• La domination par le tablier, humilier par les mots et les attitudes

    Humilier par les mots et les attitudes

     

    Un récit de votre servante Marie-Souillon

     

     

    Avertissement

     

    Comme tous les jeux de domination, ces jeux ne doivent être pratiqués qu'entre adultes éclairés et librement consentants, dans le respect des règles fixées par avance et des consignes de sécurité.

    Le texte est rédigé en partant du principe qu'il y a une ou des gouvernante(s) en tablier, et un ou plusieurs soumis habillé(s) en tenue de servante.

     

     

    Introduction

    Dans la domination par le tablier, l'humiliation est très importante. Et elle passe, en grande partie, par les mots, ceux que va employer la gouvernante, ceux que va employer le soumis. Il faut utiliser un vocabulaire domestique et infantilisant, qui va marquer à la fois l'infériorité du soumis, mais aussi l'intimité de la relation qu'il a avec sa gouvernante. Ce vocabulaire sera donc en rapport avec les tabliers, bien sûr, mais aussi avec la nourriture, la domesticité, et l'enfance.

     

     

    L’appellation de la maîtresse et du soumis

    Le mot utilisé dans ce document pour la maîtresse est le mot gouvernante, qui recouvre à la fois la notion de domesticité, gouvernant de maison, et d’infantilisation, gouvernante d’enfants. D’autres mots peuvent aussi être utilisés.

    Gardienne ou nounou, puisque la gouvernante traite son soumis comme le ferait une gardienne d'enfants vicieuses, et, bien sûr, le soumis peut ne pas être propre.

    Patronne, puisque le soumis est une bonniche, une servante, une domestique de toutes sortes. Punisseuse ou tourmenteuses, parce que la maîtresse aime punir son soumis, lui donner des pénitences, le tourmenter de toutes les façons. Et, enfin, tablière, puisque la gouvernante porte toujours un tablier, ou torchonneuse, à cause de son utilisation des torchons de cuisine.

    Les soumis sont les bonniches des gouvernantes. J'écris bonniche et pas boniche, mais certains préfèrent cette dernière orthographe, qui est même peut être plus correcte. Pour humilier un garçon en bonniche, on le traite parfois de bonnichon. Les terminaisons bonnichette, plutôt gentille, et bonnicharde, plus humiliante, sont aussi utilisées. Le fait d'habiller une esclave en bonniche est le bonnichage, et l'esclave est alors bonnichée. Il ne faut pas confondre la bonniche, utilitaire, avec la soubrette, décorative.

    La gouvernante appelle donc, généralement, son soumis « ma bonniche », le fait venir en disant « bonniche », un diminutif, ou une insulte que nous verrons plus loin.

     

     

    Les prénoms

    Les prénoms des maîtresses, des gouvernantes, des punisseuses, doivent être impressionnants ; les prénoms allemands et russes sont très appréciés, les prénoms anciens aussi. Bien sûr, je sais que la gouvernante a un vrai prénom, mais il est possible d’en changer pour le jeu, ce qui, à mon avis, marque la frontière entre vie quotidienne et jeu sexuel.

    Parmi les prénoms allemands, nous avons Bertha, Hilda, Greta, parmi les prénoms russes Masha, Olga, et parmi les prénoms anciens Berthe, Germaine, Mathilde.
    On évitera pour les gouvernantes les prénoms en « ette » ou « ine », qui sont des suffixes diminutifs.

    Les soumis ont des prénoms ridicules, souvent en "on", qui peuvent supporter le diminutif en "ette" ou en "ine". Là, le changement de prénom est obligatoire.

    Par exemple, Annette, Charlotte, Claudine, Francine, Francette, Jeanneton, Jeannine, Juliette, Lison, Louison, Louisette, Lucette, Ginette, bien sûr, mais aussi Rosette, Rosalie, Roselyne.

    Ou bien des prénoms classiques de bonniche française ou étrangère, Bécassine, Carmen, Conchita, Farida, Fatima, Rachida, puisque, pour les servantes, les prénoms arabes, espagnols, portugais sont très appréciés.

