• La domination par le tablier, la fessée en groupe, ou comment partager le plaisir

    La fessée en groupe, ou comment partager le plaisir

     

    Un récit de votre servante Marie-Souillon

     

     

    Avertissement

     

    Comme tous les jeux de domination, ces jeux ne doivent être pratiqués qu'entre adultes éclairés et librement consentants, dans le respect des règles fixées par avance et des consignes de sécurité.

     

    Le texte est rédigé en partant du principe qu'il y a une ou plusieurs fesseuse(s) en tablier, et un ou plusieurs puni(s) habillé(s) en tenue de servante. Bien sûr, je dis "puni" au masculin, mais il peut y avoir des filles.

     

     

    Introduction

     

    Il ne s'agit pas ici de traiter des différentes manières de donner la fessée, mais seulement de l'organisation de fessées collectives, quand il y a plus d'une fesseuse ou plus d'un puni. Nous aborderons les différents cas de figure, plusieurs punis pour une seule fesseuse, plusieurs fesseuses pour un puni, et plusieurs fesseuses pour plusieurs punis. Les spectatrices non participantes ne sont pas comptées, mais j'imagine mal une femme aimant regarder la fessée ne pas vouloir participer si l'occasion lui est offerte.

     

     

    Plusieurs punis pour une seule fesseuse

     

    C'est là que l'on voit le travail que doit accomplir une fesseuse!

    Avec plusieurs punis, il serait illusoire de tout vouloir faire à la main. La fesseuse devra donc se munir de fessoirs, au moins un martinet, et si possible une cuillère en bois, le reste à sa fantaisie. La main ne servira, comme il se doit, que pour les premières et les dernières claques et les caresses initiales et finales.

    La fesseuse a le choix entre deux stratégies: fesser les punis à la suite l'un de l'autre, ou les fesser en même temps.

    Pour les fesser à la suite, le mieux est de les aligner, à genoux ou debout, comme pour un piquet, puis de les appeler un à un et de fesser chacun devant les autres. Elle peut les prendre dans l'ordre du rang, ou bien tirer au sort l'ordre de passage, ou choisir à sa guise, sur un critère de son choix. Il est possible, bien sûr, de fesser plusieurs fois chaque puni, avec un passage à la cuillère de bois, un passage au martinet, etc. Attention, il convient d'être impartiale et de consacrer à chacun non pas le même nombre de coups, mais la même quantité de douleur.

    Le puni retourne ensuite prendre sa place dans le rang. La gronderie précédant la fessée pourra être individuelle, mais courte, ou collective. Il en sera de même pour la consolation à la fin.

    Pour fesser les punis en même temps, on peut les mettre en ligne, bien sûr, mais ils ne verront pas la fessée. Je conseille donc de les mettre en cercle, tournés vers l'intérieur du cercle. Certes, ils ne verront pas les fesses des autres rougir, mais ils verront la douleur des autres sur leurs visages. La position sera debout ou à genoux, mais, dans ce cas, la fesseuse peut aussi faire mettre les punis à quatre pattes.

    La fesseuse se met à l'extérieur du cercle et tourne en frappant sur chaque cul à son passage. Elle peut donner à chacun et à chaque passage le même nombre de coups, ou le varier pour ajouter l'incertitude à la punition, le tout étant que, à la fin, la douleur soit égale pour tous.

    Pour la gronderie, qui sera collective, la fesseuse rentrera provisoirement au milieu du cercle et la fera en se tournant régulièrement vers chaque puni. La consolation se fera aussi en milieu, sous la forme, par exemple, d'un câlin le nez dans le tablier de la fesseuse.

     

     

    La pluralité de fesseuses

     

    Il est beaucoup plus amusant d'avoir plusieurs fesseuses... Par commodité, je distingue "de deux à quatre", et "plus de quatre", mais les jeux de deux à quatre peuvent être pratiqués avec plus de fesseuses.

