• Les séances de fessées chez Tante Gladys, Chapitre 8

    Une histoire originale de Ramina, sur une idée de Clodinet(te)


    Les séances de fessées chez Tante Gladys, Chapitre 8: Le diner (2ème partie)

     

    Le dîner se passe dans une atmosphère plutôt détendue, conviviale, hors contexte fessées, Clodinet, tout en restant sur la réserve, commence a découvrir chez sa tante, des facettes de sa personnalité un peu plus nuancées que celles des cuisants souvenirs qu'elle lui a laissé sur les fesses. Ça n'enlève rien à son tempérament autoritaire, son intransigeance sur la discipline, à ses attitudes provocantes, mais son sens de l'hospitalité en atténue un tant soit peu les effets.

    Il se joint à Mad, en compliments sur le choix des vins et  la qualité de la cuisine. La trêve des confesseuses ne dure que le temps de la dégustation du bœuf bourguignon et du Gevrey Chambertin. Un verre ça va, deux verres c'est encore mieux que ça! On trinque une nouvelle fois. Un ange passe, en état d'ébriété avancé, les fesses rouges d'une sévère déculottée...

    C'est Mad, persévérante, qui revient sur le sujet. Elle a réussi à convaincre Clodinet. Ils sont venus pour tenter de dissiper le mal être persistant qu'il entretient, dans sa relation souvenir avec sa tante, il n'est donc pas question de passer à côté d'une bonne explication. Elle engage la discussion avec tact.
    – «Alors, si j'ai bien compris, vous avez eu la garde de Clodinet pendant que ses parents faisaient un séjour au Maroc, c'est ça ?» 

    Gladys n'est pas dupe. Elle a bien compris l'objet de la conversation qu'elle estime d'ailleurs légitime et plutôt amicale. Le menton haut levé, sourire aux lèvres, elle se laisse aller contre le dossier de sa chaise en croisant les bras sous sa généreuse poitrine qui en profite pour re-déborder de son scandaleux décolleté.
    – «Oui, tout à fait! Autant que je m'en souvienne, il a dû passer une dizaine de jours à la maison, avec Sacha, son cousin. Ces deux là, s'entendent comme larrons en foire! Les bêtises, les tours pendables et les cochonnerie ça y allait. Ils avaient presque vingt ans à l'époque et des comportements de gamins. N'est-ce pas Clodinet, tu ne me contrediras pas?»

    Clodinet s'enhardit, plutôt décidé à ne plus se laisser submerger par l'écrasante personnalité de sa tante. Il répond  sous le regard complice de Mad.
    – «En effet tantine,  je ne peux pas dire le contraire, mais on ne se voyait pas souvent et comme on a à peu près les même goûts, les même envies, on en profitait. C'est tout de même normal de bien s'entendre entre cousins.»
    – «Ça, pour ce qui est des même envies... vous vous entendiez parfaitement. Et tu n'étais pas le dernier à prendre les choses en main... elle a un petit rire graveleux .Si tu vois ce que je veux dire... hum!»

    Gladys, comme à son habitude, ne donne pas dans la nuance et  entre sans détour dans le vif du sujet.
    – «Je vous ai tout de même surpris en train de vous tripoter tous les deux au lit, sous les draps, devant une revue porno, mes cochons!»
    – «C'est vrai, mais bon, ça n'avait rien de scandaleux, tout le monde se masturbe à cet âge là!»

    Mad enchaîne dans la foulée:
    – «Mais je comprends que ça pouvait vous paraître inconvenant, du moins vis à vis de Clodinet dont aviez la responsabilité.» – «Pas que de Clodinet», s'exclame la forte femme. «De Sacha aussi! C'est tout de même mon fils, allez savoir lequel des deux avait eu l'idée de se masturber devant une revue porno?»
    – «C'est lui!»  s'exclame Clodinet  de plus en plus à l'aise.
    Il finit d'un trait son verre de vin et le repose d'un coup sur la table comme pour donner du poids à son affirmation.
    – «Et c'est lui aussi qui avait amené la revue porno!»

    Pas mécontent de sa sortie, il s'adosse à sa chaise  la mine réjouie, et déclare avec un large sourire:
    – «Par contre c'est bien moi qui faisait les branlettes pendant qu'il tournait les pages!»

    Moment de silence. Le même ange aux fesses rouges repasse, ivre mort. Clodinet reprend en se contenant visiblement de rire.
    – «Mais on n'a pas eu le temps de finir... on n'a même pas joui, tante Gladys est arrivée à ce... mo...ment... là ...»

