• Les séances de fessées chez Tante Gladys, Chapitre 3

    Une histoire originale de Ramina, sur une idée de Clodinet(te)


     Les séances de fessées chez Tante Gladys, Chapitre 3: La fessée de Clodinet sur les genoux de Tantine

     

    Le lendemain, Clodinet avait pris sa décision. Comme il n'était pas question pour lui que sa mère soit mise au courant, il choisissait d’être puni par sa tante. Mais comment cela allait-il se passer? Il avait été vivement impressionné par la spectaculaire démonstration d'autorité de l'implacable maîtresse femme et du plaisir manifeste qu'elle avait pris à flanquer à son cousin une aussi magistrale fessée, après l'avoir obligé à lui présenter ses fesses dans une position parfaitement humiliante. Elle poussait même le vice jusqu'à exiger qu'il commente sa propre fessée en la remerciant de la lui avoir administrée avec autant de sévérité. Cette manière de punir sans état d'âme, lui faisait un peu peur mais en même temps l’excitait. Il repensait à ses fortes cuisses et surtout son opulente poitrine qu'il voyait tressauter  par l'ouverture de sa blouse, au rythme des claques qui secouaient le gros derrière écarlate de son cousin.

    Le matin arrive enfin... Tout tremblant il descend rejoindre sa tante dans la cuisine... Elle l'attendait, debout, l'air sévère. Elle était vêtue d'une stricte blouse de ménage, très longue, mais ouverte par devant, qui révélait  ses larges cuisses gainées de nylon jusqu'aux attaches de ses jarretelles. Par dessus cette blouse, elle avait noué autour de sa taille un court tablier blanc, ajusté, la bavette gonflée par son imposante  poitrine rebondie.

    Fasciné par la prestance de sa tante, il n'avait pas remarqué la présence de son cousin, le nez collé au mur, près du frigo. Sacha, tout sanglotant, les mains sur la tête, exhibe au dessus de son slip baissé une reluisante paire de fesses, enluminées du même rouge écarlate que celui de la veille après sa grosse fessée. De toute évidence tantine n'a pas perdu de temps. Elle a certainement trouvé un bon prétexte pour lui en mettre une autre aussi sévère, au saut du lit dans la cuisine. Elle aime ça fesser dans la cuisine. C'est l'endroit, estime t-elle, où les fessées sont particulièrement retentissantes, grâce aux surfaces carrelées qui augmentent considérablement le niveau sonore des claques . Une bonne séance de fessées dès le matin dans la cuisine, c'est sa manière de se mettre en forme pour la journée. Et a voir la cuisson des fesses de Sacha , elle ne devrait pas être loin du meilleur de sa forme.

    Elle s'amuse du regard mi admiratif, mi inquiet  de son neveu et lui explique sa méthode disciplinaire  pour l'impressionner davantage.
    – «Et oui Clodinet, voilà ce qui arrive à ton cousin quand il oublie de laver son bol après le petit déjeuner ou qu'il laisse des miettes sur la table. Comme tu l'as vu hier. Il sait ce qui l'attend. Les fesses en l'air sur les genoux de maman, le slip sur les cuisses, et sa première fessée de la journée. De toute façon je ne lui mets que des grosses fessées. J'aime que ça claque fort, et que les fesses soient bien retentissantes dans toute la maison pour faire savoir que tante Gladys est en train de fesser et qu'elle aime ça. Après ça, il a beau avoir vingt deux ans, tant qu'il est à la maison, il a intérêt à filer doux. Ici ça marche à la fessée, si tu vois ce que je veux dire...»

    Il ne vient pas l'idée de Clodinet de contester quoi que ce soit. Il se fait docile, complaisant. Ce n'est pas du tout le moment de contredire  l'impétueuse maîtresse de maison. Mieux vaut prolonger encore un peu l'intégrité de ses fesses en évitant de la contrarier.
    – «Oui tante Gladys, j'ai bien compris que vous aimez flanquer des fessées et qu'avec vous ça claque fort... Comme vous me l'avez fait dire hier.»

    Clodinet voyait très bien où elle voulait en venir, et  pas vraiment rassuré par la radicalité de ses pratiques disciplinaires qu'il allait devoir tester, il  ne savait pas quoi dire de plus. Il était simplement en train de penser que la tantine s'était déjà bien chauffé la main sur les fesses de son cousin et que du coup, comme elle tapait fort, les siennes allaient cuire encore plus vite. Il eu un petit frison d'appréhension en même temps que ses fesses se serraient dans son slip.