    Ce qui est intéressant, c'est que les fesseuses soient de la plus grande diversité possible de physiques (peu importe qu'elles soient jolies ou non, une fesseuse laide est encore plus humiliante), d'âges (de la toute jeune à la grand-mère), de caractères (de la gentille à la méchante mais sans cruauté, de la naïve à la vicieuse), de techniques de fessée. C'est bien plus amusant que d'avoir la même fesseuse à X exemplaires.

    Les fesseuses doivent-elles toutes porter la même tenue (blouse et tablier à bavette) ou des tenues différentes? Pour ma part, j'encourage la pluralité de tenues, tabliers à bavette de différentes formes et matières, tabliers-tailles, chasubles, simples blouses, pluralité de tenues qui doit traduire la pluralité des caractères.

     

     

    Deux, trois ou quatre fesseuses pour un seul puni

     

    Ce nombre de fesseuses permet quelques variantes amusantes sans que l'on puisse parler pour autant d'une organisation de la fessée.

    Avec deux fesseuses, on peut déjà donner une fessée classique en travers des genoux des deux fesseuses. Celles-ci s'assoient face à face, le genou de l'une entre les cuisses de l'autre, les deux tabliers étalés. Le puni se couche en travers, une fesseuse lui tient la taille, l'autre les jambes, et c'est parti! Une troisième punisseuse ne pourra pas le fesser, mais lui tenir la tête, ou les pieds (on peut aller jusqu'à une quatrième punisseuse, pour tenir les deux extrémités). Les trois fesseuses peuvent aussi s'asseoir en ligne, une fesse, et une, de chaque côté, tient les pieds et la tête du puni.

    On peut, bien sûr, se mettre à deux ou trois fesseuses derrière le puni debout ou à genoux pour le fesser, mais ça, c'est évident et pas très original.

    Plus amusante est la fessée alternée, le puni devant lui-même aller, à genoux, d'une fesseuse à l'autre pour recevoir de chacune la punition. J'aime bien ce jeu, le puni doit mendier sa fessée à l'une, qui l'envoie vers une autre, qui accepte de le fesser puis l'envoie sur une autre, etc., avec à chaque fois une gronderie et une humiliation supplémentaire.

    A deux fesseuses, on peut avoir le puni à genoux devant l'une (debout ou assise), l'entourant de ses bras, la tête dans le tablier, le regard humble. Pendant que l'une lui donne la fessée, celle qui l'a en face joui de voir la douleur sur son visage. Et après, bien sûr, on change les rôles.

    A trois fesseuses, deux peuvent tenir le puni, debout ou à genoux, par les bras, pendant que la troisième frappe et que la quatrième, s'il y en a une, profite du spectacle. Et, là aussi, on permute les rôles pour ne pas fatiguer celle qui fesse.

     

     

    Des fesseuses plus nombreuses pour un seul puni

     

    Au-delà de quatre fesseuses, la chose se complique sérieusement, et il faut de l'organisation (et un puni résistant). La gronderie et la consolation peuvent être déléguées à une ou plusieurs fesseuses, mais il est difficile de les faire toutes participer. La tonalité générale de ces séances de fessée est celle du "pensionnat punitif". Il est nécessaire de disposer d'une grande pièce pouvant accueillir la totalité des fesseuses. En pratique, une grande cuisine à l'ancienne, très grande, devrait suffire.

    Première idée d'organisation, le passage entre les lignes (une idée à l'origine militaire, mais adaptée ici à la domination torchonnière). Les fesseuses (je pense qu'il en faut une vingtaine) se mettent sur deux rangs, face à face; si elles sont en nombre impair, une sera chargée de "guider" le puni. Chaque fesseuse est munie du fessoir de son choix, ou d'un fessoir identique aux autres, selon le cas. Le puni passe entre les rangs, et reçoit un coup de chaque fesseuse. Au bout, il fait demi-tour et on recommence. Il peut, bien sûr, y avoir plusieurs passages, debout, à genoux, à quatre pattes, pour varier la position du puni. Il peut aussi y avoir un passage avec les claques à la main, un à la cuillère de bois, un au martinet, etc. On peut faire, s'il n'y a pas assez de fesseuses, une variante avec un seul rang.

