• Mes punitions par Marraine

    Une histoire dans j'ai trouvé l'original, signé Philippe Montebourg, sur https://malespank.net/viewStory.php?id=12689

    Je l'ai assez enjolivée à mon goût.


    Mes punitions par Marraine

     
    J’ai eu droit à quatre années d’éducation sévère de 1959 à 1963 (j’ai aujourd’hui 62 ans; donc, vous pouvez faire le calcul, j’avais entre 16 et 20 ans).

     

    Jusqu’à l’âge de 16 ans, je ne me souviens pas avoir reçu une seule fessée. Mes parents n’étaient pas adeptes de ce mode d’éducation et je n’avais aucune idée concrète de ce que cela pouvait représenter. En 1959, ils sont partis travailler à l’étranger et, à cause de mes études, ils m’ont laissé en France en me confiant à ma Marraine qui était une vieille fille de 55 ans à l’époque, que je connaissais assez mal.

    Yvonne, ma Marraine, était une femme assez grande, qui avait eu de l'allure, certainement, mais qui, avec l'âge, s'était empâtée et avait grossi. Elle habitait une grande maison bourgeoise, mais avait gardé des goûts simples, ne faisant jamais étalage de son aisance financière. Elle s'habillait simplement, avec un chic discret pour sortir, mais, chez elle, avec une simple robe-tablier. C'est comme ça qu'elle m'accueillit quand mes parents me déposèrent chez elle, avec une affection sincère, mais exprimée discrètement.

    Le premier jour de mon arrivée chez Marraine, en sortant du lycée, je suis resté une heure ou deux à trainer avec des copains comme je le faisais d’habitude. Marraine m’attendait furieuse et me dit:
    – "Pas de ça chez moi. Tu as intérêt à rentrer aussitôt tes cours terminés, sinon, si tu te conduis comme un gamin, je te traiterai en gamin: une bonne fessée".

    Je n’ai pu m’empêcher d’éclater de rire et, à ma grande surprise, Marraine m’a donné une paire de gifles qui m’a laissé sans voix. Le lendemain, c’était jeudi (jour de la semaine où, à l’époque, il n’y avait pas école), je trainais dans mon lit et Marraine est venue me tirer du lit en me disant:
    – "Décidément, je crois que toute ton éducation est à faire. Pour commencer, nous allons aller chez le droguiste acheter un martinet que tu vas payer avec ton argent de poche."

    Je ne savais pas quoi dire et j’ai suivi Marraine. Une fois arrivés, j’ai dû demander moi-même ce que nous devions acheter. La vendeuse avait le même âge que moi et j’étais rouge jusqu’aux oreilles en demandant à voie basse:
    – "Je voudrais un, euh, un martinet, mademoiselle."
    Cette petite garce a répondu à voix haute:
    – "Mais bien sûr jeune homme, et pour les garçons de votre âge, j’ai tout à fait le modèle qu’il vous faut".
    J’ai découvert à ce moment là que la honte, cela pouvait aussi être bon.
    Elle me tendit un martinet de bazar que, sur un regard approbateur de Marraine, je lui payais avec mon argent de poche, heureusement, mes parents étaient généreux avec moi, et, de toute façon, le martinet ne coûtait pas cher…

     

    De retour à la maison (c’était à 50 mètres), Marraine me dit:
    – "A cause de ton impertinence d’hier et ta fainéantise de ce matin, tu vas avoir droit à essayer ton achat".

    Elle a oté son manteau, qu'elle avait mis, pour sortir, sur son tablier-robe de maison, puisque la droguerie n'était pas loin, ainsi que ses chaussures, pour enfiler ses pantoufles habituelles. J'ai enlevé mon manteau aussi, mes chaussures, et mis mes pantoufles également.

