• La punition d'April

    J'ai trouvé ce texte, en anglais, sur http://toyntanen.blogspot.com/2015/08, sous le titre "April's punishment parade". Je l'ai traduit et, surtout, considérablement développé.


     

    La punition d'April

     


    April Barrett, 19 ans - inquiète pour ses examens finaux imminents - a laissé, au collège, sa jupe se retrousser dans un courant d'air, au vu de tout le monde. Et, pire, au lieu de rougir de honte, elle en a ri avec ses camarades. Mme Barrett a vite su que sa fille chérie avait eu ce manque de pudeur. Soucieuse de la discipline, elle a rapidement organisé une séance de punition pour sa fille, en présence de deux de ses amies: l’impérieuse Mme Helen Steel, et la belle blonde Emily Goodly, une maîtresse femme bien dodue.

    April dû mettre tout d'abord, pour sa punition, les mêmes vêtements qu'elle portait lors de son "affichage public" peu recommandable, et ce avant que Mmes Steel et Goodly n'arrivent. Sa mère lui avait fait mettre, sur ses vêtements d'école, un joli petit tablier à bavette blanc de serveuse, et lui avait donnée l'ordre de préparer le thé et un plateau de petits gâteaux.

    Quand ses invitées sonnèrent, Madame Barret envoya April ouvrir la porte. Heureusement, elle n'eut à le faire qu'une fois, les deux femmes arrivaient ensemble. Déposées en voiture par Monsieur Goodly, étonné, mais charmé, de voir que Madame Barrett avait embauché une nouvelle domestique, avant de se rendre compte que c'était April, qu'il salua d'un air amusé.

    April, honteuse d'avoir été vue ainsi, accueillit quand même les invitées avec le sourire, les conduisit au salon, et apporta le thé et les gâteaux, avant d'être renvoyée par sa mère à la cuisine.
    Quand Madame Barrett la rappela, elle constata que les trois femmes avaient quitté le grand canapé pour se mettre chacune dans un fauteuil à un angle du salon. April vint auprès d'elle, et fut attentive aux consignes que sa mère lui donna à voix basse.

    Puisqu'elle avait laissé sans vergogne remonter sa jupe, la fille, rouge de honte, dû tenir sa jupe retroussée avec ses mains derrière son dos, affichant ses fesses joliment dodues, ses formes succulentes, sa culotte et ses bas blancs, le tout réhaussé par le joli tablier que, bien sûr, elle n'avait pas enlevé.

    Dans cette tenue, April du faire vingt fois le tour du grand salon, serrant ses jambes, et faisant de très petits pas - un pied juste devant l'autre - comme si elle marchait sur une ligne tracée à la craie. Inutile de dire qu'elle était rouge de honte tout de suite, et en larmes dès le deuxième tour.

    Chaque fois qu'elle passait devant sa mère, elle devait faire une pause, s'agenouiller, la tête basse, balbutier en sanglotant des excuses pour son manquement, et implorer une punition appropriée. Chaque fois qu'elle passait devant Madame Steel, assise à un autre coin du salon, elle devait l'implorer de demander à sa mère de la punir, et chaque fois qu'elle passait devant Madame Goodly, elle devait faire de même, sans s'agenouiller, cependant.
    Tout ceci au grand plaisir des trois femmes jouissant de la situation déplorable de la fille en pleurs! Elles ne se gênaient pas pour échanger entre elles des remarques désobligeantes sur April, tout en papotant comme le font des dames qui prennent le thé. Autant dire que, vu la taille du salon, entre les petits pas et les arrêts supplicatoires, accompagnés ou non de génuflexions, cette première partie de la punition dura une bonne heure. Elle fut seulement interrompu au milieu, pour permettre à ces dames de reprendre du thé, que la pauvre April leur servit, en larmes et d'une main, l'autre tenant toujours sa jupe retroussée.

    Lorsque cette marche de punition fut enfin terminée, Mme Barrett se leva de son fauteuil et alla, suivie de ses deux invitées, dans la cuisine. Elle mit un tablier par dessus sa robe, et s'assit sur une chaise de bois robuste, après avoir pris au passage une brosse à cheveux en bois noir brillant, de forme ovale et à dos rigide, qu'elle posa d'abord sur la table à proximité. Madame Steel et Madame Goodly s'assirent, l'une à gauche d'elle, l'autre en face. April dut s'agenouiller devant sa mère:
    - "Maman, punis-moi, je te prie, j'ai mérité ma fessée."
    - "Va demander à Madame Steel si elle pense que je dois te punir, et vas y à genoux!".
    April fit à genoux les deux mètres qui la séparaient de Madame Steel.
    - "Madame Steel, maman demande si vous pensez que je dois être punie?"
    - "Bien sûr, mais est-ce que Madame Goody est d'accord?"
    April alla faire, toujours à genoux, la même demande à Madame Goody, qui ne se fit pas prier pour acquiescer, et retourna devant sa mère.