    Deuxième idée d'organisation, le cercle de fessée. Les fesseuses (il en faut une dizaine au moins, je pense) s'assoient pour former un grand cercle, se faisant face, leurs tabliers bien étalés sur les genoux, leurs fessoirs à portée de main. La fessée commence avec le puni sur les genoux d'une fesseuse. Sa tête est tout près de la fesseuse suivante, voire même sur son tablier; ses pieds, près de ou sur la fesseuse précédente. Après une première fessée, il passe, sans se relever, en restant couché sur le ventre (il rampe ou les fesseuses le soulèvent un peu, à trois), sur les genoux de la fesseuse suivante qui le fessera et le fera passer sur la suivante, etc... Bien sûr, plusieurs tours sont nécessaires. Dans cette configuration, chaque fesseuse se fatigue peu, mais jouit du spectacle de la fessée donnée par les autres... Et le puni a une longue, longue fessée humiliante à souhait. On peut faire une variante "en ligne" s'il n'y a pas assez de fesseuses pour faire un grand cercle, la dernière fesseuse conduisant le puni, à genoux, vers la première, et on recommence.

    Un jeu amusant est celui de la devinette. Il suppose que le puni connaisse toutes ses fesseuses. Le puni a les yeux bandés avec un torchon (on peut aussi, sans lui bander les yeux, le tourner face au mur). Une fesseuse vient lui donner un nombre déterminé de coups, cinq par exemple (on peut aussi fixer une durée, 30 secondes par exemple), et le puni doit deviner qui est la fesseuse, et avec quoi elle le fesse. Si la seconde réponse est facile, la première l'est beaucoup moins. On peut, soit continuer avec la même fesseuse tant qu'il n'a pas deviné, soit s'arrêter au nombre de coups prévu, et, à la fin du jeu, compter les points (et punir les mauvaises réponses).

     

     

    Plusieurs fesseuses et plusieurs punis

     

    Avec au moins trois fesseuses et deux punis, on commence à être dans une vraie punition de collectivité, genre pensionnat, et avoir, autour des mêmes jeux, une organisation qui, à elle seule, est source d'humiliation pour les victimes. On reste, là aussi, dans le jeu d'un internat de pensionnat sévère. Il est préférable de disposer de plusieurs pièces, une grande maison ancienne est l'idéal.

    On peut, tout d'abord, utiliser les mêmes jeux que ceux avec un seul puni. Le passage entre les rangs doit juste être modifié, les punis ne peuvent pas faire demi-tour, il faut donc qu'une punisseuse ramène le puni au départ. Les rangs de fesseuses peuvent être dans deux pièces communiquant entre elles, s'il est long. Le cercle reste inchangé, en faisant se succéder les punis à intervalle régulier, mais en prévoyant des "blancs" pour le repos des fesseuses. On peut faire un cercle par pièce. Idem pour la devinette, où l'on met un puni et un sous-groupe de fesseuses par pièce.

    Un autre jeu est ce que j'appellerais "orgie de fessées". Dans une seule pièce, meublée de chaises, de bancs, de tables, avec le plus de miroirs possibles, toutes les fesseuses et tous les punis. Les punis sont alignés à genoux, dos au mur, si possible avec des miroirs derrière pour profiter de la rougeur de leurs culs. A partir de là, aucun scénario, aucun jeu, le désordre le plus complet. Chaque fesseuse appelle ou va chercher le puni de son choix, lui donne la fessée qu'elle a envie de lui donner, sur ses genoux, penchés sur la table, à quatre pattes, enfin, comme elle veut, avec ce qu'elle veut, puis renvoie le puni à sa place. Elle se repose, ou en prend un autre pour en faire encore ce qu'elle veut, etc. Les punis sont dans l'incertitude la plus complète de ce qui va leur arriver, puisqu'il n'y a aucune règle. Gronderies et consolations sont laissées à la liberté des fesseuses, qui pourront gronder sans fesser, gronder après la fessée d'une autre, consoler le puni qui sera immédiatement fessé à nouveau ensuite, etc. La salle retentit des implorations et des pleurs des punis, exposés aux yeux de ceux qui attendent, du bruit des coups, des remarques et gronderies des fesseuses. L'orgie de fessées ne s'arrête que quand les fesseuses sont épuisées, ou que les punis sont à bout, bien sûr.