    La fin de sa phrase se déroule au ralenti, dans un presque murmure, lorsqu'il croise le regard noir de Mad qui lui fait perdre d'un coup toute sa superbe.
    – «Non mais Clodinet, qu'est ce que c'est que ce ton et cette arrogance? Tu as l'air bien fier de toi on dirait, Il n'y a pourtant pas de quoi... Tu peux répéter ce que tu viens de dire, s'il te plaît!»

    Clodinet se départit de son enthousiasme en une seconde et, le rouge aux joues, commence à bafouiller devant son épouse qui reprend son statut de Maîtresse, trop heureuse d'en faire la démonstration devant Gladys.
    – «Ce que je viens dire … euuh... j'ai dit … euuh... Tante Gladys  est arrivée au moment où...»
    – «Non,  ne te fiche pas de moi ..avant !!!»  le coupe aussitôt Mad, visiblement très agacée. «Qu'est ce que tu as dit, avant? A propos de ton cousin?»
    – «Euuuh... j'ai dit que ... que c'est lui qui avait eu l'idée qu'on se masturbe devant une revue porno.»
    – «C'est bien ce que j'ai entendu! Tu n'as pas honte?» 

    Clodinet très troublé, jette un regard furtif en direction de sa tante, comme pour chercher un illusoire soutien. Aucune chance de ce côté là, bien au contraire . Elle suit le dialogue avec un sourire amusé, et en rajoute même une couche, histoire d'accélérer le déclenchement de la punition qui semble s'annoncer.
    – «C'est très juste Mad, il n'y a pas de raison que Sacha endosse, seul, toute la responsabilité.»
    – «Nous sommes bien d'accord... il n'y a pas de raison. D'autant plus qu'il n'est pas là pour répondre.» Elle se tourne vers Clodinet qui rétrécit sur sa chaise. «Tu as entendu? Viens ici...tout de suite!»

    En bon soumis habitué à obéir aux injonctions de sa maîtresse, il s'approche sans broncher. Elle le saisit alors par le bras, et le place bien en face d'elle.
    – « Maintenant», dit-elle en le fixant droit dans les yeux, «tu vas répéter la phrase que tu viens de prononcer et en changeant de ton s'il te plaît. Je te trouve bien arrogant!»

    Il s'exécute, les mains derrière le dos, en ânonnant comme un élève en train de réciter une leçon devant son professeur. Bien mal lui en prend. Mad n'apprécie pas la plaisanterie. Il n'a pas le temps de voir arriver la gifle magistrale que, furieuse, elle lui décoche instantanément. Empreinte d'une colère froide, elle n'a pas besoin de hausser la voix pour le tancer:
    – «Non seulement monsieur ne change pas d'attitude, mais en plus il se complaît dans la provocation.»

    Cette fois ci elle monte le ton et, d'un doigt autoritaire, désigne son sac posé sur une chaise.
    – «Tu sais ce qui t'attend! Monsieur se comporte comme un petit garçon, je vais donc le traiter comme tel. Vas me chercher ton petit fouet rouge qui est dans mon sac et amène moi tes fesses!»

    Gladys, s'en tortille de bonheur sur sa chaise. Ravie d'assister à la fessée qui se prépare et qu'elle espère longue et cuisante, elle ne peut s'empêcher d'exprimer son enthousiasme. Elle en rajoute à plaisir.
    – «Bravo ma chère, je me disais aussi qu'il était temps de sévir. Je vois que mon neveu n'a pas beaucoup changé. Même devenu adulte, le grand garçon en est toujours à mériter de sévères fessées pour ses comportements inadmissibles. J'ai toujours pensé qu'il en aurait  toujours besoin.»

     

    Mad ne porte pas trop attention aux propos de tantine. Elle sait ce qu'elle a à faire et n'a pas besoin des conseils de la Tante pour s'occuper des fesses de son mari. Dans une certaine mesure ça ne lui déplaît pas d'en faire la démonstration devant elle. 
    – «Dépêche toi Clodinet, Tu vas montrer à ta tante comment je t'ai appris à venir te présenter pour recevoir tes fessées.» 

    – «Oui maîtresse... tout de suite...»

    Clodinet a cette fois changé de ton. Ce n'est plus l'homme arrogant de tout à l'heure. Il se fait obéissant à sa maîtresse et vient lui présenter à genoux le fouet rouge qu'elle va utiliser pour lui cingler les fesses. Il l'implore même sa fessée  dans une attitude de parfaite soumission.
    – «Pardon Maîtresse, pardon d'avoir mal parlé... Je mérité la fessée que vous allez m'administrer.»