    Elle m’a envoyé dans ma chambre et m’a fait retirer mon pantalon et m’agenouiller au bord du lit. J’étais paralysé et j'obéissais en rougissant. Elle m’a d’abord fouetté par dessus le slip, Puis Marraine m’a violemment baissé le slip, et me l’a retiré; elle s’est mise à me fesser fesses nues.
    Puis elle m’a fait mettre au coin. Je pleurais à la fois de douleur et de honte.

    A partir de ce jour là, j’ai été fessé très régulièrement, une à deux fois par semaine, parfois trois. Je recevais la fessée à mains nus quand mes fautes n’étaient pas trop graves, et au martinet pour les fautes plus importantes, mais toujours fesses nues, parfois tout nu pour les fessées au martinet. Après j’étais toujours mis au coin, mais plusieurs fois où j’avais fait de grosses bêtises, j’ai eu droit à être enfermé…
    Pour m'enfermer, Marraine me mettait dans le bas d'un grand buffet à l'ancienne, qui trônait dans la grande cuisine, et dond le haut servait de vaisselier. Le bas était vide, l'étagère unique avait été enlevée, il y avait donc la place pour y mettre une personne. Pour le rendre plus inconfortable, Marraine avait mis au bas de ce placard en grand tapis de coco. Elle m'y enfermait, ma blouse retroussée, mon cul rouge sur le tapis de coco, avec un morceau de pain sec et une bouteille d'eau, pour plusieurs heures. J'entendais tourner la clé dans la serrure de la double porte, et j'étais dans l'obscurité, inconfortablement assis, courbé en avant, pouvant un peu me retourner, mais jamais être à mon aise. Et, de plus, j'entendais les bruits de la maison, ce qui, curieusement, accentuait la punition.

    J'ai parlé de ma blouse retroussée. En effet, Marraine avait décidé que, chez elle, je devais rester en blouse. J'avais l'habitude d'avoir porté la blouse à l'école, elle n'était plus obligatoire au lycée, et ce n'aurait pas été humiliant si… Si Marraine ne me faisait pas porter d'anciennes blouses à elle, des blouses scolaires, de fille, boutonnées dans le dos. Elle estimait que, ainsi féminisé, j'étais plus docile et, donc, plus enclin à accepter les règles de vie qu'elle m'imposait.

    Au début les fessées se passaient dans ma chambre, mais, au bout de quelques jours, Marraine trouvait peu pratique de me faire monter à l'étage pour me punir. Elle me fessait donc dans la cuisine, et le martinet était pendu au mur, à côté des torchons.

    Un jour où je rentrais en retard du lycée, Marraine était avec trois de ses amies en train de prendre le thé. Après avoir été grondé, je m’apprêtais à monter ma chambre pour attendre ma punition, mais Marraine m’a dit:
    – "Non, ne monte pas dans ta chambre, tu vas recevoir ta fessée ici et tout de suite".
    J’ai eu beau supplier:
    – "Non Marraine s’il te plait, pas devant tout le monde", rien n’y a fait.
    – “Va mettre ta tenue de maison, tout de suite, et revient prendre ta fessée."
    – "Mais Marraine…"
    – "Tu discutes? Tu sais ce qui t'attend, allez, obéis!"

    Ses amies faisaient des commentaires en disant à Marraine qu’elle avait tout à fait raison. J'ai donc du monter en vitesse dans ma chambre, enlever mon pantalon, mon pull, mes chaussettes, enfiler ma blouse vichy rose (c'était, en plus, le jour de cette blouse), ne garder dessous que ma culotte, et mettre mes pantoufles.

    Je dus redescendre et me présenter dans cette tenue, ce qui fit pouffer les amies de Marraine, en entraina de nouveaux commentaires sur ma tenue, et l'intérêt qu'il y avait à me la faire porter pour marquer mon obéissance. Marraine me dit:
    – "Et le martinet, il va venir tout seul?"

    Je dus aller chercher le martinet, le lui donner, puis me courber sur un fauteuil et retrousser ma blouse, et, enfin, baisser moi-même ma culotte à mi-cuisses.