    Gladys n'est pas dupe:
    – «Tu es un petit malin toi, et  tu crois savoir parler aux femmes petit flatteur. Il va te falloir un peu plus d'expérience. Ceci dit tu as bien enregistré, j'adore flanquer des fessées! ... c'est très excitant. Je ne comprends d'ailleurs pas pourquoi Sacha continue a se masturber... La plupart du temps, il jouit quand je le fesse, le petit vicieux. D'ailleurs à chaque fois, il en met plein mes bas... que je lui fais nettoyer après... avec la langue, pendant que je continue à lui claquer les fesses pour le punir! C'est très humiliant pour lui, mais moi ça m'amuse!»

    Elle rit ... d'un rire de gorge qui fait tressauter lourdement sa volumineuse poitrine en émancipation de l'étreinte de son bustier!

    Clodinet, subjugué par le sans-gène et les propos volontairement provocants de sa tante, ne sait toujours pas quoi répondre. Elle en profite d'ailleurs, et, consciente du trouble qu'elle provoque chez son neveu, continue cependant avec un naturel déconcertant. La fessée est pour elle un sujet de conversation normal, aussi ordinaire que n'importe quel autre sujet.
    – «Alors, elles ne sont pas belles comme ça, les fesses de ton cousin bien rouges, et bien cuisantes après une bonne déculottée? Tu te serais levé plus tôt tu aurais pu assister à sa première fessée de la journée!»

    Elle n'attend même pas de réponse.

    Il se sentait mal à l'aise dans sa chemisette à manches courtes et son léger un short d'été. Un peu naïf il avait fait exprès de le monter très haut et de replier les revers pour dégager ses fesses le plus possible, en espérant ainsi qu'elle ne le déculotte pas !!! C'était tout à fait illusoire venant d'une fesseuse convaincue qu'un déculottage en règle était une valeur ajoutée à l'humiliation des fessées.

    Les mains sur les hanches, les lèvres frémissantes, un sourire menaçant sur les  dents serrrées, elle le toise du regard de toute la hauteur de ses talons aiguille préparant déjà la fessée qu'elle a décidé de lui administrer quelle que soit sa réponse. La question du choix n'étant rien d'autre qu'une manière supplémentaire de lui mettre la pression.
    – «Alors Clodinet, dit elle d'un ton faussement affectueux, as-tu bien réfléchi à ma proposition? Qu'est-ce que tu as choisi? Je parle à ta mère ou c'est la séance de fessées sur mes genoux?»

    Il a la tête baissé et, malgré ses vingt deux ans passés, il a l'allure d'un gamin craintif  qui attend sa punition.  Du moins c'est l'impression qu'il veut donner. Il finit par dire, d'une petite voix à peine audible:
    – «S'il vous plaît tantine, il ne faut pas le dire à ma mère.»

    Tante Gladys n'est pas du genre a se laisser embobiner. Elle a compris son petit manège pour l’attendrir... Peine perdue, elle le saisit par les cheveux, lui redresse la tête et dit d'une voix autoritaire:
    – «Qu'est-ce que ça veut dire ça! Sois plus précis et parle plus fort!!»

    Alors il a bien été obligé de le dire, les fesses tremblantes au fond de son slip:
    – «Je préfère que ce soit vous qui me punissiez ma tante et il ajoutai... la fessée...s'il vous plaît?»

    D'habitude il la tutoyait mais cette fois la situation l'avait incité à la vouvoyer. Elle eut alors un étrange sourire, assez cruel, et il se sentit fondre de crainte mais aussi d'un certain plaisir.
    – « La fessée s'il vous plaît!» Ironise t-elle. «Comme c'est plaisant d'entendre réclamer, poliment, une fessée! Le grand gourmand qui veux goûter aux cuisantes fessées de tante Gladys ne va pas être déçu. Pour certaines c'est la confiture, moi c'est les fessées que je fais déguster. Je vais t'en servir une de première main.» 

    Elle s’assit sur la chaise à fessée, dégageant les pans de sa blouse sur ses cuisses, pour retendre ses jarretelles, ce qui signifiait qu'elle avait bien l'intention de lui secouer sévèrement le derrière.
    – «Approche!» ordonne-t-elle, «et baisse ton short!»

    Il essaye timidement de protester:
    – «Mais... ma tante... il... il faut vraiment que je me déculotte!?»