     

    Mad impériale, savoure cet instant de domination et de reconnaissance de son autorité, surtout devant Gladys. Elle continue à lui faire la leçon en le sermonnant.
    – « Bien sûr que tu la mérites ta fessée, et une sévère encore! Parce que oui!! Tu devrais avoir honte de te décharger de ta responsabilité sur ton cousin et je n'aime pas du tout le ton que tu as employé, ni cette attitude qui consiste à dire: "c'est pas moi c'est lui!!!" ou bien "il l'a fait aussi".» Elle lui redonne une gifle. «Maintenant, baisse ton pantalon et viens mettre tes fesses en position pour que je te déculotte!»

     

    Clodinet s'exécute immédiatement sans un mot. Il déboucle sa ceinture, ouvre sa braguette et descend son pantalon sur ses chevilles, exhibant au regard gourmand de tante Gladys une magnifique paire de fesses serrée dans un petit slip de femme en dentelle. A travers la transparence du nylon on distingue nettement la rougeur persistante de la fessée qu'il a déjà reçue avant de partir de la maison. L'effet de cuisson est encore plus évident sur la surface des fesses qui débordent des élastiques enfoncées dans la raie.

    Tantine, est d'abord stupéfaite, puis positivement enchantée du spectacle.
    – «Ah mais je vois que mon idée de la lingerie féminine pendant les séances de fessées a fini par faire des adeptes. Il aime ça maintenant notre Clodinet, ça l'excite je suppose. C'est vous qui lui faites porter?»

    – «Oh je n'ai pas besoin d'insister», répond Mad en le courbant en deux pour lui coincer la tête entre ses cuisses et le déculotter dans cette humiliante position. «Ça fait partie du jeu et comme vous dites c'est plutôt excitant. N'est ce pas ma Clodinette?» ajoute-t)elle en faisant claquer les élastiques du slip juste en dessous de ses fesses.

    Elle a pris soin de lui faire tourner le derrière vers sa tante, pour qu'elle ne perde rien du croustillant déculottage.Clodinet s'est laissé faire avec la docilité habituelle qui caractérise sa soumission.
    – «Oui maîtresse c'est vrai!» se contente il de répondre, la voix à demi étouffée d'entre ses cuisses serrées sur ses joues comme dans un étau.
    – «Ça  ne m'étonne pas vraiment», commente  Gladys en croisant haut les jambes avec un petit frémissement de poitrine.

    Elle apprécie la position originale et la tension du postérieur déculotté, bien déployé au dessus de la petite culotte en dentelle. La scène la rappelle au bon souvenir des séances de fessées administrées dans le grenier, il y a  vingt cinq ans. Le même Clodinet et son fils Sacha, plié en deux sur la barre du lit, le slip en dentelles sur les cuisses, en porte-jarretelles, bas nylon et talons aiguille, tortillant du derrière sous les cinglées d'une magistrale fessée au martinet. C'était l'heureux temps  où elle disposait des deux belles paires de fesses qu'elle pouvait claquer à volonté. Et elle ne s'en privait pas .

    La voix déterminée de Mad la sort de son bref moment de nostalgie.
    – «Dites moi Gladys, ça ne vous dérange pas que j'emprunte votre chaise à fessée pour corriger Clodinet?»

    – «Voyons Mad, bien sûr que non. Elle est là pour ça! Si vous saviez le nombre de fessées que je flanque à Edouard et Robin la dessus! Il y en a même une dans chaque pièce de la maison pour ne pas perdre de temps une fois la fessée annoncée. Vous allez voir elle est très pratique. Le dossier est assez bas pour y arrondir les fesses à la bonne hauteur.
    – «Ce sera parfait!» dit Mad en desserrant les cuisses pour libérer provisoirement son puni. «Vas te mettre en position, dépêche toi. Tu ne devrais pas être dépaysé, c'est pratiquement la même chaise que celle qu'on a à la maison.» 
    – «Sauf que la mienne est verte», ose-t-il avec un humour pas vraiment de circonstance.

    Tantine rit, faisant rebondir son envahissante poitrine:
    – «Par contre, à mon avis, tes fesses seront au moins aussi rouges!»