    Celle-ci commanda à April de se coucher en travers de ses genoux, dans le tablier bien étalé pour protéger sa robe, et la main habile de sa mère eut tôt fait de baisser sa culotte.
    Puis la fessée à la brosse à cheveux, vive mais à la cadence bien espacée, sur ses fesses nues adorablement rondes, qui laissaient entrevoir sa rosette et sa fente succulentes.
    Inutile de dire que la fille qui pleurait, qui criait, qui s'excusait et qui promettait tout ce qu'on voulait, ne put interrompre ni raccourcir la punition, mais seulement entendre, entre les coups, une conférence bien appuyées sur le strict contrôle de sa tenue, selon les principes de sa mère.

    Lorsque la fessée fut enfin terminée, April du enlever provisoirement son petit tablier, retirer entièrement sa jupe, sa culotte et tous ses vêtements, et mettre une blouse de travail sur sa peau nue, puis enfiler à nouveau son tablier de domestique. Dans cette tenue, le bas de la blouse retroussé et passé dans la ceinture de celle-ci, elle dut aller chercher le plateau où elle avait servi le thé, et faire, debout devant l'évier, sous le regard des trois femmes, la vaisselle, puis l'essuyer et la ranger. Ses fesses étaient écarlates, uniformément marquées par la fessée maternelle.

     

    La vaisselle terminée, Mme Barrett annonça qu'elle emmenait maintenant April dans la "salle de bains" du troisième étage, la "salle de bains" spécialement équipée pour administrer les lavements disciplinaires.
    - "Puis-je vous aider, Grace, chérie?" demanda Helen Steel avec un sourire pervers.
    - "Merci, ma chérie," répondit gentiment Mme Barret, "mais je crois que je peux m'en occuper moi-même. Mais si vous, et vous aussi Emily, voulez profiter du spectacle, comme je vois que vous avez apprécié de voir la fessée, vous pouvez venir bien volontiers."

     

    Mme Barrett suivit sa fille qui, en larmes, et la blouse toujours retroussée sur son cul nu, monta les deux escaliers, elle connaissait bien le chemin, qui mènent au troisième étage, accompagnée des deux autres femmes, qui avaient toutes les yeux rivés sur les fesses et le haut des cuisses joliment rougis d’April.

    Arrivées dans la salle de bains, April du se mettre au piquet, contre le mur, mains sur la tête, pendant que sa mère se préparait. Un lavement ne se donne pas sans risque de se salir. Aussi, elle mit par dessus sa robe légère une blouse d'infirmière et, par dessus cette blouse, un grand tablier de caoutchouc blanc, qui la couvrait du cou jusqu'aux chevilles. Ses amies, par mesure de précaution, passèrent par dessus leur robe un tablier identique.
    Ensuite seulement, April reçut l'ordre de s'allonger à plat ventre sur la table carrelée, recouverte de draps de caoutchouc. April obéit aussitôt, croisant instinctivement ses chevilles comme une fille sage et bien élevée.


    Mme Barrett pris alors un thermomètre rectal de grande taille, enfila des gants de caoutchouc, le lubrifia avec de la vaseline et l'inséra dans le canal ultra-sensible du trou du cul d'April, entre ses fesses brulantes. La fille eut un petit sanglot étouffé. Les joues mouillées de larmes d’avril devinrent écarlates, avec l’humiliation d’une grande fille de 19 ans ayant sa température prise comme un petit enfant. Mme Barrett laissa le thermomètre dans le rectum de sa fille pendant cinq bonnes minutes, ne sachant que trop bien quel effet il avait sur elle.
    Après l'avoir retiré, et constaté, avec satisfaction, que, si les fesses étaient extérieurement cuisantes, la température intérieure était normale, Madame Barret fit, avec ses amis, quelques commentaires sur cet état de fait, et sur les bienfaits de la fessée.
    April reçu ensuite l'ordre d'écarter les jambes. Tandis que la jeune fille haletait de crainte, et recommençait à pleurer, Mme Barrett lui administra une longue lubrification rectale à la vaseline, enduisant la rosette, et faisant doucement pénétrer la vaseline dans le canal, à peine desserré par la prise de température, qui s'ouvrait entre les fesses de la chère April.

    Mme Barrett prépara ensuite un broc de 30 onces d’eau tiède bien chargée de flocons de savon "Ivory Snow". La femme prit ensuite un entonnoir auquel était fixé un long tube de lavement en caoutchouc rouge, avec le bout en caoutchouc durci et arrondi. Reprenant la vaseline, elle en enduit largement cette canule puis, petit à petit, doucement, avec une lenteur calculée pour augmenter le trouble et l'angoisse de la patiente, elle inséra le tube dans le succulent trou du cul de sa fille chérie, sous les regards de ses deux invitées qui, peu à peu, se sont rapprochées des fesses d'April, au point qu'elle pourrait presque sentir leur souffle brulant de perversité. April gémit de honte plus que de douleur, et haleta tout au long du processus. Pour elle, c'était comme si un serpent horrible explorait son anatomie la plus intime. L’insertion étant terminée, Mme Barret ordonna à April de se croiser à nouveau les chevilles "comme une jeune femme bien élevée".

