• La métamorphose de Macho Man, chapitre 5

    Un récit de Ramina, inspiré par Clodinet, je remercie les deux.


    Chapitre 5 :  Véronique

     

    Gladys et Véronique s’étaient rencontrées au cours d’une de ces joyeuses séances de fessées que Béatrice Klackerspank organisait dans son salon de coiffure, notamment lorsqu’elle avait décidé que son mari Stanislas ou encore Maxime son grand garçon, méritaient d’être sévèrement fessés en public, pour ajouter de l’humiliation à leur correction. Avec la boutique de lingerie de Madame De Blagnac, c’était le lieu de rencontre favori d’une clientèle exclusivement féminine, fervente adepte de la fessée. Après les salons où l’on cause, les dernier salons où l’on fesse. Elles joignaient le futile à l’agréable en venant se régaler à loisir sur les rebondissantes paires de fesses que les hommes de la maison devaient rendre disponibles pour satisfaire à tous leurs caprices disciplinaires. Ces dames accomplissaient leur mission punitive avec toute la sévérité requise et un enthousiasme décuplé par le plaisir de pouvoir claquer à volonté un solide fessier bien entraîné et parfaitement réceptif. Les joyeuses tournées de fessées, ponctuées d’humiliants sermons, retentissaient dans tout le salon, amplifiées par la résonance du sol carrelé et des grandes glaces accrochées aux murs. Les fesses rougissantes du puni y reflétaient à l’infini leurs volumineux hémisphères incandescentes. 

    Ce jour là c’étaient les fesses de Maxime qui régalaient, pour une sombre histoire de découvert bancaire. Sa mère, excédée par le comportement immature de son grand garçon, vingt trois ans quand même, avait décidé de le punir d’une séance de fessées, publique au salon, devant ses clientes, avec le participation enthousiaste de Catherine et Solange, ses collaboratrices. L’irresponsable jeune homme passait ainsi des cuisses de l’une à l’autre, livrant les belles rondeurs charnues de son imposant fessier, à la frénésie punitive des deux jeunes femmes. Béatrice se chargeant de la première fessée d’échauffement et de la sévère déculottée finale.

    Gladys, habituée du lieu, et Véronique, nouvelle cliente, avaient engagé la conversation, pendant que la patronne du salon administrait une magistrale fessée déculottée à son fils. Il trépignait sur place en suppliant comme un gamin. Béatrice se plaisait à fesser bien en vue, au milieu de la pièce, dans la position qu’elle affectionnait particulièrement pour son caractère parfaitement humiliant. Maxime courbé en deux, déculotté, fesses en l’air, la tête solidement coincée entre ses fortes cuisses gainées de nylon. On entendait le délicieux crissement du revers des bas sur ses joues au rythme des claquées. Il en ressortait les joues presque aussi rouges et cuisantes que ses fesses. A chaque fessée, la maîtresse de cérémonie prenait soin d’orienter les fesses de son puni, vers l’assistance, de façon à ce que chacune puisse se régaler du spectacle de la montée en couleur et en cuisson du postérieur. Maxime, les fesses écarlates de trois retentissantes fessées consécutives avait beau tortiller du derrière en suppliant sa mère, Béatrice, sans aucun état d’âme, insensible à ses cris et lamentations, lui infligeait la dernière fessée qu’elle avait décidé de lui mettre en guise de feu d’artifice final. Les clientes, en pâmoison, en mouillaient leur culotte de bonheur. 
    -- «Profitez-en Mesdames, régalez vous», ironise la patronne, «la séance de fessées est gracieusement offerte par la maison! Maxime est heureux de vous présenter ses fesses en pleine action et de vous montrer comme il prend bien ses fessées! Allez, mon chéri, tortille bien du derrière devant ces dames! Elles adorent ça!»