    D'autres jeux collectifs plus compliqués sont détaillés ensuite, à titre d'exemple seulement. J'en donne d'eux, mais l'imagination peut être sans limite.

     La fessée en groupe, ou comment partager le plaisir

     Un grand merci à l'illustrateur, qui m'a spontanément offert ce dessin.

     

     

    Un scénario pour une longue séance: Le circuit de punition

     

    Ce circuit se fait, en distinguant les étapes, avec une étape dans chaque pièce, avec une punisseuse "responsable de pièce", qui peut être la seule d'ailleurs, et une ou plusieurs accompagnatrices pour mener les punis d'une pièce à l'autre. Le minimum de punisseuses est de six, une par pièce plus l'accompagnatrice. Mais on peut avoir vingt, voire trente punisseuses, tout dépend de la taille des pièces et du nombre de punis. Il faut, pour que ce soit intéressant, plus de punis que de punisseuses, bien sûr.

    La première pièce sert de salle d'attente et de piquet. Les punis peuvent, avant le début du circuit, y rester assis en attendant la punition, bras croisés ou mains liées dans le dos de la chaise, au gré de la ou des surveillantes. Cette salle doit être bien éclairée, pour que les punis se voient bien les uns les autres en train d'attendre. Il est nécessaire d'avoir autant de chaises que de punis, et un fauteuil confortable pour la surveillante. Une accompagnatrice vient chercher le puni et l'emmène à la confession. Tous les déplacements d'une pièce à l'autre se font à genoux.

    La deuxième pièce est la salle de confession; elle peut être divisée par des paravents pour éviter que les punis se voient, sinon, il suffira de les placer de manière à ce qu'ils se tournent tous le dos. Une ou plusieurs punisseuses, assises, font se confesser les punis, à genoux devant elles, qui vont avouer leurs fautes et leurs vilaines pensées. La salle doit être peu éclairée, seul le visage du puni sera éclairé par une lumière douce pour que la confesseuse le voit bien, les questions et les réponses se font à voix basse, voire chuchotées. S'il y a plusieurs confessions en même temps, ce n'est pas gênant qu'un puni entende un peu les questions et les réponses de l'autre, mais juste un peu. La confesseuse note sur une feuille de suivi les fautes confessées, et appelle une accompagnatrice quand la confession est finie.

    L'accompagnatrice vient chercher le puni, prend le compte rendu de la confession, et mène le puni, à genoux, à la salle de gronderies. La salle doit être lumineuse, elle sera bruyante, s'il y a plusieurs gronderies en même temps. Peu importe, d'ailleurs, si on les entend des autres pièces. Il est préférable que les punisseuses soient en ligne, pour que les punis voient plusieurs punisseuses. Prévoir une chaise ou un fauteuil par punisseuse. Le puni arrivé dans la salle et reste toujours agenouillé. La punisseuse prend connaissance de la confession que lui a remis l'accompagnatrice puis, assise ou debout, gronde le puni. Il faut lui faire prendre conscience de ses fautes, lui faire demander pardon, l'insulter, l'humilier. La gronderie peut être accompagnée de petites claques, de pincements d'oreilles, etc. Rien sur les fesses, bien sûr, c'est pour la suite. La punisseuse qui a grondé annotera la feuille de suivi avec les principaux termes de la gronderie, ainsi que la punition proposée (instrument, durée ou nombre de coups, position), qu'elle annoncera au puni. J'ajoute ici que si les accompagnatrices échangent les feuilles de suivi des punis, aucune importance, un puni sera grondé pour les fautes de l'autre, sans avoir le droit de protester (sinon, bien sûr, il aggrave son cas).

