec une redoutable précision, en allers et retours alternativement sur chaque fesse. Fruit d’une pratique régulière, il sautait aux yeux et surtout à mes fesses, qu’elle avait l’habitude de claquer des derrières. Elle fessait bien. Cuisant, claquant, sec et serré, avec l’aisance que procure une longue expérience de la fessée.

    Elle fessa dur pendant un bon quart d’heure et suspendit la fessée, la main brûlante au dessus de mon  fessier en pleine cuisson, prête à renvoyer une nouvelle tournée.
    - «Dorénavant, monsieur Justinet, vous vous dispenserez d’aller chercher ailleurs les fessées que vous avez à la maison… In… ter… dic… tion…!»

    Elle avait ponctué chaque syllabe des mots de sa dernière phrase par une claque bien appuyée sur mes fesses largement déployées sur ses cuisses. Je réagis par autant de plaintes étouffées. Il me reste encore un peu de dignité, même, déculotté, à plat ventre sur les genoux d’une dame.
    - «Est-ce bien compris?»
    Elle ne me laisse même pas le temps de reprendre mon souffle pour répondre, qu’elle reprend déjà la fessée, sans pitié.
    - «Est-ce bien compris?»
    - «Oui, j'ai compris!»
    - «Oui qui?»
    Et ça repart aussi sec pour une nouvelle volée de claques rythmée cette fois par mes cris désespérés.
    - «Oui madame! Oui madame! Ouiiiiiiiii Madame! Ouiiii Maaadame!»
    - «Vous voyez quand vous y mettez de la bonne volonté!»

    Sa phrase est à peine terminée que la fessée recommence à claquer et de plus en plus fort. Imperturbable, Madame Alex s’applique à tenir la bonne cadence pour maîtriser  les tressautements de ma paire de fesses qui se tortille sur ses jarretelles au rythme infernal de la fessée. Elle insiste, sans états d’âme, à la faire durer tout le temps qu’il faut  pour obtenir en récompense, mes premiers sanglots. Cette femme est infernale. De nouveau elle suspend la fessée, la main en l’air, chauffée à blanc, en préparation de la fessée suivante.
    - «Ecoutez moi bien Monsieur Justinet, vous allez avouer votre infidélité à votre maîtresse chérie et lui raconter en détail les fessées que je vous ai administrées ici?»
    - «Oui, Madame, oui!»
    - «Je n’ai pas bien entendu!»

    Je suis sûr que si, elle a parfaitement entendu, mais ça repart immédiatement en claquantes rafales sur mes fesses que je vois dans la glace, maintenant aussi rouge que son bustier en dentelles. Ah je suis servi! J’en bave de douleur. Sous l’impulsion de l’impitoyable fesseuse ma paire de fesses enluminée se remet en mouvement sur ses cuisses suivant, le rythme trépidant des claquées qu’elle m’allonge à pleine main. Et quelle main! Ça fesse dur, ça claque sec en rafales retentissantes, ça crépite, ça cuit en profondeur jusque dans la raie des fesses. Encore une bonne cinquantaine d’allers et retours, sur chaque fesse et la fessée cesse enfin. Cette fois j’ai mon compte. Du moins c’est ce que je crois.

    Car pour autant, Madame Alex ne relâche pas sa prise qui maintient mes fesses à disposition de sa main.
    - «Dès que je vous serez rentré chez vous, vous irez tout avouer à votre vraie maîtresse. Et, je n’en doute pas, c’est elle qui vous flanquera la raclée  que vous avez mérité pour votre trahison!»

    Je pensais la fessée terminée, mais elle me distribue encore une tournée de claques, de plus en plus cuisantes, sur les fesses. - «Vous êtes certain d’avoir bien compris… Vous le ferez?»
    Dompté, je répond immédiatement entre deux hoquets douloureux.
    - «Oui, Madame, je le ferai !»
    - «Et bien pour être certaine que vous n’oublierez pas, une petite dernière pour confirmer la fessée précédente… la meilleure!»

