• La domination par le tablier, un piquet réussi avec quelques trucs simples

    Un piquet réussi avec quelques trucs simples

     

    Un récit de votre servante Marie-Souillon

     

     

    Avertissement

     

    Comme tous les jeux de domination, ces jeux ne doivent être pratiqués qu'entre adultes éclairés et librement consentants, dans le respect des règles fixées par avance et des consignes de sécurité.

     

    Le texte est rédigé en partant du principe qu'il y a une ou des punisseuse(s) en tablier, et un ou plusieurs puni(s) habillé(s) en tenue de servante.

     

     

    Introduction

     

    Le piquet est une punition très répandue. Il se distingue du bondage parce qu'il n'y a pas de liens qui immobilisent le puni, sauf de manière accessoire. Il doit être inconfortable, cet inconfort pouvant aller jusqu'à la douleur. Il doit, aussi, être humiliant.

    Pendant le piquet, il ne doit pas y avoir de coups ni même de contacts entre la punisseuse et le puni. Sinon, ce n'est plus du piquet, c'est un autre genre de punition. En théorie, le piquet pourrait être fait en l'absence de la punisseuse. En pratique, pour de multiples raisons, dont la sécurité, la punisseuse doit garder un œil sur le puni. L'avantage du piquet est qu'une seule punisseuse peut gérer un grand nombre de punis en même temps.

    Il ne faut pas confondre le piquet, punition, avec la "position d'attente" de la servante qui se tient à la disposition de la punisseuse, prête à obéir à ses ordres.

     

     

    Le moment

     

    Comme toute punition, le piquet doit être infligé au bon moment.

    Classiquement, le piquet est la punition qui suit la fessée, et qui permet d'exposer le cul rouge du puni. Dans ce cas, la question est de savoir si la consolation qui doit suivre la fessée se fait après la fessée et avant le piquet, ou après le piquet lui-même. Pour ma part, je pense que le bon enchaînement est fessée > consolation > piquet, qui permet de mieux consoler de la fessée et de bien distinguer les deux punitions.

    Le piquet peut aussi venir avant la fessée, en préparation de celle-ci, pour ajouter à la crainte de la fessée l'angoisse de l'attente. Dans ce cas, l'angoisse du piquet est inversée par rapport au piquet a posteriori: le puni, au lieu d'espérer la fin du piquet, en a peur, au contraire. La gronderie qui doit précéder la fessée doit, à mon sens, être faite avant le piquet. Elle peut également être renouvelée entre le piquet et la fessée. L'enchaînement est alors gronderie et annonce de punition > piquet > gronderie de rappel > fessée (et, bien sûr, ensuite, consolation > piquet).

    Mais on peut imposer le piquet en dehors de la fessée, bien sûr. La seule contre-indication, c'est qu'il ne faut pas avoir besoin de se faire servir pendant la punition, mais c'est valable aussi pour le bondage, me direz-vous. Le piquet sera donc imposé en punition pour une faute légère, de préférence une faute liée à la trop grande activité du puni, ou juste pour "être tranquille" et jouir du spectacle. C'est une punition adaptée, aussi, si on doit recevoir des amies, parce que la punition "se fait toute seule".

     

     

    Les positions générales

     

    La position imposée, qui doit être tenue volontairement par le puni, est la base du piquet. C'est une immobilisation sans contrainte physique.

    La position debout est la plus facile à tenir. Les pieds peuvent être joints ou écartés à la distance fixée par la punisseuse.

    La position à genoux est la plus pratiquée, avec la variante classique agenouillé au sol, mais aussi la variante agenouillé sur une chaise, un tabouret, une table, pour que le puni soit mieux exposé aux regards. Comme les pieds, les genoux peuvent être joints ou écartés.

    La position assise, qui peut aussi être inconfortable, permet une durée de punition plus longue. On utilise, alors, non pas une chaise avec dossier, mais un tabouret, pour que le puni fasse l'effort de se tenir droit. Pieds au sol, jambes ballantes, les deux solutions, qui vont déterminer la hauteur du tabouret, peuvent être retenues, mais les pieds au sol me paraissent plus contraignants.