    Grosse erreur! Elle lui assène une gifle retentissante et crie sur un ton qui n'admet aucune discussion:
    – «Tu obéis, Clodinet! Et pour te récompenser de ton obstination à contester mes décisions, ça sera deux fessées au lieu d'une! C'est le tarif habituel quand on essaye de discuter!!»

    Il obtempère immédiatement et baisse mon short en pensant qu’il lui reste encore son slip! Même s'il est en nylon transparent, très fin et n'amortit pas vraiment les claques. 

    Elle l'attrape par un bras et d'un geste vif le couche sur ses cuisses... D'un autre geste preste elle baisse son slip sous ses fesses.
    – «J'aime déculotter moi même le derrière que je vais corriger!» dit-elle en faisant joyeusement claquer l'élastique en haut de ses cuisses.

    Attiré pas ce claquement d'élastique qu'il connaît si bien, Sacha se retourne subrepticement pour regarder la scène. Jusqu'à ce moment, on l’entendait pleurnicher doucement. Manifestement il cherchait à se faire remarquer le moins possible bien qu’obligé d’exposer son postérieur que sa couleur écarlate rendait encore plus provocant. Il  se remet presque aussitôt le nez au mur par crainte d'une nouvelle fessée. Mais, rien n'échappe à sa mère.
    – «Je t'ai vu Sacha! Gronde-t-elle, tu viens de te retourner malgré mon interdiction. Je vais devoir te punir.»
    – «Oh non maman, pas encore la fessée... s'te plaît, s'te plait!! ...Pas la fessée maman, plus la fessée! Je te jure, je ne vais plus bouger!»

    Gladys jubile à voir son garçon de vingt deux ans, trépigner comme un gamin en se tenant les fesses à pleines mains pour se les protéger à l'avance de la nouvelle correction qui l'attend, alors qu'elles sont encore douloureuses de la précédente. Impitoyable elle n'a pas pour habitude de se laisser attendrir.
    – «Trop tard mon chéri, trop tard, il fallait y penser avant», s'exclame t-elle, ravie à la perspective d'une troisième fessée consécutive à administrer. «Occupe-toi plutôt de préparer tes fesses, tu vas me les ramener sur mes genoux dès que j'en aurai fini avec celles de ton cousin!»

    Sacha se retourne contre le mur, en pleurant…

    Sous le regard impérieux de sa tante, Clodinet a l'impression de devenir écarlate. Entre les pans du tablier ouvert, il perçoit la tiédeur de sa chair sous le nylon de ses bas, en même temps qu'il sent ses jarretelles lui marquer la peau du ventre. Il frissonne de peur et aussi d'excitation quand avec un sourire pervers elle resserre les cuisses sur son sexe qu'elle s'amuse à faire durcir au contact crissant de ses bas nylon.
    – «Mais c'est qu'il bande déjà le grand vicieux!» s'exclame tante Gladys, d'un ton enjoué, l'air innocent de celle qui n'y est pour rien alors qu'elle continue à lui malaxer le sexe entre ses cuisses gainées de nylon. «Et il bande bien l'animal!» ajoute-t-elle en accentuant la pression. «Je suis curieuse de voir ce que ça va donner quand je vais commencer à te chauffer les fesses en même temps!» 

    Elle rit encore.
    – «Maintenant Clodinet, tu vas montrer comment tu prends bien les bonnes fessées déculottées, que Tante Gladys adore administrer.  Pousse bien sur tes fesses. Ça les rend plus fermes et les fessées plus cuisantes. Tu vas le sentir rapidement, car comme tu le sais maintenant, quand Tantine fesse, elle tape très fort!»

    Alors commence la fessée... Il n'en avait jamais reçu auparavant d'aussi sévère. Ses fesses déculottées claquaient dans la cuisine avec un bruit d'enfer. Au début il n'a pas eu trop mal, probablement parce qu'elle ne donnait pas encore la pleine mesure de sa puissante force de frappe. Puis il a commencé à sentir monter la cuisson. En appui sur les mains plaquées au sol, les reins cambrés, pour accentuer l'arrondi de ses fesses, il serrait les dents pour ne pas lui faire le plaisir de l'entendre exprimer sa douleur. La veille au soir, pendant qu'elle fessait vigoureusement son cousin, qui criait  comme un goret qu'on égorge, il s''était dit: «Quand ce sera mon tour je ne dirais rien.»