    Implacable, elle recommence à me faire sauter les fesses à grandes claques retentissantes.
    J’ai des larmes plein les yeux qui brouillent ma vue. Je vois du rouge partout, les rideaux du salon, le velours du canapé, les photos de fessées au mur, le bustier en dentelles de madame Alex dans la glace. J’y vois horrifié mes propres fesses virer au rouge cramoisi sous sa main atrocement cuisante. Et, la terrible dominatrice continue à fesser avec une sévérité croissante, prenant plaisir à ponctuer les claquées de commentaire aussi ironiques qu’humiliants.
    - «Vous entendez ça Justinet, vous entendez comme ma main claque fort sur vos fesses! Tendez-les bien, encore, mieux que ça, comme votre femme vous l’a appris! Aaaah comme c’est excitant de cuire et rougir une aussi belle et virile paire de fesses, encerclée de jarretelles! Même vos jambes aux bas nylon se mettent à battre la mesure!»

    C’était vrai, et le pire c’est que je ne pouvais pas m’en empêcher, comme de tortiller frénétiquement du derrière sous les claques. Ah cette fois ci je l’avais ma correction et une sacré sévère. Infatigable, elle a de l’entraînement, Madame Alex ne se lasse pas de me faire sauter les fesses sur ses genoux. Un vrai marathon de la fessée! Elle jubile même.
    - «Et on continue en cadence, fesse droite - fesse gauche, en plein milieu sur la raie, et tonique bien ajustée sur les deux fesses en même temps entre les jarretelles! C’est la fessée surprise, impossible de savoir sur quelle fesse je vais taper! Vous attendez la claque sur la fesse gauche...clac!! Je la mets sur la droite! Vous pensez la prendre cette fois à gauche… perdu je te la remets à droite! Amusant no? … clac! Maintenant au milieu et a chaque fois plus forte et plus cuisante! J’adore l’effet de surprise!»

    Ces derniers mots s’accompagnèrent de trois magistrales aller et retour plus appuyées qui résonnèrent sur mes fesses et retentirent en écho à travers toute la pièce. La fessée étant achevée, ma dompteuse me laissa un moment écroulé sur ses genoux à reprendre péniblement mon souffle.

    Mes fesses cramoisies venaient de faire le plein et me cuisaient  tellement que je pensais ne pas pouvoir me reculotter tout de suite. Alex ne me laissa pas le choix et, au prix de d’atroces contorsions, je dû me reculotter devant elle, en ajustant mon slip, tendu à craquer sur une paire de fesses en feu qui me paraissait avoir doublé de volume. Elle ne m’épargna rien, en m’obligeant à me redéculotter pour les prendre en photo et enrichir sa collection. Je ne vous raconte pas le supplice du deuxième reculottage.

    Pour parfaire mon humiliation, la diabolique créature m’a fait mettre à genoux sur le tabouret et s’est amusée à me reculotter, plié en deux, la tête coincée entre ses fortes cuisses. Mes fesses avaient tellement gonflées sous les claques qu’elle m’obligea à tortiller honteusement du derrière pour réussir les caler dans mon slip tendu à craquer.
    - «Voyez, je savais bien que ça finirait par rentrer!» ironisa-t-elle en étirant sans pitié le nylon sur mes rondeurs fessières en feu. «Evidement ça serre un peu. L’avantage  c’est que vous allez ressentir la cuisson plus longtemps. Cela va vous rappeler au bon souvenir de ma main claquant sur vos fesses...»

    Elle ne croyait pas si bien dire. Je sortis du salon rouge de madame Alexandra  le derrière de la même couleur, entièrement cuit, solidement reculotté dans mon slip de nylon plein à craquer. Je dû marcher vers le taxi que j’avais appelé, en tortillant outrageusement des fesses dont le simple frottement, l’une contre l’autre, ravivait l’atroce chaleur des fessées. Je suis rentré à l’hôtel à peine assis sur la banquette de la voiture, en changeant de fesse toutes le deux minutes.