    Le piquet peut aussi être fait dans d'autres positions mais ce n'est plus vraiment un piquet, c'est un autre genre de punition. Il y a la position à quatre pattes, la position genoux fléchis, par exemple.

    La position générale peut éventuellement être changée par la punisseuse durant la séance de piquet, mais ne perdez pas de vue que trop de changements enlèvent une partie des contraintes de la punition.

    Pour les désagréments supplémentaires, voir la partie "Les supports punitifs".

     

     

    La tenue

     

    La tenue du puni ne fait pas partie des contraintes, mais elle participe à l'humiliation. Entre le puni habillé normalement et complètement, et le puni entièrement nu, il y a bien des variantes.

    L'idéal est que le puni porte une blouse de femme, boutonnée dans le dos. Il peut garder son tablier, bien sûr.

    La base de l'humiliation est que cette blouse soit retroussée sur les fesses, pour que le puni montre son cul. La blouse peut être retenue par une épingle à linge, une épingle à nourrice, une ceinture nouée haut, ou tout autre système, comme par exemple un boutonnage spécifique "retroussage". La punisseuse peut aussi obliger le puni à garder sa blouse troussée en la retenant avec une main ou avec les deux.

    La culotte (de femme de préférence, bien sûr) peut rester en place normalement, ou bien être rentrée dans la raie du cul pour montrer les fesses. Elle peut aussi être baissée, ou tout simplement enlevée. La culotte fendue par derrière peut bien évidemment rester en place et être ouverte sur les fesses.

    Pour ce qui est de la "face avant" du puni, il est très humiliant de lui faire retrousser la blouse devant, également, pour qu'il exhibe son zizi (ou sa craquette si c'est une fille). Le retroussage se fait selon les mêmes techniques que la face arrière.

    Pour une fille, si elle porte une blouse boutonnée devant, elle peut être ouverte sur ses nichons nus.

    La blouse peut être absente, remplacée par un tablier ou une chasuble. Le tablier peut avoir les pans arrière plus ou moins ouverts, en lieu et place du retroussage; il se retrousse devant aussi. La chasuble se retrousse comme la blouse.

    D'une manière générale, toute tenue qui rendra le puni bien ridicule est la bienvenue, comme une coiffe, un bonnet (petit bonnet ridicule, torchon noué, etc. mais pas le bonnet d'âne, trop scolaire), des gants de ménage, etc...

    Et, bien évidemment, on peut, au lieu de dénuder les fesses du puni, lui faire porter une couche ou une culotte de caoutchouc langée.

    Les pieds nus sont recommandés, surtout, bien sûr, pour la position debout.

     

     

    Les suppléments punitifs

     

    Le "supplément punitif" est ce qui va être placé entre la base (sol, meuble) et la partie du corps du puni qui supporte son poids, afin de rendre le piquet plus difficile, de "inconfortable" à "douloureux".

    Le supplément peut être carré, comme une règle de bois (genre règle à tirer les traits) ou de plastique, ou bien un tasseau de bois de faible section (qui doit être poncé, pour ne pas avoir des échardes). On peut également le prendre rond, comme le manche d'une cuillère de bois (il peut être nécessaire, alors, de le doubler gauche-droite), ou bien un manche à balai. Ces suppléments sont bien adaptés au piquet à genoux.

    On peut utiliser aussi des suppléments en morceaux, comme les pois chiches bien durs, les pignons d'olives, le gros sel, toutes choses qui vont vouloir rentrer dans la partie du corps du puni qui supporte son poids. On peut les étaler sur un torchon et les faire tenir avec un peu de confiture, par exemple, ou autre chose qui colle, afin qu'ils restent bien en place durant toute la punition. Il faut éviter, bien sûr, tout ce qui peut provoquer une plaie. Il s'agit uniquement d'augmenter l'inconfort. On peut utiliser, aussi, différents suppléments ayant des picots en plastique souple. Il est intéressant d'utiliser des biscottes, que l'on mettra entières, pour que le puni les écrase sous son poids. Ces suppléments peuvent être utilisés debout, à genoux ou même assis.

    Un tapis-brosse bien rêche est, lui aussi, inconfortable et douloureux, c'est très indiqué pour le piquet assis, mais aussi pour le piquet à genoux. Il peut être remplacé par une grosse toile de jute, qui fera un effet similaire.