    Portée par l'enthousiasme de claquer un postérieur aussi rebondi et tout au plaisir de sentir les belles fesses fermes et élastiques tressauter sous sa main, Gladys tapait progressivement de plus en plus fort, Les claques se faisant plus vigoureuses, Clodinet, en larmes, finit par craquer et se mettre à gémir malgré lui en tortillant du derrière sur les cuisses de son impitoyable fesseuse.
    – «Tu peux crier et pleurer tant que tu veux», s'exclame-t-elle en fessant de plus belle, «j'adore entendre mes punis exprimer leur souffrance. C'est la preuve de l'efficacité de mes fessées.»

    Le bras fort, la main ferme qui ajuste les claque en cadence d'une fesse à l'autre, Gladys est à son affaire. Elle fesse dur, sec et serré  comme elle aime fesser sur un rythme soutenu et régulier qui ne laisse aucun moment de répit au derrière qu'elle corrige. Ce qui rend ses fessées si redoutées. Les fesses de Clodinet  lui cuisent atrocement, et son sexe, coincé entre les larges cuisses de  sa tante, se durcit très fort en frottant sur le nylon de ses bas. Il s'agite, le frottement se fait plus insistant et tout à coup, ne pouvant plus maîtriser son excitation sous l'effet  de la terrible fessée, il se lâche complètement et éjacule.

    Gladys s'en est rendu compte et cesse provisoirement  l'intense claquage de son  gros  derrière.
    – «Mais c'est qu'il a joui ce petit vicieux!» s'exclame-t-elle, «ça mérite bien une récompense.»

    Et elle reprend la fessée plus fort, en le sermonnant, moitié colère, moitié ironique.
    – «Mais qu'est-ce qu'il m'a fait ce grand cochon... à ton âge, tu n'a pas appris à te retenir, une paire de bas toute neuve!»

    Elle le repousse brutalement. Il tombe à genoux par terre dans une position ridicule, le short sur les chevilles, le slip en travers des cuisse, les fesses en l'air, rebondies vers le plafond. Elle se lève et, la main délicieusement cuisante d'avoir fessé si fort, contemple avec satisfaction, le somptueux fessier entièrement rouge écarlate qu'elle vient de sévèrement corriger. C'est toujours pour elle un moment de plaisir intense, de constater l’effet produit par la correction qu'elle vient d'administrer. Elle se plaît à en évaluer l'efficacité afin de décider du niveau de sévérité en prévision de la fessées suivante.

    Clodinet vient  de réaliser ce qui venait de lui arriver sous l'effet de la cuisante fessée. L'excitation d’être couché sur les cuisses de sa tante, au contact de ses jarretelles et  le frottement de son sexe sur ses bas nylon . Il venait tout simplement d'éjaculer et cette jouissance provoquée par un mélange de douleur et de plaisir intense allait le marquer pour le restant de sa vie. Il se demanda aussitôt s'il n'était pas devenu masochiste!

     

    A suivre…

    « Le fil blouse de ma vie, épisode 21Fesses rouges et tabliers blancs, saison 2, épisode 21 »

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  • Commentaires

    1
    PeterP
    Mercredi 9 Novembre 2022 à 19:13

    Bonsoir cher confrère...

    Et ce qui devait arriver... arriva ! Mais quoi de plus naturel qu'une tantine punisse son neveu qui n'a pas respecté ses consignes. Il en va de sa réputation de maman et de sa morale personnelle. Que penserait sa très chère soeur ?? Même si cette initiative de Tantine débouchera sur une dispute réciproque des deux mamans. "Tu as bien fait, Gladys chérie ! Quand Clodinet vient en vacances  chez toi, je te laisse carte blanche pour la discipline ! Tu connais mon point de vue sur l'éducation des jeunes gens. Maman faisait la même chose, souviens-toi ! " Conclue sa maman. Mais comment Maman va réagir ? Va t-elle alors excuser pour cette fois le trop-plein... d'émotions de son fils ? Ou, au contraire, va t-elle en prendre ombrage ? Mystère...

    Peter.

    2
    ramina
    Jeudi 10 Novembre 2022 à 16:25

    Bonjour maman ... euh pardon, Bonjour Peter !