    J’ai reçu au moi 30 coups de martinet par Marraine, qu'elle m'a donnés tranquillement, posément, sous les regards de ses amies.

    Puis une de ses amies qui avait prétendu que je l’avais regardée insolemment:
    – "Yvonne, puis-je le corriger moi-même?"
    – "Mais bien sûr!"

    Marraine me fit changer de position, et, au lieu d'être penché sur le dos du fauteuil, je dus me tenir debout au milieu de la pièce, relevant toujours ma blouse, entravé ma par culotte.

    La dame a saisi le martinet et m’a aussi donné une trentaine de coups. Elles ont bien ri en voyant que cela me faisait bander. Marraine a demandé à une autre de ses amies d’aller m’enfermer dans le buffet de la cuisine.
    – "Et n'oubliez pas, chère amie, de lui enlever sa culotte et de lui laisser la blouse retroussée."

    Une fois hors de vue, son  amie m’a tirée par le sexe et m'a plaqué, debout, contre la table de la cuisine. Elle m'a branlé, et je dois dire que j'ai giclé presque instantanément. Elle m’a demandé de lui nettoyer la main avec ma langue, ce que, abasourdi et honteux, j'ai fait, avant qu'elle m'enferme dans le bas du buffet, le cul nu sur le tapis de coco.

    Une heure après, ses amies parties, Marraine m'a parlé à travers la porte du buffet où j'étais enfermé, courbé, le cul rouge de la fessée irrité par le tapis de coco…
    – "J'ai remarqué, Philippe, que tu avais eu une érection pendant ta fessée publique, je me trompe?"
    – "Non Marraine, mais je te jure, je n'ai pas fait exprès, je n'ai pas pu m'en empêcher…"
    – "Ce n'est pas grave, ça a beaucoup amusé mes amies. D'ailleurs, j'ai eu une idée, et je ne te laisserai sortir du buffet que quand tu auras accepté ce que j'ai décidé…"
    – "Tu sais bien, Marraine, que je suis obéissant…"
    – "Alors j'ai décidé que, quand nous prendrons le thé avec mes amis, c'est toi qui feras le service, avec un tablier sur ta blouse. Tu es d'accord, bien sûr?"
    Que dire quand on est cul nu, enfermé dans un buffet, à la merci de sa Marraine et que, de plus, on a des goûts, comment dire, un peu troubles…
    – "Oui Marraine, je vous servirai le thé comme tu le veux."

    A partir de là, une fois par semaine, quand Marraine recevait ses amies, je devais mettre un tablier-taille blanc par-dessus ma blouse, et leur servir le thé. Autant dire que ce jour là, je n'étais jamais en retard… Et, si mon service était maladroit, j'avais droit à une fessée publique, que je recevais en bandant sous le regard des ces dames.

     

    Il m’arrivait souvent de recevoir la fessée en présence d’Aline, sa vieille bonne alsacienne qui devait avoir dans les 65 ans. Aline avait été la bonne de ses parents, elle connaissait donc Marraine depuis toujours. Une fois, c’était début 1961, Marraine s'était plainte d'une légère tendinite, et de ne plus avoir la force pour me fouetter comme je le méritais. Aline a alors proposé à Marraine de prendre le relais. Etre ainsi fouetté par la bonne était encore plus humiliant et aussi plus douloureux car Aline était vraiment très robuste.
    Mais c'est surtout le caractère humiliant de la chose qui m'excitait. Quand Marraine me fessait, c'était presque normal, elle était ma Marraine, et une parente, elle avait en quelque sorte "normalement" autorité sur moi, et, en plus, je vivais chez elle, et elle était bonne avec moi, quand elle ne me punissait pas.
    Être fessé par la bonne était humiliant, parce que, si j'étais naturellement inférieur à Marraine, j'étais quand même, en tant que son parent, supérieur à la domestique, et j'étais, donc, fessé par une femme qui m'était inférieure. La honte en était d'autant plus grande.
    De plus, Marraine, quand elle me fessait, portait toujours un de ses habituels tablier-robe, tenue d'intérieur classique à l'époque, normale même pour une maîtresse de maison. Alors qu'Aline portait une vraie blouse de domestique, un grand tablier à bavette blanc par dessus, les bretelles croisées dans le dos, et une coiffe sur son chignon.