    Le puni est ensuite accompagné dans la salle de fessées. S'il n'y a pas de place disponible dans la salle de gronderies après la confession, ou dans la salle de fessée après la confession, retour dans la salle d'attente et de piquet, mais en position de piquet simple, à genoux nez au mur mais dans dos cette fois. Arrivé dans la salle de fessées, l'accompagnatrice remet la feuille de suivi à la fesseuse. Là aussi, la fesseuse n'est pas tenue de suivre la punition demandée par la grondeuse, elle pourra toujours la durcir. Là aussi, si l'accompagnatrice ne remet pas la bonne feuille qui correspond au puni, ce n'est pas grave, il sera puni pour autre chose. Comme la salle de gronderies, la salle de fessées sera lumineuse, avec une chaise par fesseuse; il importe que les punis se voient les uns les autres, et si on entend en dehors les bruits des fessées et les cris des punis, tant mieux. Il est inutile de rentrer dans les détails des fessées qui seront données dans cette salle. Quand la fesseuse a fini, et qu'elle a mentionné sur la feuille de suivi le détail de la fessée donnée, elle appelle une accompagnatrice qui conduira le puni, toujours à genoux, à la salle de consolation.

    La salle de consolation doit avoir la même ambiance intime que la salle de confession. C'est la seule dont le mobilier doit être constitué de canapés ou de fauteuils bien confortables. L'accompagnatrice remet à la consolatrice la feuille de suivi du puni, qui sera tendrement consolé et câliné, en revenant sur ses fautes, qu'il ne commettra plus, sur la gronderie, qui l'a bien convaincu de son mauvais comportement, et de la fessée qu'il a bien fallu lui donner pour le corriger. Il est inutile de rentrer dans les détails de la consolation. Celle-ci achevée, la consolatrice annote la feuille de suivi avec les modalités du piquet que devra faire le puni, mais sans l'annoncer à ce dernier, pour qu'il reste sur la bonne impression de la consolation. Puis elle appelle une accompagnatrice qui mènera le puni, debout cette fois, dans la salle d'attente et de piquet.

    Dans cette salle, la même que celle où il était le départ, le puni sera confié à la surveillante qui, d'après la feuille de suivi, mettra le puni au piquet selon les modalités prévues, ou les changera à sa guise.

    On peut, bien sûr, faire faire au puni un autre tour de circuit, s'il ne respecte pas bien le piquet, ou si on a envie de le punir à nouveau. La confession sera bien sûr plus courte, et portera sur la punition précédente; il en sera de même pour la gronderie.

    Quand le puni entre dans la pièce, il peut devoir se présenter lui-même à la punisseuse, ou être présenté par l'accompagnatrice. S'il rentre dans la pièce alors qu'il n'y a pas de punisseuse de libre, il attendra à genoux que son tour arrive, avec ou sans l'accompagnatrice, selon qu'elle est occupée ou pas. De même si la punisseuse a fini avec lui et qu'il n'y a personne pour l'accompagner. On organisera l'accompagnement en fonction du nombre d'accompagnatrices, sachant que on a le choix entre l'accompagnatrice qui navigue constamment entre les pièces pour voir s'il y a un puni à accompagner, et l'accompagnatrice qui vient à la demande, appelée par la punisseuse qui a fini.

    On peut rajouter d'autres "pièces de punition", remplacer la "confession" par un "interrogatoire", avec d'autres tourments pour les punis, mais nous sortons là du cadre de la fessée que nous nous sommes fixé.

    Dernière remarque sur les punisseuses. D'abord, une même punisseuse peut changer de "rôle" durant la séance, pour ne pas s'ennuyer. La seule règle est que le puni n'ait pas affaire deux fois à la même punisseuse à deux étapes différentes. Ensuite, il me parait important que les tenues des punisseuses soient différentes selon les rôles qu'elles jouent (et donc, si elles changent de rôle, elles changent de tenue). Les confesseuses et les consolatrices portent des tabliers roses, marque de leur gentillesse. Les grondeuses et les fesseuses portent des tabliers bleus, adaptés aux pratiques les plus sévères. La surveillante de la salle d'attente et de piquet et les accompagnatrices portent des tabliers blancs, plus neutres.