    Après avoir nettoyé et enlevé son gant en caoutchouc rouge, Mme Barrett saisit l'entonnoir de la main gauche et le broc de la main droite et commença, très lentement, à verser la solution savonneuse dans sa fille chérie. Les fesses rondes d’April se contractaient involontairement alors que le liquide la pénétrait. Il va sans dire que Mme Barrett faisait des pauses périodiques pendant la procédure, pour expliquer à sa fille l'importance du contrôle de sa tenue à l'extérieur. Ses amies surenchérissaient, ce qui ne faisait que renforcer l'humiliation de la fille.
    Il fallut plus de 7 minutes pour administrer complètement le lavement.

    Lorsque le broc fut vide, Mme Barrett enleva rapidement le tube et le remplaça par le bouchon de rétention en caoutchouc dur, bien lubrifié à la vaseline lui aussi. April eut un cri d'angoisse alors que le terrible bouchon lui était enfoncé dans le fondement. Mme Barrett caressa doucement April sur son cul bien foutu et bien rempli, réveillant la douleur de la fessée, et la faisant frissonner, et dit: "Reste allongée tranquillement, ma chérie, et laisse le lavement faire son travail en toi. Tu le garderas 30 minutes."

    Trente minutes pendant lesquelles les trois femmes papotèrent tranquillement autour d'une tasse de thé que Madame Barrett était descendu faire à la cuisine et leur avait remonté. La conversation tournait autour de l'éducation, des punitions et de tout ce qu'il fallait faire, de nous jours, pour dresser une fille.
    Pendant qu'elles papotaient, Madame Goodly caressait fréquemment la jeune fille, sur les fesses, les cuisses, le dos, sous prétexte de la réconforter et de lui demander comment ça allait. De temps en temps, sa main descendait sur les pieds, et les caresses devenaient presque des chatouilles intenables pour April qui devait, elle le savait, rester immobile, sous la double peine de souffrir encore plus, et d'être punie ensuite. Madame Steel, elle, approchait son visage de celui d'April, pour voir de plus près ses larmes couler, et la morve qui coulait de son nez et qu'elle retenait à peine.


    Trente minutes plus tard, après s'être fortifiée avec le thé qu'elle était allé chercher à la cuisine, et avoir eu une longue conversation agréable avec ses amies sur la manière d'éduquer et de punir les filles, Mme Barrett mit fin à la punition. Il faut dire que la conversation avait porté sur des pratiques, des tourments, des humiliations qui avaient fait rougir et trembler April mais qui, aussi l'avaient follement excitée.

    Madame Barrett aida April à descendre de la table, et la conduisit aux toilettes qui étaient dans la pièce, et qui consistaient en une chaise percée posée sur une grande bassine émaillée. Une fois April assise, elle retira d'un geste sec un bouchon de rétention, suscitant un autre cri strident de la pauvre April.
    Assise sur la chaise percée, April serrait étroitement son petit trou charnu avec une honte irrépressible. La pression devint insupportable, impossible à arrêter! Une quantité humiliante d'eau savonneuse et chargée de matières brunes tomba, dans un bruit dégoutant et une odeur pire encore, dans la cuvette émaillée, pendant que sa mère la tenait par les épaules pour qu'elle reste bien assise, et que les deux amies de celle-ci, accroupies sur le sol, regardaient, avec des moues de dégoût et des rires sadiques, l'expulsion du lavement.


    Pour finir, Mme Barrett torcha sa fille chérie comme un petit enfant, lui mettant un tampon de coton dans le cul encore dilaté et, enfin, l'obligeant à mettre, sous sa blouse et son tablier, une culotte en caoutchouc blanc brillant, bien ajustée sur sa peau humide et sur ses fesses rouges.


    Dans cette tenue, elle dut d'abord aller vider la cuvette émaillée dans les toilettes de l'étage, puis la nettoyer soigneusement, à genoux devant les trois femmes. Il ne lui restait plus qu'à desservir le thé, descendre le plateau à la cuisine et faire la vaisselle.

    Ensuite, toujours dans la cuisine, les deux amies de sa mère eurent le droit, mettant chacune son tour le tablier de cuisine de la première fois, de lui donner la fessée à coups de brosse, après avoir baissé sa culotte de caoutchouc.

    April fut ensuite obligée de faire, comme au début de la punition, 20 fois le tout du grand salon, cette fois en baisant les pieds de sa mère à chaque passage, et en s'agenouillant pour les remercier devant Mme Steel et Mme Goodly.

    Quand Monsieur Goodly klaxonna devant la maison pour récupérer son épouse et la raccompagner avec son amie, il vit juste la jeune April les saluer au départ avec une petite révérence, sans remarque qu'elle avait troqué, sous son tablier blanc, jupe et chemisier pour une blouse de travail…

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