    Marraine me fessait de plus en plus souvent, quasiment tous les jours. La fessée se déroulant le plus souvent dans la cuisine, Aline y était, et elle ne sortait plus de la pièce quand j'étais puni. Toujours elle regardait avec intérêt, souvent elle participait, en me déculottant, ou en me fessant également. Et quant j'allais au piquet, à genoux contre le mur, elle me surveillait.

      

    Un peu plus tard, Aline a obtenu l’autorisation de Marraine de pouvoir décider de me punir sans avoir à le lui demander, et je dois dire qu’elle ne s’en est pas privée! Mais je faisais souvent exprès de faire des bêtises pour pouvoir être puni et recevoir la fessée. D'autant plus que, pour me fesser, Aline me faisait toujours mettre un tablier par dessus ma blouse, j'étais ainsi la petite servante fessée par la domestique, et c'était encore plus excitant.

    Une fois, Aline a décidé de me fesser alors que Claudine, la bonne de la maison d’à côté, qui était plus jeune que moi, était présente. Malgré mes supplications, je me suis retrouvé cul nu et fessé comme un petit garçon devant cette fille de 16 ans alors qu’à cette époque, j’en avais déjà 19! Et ensuite, quand dans la rue, je la croisais en compagnie d’autres bonnes du quartier et, en les voyant éclater de rire à mon passage, je savais bien qu’elles étaient au courant; d’ailleurs, une fois, l’une d’elles m’a chuchoté à l’oreille alors que je faisias la queue pour le pain:
    – "Alors petit garçon, on n’est pas sage!".

    Cela a duré jusqu’à l’âge de 20 ans où mes parents sont rentrés de leur séjour à l’étranger. Les fessées ont cessé, mais je les ai très vite regrettées et je les regrette encore 40 ans après.

     

    Une des dernières fessées que j’ai reçues, c’était pendant des vacances scolaires. Aline avait reçu sa petite nièce, Catherine, qui avait à l’époque 13 ans. J’avais un peu ennuyé Catherine qui était allée se plaindre à sa grand-tante. Et aussitôt, Aline m’a dit que j’allais être puni "comme d’habitude" pour avoir ennuyé Catherine. J’ai eu beau esssayer de ne pas recevoir la fessée devant Catherine, rien n’y a fait, même pas les larmes qui commençaient à perler! Aline m’a troussé, et elle a demandé à Catherine de me retirer elle-même mon slip. Et j’ai reçu la ration habituelle de claques à la main sur les fesses et de martinet appliqué sévèrement sur les fesses et sur les cuisses. Puis Aline a tendu le martinet à Catherine et lui a dit qu’elle pouvait se venger: évidemment Catherine tapait beaucoup moins fort qu’Aline, mais recevoir la fessée au martinet à 20 ans par une gamine de 13 ans, cela a été le comble de la honte et de l’humiliation. Après j’ai dû aller cul nu à genoux au coin, les mains croisées derrière la tête et c’est Catherine qui m’a surveillé.

    Aline avait pris l’habitude de me surveiller sous la douche pour "vérifier que je me lavais comme il faut", à la demande de Marraine. Elle s’occupait elle-même souvent de la toilette intime et je n’avais pas le droit de protester. La veille du départ de Catherine, j’ai même eu droit à cette "cérémonie" en présence de Catherine.

    Je pourrais vous narrer plein d’anecdotes si cela vous intéresse, toutes plus humiliantes et cuisantes pour mes fesses les unes qu les autres.