    Marie vient souvent en complément d'un prénom, comme Marie-Carmen, Marie-Charlotte, Marie-Marguerite, Marie-Thérèse, etc.

    On ajoute souvent au prénom du soumis un sobriquet qui en fait une Marie.

    Une Marie, c'est une fille ou une femme qui peut être humiliée, rabaissée, punie comme on veut. C'est une soumise par nature, par choix ou par punition. La servante est toujours une Marie quelque-chose. Par exemple Marie-couche-toi-là, bien connu, mais aussi Marie-salope, Marie-Souillon, Marie-Torchon.

    Une gouvernante peut choisir de se prénommer Annette, Jeanne, Clarisse, utiliser un prénom qui pourraient être ou qui est des prénoms de servante, c'est encore plus humiliant pour le soumis.

     

     

    La création de mots

    Une pratique originale doit avoir un mot pour la désigner… Surtout s’il y a un mot anglais à traduire. Et ce mot doit être descriptif, et avoir une connotation humiliante et rabaissante pour la victime de la pratique en question.

    Nous pouvons commencer par quelques traductions de mots anglais. Le bouchavonnage est ce qu'on appelle en anglais mouthsoaping. Cela consiste à laver la bouche de la punie avec du savon, en pain ou bien liquide. Le bouchimentage est ce qu'on appelle en anglais hotsaucing. C'est une punition qui consiste à mettre dans la bouche du puni un produit comestible qui pique bien et qui chauffe bien la bouche. Le face-sitting se traduira par le mot trônage, le visage du soumis étant le trône de sa punisseuse.

    On peut créer des mots sans traduire, bien sûr, ou en illustrant, et le bondage pourra être remplacé par le saucissonnage. Le boudinage (là, nous n’avons pas de terme anglais) est une pénitence où l'esclave est traitée comme un boudin, comme une chose, une victime.

    On peut créer des verbes en ajoutant « er » a un nom, comme torchonner, ou entorchonner, par exemple, qui signifier envelopper de torchons, attacher avec des torchons, ou emblouser, pour le fait de faire porter des blouses (de femme, bien sûr) à son soumis.

     

     

    Tout est dans le suffixe

    N’importe quel mot « banal » peut devenir humiliant, si on le rallonge avec le bon suffixe.

    Un suffixe, dans le cas qui nous intéresse, bien sûr, peut être diminutif, plutôt gentil ou péjoratif, donc plus méchant, mais dans les deux cas, il transforme un mot ordinaire en un mot pervers et vicieux. Il y a aussi des suffixes plus neutres, désignant une action, qui peuvent transformer un mot ordinaire en un mot plus évocateur.

    Commençons par les suffixes neutres.

    Le suffixe « age », qui désigne une action, va nous permettre de transformer le verbe en action.

    Nous transformons « abaisser » en « abaissage », pour un bel écrasement par une grosse maîtresse. Un emblousage, c'est habiller quelqu'un de blouses et de tabliers. La personne qui habille l'autre est l'emblouseuse, celle qui est habillée est l'emblousée. Fessage, fessouillage, fessardage vont désigner le fait de fesser normalement, plus gentiment ou plus durement.

    Le suffixe « ade » à le même sens que « age », on peut l’utiliser pour des actions assez proches, que l’on veut distinguer d’une autre. L’enculade, mot courant, c’est l’acte d’enculer. Les torchonnades sont les mangeries que l'on fait dans les torchons. On utilise le suffixe « ade » pour les distinguer des torchonnages, qui sont des choses plus générales.

    Le suffixe « ier » ou « ière » permet de créer des adjectifs pour qualifier des punitions, ou d’autres choses. Bouchier, bouchière désigne ce qui se rapporte à la bouche (buccal ou buccale est plus correct, mais moins amusant).

    Culier, culière désigne ce qui se rapporte au cul, pour des punitions, par exemple. Il remplace avantageusement « anal », « rectal » ou « fessier ». Il permet aussi de créer des noms, comme lavementière pour celle qui, à titre de pénitence ou de gâterie, donne un lavement. ; mais lavementière est en concurrence avec lavementeuse.