    Tout le monde , ou presque, ou une bonne partie de tout le monde. Du coup, ... si c'est qu'une partie, ça  fait pas vraiment tout le monde en fait ... Bon alors, je recommence: il y a beaucoup de gens ... Oui c'est bien ça! Beaucoup de gens. On sait pas combien mais ça veut dire quand même un certain nombre, donc finalement, c'est possible  que ça fasse quand même pas beaucoup... Si on veut oui... D'accord , mais, du coup, a force que je m'interromps tout le temps,  je ne sais plus ce que je voulais dire ... Ah oui, ça me revient ... Donc si c'est pas beaucoup, il y en a quand même plein, qui gardent le souvenir d'une personne  qui les a marqué dans leur enfance ou leur adolescence ou même plus tard.  Comme c'est le cas de Clodinet qui découvre sa première émotion sessssuelle sur les genoux de sa tante,pendant qu' il reçoit aussi sa première fessée. Marqué  d'abord sur les fesses juste à ce moment là , mais après à vie dans sa  tête,... Très bien tout ça , mais on est déjà au courant, c'est écrit à la fin de l'épisode, " le plaisir intense qui allait le marquer pour le restant de sa vie " qu'y dit l'auteur . ... " Ah oui, c'est vrai! Mais alors... ce que je viens de dire ne sert à rien, j'ai fait rien qu'à répéter ce que tout le monde à lu...Ben oui... mais par contre,  qu'est ce qu'il se passe après ? Ah ben ça...faudra lire la suite ... le 4è épisode  et pi tous les autres !

    Ramina

      • PeterP
        Jeudi 10 Novembre 2022 à 19:34

        Bonsoir Ramina, bonsoir Clodinet, 

        Comme je l'ai peut-être déjà  dit, l'éducation quant elle est donnée par l'entourage féminin marque plus durablement l'esprit d'un jeune homme. Son tempérament se construit progressivement au gré des émotions et des ressentis, qu'il vit au quotidien. L'adolescence est un moment crucial de sa vie et, passé cette étape délicate mais nécessaire, il s'engagera dans sa vie d'adulte. L'influence maternelle agit comme un prisme qui va conditionner ses relations futures avec la gent féminine en dehors du cercle familial. Et dans ce domaine, chacun appréhende cet inconnu avec plus ou moins de réussite... Alors courage , les champions.   

        Peter. 

    3
    clodinette
    Jeudi 10 Novembre 2022 à 17:29

    Je peux vous dire que ça fait encore beaucoup d'effet de revivre tout ça ....de nombreuses années après, amplifié, j'oserais même dire "magnifié " par le génie fouettant du narrateur ...merci Ramina chérie 

      • PeterP
        Vendredi 11 Novembre 2022 à 10:16

        Bonjour Clodinet, 

        Oui, on peut faire confiance à la prose prolifique de mon confrère Ramina, qui  a l'art et la manière de rendre la fiction plus que plausible au point que l'on entendrait presque les protagonistes... respirer !!! Son génie créatif est sans limite. Mais où s'arrêtera t-il ??? 

        Peter.

    4
    ramina
    Vendredi 11 Novembre 2022 à 14:27

    Ah, mes amis ... C'est trop! Beaucoup trop plein, de trop !!! Mais bon , je ne vais pas faire le faux jeton et me plaindre du trop plein. Me voilà, croulant  sous vos gracieusetés ... Oula, la ! Génie créatif... rien que ça ! Sacrée fessée déculottée à  ma modestie. J'en ai le rouge aux joues à défaut de l'avoir aux fesses... hi; hi ! Mais bon,  merci du compliment qui me va droit au coeur du sujet comme une claque au derrière bien ajustée...  Mais c'est malin, maintenant, je me retrouve en devoir de continuer à le mériter. Tankiou ! Ramina  

      • PeterP
        Vendredi 11 Novembre 2022 à 19:06

        Bonsoir confrère Ramina,

         "Esgourdez ce compliment, bonnes gens : "Maitre Ramina, sur son parchemin penché, tenait en sa main une plume d'oie/ Maitre Peter, par son oreille titillée, s'approcha alors du personnage/ Eh bonjour Monsieur l'écrivain, que vous êtes très  prolifique, /Que vous écrivez bien/ Sans médire, vous êtes le meilleur des poètes sous ce toit ! / A ce compliment, Maitre Ramina, en lâche sa plume d'oie / Maitre Peter reprit sa flatterie/ Sachez mon bon poète/ que tout conseiller n'est pas si bête/ Cette flatterie me rapportera quelques deniers aujourd'hui ?/ Maitre Ramina délesté de quelques sous/ Se promit mais bien tard/ De ne plus faire confiance aux grigous !!! ". Coupez ! M'enfin, Peter, c'est pas la Comédie Française, ici !!!" Peter.



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