    Béatrice est en démonstration et comme à son habitude n’y va pas de main morte.
    -- «C’est la première fois que vous venez vous faire coiffer ici?» demande Gladys d’une voix forte, pour essayer de se faire entendre malgré la claquement retentissant de la fessée en cours.«Vous n’êtes pas trop impressionnée au moins, un peu étonnée peut être?»
    Véronique a un petit rictus malicieux et répond en plissant les yeux.
    -- «Ni l’un ni l’autre… en fait, je savais par une amie qu’on pratiquait beaucoup la fessée ici, j’étais curieuse de le découvrir.»
    -- «Vous n’êtes pas déçue au moins?»
    -- «Pas du tout, j’adore! Je trouve que c’est une excellente idée, là c’est la secrétaire commerciale qui prend le dessus. C’est même très astucieux pour fidéliser une clientèle friandes de ces croustillantes séances.»
    -- «Et ce n’est pas que pour y assister, ces dames sont aussi invitées à participer en administrant quelques bonnes fessées aux messieurs de la maison. Et, croyez moi, elles ne s’en privent pas… moi non plus d’ailleurs, rien ne me plaît davantage que de claquer une belle grosse paire de fesse bien ferme… C’est même, mon activité sportive favorite pour garder la forme!»
    Elle rit.
    -- «Je vous comprends», rétorque la jeune femme en riant aussi.
    Son opulente poitrine en tressaute d’enthousiasme, limite de s’émanciper de la scandaleuse profondeur de son décolleté. Le genre qui rend aveugle au le premier coup d’oeil. Elle ajoute avec un sourire pervers:
    -- «J’avoue que c’est très excitant de voir de grosses fesses déculottées masculine, cuire et rougir sous les claques.»
    -- «Je ne vous le fais pas dire! Mises à part les fessées d’entretien, sans réel motif, les meilleures à mon avis, ils les méritent toutes en général!» 

    Véronique marque un temps d’arrêt et ne répond pas tout de suite. Elle semble hésiter et regarde Gladys d’un air navré en poussant un gros soupir d’impatience. Sa généreuse poitrine fait une deuxième tentative de débordement, à peine retenue par son soutien gorge pigeonnant dont la dentelle noire apparaît hors du décolleté.
    -- «J’en connais un moi, tiens, qui mériterait bien de s’en prendre des fessées, et souvent! Des longues et des sévères! Je suis sûre que ça lui ferait du bien de se faire claquer les fesses à lui aussi!»

    Gladys que la simple évocation d’une fessée émoustille au point d’humidifier aussitôt le fond de son slip, fait une petite moue intéressée. Sourcils levés, interrogateurs, elle fixe son interlocutrice avec un regain de curiosité.
    -- «Ah bon, parce que vous fessez aussi? Vous n’êtes pas là par hasard alors!»

    Véronique ne veut rien manquer du croustillant spectacle, ni interrompre la conversation. Avant de répondre, elle jette un coup œil furtif sur les fesses rouges largement déployées de Maxime, qui continuent de prendre sa déculottée au milieu du salon, solidement maintenu en position, la tête toujours coincée entre les cuisses de sa mère. Le jeune femme s’amuse beaucoup de voir la queue et les couilles pendantes du garçon joliment encadrées par ses jambes musclées et écartées, se balançant sous l'effet du mouvement imprimé par la fessée. La main ferme de Béatrice fait des merveilles, sur le rebondissant fessier.
    -- «Oui, je fesse volontiers… mon petit ami, lui aussi quand il le mérite, par exemple. S’il me désobéit, se comporte mal, ou ne participe pas assez aux tâches ménagères. J’avoue adorer le déculotter et le tenir sur mes genoux pour lui rougir longuement les fesses! Ça lui fait du bien et à moi aussi!» 

    Pendant que ces dames papotent, Maxime en larmes s’est écroulé sur le carrelage entre les jambes de sa mère qui tape décidément très fort et a desserré un peu les cuisses. Implacable, elle le fait se relever et l’oblige à revenir se positionner, pour continuer sa fessée, cette fois, allongé sur ses genoux. Il s’y traîne péniblement. Pendant qu’il s’y réinstalle, elle descend son slip plus bas sur les cuisses pour agrandir la surface à corriger.
    -- «Et bien Maxime, qu’est ce que ça veut dire …, on ne tient plus la position!» ironise encore la sévère maman. «Tu croyais peut-être t’en tirer comme ça mon pauvre ami? Elle rit. Mais je n’en ai pas encore fini avec tes fesses, figure toi! La fessée continue!!»