    Mad ne relève pas.  Clodinet s'est installé, à genoux, courbé en deux sur le dossier de la chaise, les mains agrippée aux deux pieds. Elle lui reprend la tête entre ses cuisses pour le maintenir en position et récupère le petit fouet rouge qu'elle lui avait laissé en main…

    Et la fessée commence, à rapides cinglées virevoltante d'une fesse à l'autre. Fesse droite! fesse gauche! fesse droite! fesse gauche! Revers croisé le long de la raie! Mad rompue à l'exercice, manie l'instrument avec une diabolique habileté et ajuste les allers et retour sur un rythme régulier. Slac! Slac!, Slac! Slac! Le petit fouet rouge crépite sèchement et de plus en plus fort  sur les fesses de Clodinet qui les tortille en cadence au fur et à mesure que le rythme s'accélère. Et ça continue, fesse droite, fesse gauche, fesses droite, fesse gauche!... et surprise, en plein milieu dans la raie. Une fois, deux fois, trois fois. Puis aussi soudainement retour en surface, fesse droite, fesse gauche, mais plus appuyé. Ça chauffe dur. Clodinet couine un peu, pousse quelques gémissements d'entre les cuisses de Maîtresse, qui lui imprime les boucles de ses jarretelles sur les joues tout en fessant. Il gémit et commence à mouiller de larme ses bas nylon, sans protester ni implorer une clémence qu'il n'appelle pas d'ailleurs, sachant de toute manière qu'elle ne lui accorderait pas. De plus ce n'est pas ce qu'il souhaite car il commence à bander…

    Tante Gladys se régale à suivre le déroulement de la magistrale fessée dont elle ne perd pas une cinglée, ni la progression de son érection qui lui rappelle une lointaine mais exaltante situation. Malgré son expérience elle est quand même un peu sidérée de la sévérité avec laquelle Mad mène la correction.
    – «Bravo Mad, je dois reconnaître que vous avez le coup de poignet efficace. Je ne pensais pas à ce point là!»

     

    Mad ne répond pas, trop occupée a bien quadriller toute la surface du fessier  qui commence à s'enluminer d'un magnifiques réseau de zébrures écarlates.

    Tantine, imperturbable,  ne peut s'empêcher d'y aller de ses habituels commentaires sarcastiques, qu'elle accompagne de petits rires de gorge intempestifs. 
    – «Alors Clodinet on la sent bien sa fessée... On les sent cuire ses grosses fesses! On voit que Maîtresse sait comment s'y prendre pour bien corriger un derrière comme le tien! Elle s'en sert à merveille du fameux petit fouet rouge! En plus, si j'ai bien compris, c'est toi qui l'a fabriqué!»

    Clodinet en souffrance et entre deux sanglots, a du mal à répondre. Sa voix, saccadée par les violentes secousses de la fessée, ressort à peine audible et un peu caverneuse de l'entre cuisse de son épouse qui ne lui ménage pas le derrière, ni les joues, au contact irritant de ses bas nylon.
    – «Oui, c'est… c'est vrai … c'est moi», bafouille-t-il péniblement. «Ouillle... Aiiie et  ce … ce.. … ce n'est pas … pas évident à... à tressss... tresser!!!  Aaah maîtresse vous tapez fo... fort.»

    – «Et alors, tu ne sais pas ce que tu veux. C'est toi qui me le demande, à chaque fois. Tu aimes à ça quand je tape fort!»

    Encore quelques cuisants allers et retour bien cinglants et Mad se décide à mettre fin à la punition.
    – «Et voilà, monsieur est servi!», s'exclame-t- elle triomphalement. Ça t'apprendra à mentir en accusant lâchement ton cousin pour te disculper. Tu as compris cette fois?»

    Clodinet en larmes, tortille ses fesses douloureuses, recouvertes en long, en large et en travers, de magnifiques striures rouge foncé.
    – «Oui maîtresse, pardon, j'ai compris... Je...je  ne recommencerai plus.» 
    – «Ça vaudrait mieux pour toi mon ami!»

    Elle lui ordonne de rester en pénitence, à genoux sur la chaise et insère le manche du fouet rouge entre ses fesses brûlantes et de la même couleur.
    – «Serre les bien!» ajoute- t-elle en riant. «Si jamais tu le laisses tomber … tu es bon pour une nouvelle fessée!»

    ( à suivre)

     

     

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  • Commentaires

    1
    PeterPan
    Mercredi 14 Décembre 2022 à 14:37

    Bonjour à tous...

    "Le spectacle continue". Le pauvre Clodinet devient par sa maladroite assurance l'attraction de ces dames. La séance de thérapie de couple tourne à la confession  De plus, elles s'amusent du trouble que sa punition engendre. Au grand dam de l'intéressé. La honte absolue ! Mais chers lecteurs, cette rencontre "au sommet" permettra t-elle à Clodinet de surmonter ces fantômes du passé. Rien n'est moins sûr. Et peut-être des allers et retours seront-ils encore nécessaire pour y aboutir.  Attendons la suite...