    A bientôt j’espère

    Philippe 

     
    « Ça commence comme ça…Dessins avec ou sans légendes »

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  • Commentaires

    1
    PeterPan
    Mercredi 8 Mars 2023 à 11:29

    Bonjour, 

    Ce récit de jeunesse est le reflet d'une certaine éducation "A l'ancienne" comme on dit, d'une époque (hélas révolue ?)  où la permissivité excessive n'était pas au goût du jour. Il mériterait d'être mis en image. Il va rappeler quelques "cuisants souvenirs" à certains d'entre nous, qui les ont vécu, sans pour autant en devenir des individus "asociaux" , contrairement à une rumeur , dirais-je répandue. Fermons la parenthèse. Merci à notre hôte de nous en faire profiter. 

    Peter.

      • Samedi 11 Mars 2023 à 17:38

        Bonjour, il y a quelque chose qui ne va pas.

        2023 - 62 ans = 1961. Donc en 1961 tu n'avais que 2 ans et en 1959 tu n'étais pas né !

        A vérifier les dates.

        Marc Cuir Martinet.

      • Samedi 11 Mars 2023 à 17:43

        Bonjour Marc,

        C'est Marie qui a recopié cela sur un site, donc la personne qui l'a écrit, n'est pas forcément sur ce blog, c'est vrai que quand on écrit des histoires, il faut faire très attention à toutes les cohérences, pas seulement de dates.

        Bonne soirée.

        Paul.

    2
    PeterPan
    Mercredi 8 Mars 2023 à 11:35

    Re-bonjour...

    Comme je le disais hier dans un commentaire, l'impact des femmes de notre vie comme les tantes et les marraines (mère de substitution , en cas de...) dans notre éducation juvénile est extrèmement importante et en secondant notre Maman, dans cette tache, elle nous inculque un certain de vie. A ce sujet, les "Marraines" existent-elles encore ? Vos avez deux heures. 

    Peter.

    3
    Mercredi 8 Mars 2023 à 12:10

    Bonjour Peter,

    Tout fout le camp, y compris nous, un jour, la religion n'est plus ce qu'elle était et les marraines disparaissent à vue d'œil, encore plus vite que les neiges du pôle nord ou sud, moi mes parrain et marraine étaient aux 4 coins de l'hexagone, je ne les ai pas vus souvent, même pas pendant ma communion en mai 68, je n'ai reçu mes cadeaux que quelques semaines après, grèves obligent.

    Bon après-midi.

    Paul.

      • PeterPan
        Mercredi 8 Mars 2023 à 13:18

        Bonjour Paul, 

         Oui, je confirme. Nous faisons partie de la dernière vieille garde, derniers héritiers d'une tradition millénaire. Le numérique va bientôt remplacer in situ les humains. Au final, cette fable télévisée '' La soupe aux Choux" va s'avérer être une sorte de  prophétie ! Rires. Perso, nos parrains et marraines n'étaient pas des plus généreux... 

        Peter.

    4
    ramina
    Mercredi 8 Mars 2023 à 14:24

    Bonjour le Paul et le Peter, les marrains et les parraines !.

    Charmant récit bien pimenté où les bas de buffet de cuisine jouent un rôle important après les fessées . Non seulement le puni se fait enfermer les fesses rouges et cuisantes mais , pas vicieuse du tout la marraine ; elle le faire asseoir déculotté sur un tapis de coco histoire d'entretenir la cuisson de la fessée . Perfectionniste la Yvonne . Dans d'autre récit les punis  doivent s'asseoir sur un  pour faire durer le plaisir ... c'est pas le pied non plus !  