    Comme la position, le supplément peut être changé durant la punition. Il peut aussi être ajouté après le début de la position pour la rendre plus sévère, ou bien enlevé pendant celle-ci, pour adoucir la punition. Pour la position assise, le supplément sera adapté en fonction de la dureté de la fessée, bien sûr.

     

     

    Les positions des bras et des mains

     

    La position générale du corps, plus ou moins confortable, doit être complétée par une position contraignante des bras et des mains. C'est là que les variantes sont les plus nombreuses et les plus amusantes (pour la punisseuse, bien sûr).

    La position la plus confortable est celle des mains dans le dos, le puni joignant ses mains ou se tenant les poignets. Ceux-ci peuvent également être attachés ensemble. L'inconvénient de cette position est qu'elle ne met pas les fesses en valeur. Les mains peuvent également être tenues devant, mais c'est alors le sexe qu'elle vont masquer. A réserver, donc, aux piquets habillés.

    Les bras croisés devant sont également une position confortable. Les bras croisés dans le dos sont à peine plus contraignants, mais ce sont des positions que j'estime trop "scolaires".

    La position la plus classique est celle des mains sur la tête, posées à plat l'une sur l'autre au sommet du crâne, ou sa variante des mains sur la nuque. Attention, la position avec les mains à plat est plus contraignante, parce que plus difficile à maintenir, que les mains croisées, qui se soutiennent l'une l'autre.

    Il est possible d'imposer les mains jointes devant en prière, c'est peu usité, mais bien humiliant.

    Les positions les plus douloureuses sont celles avec les bras tendus, soit sur le devant, soit sur les côtés, bras en croix. Et la position est encore plus dure à maintenir avec un poids à chaque main! Le poids n'a pas besoin d'être très lourd, un kilo me parait un maximum. On peut poser le poids sur la main à plat (paume ou dos, selon la position), ou le faire tenir par une anse ou une poignée. Bien évidemment, il ne faut pas prendre comme poids un objet fragile! Boite de conserve, petit seau en plastique rempli d'eau, filet à provision avec des patates, si c'est humiliant, c'est encore mieux! La position des bras tendus au-dessus de la tête est une variante, mais elle ne se prête pas à l'adjonctions de poids. De plus, elle grandit le puni, ce qui n'est pas l'objectif! Les bras tendus à l'horizontale peuvent se faire paume tournée vers le bas (position plus naturelle) ou paume tournée vers le haut (plus difficile à tenir). On peut aussi obliger le puni à garder les doigts écartés, contrainte supplémentaire.

    Si le puni a une blouse longue, on peut lui imposer de retenir sa blouse troussée avec les mains, si ce n'est pas très inconfortable, c'est très humiliant.

    La position des bras et des mains peut éventuellement être changée par la punisseuse durant la séance de piquet, mais ne perdez pas de vue que trop de changements enlèvent une partie des contraintes de la punition.

     

     

    La durée

     

    Comme toutes les punitions, ce n'est pas tant la durée qui est importante que la manière dont elle est gérée.

    Il en est de la durée du piquet comme de celle du bondage. Il ne faut pas que la punisseuse s'ennuie, et pourtant, elle doit garder un œil sur le puni. Celui-ci doit souffrir de la durée de la punition, qui dépend donc, en partie, de son endurance, mais il ne doit pas s'ennuyer non plus. Je pense qu'un quart d'heure à une demi-heure est une bonne durée, mais la punisseuse peut faire la punition aussi longue qu'elle le désire.

    La durée peut être fixée au début de la punition, ou pas. Si elle est fixée, elle peut l'être en unités de temps, comme "dix minutes". Elle peut aussi jusqu'à une échéance, échéance qui, sans être précise, peut quand même être estimée par le puni. Par exemple jusqu'à ce que la punisseuse ait fini ce qu'elle a à faire (lire un magazine, etc.), ou jusqu'à ce qu'une visite prévue arrive...