    Peter.

    2
    ramina
    Jeudi 15 Décembre 2022 à 09:45

    Bonjour Peter et tous les lecteurs zé lectrices... '( il doit bien y en avoir!)

     

    Eh oui, chers amis quand les fantômes du passé, occupent le présent et perturbent  la vision de l'avenir ... et les rêves de Clodinet... que faire sans ordonnance? Cette séances de fessées homéopathiques en famille,  suffira t -elle à chasser les traumtismes engendrés par la sulfureuse tante Gladys ... Et bien figurez vous que c'est plus complique que ça en a l'air !  N'oublions pas chers auditeurs zé auditrices, que tout ceci est avant tout un, jeu dominant / dominé , domino-minette , je l’emmène dans ma chambrette où  je lui retrousse sa petite liquette, pour lui flanquer des grosse claquettes !!!  Euhhhh pardon pour cette diversion...un moment d'égarement. Donc chers téléspectateurs zé téléspectatrices... Le soumis consentant, voir demandeur est il vraiment la victime que l'on croit . Quel est donc l'enjeu entre Mad , Clodinet. et Tantine .. Hi hi... zat iz ze kouestionne !!!  Vous le saurez en lisant les prochains épisodes de notre grand radio feuilleton: " Les Séances de Fessées chez tante Gladys . Et si vous passez par la case départ vous recevrez les vingt mille francs habituels, même si maintenant ce sont des Euros , mais en plus, une fessée déculottée gratuite par tante Gladys . Fesses rouges garanties !! ... ça vaut le coup non ? La suite réserve quelques  surprises, alors qu'on croivait  avant qu'y en avait pas... 

    Comment ça madame j'écris mal ? On ne dit pas on " croivait'' Ah bon...pourtant je croivais que j'avais bon !  ... Quoi, ça mérite une ... ah non, encore !!! Ramina

      • PeterPan
        Jeudi 15 Décembre 2022 à 16:57

        Bonsoir Ramina, 

        En effet, quel est le but poursuivi par ces dames ? Confiner (encore lui) ou au contraire libérer notre " héros-malgré-lui" de cette lourdeur émotionnelle  ? La suite va certainement nous éclairer grâce à la finesse d'analyse de notre conteur préféré Mais, j'ignorais que l'on pouvait recevoir un bonus : Le pactole et la fessée ! Du coup, je valide mon billet . Sait-on jamais... (Au passage, vous transmettrez mes sincères soutiens à notre bon Clodinet. Et mes respectueux hommages à Dame Mad  malgré toute sa bienveillante sévérité  Oui, je sais : Peter fayote un peu.)

        Peter.

    3
    ramina
    Jeudi 15 Décembre 2022 à 17:48

    Eh eh Peter,

    Notre  bon Clodinet attend sagement son tour,  pour venir mettre ses fesses à l'épreuve du feu, sur les genoux de tante Gladys, adorée, qui pour le moment s'active avec ardeur sur celles de son cousin . Elle est comma ça tantine , infatigable, généreuse dans l'effort, consciencieuse dans l'application des punitions... et surtout à prendre son pied à claquer des derrières !  Ben tiens !! . Après, quant à savoir si c'est la bonne méthode  . pour libérer notre ami de son supposé traumatisme, et est ce le véritable enjeu ?  ... C'est une autre paire de fesses ... pardon... de manche !

    Quoi madame ? Mais non, j'ai pas fait exprès .. me suis trompé d'expression ... Comment çà traumatisssse ? Est ce que j'ai une gueule  de traumatisssse à libérer?  Ah bon, la fessée ? Quand même , au cas où !!!   Pas juste ... Ramina

      • PeterPan
        Jeudi 15 Décembre 2022 à 18:09

        Bonsoir Ramina, 

        Décidément, ce n'est plus une saga mais un long fleuve autobiographique... Tantine devient une furieuse patentée de la fessée disciplinaire... Et si l'on renversait la vapeur : la tante Gladys se retrouverait alors en position disciplinaire sur les genoux de Dame Mad tandis que son infortuné neveu lui rendrait toutes les fessées reçues pendant son séjour sous son toit !!! Ainsi la boucle serait bouclée et l'humiliation serait vengée !!!  - Comment, madame Bellepaire ? Moi aussi... la fessée  ! Au choix ? Tantine ou... ou sur vos genoux... bijoux... caillou....  Cul nu ? ah bon ! Mais pas trop fort... j'ai... j'ai les fesses fragiles... sil vous plait, Ma... dame ! ". Coupez. 

        Peter.



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