    On s'était habitué à ce que les tantes et autres tantines administrent les fessées ... souvent dans les cuisines où elles sont plus retentissantes ( pas les tantes ... les fessées !) et donc plus impressionnantes grâce aux surfaces carrelées. Mais voici que les marraines prennent le relai .. ainsi que les nièces , les cousines , les voisines, les servantes , les bonnes... à tout faire, même à claquer les derrières . l ... Les femmes ont une appétence et un talent particuliers pour flanquer des fessées . On ne s'en plaindra pas . La nostalgie faisant son travail de mémoires, nos commentateurs préférés se demandent finalement si c'était pas mieux avant ... à l'heure de l'intelligence artificielle et des fessées virtuelles ... Moi qui en ai si peu , ou pas du tout reçues, j'ai du mal à les regretter ... alors je les inventent dans des récits fiction . Même pas mal ... hi, hi, hi !  Ramina

      • PeterPan
        Mercredi 8 Mars 2023 à 15:51

        Bonjour Ramina

        Je cautionne. On a un point commun: le fait d'avoir très peu été fessé par nos chères mamans respectives. Tout au plus des menaces de martinet, pour mon frère et moi ! Sauf pour mon frère cadet, qui, beaucoup plus turbulent (comme on disait à l'époque) que moi, en a reçu quelques cinglées... Comme pour les consignes bien connues  : "En cas d'insolence répétée, brisez la glace !". C'est certainement cette absence de fessées reçues qui m'a donné le goût de les mettre en scène pour mon double "virtuel": Gérome et austre  garnement en bermuda à bretelles !

        Peter  

    5
    ramina
    Mercredi 8 Mars 2023 à 14:27

    Raaaaah, j'ai oublié un mot !!! Le con :!!  4è ligne il faut lire :  '' doivent s'asseoir sur un paillasson '' Evidemment mon cher Klacson !!

    6
    Patrice
    Dimanche 12 Mars 2023 à 08:19

    Ces punitions par Marraine sont très bien racontées. Elles me rappellent de cuisants souvenirs. Chez moi le martinet était suspendu  un clou dans l’entree. Il servait souvent à faire obéir le gamin que j’étais. L’autorité ne se discutait pas et la fessée sanctionnait mes nombreuses bêtises. Chez Tatie ou j’allais souvent en vacances avec mes deux cousins le martinet était aussi de la partie. Nos cuisses et nos fesses s’en souvenaient et la culotte était souvent baissée. Je me suis souvent retrouvé allongé sur ses genoux. Pour la fessée magistrale. 

      • PeterPan
        Dimanche 12 Mars 2023 à 09:17

        Patrice, 

        Décidément, les marraines et austres tantine marquent durablement notre jeunesse. Le souvenir de leurs fessées cuisantes en même temps que cousins et cousines reste dans nos mémoire impérissables. merci-Ta-tiiiiiie ! 

        Peter.

    7
    Dimanche 12 Mars 2023 à 09:41

    Bonjour,

    J'ai lu le texte et c'est vrai, il est très bien écrit.

    J'ai connu une fille de mon village qui a été fouettée par sa mère et j'en ai écrit un texte, il n'est pas terminé. Une voisine m'a raconté l'histoire et les séances de martinet avec le cris de la gamine. La famille dont la dame entendait les bruits, elle s'en souvient très bien.

    Ca vous intéresse ?

    Amicalement.

    Marc Cuir Martinet.

      • PeterPan
        Dimanche 12 Mars 2023 à 11:04

        Bonjour Messieurs, 

        Voilà que la réalité rejoint la fiction? Parfait. Ca nous reposera les doigts pour nos fictions. Bon dimanche.                     Peter.

      • Dimanche 12 Mars 2023 à 18:47

        Oui, le récit est certainement intéressant, je suis toujours à la recherche de textes

    8
    Patrice
    Dimanche 12 Mars 2023 à 10:13

    Oui bien sûr mon cher Marc ça nous intéresse. Moi aussi je pourrais raconter des histoires de punitions semblables reçues par moi et aussi par mes cousins et des copains. 

    Si ça vous intéresse je pourrai me mettre au travail. 

    Bien à vous 

    Patrice 



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