     

     

    Des variantes de scénario pour les couples fesseuse/puni

     

    Ces deux jeux peuvent être faits lorsque chaque fesseuse vient à la réunion avec son puni. En tout cas, il faut absolument des couples fesseuse/puni. S'il y avait une punisseuse surnuméraire, elle ferait l'organisatrice ou la juge-arbitre, mais ce n'est pas un rôle indispensable.

    Les deux jeux ont en commun le même principe. La fesseuse qui est venue avec son puni donne à celui-ci une fessée qu'elle fera la plus originale possible. Originale dans la position, les instruments, le rituel autour de la fessée, la manière de faire mal au puni, la façon dont il est humilié, etc... Aucune limite à la fantaisie, à la perversion, au vice, autre que celles fixées par la sécurité du puni et les règles fixées d'avance.

    La première version est la "master class". Les fesseuses opèrent dans l'ordre qu'elles veulent. Les autres fesseuses sont là pour apprendre la technique de fessage qui leur est montrée. Au besoin, elles posent des questions, la fesseuse répond, reprend la démonstration, etc... Pendant ce temps, les punis, debout mains dans le dos derrière les fesseuses, regardent le spectacle. Une fois la démonstration terminée, quelques fesseuses sont invitées à refaire la même chose sur le puni de la démonstratrice, ou sur le leur, la démonstratrice pouvant les aider à bien refaire la même chose qu'elle.

    Ensuite, chaque fesseuse fait à son tour la démonstration de ses talents, aux dépens de son puni, suivie de la même manière par celles qui veulent profiter de son enseignement. Quant aux punis, ils apprendront les bienfaits de la douleur et de l'humiliation.

    La seconde version est le concours. On tire au sort l'ordre dans lequel vont opérer les fesseuses. Chacune fait la démonstration de son talent sur son puni; seule variante par rapport au premier jeu, la durée de la fessée est limitée dans le temps. Puis toutes les autres fesseuses attribuent une note à la fessée qu'elles ont vu. On peut mettre une note globale sur 10, ou avoir une notation plus fine sur plusieurs critères comme originalité, douleur du puni, couleur des fesses, etc.; peu importe c'est un détail. Une fois que toutes les fesseuses sont passées et ont été notées, on ramasse les feuilles de notation et on calcule le score pour avoir une gagnante, une deuxième et une troisième. On annonce les scores en commençant par la troisième, puis la deuxième, puis la première, pour augmenter l'angoisse des punis.

    On fait monter les gagnantes sur un podium (bricolé pour l'occasion), pour que tous les punis viennent les féliciter en leur embrassant les pieds. La troisième gagne le droit de fesser à nouveau son puni. La deuxième gagne le droit de fesser à nouveau son puni, et le puni d'une autre. Quant à la grande gagnante, elle aura le droit de fesser à nouveau son puni, et les punis de deux autres fesseuses. On peut choisir, bien sûr, le puni d'une des deux autres gagnantes. L'intérêt de ce jeu est que, meilleure est la fesseuse, plus rouge est le puni. Ceci accroit la motivation des concurrentes.

     

     

    Questions et réponses

     

    - Question. Est-il possible de commander à un puni d'en fesser un autre?

    Réponse. C'est un jeu pervers et humiliant, mais à gérer avec beaucoup d'intelligence.

    - Question. Faut-il une "fesseuse en chef"?

    Réponse. Je pense que, à partir de quatre ou cinq fesseuses, c'est nécessaire.

    - Question. Faut-il déshabiller les punis?

    Réponse. Personnellement, je préconise pour les punis la tenue de "petite servante", au moins une blouse boutonnée dos, un tablier par-dessus. Mais on peut bien sûr les déshabiller entièrement pour recevoir la fessée.

    - Question. Faut-il que toutes les pièces soient de plain-pied?

    Réponse. Si c'est possible, oui, cela permet des déplacements à genoux dans tous les cas, alors qu'il est difficile de faire descendre un escalier à genoux.