    La durée fixée en unités de temps peut être annoncée au puni, ou pas. L'intérêt est que l'angoisse de l'incertitude s'ajoute à l'inconfort de la punition. On pourrait donc dire que la punition de longue durée peut être annoncée, alors que si la durée doit être plus courte, il faut préférer l'incertitude.

    Le piquet peut être chronométré avec un minuteur de cuisine, par exemple, qui sonnera à la fin. L'avantage du minuteur mécanique est qu'il est très simple de rajouter du temps, par un simple mouvement sur le curseur. Le tic-tac ajoute à l'effet du piquet, je pense... Bien sûr, la sonnerie de fin n'oblige pas la punisseuse à interrompre la punition. Elle peut très bien dire que la punition continuera encore un peu, ou remonter le minuteur pour quelques minutes de plus. De même, la punisseuse peut utiliser un sablier de trois minutes qu'elle retournera un nombre de fois déterminé. Dans ce cas, le puni peut voir le sablier, et être autorisé à demander à sa punisseuse de bien vouloir le retourner quand il est fini. Si elle oublie de le retourner tout de suite, tant pis!

    Il est possible de faire "décider" la durée par le puni, en le faisant réciter (ou chanter) quelque chose un certain nombre de fois, le piquet étant fini la récitation terminée. S'il va trop vite, s'il se trompe, il recommence le passage concerné.

    La durée peut être rallongée en cours de punition si le puni accomplit mal celle-ci, par exemple s'il ne respecte pas l'immobilité. Attention, cependant, à la durée complémentaire. Si chaque manquement faisait repartir la durée de punition au début, on risquerait, le puni se fatigant et faisant de plus en plus de fautes, de ne jamais finir. Et la punisseuse se lasserait aussi. Quelques minutes supplémentaires par faute devraient suffire.

    Le puni doit-il suivre le décompte du temps? Pour une punition à durée annoncée, je pense que non, suivre le décompte lui permet d'entrevoir la fin, et donc de tenir plus facilement. Pour une punition dont la durée lui est inconnue, oui... Il est possible, aussi, que la punisseuse annonce au puni le temps passé et le temps restant à faire, à certains moments lors de la punition. Elle n'est pas obligée de dire la vérité au puni!

     

     

    L'endroit

     

    L'endroit où se fait le piquet est important. Rappelons, tout d'abord, que la punisseuse doit toujours pouvoir garder un œil sur le puni (on peut même utiliser pour ça les systèmes vidéos prévus pour la surveillance d'un bébé...).

    Le choix de l'endroit va être motivé par trois choses. Le puni doit-il être bien exposé, bien visible, ou pas? Doit-il se sentir seul ou pas? Doit-il voir son environnement ou pas (nous verrons plus loin la question du bandeau) ? Ce choix est aussi en lien, bien évidemment, avec les positions: on ne fera pas faire un piquet bras tendus devant face au mur, ni bras en croix dans un placard!

    Si le puni doit être visible, on peut choisir de le mettre au piquet à l'extérieur, jardin, par exemple, ce qui comblera les exhibitionnistes. On peut choisir aussi, en intérieur, une pièce de passage, ou couramment utilisée. S'il ne doit pas être visible, un endroit caché en extérieur, ou une pièce retirée de la maison, comme la chambre ou le couloir. On peut augmenter la visibilité du puni en le mettant au centre de la pièce, et/ou en lui faisant faire le piquet sur une chaise ou une table en hauteur.

    S'il y a plusieurs punis, on peut les placer face à face, ou en cercle, l'humiliation de chacun étant accrue par le regard des autres. Les mettre à la file est moins amusant pour le premier, mais ce peut être un choix de punition.

    Pour ce qui est de se sentir seul, l'idéal est le placard, bien évidemment, ou le sous-sol de la maison, avec un dispositif de contrôle à distance pour s'assurer que la punition est tenue. On peut également faire faire le piquet dans les toilettes, face à la cuvette ouverte. La punisseuse décidera si elle doit tirer la chasse ou non avant.

    Si le puni ne doit pas voir son environnement, eh bien, l'emplacement le plus classique, face au mur ou au coin, sera utilisé. Dans ce cas, il est possible de faire exécuter le piquet face à l'accroche-torchons, là où sont pendus les tabliers, devant la poubelle, le plus important est que ce que voit le puni soit bien humiliant.