    A peine remises en place, ses grosses fesses écarlates, chauffées au rouge, recommencent à rebondir sous une éclatante averse qui retentit de plus belle à travers le salon sous le regard chaviré des clientes au bord d’un deuxième orgasme. Gladys, toujours passionnée discipline domestique, et surtout dans le contexte d’une séance de fessées en public, poursuit la conversation avec la jeune femme qui se prête volontiers à l’échange.
    -- «Quand vous disiez, j’en connais un qui mériterait bien de s’en prendre des fessées, vous parliez de votre petit ami?»

    Véronique est une femme de caractère qui n’est pas du genre à se dérober en pratiquant la langue de bois. Elle assume ce qu’elle dit et ce qu’elle fait. Son poste à responsabilité l’amène à devoir tenir tête à un directeur tyrannique et entreprenant. Elle glisse vers son interlocutrice un regard malicieux. Le ton est direct, sans ambiguïté.
    -- «Ah non pas du tout! Sylvain a sa dose normale de fessées plusieurs fois par semaine. Tout dépend de mon humeur. Quand je l’ai plutôt fessante c’est parfois presque tous les jours. Je peux vous dire que les fessées… on aime ça, et bien sévères!»
    Elle rit franchement, d’un rire clair et sans retenue.
    -- «D’ailleurs, pour nous, elles sont autant jouissives que punitives.»

    Le regard brillant d’intérêt, Gladys se tortille sur son siège en gonflant sa poitrine, qui n’a pas besoin de ça pour se faire remarquer.
    -- «Et bien vous au moins, on ne vous le fait pas dire! Peu de gens on la franchise de s’exprimer ainsi sur les bienfaits d’une bonne fessée.»
    -- «Pour ça, on en profite tout les deux», poursuit la jeune femme, avec naturel. «J’adore sentir mon chéri durcir entre mes cuisses gainées de nylon, pendant que je le fesse et le faire jouir, ses belles grosses fesses rouges et cuisantes sous mes claques! C’est follement excitant!» 

    Gladys boit du petit lait, elle est tombée sur une fervente. Elle pousse sa curiosité.
    -- «Encore une fois, je partage votre point de vue sur la merveilleuse attractivité d’une paire de fesses bien rouges. Mais si ce n’est pas de votre mari, de qui parliez vous alors, en évoquant les fessées qui se perdent?»
    -- «Je ne sais pas si je devrais vous le dire... Elle hésite encore, marque un temps d’arrêt puis se décide, après tout, entre femmes de caractère. Je pensais à mon patron, le directeur des ventes, dans l’entreprise ou je travaille.»

    Gladys est de plus en plus intéressée. Elle devine plus ou moins le suite.
    -- «Ah bon… Et alors? Que lui vaudrait de mériter d’être corrigé? Ferait il partie de ces hommes de pouvoir un peu trop pressant avec son personnel féminin?»
    Véronique, sourcils froncé a un petit rictus de contrariété.
    -- «C’est rien de le dire! Un vrai goujat! Le beauf classique dans toute sa splendeur. Imbu de sa personne, Monsieur profite de sa situation dominante pour se comporter comme un petit tyran auprès de ses subordonnées.»
    -- «Oui, je vois le genre. Fort avec les faibles et faible avec les forts. Lâche quoi. Et vous arrivez à supportez ça?»
    -- «Bien obligée pardi, je suis sa secrétaire de direction! Mais rassurez vous, je ne me laisse pas faire, j’arrive à le tenir à distance… même si c’est pénible de travailler dans ces conditions. Ça ne le gène pas de faire des allusions graveleuses et même des avances, alors qu’il est marié… dernièrement il a voulu savoir si je portais des bas avec jarretelles ou des collants… vous vous rendez compte?»
    -- «Effectivement. Alors qu’il est évident que, comme toute femme séduisante, vous êtes adepte du porte jarretelles et des bas nylon… tout comme moi» fait remarquer Gladys, sourire aux lèvres. «Et alors qu’est que vous avez fait?»
    -- «Je l’ai envoyé balader en faisant allusion à son épouse.»
    -- «Vous avez bien fait, c’est une bonne idée. Et il s’appelle comment ce mal dégrossi?»
    -- «Paluchaud… Gilbert Paluchaud…» laisse tomber Véronique, déjà comme une sentence. «Un nom à mettre des slips en zinc avec des collants cottes de maille par dessus, pour protéger ses arrières!»