    - Question. Peut-on faire ces fessés collectives en extérieur?

    Réponse. Oui, bien à l'abri des regards, et par beau temps. Mais je préfère, pour ma part, que tout se fasse en intérieur.

    - Question. Comment gérer la sécurité des punis?

    Une trousse de premiers secours, éventuellement un défibrillateur, des consignes de sécurité connues de toutes les fesseuses, ce sont des précautions suffisantes s'il devait y avoir un malaise.

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  • Commentaires

    1
    Charles
    Lundi 11 Mars 2019 à 09:51

     Bonjour,

    Excellents scénaris. Un grand moment de jeux pour tout le monde.  Les femmes sont les meilleures pour la fessée. Rien ne vaut la paluche maternelle pour nous faire regretter nos bétises et caprices. C'est un peu ce que je traduis dans mes petites saynètes .  Charles.                                                                                                                                                                                                   

    2
    petit coquin
    Lundi 4 Janvier 2021 à 08:45

    J'adore ces commentaires et l'!dée  d'être fessé par plusieurs fesseuses, soit en même temps, soit l'une après l'autre.

    De très bonnes et très longues fessées de préférence à mains nues mes fesseuses en tablier et moi en tenue d'écolier ou de soubrette.

    J'adorerais que ça se réalise vraiment.

      • Lundi 4 Janvier 2021 à 10:27

        Merci "Petit coquin", il est si rare qu'on commente mes textes…

    3
    tony
    Vendredi 12 Mars 2021 à 16:39

    Bonjour  et excellent   scénario  bravo  et je confirme  pas mieux qu'une ou plusieurs femmes  pour donner la fessée  ,du vécu  

    4
    ramuntcho
    Samedi 13 Mars 2021 à 05:59

    Bonjour.

    Ce sujet m'iinteresse beauoup.

    Merci de m'accueillir dans votre groupe.

      • Samedi 13 Mars 2021 à 11:51

        Oh, ce n'est pas vraiment un "groupe", c'est un blog. Tu peux t'inscrire sur Eklablog, c'est gratuit, tu n'est pas obligé d'ouvrir un blog, mais ça te permettra d'écrire sur les forums ici, etc.

    5
    Nathalie
    Lundi 6 Février 2023 à 12:45
    Je reconnais que la discipline stricte est indispensable . Rien ne vaut le martinet au quotidien .
    6
    Nathalie
    Lundi 6 Février 2023 à 12:47
    J apprécie l autorité et la discipline domestique stricte et accepte la punition avec humilité et dignité
      • Lundi 6 Février 2023 à 16:32

        Nathalie, si tu passes bavarder sur mon tchat personnel (lien en jaune en haut à droite de la page), tu y seras la bienvenue.

    7
    ramina
    Mardi 7 Février 2023 à 17:32

    Hello les fanas de la fessée en groupe... ou comment partager le plaisir de claquer des derrières

    je ne sais pas comment j'ai fait, mais je suis tombé ( sans me faire mal au contraire) sur ce petit morceau d’anthologie qui date du 10 mars 2019 mais qui mériterait d'être republié. On le doit à notre hôte, Marie Souillon . . Fessées en groupe mode d'emploi ou , comme on dit maintenant. "tuto" pour tutoriel.  Un régal, décapant excitant et exhaustif . Tout y est décrit , décortiqué, expliqué développé. Pétri d'idées sur l'art et la manière d'administrer des fessées entre amies . Pour punir évidemment mais aussi et c'est le plus excitant, pour le plaisir de claquer des paires fesses . La fessée plaisir, comme une activité de loisir. Les propositions de Souillon sont aussi inventives les unes que les autres . Joli travail d'originalité,  ou l'imagination au service de la fessée ! Quand on aime fesser, on ne compte pas et on peut dire que , les puni s'en prennent plein les fesses tout au long de ces réjouissantes séances. Ces dames se stimulent les une les autres et rivalisent d'ingéniosité pour agrémenter les correction.  .