    Enfin, pour ce qui est du piquet au sol, on préfèrera le carrelage ou le parquet, en évitant la moquette. Une toile cirée peut être la bienvenue pour protéger le support en parquet.

     

     

    Le contrôle de l'immobilité

     

    Le puni, c'est le principe du piquet, doit rester immobile sans être attaché. Il faut donc s'assurer qu'il reste immobile, et prévoir une punition s’il bouge.

    Bien sûr, la punisseuse peut rester en permanence pour le surveiller, mais c'est fastidieux. Il est facile de prévoir des dispositifs qui l'empêcheront de bouger sans l'attacher, ou qui permettront de savoir qu'il a bougé.

    Le contrôle par les orties est le meilleur moyen de s'assurer que le puni ne bougera pas le corps, mais il ne peut être utilisé qu'avec le piquet debout ou à genoux, avec les fesses et le sexe du puni à l'air. On pend un bouquet d'orties devant le puni, à la bonne hauteur, sur le mur ou, si le puni n'est pas face au mur, sur un support léger. On fait de même derrière. Il suffit de laisser un centimètre entre la peau du puni et le bouquet d'orties. Le moindre mouvement en avant ou en arrière lui vaudra un rappel à l'ordre cuisant et automatique. Le contrôle par les bouquets d'orties peut s'appliquer à la tête, il suffit qu'un petit cordon, attaché autour de la tête, soit relié à ceux qui tiennent les orties.

    Pour vérifier que le puni garde la position des bras et des mains, il suffit, après lui avoir fait prendre la position, de poser sur les mains un objet en équilibre (un objet léger, une cuillère en bois par exemple), qui tombera bruyamment au moindre mouvement. En principe, même en si le puni écarte ou resserre les doigts, l'objet tombera.

    Il est pratique, enfin, d'accrocher au puni des petites clochettes qui sonneront à chaque mouvement. Mais ce système n'est valable que si la punisseuse est dans la même pièce (ou contrôle par le son à distance). Les clochettes, légères et sensibles, sont pendues à des rubans ou à des liens de coton. Une clochette par main, le lien passé entre les doigts, deux clochettes au cou, une devant et une derrière, les liens passés au cou ou épinglés sur la blouse, voici un dispositif suffisant.

     

     

    Les compléments au piquet

     

    Le piquet peut être complété par la privation de la vue, avec un bandeau sur les yeux, ou une cagoule qui prend la tête entière, une cagoule sans trous pour les yeux bien sûr. La privation de la vue n'est pas très utile si le piquet est face au mur ou au coin, mais elle est très humiliante s'il est exposé au milieu d'une pièce, et encore plus s'il y a du passage, puisqu'il ne verra pas qui le regarde.

    La privation de la vue peut s'accompagner de la privation de l'ouïe avec des bouchons d'oreille. Ils peuvent aussi être utilisés sans bandeau, simplement face au mur.

    Le piquet peut aussi être complété par un bâillon (torchon ou bâillon du commerce). Mais le puni ne pouvant pas signaler un problème, la punisseuse devra être d'autant plus attentive.  Le bâillon peut aussi être remplacé par un savon dans la bouche du puni, pour celles qui aiment infliger ce genre de chose. Dans tous les cas, la bave pourra donner lieu à punition après le piquet. A contrario du bâillon, on peut obliger le puni à parler ou chanter pendant toute la durée du piquet, en utilisant des textes ou des chansons répétitifs, appris par cœur, et bien humiliant pour le puni.

    Au-delà de la vue et de l'ouïe, on peut aussi contraindre l'odorat du puni, en lui mettant sur le visage une culotte sale, une couche salie, ou un torchon empuanti par un bon fromage, ou toute autre odeur désagréable et humiliante. La même pièce peut à la fois offenser l'odorat et interdire la vue.

    Il est possible de rajouter à la position du piquet la contrainte de la chaleur, en le mettant près d'un radiateur, radiant ou soufflant. La transpiration rendra la punition plus pénible encore. Par sécurité, s'assurer que le puni est bien hydraté avant, et prévoir de lui faire boire de l'eau, à température de la pièce, en abondance à la fin de la punition. Par contre, le piquet au froid est dangereux et ne doit pas être utilisé.