    Je fis mon retour à la maison le lendemain matin, les fesses encore rouges et cuisantes, toujours aussi volumineuses, serrées dans mon petit slip de nylon. En garçon docile et obéissant, soumis aux injonctions de madame Alexandra, et ne pouvant échapper aux questions de mon épouse, je racontais ma séance de fessées d’hier soir. Contrairement à ce que j’avais imaginé, Jade ne montra aucune colère, au contraire, elle pris un ton calme et posé, pour ironiser.
    - «Déculotte-toi pour que je vois comment cette dominatrice a bien préparé tes fesses pour la correction amplement méritée que je vais te mettre maintenant.

    Après avoir examiné, tapoté, soupesé mon derrière marqué des fessées de la veille, elle désigna la  table basse du salon d’un doigt autoritaire.
    - «Allonge-toi là, à plat ventre, les reins creusés, fesses en l’air, bien déployées...  Madame Alexandra a raison. Je vais te montrer ce qu’il en coûte d’aller voir ailleurs!»

    EIle commença, alors, à m’administrer une formidable raclée au cours de laquelle tous les instruments de discipline allaient être utilisés

     

    Mon épouse Maîtresse Chapitres 3

     

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    1
    PeterPan
    Samedi 9 Mars à 09:09

    Bonjour amis des maitresses en maillot de b... non, en bustier rouge,

    "Qu'allait-il faire dans cette galère ? ". Madame Alex n'apprécie pas qu'on la prenne pour une cruche !! Et Justinet le Bon paye les frais de son irrépressible envie de fessée, comme d'autres d'une coupe de fraises-Chantilly. Chacun ses goûts... A propos de goût, le popotin  de Justin (ça rime bien ! ) est aussi écarlate que ces fruits rouges !! Et surement aussi gonflé qu' une montgolfière un jour de grand vent !!! Pas malin lui non plus ! Parler de sa délicieuse et sévère épouse à Madame Alex Andra. Rien n'est plus frustrant et indélicat pour une dame que d'être comparée à une autre ! Il en va de leur  dignité personnelle . Les Femmes fortes donnent des fessées fortes ! Et il a de la chance : il n'a pas "relâché ses émotions" sur les bas de Madame Alexandra !  Sinon, c'était le groooos martinet et cul nu !!  " "Rien ne sert de courir, il faut fesser à point ! " (merci Jeannot Du Robinet). Ca va chauffer !!! 

    Peter. 

    2
    ramina
    Samedi 9 Mars à 12:54

    Amis des Aventures torrides des fesses de Justinette... Bonjour,

    Mais c'est qui t'est ce donc ce " Jeannot du robinet " ? Mystère et boule de gomme ? Toujours aussi imaginatif le Peter... Pan dans le mille ! Tellement qu'on comprends pas toujours tout ça qu'est ce qu'y veut dire le bougre ! ...C'est son monde à lui,  le petit monde de Don Peterio... ( comprenne qui pourra ) Mais l'a raison, Peterio, ... qu'allait donc faire Clodinette dans cette galère ? Car, on ne peut rien vous cacher   il s'agit bien de notre chère Clodinette, rebaptisée ici Justinette, toujours aussi distinguée, en lingerie sophistiquée: slip en dentelles, porte jarretelles et bas nylon ... comme le prouvent les images prisent sur le vif.  L'Histoire est exagérément romancée bien sûr, mais sur un fond de vérité.  Solidarité entre dominatrice  oblige Madame Alexandra punit l'infidèle et l'oblige à tout avouer à son épouse maitresse ...  Faudrait -il une suite à ce récit ? Un quatrième épisode, pour décrire la véritable correction que Madame, très en colère ( contrairement au récit)  infligea à son époux dévergondé... certains le disent... Les fesses du soumis supporteraient elle une nouvelle déculottée ? Fessées avouées, seraient elles à moitié pardonnées ? En mériterait il vraiment une autre après ses aveux et son sincère repentir?  Serait il cette fois capable de se retenir de jouir sur les bas nylon de son épouse chérie ? Tant de questions qui demeurent sans réponse comme le mystère qui reste, entièrement, entier du " Le Jeannot du Robinet " !   Ramina

     