    Mention spéciale à l'idée des jeux de fessées; "La fesseuse qui est venue avec son puni donne à celui-ci une fessée qu'elle fera la plus originale possible. Originale dans la position, les instruments, le rituel autour de la fessée, la manière de faire mal au puni, la façon dont il est humilié, etc... "  déjà là on se régale mais l'administration des fessées devient vraiment jouissive quand elle s'accompagne de ces consignes non restrictive  Aucune limite à la fantaisie, à la perversion, au vice, autre que celles fixées par la sécurité du puni et les règles fixées d'avance." Un peu de perversité et un zest de vice au service des fessées  en démultiplient les facteur d'excitation, de plaisir  et de jouissance ...pour les fesseuses comme pour les fessés ...  n'est il pas ? 

    Qu'est ce qu'on dit ? merci professeur Souillon !    Ramina.

      • PeterPan
        Mardi 7 Février 2023 à 17:57

        Bonjour Ramina , 

        Je suis entièrement d'accord avec votre analyse. Notre hôte a décortiqué pour nous les conditions nécessaires qui président à la réussite d'une fessée donnée dans les règles de l'art. Tout un programme. Merci à lui.  J'ai essayé d'illustrer au mieux cette fessée "en binôme", en tentant de rester fidèle à l'esprit du texte. 

        Peter.

      • PeterPan
        Mardi 7 Février 2023 à 18:24

        Re-bonsoir amis et amies du Blog, 

        En lisant ce récit de notre hôte, et d'autres diversement et aimablement publiés ici, on a l'impression que la fessée reste une activité exclusivement féminine. Il est vrai que dans un foyer, la sphère domestique et éducative est très largement occupée par la gent féminine. Merci à elles toutes. Du maternage à la bonne fessée, il n'y a souvent qu'un pas à franchir. Mari paresseux, enfants désobéissants, tous font un jour ou l'autre un petit séjour nécessaire sur les genoux de la maman, maitresse en son foyer. "Et qu'est ce qu'on dit ? Tous en choeur ! Un... deux... trois : Merci... Maman... Chérieee ! ".

        Peter.

    8
    ramina
    Mardi 7 Février 2023 à 18:44

    hello Peter,

    Je reste admiratif de la clarté de tes illustrations , comme de la finesse  et la régularité du tracé du dessin.  De toute évidence ta main ne tremble pas , celle de tes fesseuses non plus d'ailleurs . Toujours amusant cette fascination pour les chemisiers à fleurs ... bucolique et printanier, Un peu de poésie dans ce monde de fesses rouges ! Ramina

      • PeterPan
        Mardi 7 Février 2023 à 19:35

        Re-bonsoir Ramina, 

        Merci pour bon compliment qui me touche beaucoup. Entre bons connaisseurs, ça fait plaisir. Mon maitre-ès dessin ? L'incontournable Hergé (Georges Rémi de son vrai nom, d'où la phonétique de son pseudo artistique). Pourquoi, des  chemisiers à fleurs ? Mon côté "Beaknits... Peace and Love... sans doute... "C'est une maison bleue, adossée à l'on colline, On y vient à pied...".

        Peter.

    9
    Marine
    Dimanche 25 Février à 22:07
    Bonsoir, je suis pour la femme au foyer docile obéissante et disciplinée . Je porte des blouses au quotidien comme l exige mon mari et trouve f ailleurs que cela est tout à normal . Lorsque mon mari l estime nécessaire je suis punie et sur son ordre je dois aller chercher le martinet et le lui présenter.je dois toujours sur son ordre relever ma blouse et baisser ma culotte ,et je dis a mon mari : je reconnais pour ne pas avoir été parfaite devoir être punie , je mérite le martinet et vous remercie pour cette punition qui va m être administrée sachant qu'elle me sera bénéfique . Puis après la punition je remet ma culotte , réajuste ma blouse et fais une petite génuflexion devant mon mari et vais ranger le martinet. Pour les repas mon mari exige d être servi en tablier blanc et pendant qu il dejeune ou dîne je dois attendre les ordres les mains posées sur mon tablier .


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