    Le temps suspend son vol, comme une main au dessus d’un fessier entre deux allers et retours. Ce nom est loin d’être inconnu pour Gladys, d’abord surprise, puis, qui sourit, l’air songeur. Un ange passe, avec la tête d’un Gilbert Paluchaud, le pantalon aux chevilles. Petit moment de silence, seulement troublé par les sanglots de Maxime que sa mère vient d’envoyer en pénitence près de la caisse, après les dernières claquées de sa magistrale déculottée. Les claquements secs de la retentissante fessée résonnent encore agréablement aux oreilles des clientes, comme une vibration persistante entre les grandes glaces et le sol carrelé. La rougeur extrême qui enlumine la surface toute entière du rutilant fessier, témoigne de la sévérité de la correction.
    -- «Les mains sur la tête et tu ne bouges pas d’un centimètre», ordonne Béatrice, «je t’en ficherai moi de faire des découverts sur ton compte. Si jamais tu essayes de te frotter le derrière, c’est le tarif habituel. Tu reviens immédiatement sur mes genoux pour une fessée supplémentaire.»
    Murmures d’approbation chez les clientes comblées.
    -- «D’ailleurs il en mériterait bien une tout de suite.» Elle se tourne en souriant vers Catherine et Solange. «Regardez moi ça, le petit cochon, il a encore jouit pendant sa fessée!»
    -- «Faut croire qu’il aime ça!» dit Catherine hilare. «Ça l’excite de se faire chauffer les fesses.»
    -- «Pour ça oui, il m’en a mis une grosse giclée plein la blouse!»
    Solange ajoute, pleine de bon sens:
    -- «Heureusement que vous avez la bonne idée de nous en faire porter en nylon pour les fessées, ça se lave plus facilement que le coton.»

    Gladys rompt ce moment de discipline d’un éclat de rire sonore qui fait sursauter les lourdes poitrines environnantes. Toutes ces dames ont le balcon bien garni.
    -- «Gilbert Paluchaud! Mais j’en ai entendu parler de celui là!» s’exclame-t-elle en tortillant joyeusement du derrière, «c‘est bien le mari de Victoria Glamor?»
    -- «Vous les connaissez alors?» s’exclame Véronique. Ses yeux, grands ouverts, expriment un réelle de surprise.
    -- «Lui non, mais son épouse oui! Belle femme d’ailleurs, que j’ai rencontrée il y a peu…»
    -- « Ah bon?»
    -- «Oui, chez Béatrice Klackerspank. Elle venait de se faire mettre la main aux fesses par mon mari, figurez vous… devant moi, en plein milieu de la boutique!»
    -- «Nooon! Pas possible!»
    -- «Si, même pas gêné le petit salopard!»
    -- «Et alors, qu’est ce que vos avez fait?»
    Gladys a un rire de gorge comme pour souligner l’évidence.
    -- «Qu’est ce que vous croyez! Je lui ai mis sa fessée sur le champs, et une sévère encore! Une occasion comme celle, de lui rappeler le sens des bonnes manières, ça ne se rate pas.Une bonne fessées, déculotté, en public, pour qu’il se souvienne de la leçon.»
    -- «Évidemment, ce doit être plus marquant!»
    -- «Pour ça oui, c’est très efficace je vous le garantis. Rien de tel que de bonnes fessées bien claquées pour corriger un vilain mari aux mains baladeuses, qui ne sait pas réfréner ses mauvais instincts!»