    On peut aussi remplacer l'ennui du piquet par son contraire, l'excitation. La punisseuse fera visionner au puni une vidéo cochonne, ou une bande-son cochonne, ou bien prendra des poses dénudées devant lui pour l'exciter. Tout ceci rendra l'immobilité forcée encore plus pénible à tenir sans la contrainte du bondage.

    S'il y a plusieurs punisseuses, ou si le piquet est public, les commentaires humiliants, les moqueries seront toujours les bienvenues pour renforcer l'humiliation du puni.

    Autre complément possible au piquet, avoir prévu le nécessaire pour qu'il soit obligé de faire ses besoins, ou de relâcher un lavement, pendant la durée de la punition.

    Il est possible, aussi, de décorer le puni, par exemple lui faire pendre des torchons coincés entre les doigts, ou lui glisser le manche du martinet dans la raie des fesses, qu'il devra serrer pour ne pas le faire tomber.

     

     

    Questions et réponses

     

    - Question. Le puni, non langé, doit faire ses besoins pendant la punition. Faut-il l'interrompre?

    Réponse. Non, bien sûr, il se retient ou il se débrouille et il sera puni ensuite. C'est là qu'on voit l'intérêt du mettre au piquet sur du carrelage, ou de protéger le support par une toile cirée.

    - Question. Le puni éternue pendant la punition, est-ce une faute?

    Réponse. A mon avis, non s'il ne bouge pas, mais s’il bouge, il subira la punition.

    - Question. Le puni, mis au piquet alors qu'il avait le zizi mou, bande pendant la punition, est-ce bien ou mal?

    Réponse. Au choix de la punisseuse, punition ou bon point...

    - Question. Une amie qui n'était pas là au début de la punition rentre dans la pièce, le puni doit-il quitter le piquer pour la saluer?

    Réponse. Je pense que quitter quelques instants le piquet pour venir faire la bise à la visiteuse, et revenir au piquet ensuite, est plus humiliant que de ne pas venir saluer. Sauf si le dispositif de contrôle d'immobilité est trop compliqué à enlever et à remettre.

    - Question. Peut-on rajouter au piquet un plug dans le cul du puni, ou du gingembre?

    Réponse. Oui, si le puni à l'habitude de subir ça en dehors du piquet.

    - Question. Peut-on mettre du poil à gratter dans le dos du puni?

    Réponse. Excellente idée. On peut lui faire porter aussi, sous la blouse, une chasuble en toile de jute.

    - Question. Le puni, à bout de forces, abandonne la position. Que faire?

    Réponse. Après s'être assuré que tout va bien, il aura droit à une cuisante fessée, et un bon ligotage... Mais la punisseuse devra s'interroger pour savoir si la punition était bien adaptée, voire être punie pour avoir dépassé les limites du puni.

    - Question. S'il y a plusieurs punis, peuvent-ils se surveiller les uns les autres?

    Réponse. Pour ce qui est de la sécurité, oui. Pour ce qui est de la discipline, c'est à la punisseuse de voir si elle désire encourager la délation entre ses punis, ce qui peut être très amusant.

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  • Commentaires

    1
    blous62
    Lundi 18 Mars 2019 à 16:49

    Moi même, ayant été souvent contraint a cette discipline , il m'a quand même fallu des heures entières et journées entières de sévères ligotages pour me convaincre de ne pas bouger  au piquet. Aujourd’hui encore , toujours ridiculement emblousé je préfère être sanglé et entravé pour la durée et parfaire mon éducation.  

    2
    louis
    Lundi 25 Mars 2019 à 23:06

    merci de ce texte etant puni je comprends mieux, merci

      • Mardi 26 Mars 2019 à 18:00

        Merci Louis, si tu as une expérience de punition à raconter…

    3
    Lundi 6 Avril 2020 à 22:31

    etant puni(e) de piquet je le vivais mal, ce texte me permet de mieux comprendre

      • Mardi 7 Avril 2020 à 00:20

        J'en suis très heureux, ce texte est sorti de mon imagination, appuyé par quelques éléments piqués ça et là.

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