      • PeterPan
        Samedi 9 Mars à 13:46

        Bonjour éminent confrère en biographie appliquée, 

        Mais co... comment cela  ? Un expert en littérature comparée de votre qualité ignore cet auteur prolifique, jadis lu dans nos vertes années???? Diiiaaaable !! Voilà qui est curieux !! Non ? Mais en décortiquant ma dernière phrase, on peut le deviner : "Rien ne sert de courir ! Il faut partir à point !" Lequel est-il donc ???  Mais il s'agissait bien sûr de la 1ère phrase de la fable "Le lièvre et la tortue " de ce bon Monsieur Jean De La Fontaine, alias "Jeannot du Robinet ! "...  Robinet... fontaine... Fortiche, Pit l'astuce !! Comme disait feu-l'humoriste Elie Kakou: "T'y'as compris le coup ? Après j't'explique ". Quant à la suite cuisante   à donner aux fessantes aventures justinesques de Justinet Bridouxe , il faudra voter à main levée... "- Qui est pour ? (...) bien. Qui est contre ? (...) oui . Les nipournicontre ? Bien ". Reste à convaincre Tante Jade...  Et c'est pas une mince affaire..            Sur ces mots, messieurs, le bougre vous salue bien  (Hi hi hi !)

        Pit- école-et-gramme.

    3
    ramina
    Samedi 9 Mars à 13:58

    Bonjour Pit',  de pire en Pitre...

    Ah yess mon signor! Il faut une carte d'état major une boussole et quinze jours de vivres et de munition pour suivre notre génie du jeu de mot en cascade ... de jeannot  du robinet , à Jean de la Cascade il n'y a qu'un pet de lapin!   Ramina

     

    4
    clodinette
    Mardi 12 Mars à 09:56

    Je nie tout en bloc …. j'ai toujours été et serais toujours un(e) clodinet(te)bien sage et jamais ,au grand jamais, je n'irais tromper ma Maîtresse avec une gourgandine ou autre dame étrangère !

    Je serais quand même,bien curieuse de découvrir la suite des aventures de ce personnage imaginaire ( Justinet(t ):quel nom ridicule!!!) sorti de l'esprit fantasmagorique de cet excellent écrivain amateur de fesses et de fessées  Ramina…..Il est encouragé dans ses œuvres (ecrites et non vives!) par le non moins excellent écrivain et dessinateur sieur Peter ! Le tout aux bons soins de l'éditrice infatigable et insatiable Tatie Chérie !!!

     

    Clodinette (la vraie !)

      • PeterPan
        Mardi 12 Mars à 10:32

        Bonjour ma bonne Clodinette, 

        Je vous vois déjà rouge de colère !! Seriez vous le jouet d'un sosie qui ferait preuve d'une imposture à votre égard ?? Voilà qui est bien mystérieux !! Je ne doute pas une seconde de votre fidélité absolue. Ce Justinet  mériterait une inoubliable fessée déculottée dans les règles de l'art  en public et en présence de ces dames !!! Cependant, ne mettons pas le martinet avant les pleurs et attendons la suite des évènements qui semble prometteuse...

        Peter.

    5
    ramina
    Mardi 12 Mars à 12:15

    Chers auditeurs... bonjour

    On comprend les mesures de précaution de notre très chère Clodinette, héroine, à l'insu de son plein gré, (?)  dans cette histoire de vie très privée ... Privée de quoi ? Certainement pas privée de fessées dans cet épisode entre fiction et réalité . Mais alors ... quelle est donc la part de l'imaginaire et du véritablement vrai ?  Madame Alexandra a t elle vraiment existé ? Le salon rouge est il une invention d'un esprit malin? Justinet( te)  serait il  (elle) le sosie ( comme le suggère l'inspecteur Peter ) de Clodinet (te) ?...Son clone? Son cousin germain? , L'amateur de ( plantureuses) paires de fesses et de (cuisantes) fessées que je suis, se demande lui même quel est le vrai du faux dans tout ça. Ramina , embarqué dans une histoire sans queue ( encore que ...) ni tête, qu'il aurait entièrement inventée ... un peu, beaucoup, passionnément, pas du tout ! Malicieuse Clodinette qui sait si bien brouiller les pistes et les fausses pistes... Y a des fessées qui se perdent ! Ramina



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