    Gladys, toujours aussi persuasive, n’a cependant pas besoin d’insister. Véronique est déjà convaincue des bienfaits de la fessée.
    -- «Ça ne vous étonnera pas si je vous dis que vous avez absolument raison! Mais Victoria dans tout ça... Comment a t elle réagi?»
    -- «Oh, très bien! Je lui ai d’abord montré comment bien fesser, en corrigeant mon mari devant elle. Puis je l’ai persuadée de le punir à son tour en lui flanquant une deuxième fessée, déculottée celle là.»
    -- «Elle a aimé?»
    -- «Enchantée, vous voulez dire! Et elle apprend vite, Edouard s’en est pris une sacrément claquante. Je vous raconte pas la couleur et la cuisson de ses fesses quand on l’a obligé à se reculotter. Un vrai bonheur!»

    Béatrice, satisfaite de la correction infligée à son fils, à momentanément disparu dans la réserve pour changer de blouse. Solange et Catherine surveillent Maxime, guettant le moindre relâchement de position, pour, selon les consignes strictes de la patronne, lui mettre aussitôt une nouvelle fessée. C’est comme ça que ça marche.

    Les deux clientes, sont parties, enchantées du service de coiffure et surtout de l’excitante séance inattendue spectacle offert par la maison. Elles sortent toutes joyeuses, en riant sous cape comme deux complices, témoins d’un croustillant spectacle.
    -- «Roooh, quelles fessées il s’est prises, le grand garçon à sa maman!» dit l’une à l’autre qui répond sur le même ton enjoué.
    -- «Pour ça, il s’en est ramassé une des sévère … ça m’a toute émoustillée, il va falloir que je change de slip en rentrant à la maison.»
    -- «Oui, moi aussi.»

    Véronique, et Gladys se sont installées côte à côte dans les fauteuils laissés vacants.
    -- «Si je comprends bien», dit la secrétaire de direction, «Victoria doit supporter, en pire, ce que j’endure au bureau de ce gros macho de Gilbert Paluchaud… son mari! Et bien je la plains! Comment a t-elle pu épouser un type pareil?»
    -- «On peut supposer qu’il n’était pas aussi insupportable à l’époque…» dit Gladys fais preuve d’une tempérance inhabituelle. «Le pouvoir rend souvent arrogant et stupide.»
    -- «Je l’ai parfois au téléphone, elle n’en laisse rien paraître. Comment se fait il qu’elle ne prend pas le dessus… un mari ça se dresse, non?»
    -- «Et vous, au bureau? Vous ne vous laissez pas faire, peut être mais ça ne l’empêche pas de vous harceler constamment. Alors qu’une bonne correction de temps en temps...»
    -- «Mais je ne peux pas, Gladys, c’est mon patron!! Vous me voyez le prendre sur mes genoux et lui flanquer une fessée pour le calmer?»
    -- «Vous, non bien sûr! Même si ce ne sont pas les occasions qui manqueraient. Mais son épouse… oui! Il faudrait simplement que vous l’y aidiez en l’obligeant à se soumettre… simple solidarité féminine.»
    -- «Ah oui… mais je ne vois pas comment…»
    Gladys a un petit sourire vicieux, plein de sous entendu. Elle croise lentement ses jambes en faisant crisser ses bas nylon sur ses cuisses.
    -- «J’ai ma petite idée la-dessus, figurez vous… ça ferait d’une tournée de fessées deux coups, parce qu’il ficherait la paix à sa femme et à vous en même temps.»

    Une vive lueur de curiosité s’allume dans le regard noir de Véronique. Elle se penche vers son interlocutrice comme pour mieux l’entendre. La poitrine frémissante d’impatience au dessus de la ligne de flottaison de ses bonnets D, elle se trémousse du derrière comme une effeuilleuse devant un parterre de célibataires en goguette.
    -- «Là, vous m’intéressez Gladys, je vous écoute avec attention!»

    Habituée à décider et souvent imposer son point de vue, la maîtresse femme marque un temps d’arrêt pour savourer le moment.
    -- «Voici, chère amie, ce que je propose...»

     

    ( A suivre )

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  • Commentaires

    1
    PeterPan
    Lundi 15 Mai 2023 à 18:47

    Bonsoir Ramina, 

    Maxime s'est encore distingué encore une fois. Précédemment, c'était une amende pour excès de vitesse et retrait de points. Cette fois-ci, un découvert sur sn compte. Maman Claridge va lui faire payer les intérêts et les agios !!! Plus les frais de découvert... fessier !!! "Il faut bien que jeunesse se fesse... euh... pardon... se fasse" (Rires). Une fois de plus, Gladys est dans son élément. Véronique, la secrétaire de direction, va vite devenir une nouvelle cliente de Claridge.  Cette future amie lui donne l'occasion de s'improviser  "maitre-ès-fessologie appliquée, diplômée de longue date du très sérieux "Home Spanking Service" , le service de fessée à domicile. Véronique boit les paroles de la belle maitresse-femme. Et elles vont concocter une stratégie pour faire chuter "Gil-la-paluche-chaude" dans le traquenard  qu'elles vont tendre aussi sûrement que le taureau qui fonce vers le chiffon rouge !! La corrida va commencer !! ... Ca va chauffer !

    Peter. 

    2
    ramina
    Mardi 16 Mai 2023 à 14:09

    Bonjour Peter,

    Lecteur assidu; mémoire éléphantesque, on ne peux pas prendre le Peter en défaut. Si vous avez un trou de mémoire au risque de tomber dedans, tonton Pet , peut vous la rafraîchir en deux coups de cuillère à fessée ! . Limite si je me souvenais que Maxime avait déjà eu droit à une séance de fessées pour excès de vitesse !! C'est dire ... ça remonte à loin Peter, visionnaire, aussi, quand à la suite, en présupposant le traquenard que Gladys, Véronique et Victoria, les virtuoses de la claque aux fesses, sont en train de concocter à l'attention de Gilou la main chaude ! . (sans doute référence au film, ''Luke la main froide '' 1967avec Paul Newman ) Après Uber Eat et Délivero, la plaie des vrais amateurs de bonne cuisine, voici, tout droit sorti de l'imagination  Peteresque, le "Home Spanking Service'' ou le service de fessée à domicile, même le dimanche, pour les vrais amateurs de vraies  bonnes fessées... On se demande, dans les milieux à peine autorisés,  si Tante Gladys ne serait pas à l'origine de cette création, en association avec la maison Delaniaires, fabricants de martinets sur mesure ...  On n'arrête pas le progrès , ma brave dame!!  Ramina

      • PeterPan
        Mardi 16 Mai 2023 à 14:31

        Bonjour cher ami et confrère, 

        Précisément, c'est bien au titre de ce film avec Paul Newman (cf. "La tour infernale", passé il y a une douzaine de jour sur ARTE, dans la même veine ciné-catastrophe que "l'Aventure du Poséidon" que j'ai vu en 1973 à sa sortie en juillet).  Ben ouais, onkel Peteur : doujours brêt à rendreu servize à ses gute Freund' ! Ach ! Le "Home Spanking Service": voilà de quoi occuper les journées et les soirées des Tapefort, mère et fille. Devis à la demande avec fessées à la carte, forfait, à la semaine, prêt du martinet ou en location chez les Deslaniaires, voir en crédit-bail , et surtout prêt de tabliers en vinyl uni ou , en coton dentelé pour les puristes qui sont restés fans de la fessée d'antan. Pour la commoditéé du service, les fessées sont administrées jusqu'à 23 heures. Petit plus : Miss Patricia dispense des leçons d'anglais aux étudiants qui en feront la demande auprès du service.

        Peter.

    3
    ramina
    Mardi 16 Mai 2023 à 15:01

    Cher ami!

     Et voila, l'imagination est lâchée, débridée, pour atteindre des sommets du désopilant !  N'en voilà une idée de création d'entreprise qu'elle est originale ! Les auto entrepreneurs de la fessée bientôt côtés au CLAC / 40... Attention les bourses !   Hi, hi!    Ramina

     



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