    Le suffixe « euse » à la même sens. La lavementeuse est un autre terme pour lavementière, par exemple, plus adapté, à mon avis. La fesseuse, bien sûr, nous savons tous ce que c’est. Les mots punisseuse, tourmenteuse, sont également les bienvenus. Et quand on salit le soumis, on est une salisseuse ou une salopeuse.

    Le suffixe « ice », aussi, quand « ière » ou « ieuse » entrainerait une confusion.

    Par exemple, celle qui fait des chatouilles est une chatouillatrice, parce que chatouilleuse, c’est autre chose.

    Enfin, peu utilisé, le suffixe « ifié » ou « ifiée », qui désigne celui ou celle qui subit, qui comporte une notion de passivité. On utilise le terme fessifiée pour la victime d’une fessée, pour ne pas confondre la victime avec l’acte, au féminin tout au moins.

    Les suffixes diminutifs sont gentils, mes doivent donner une idée de ridicule.

    Le plus courant est « ette », il est plutôt gentil ; au masculin (mais il est déconseillé d’utiliser le masculin pour un diminutif, ce sera « et ».

    Bien sûr, la branlette est l’exemple typique de mot à employer. Une cochonnette est une petite cochonne, une torchonnette est celle qui se sert des torchons, ou qui est vêtue de torchons.

    On peut utiliser aussi le suffixe « ine », dans le même sens que « ette », mais son usage est plus rare, et torchonnine sera presque un mot gentil pour la servante.

    Le suffixe « on » au masculin, ou « onne » au féminin, peut être utilisé aussi.
    On dira bonnichon pour un garçon qui a l’air d’une bonniche, par exemple.

     Les suffixes péjoratifs sont là pour transformer un mot courant en injure.

    Le suffixe « iche » est à plus péjoratif que diminutif. Il va transformer la bonne, mot neutre, en « bonniche » ou « boniche », qui la rend ridicule et servile.

    Le suffixe « arde » est lui, bien péjoratif. La chiarde est le nom que l’on va donner à la chaise percée. Une saloparde, c’est plus injurieux qu’une salope, mot qui est presque gentil, et une bonnicharde, double suffixe péjoratif, montre bien que cette domestique est une moins que rien.

    Le suffixe « asse » est péjoratif aussi, peut-être plus que « arde ». Une connasse est vraiment conne, pétasse est vraiment une injure, etc. Et la bonnichasse est, sans doute, encore en dessous de la bonnicharde.

     

     

    Nommer le corps

    Nommer le corps est important, pour distinguer celui de la gouvernante de celui d’une femme ordinaire, et pour bien marquer le caractère humble et infantile du corps du soumis. Nous avons vu qu’il y a des adjectifs, créés avec des suffixes, pour nommer le corps. Il faut aussi utiliser des mots particuliers et plus humiliants que les mots ordinaires, des mots en rapport avec les tabliers, la servitude, la nourriture. On peut avoir des mots différents pour le corps de la gouvernante et pour celui du soumis, si on veut.

    L'anus se dira, au choix de la gouvernante, le trou du cul se dit le camembert, le troufignon, la rosette, l'oignon, le trou-qui-pue, le trou-qui-pète. Les fesses s'appellent les jambons, mais aussi : le cul, le joufflu, la croupe, le croupion, le popotin, le pétoulet, les miches (par référence au caractère comestible). Les cuisses seront les jambonneaux. Les pieds s'appellent les roqueforts, les petons, les fumerons, les petits salés.

    Les seins s'appellent les pâtés, mais aussi : les mamelles, les nénés, les nichons, les tétés, les tétasses, les lolos, les loloches, les brioches. Le sexe féminin doit avoir les noms les plus en rapport avec le jeu, comme la moule, la tarte. Plutôt que chatte, on dira chatoune ou chatounette, choune ou chounette, moune, foune ou foufoune, pissette. Plus salement, la connasse. Le sexe masculin se dit la saucisse, le saucisson, le boudin avec les olives, les boulettes, les paupiettes. On utilise aussi des mots comme le zizi, la zizounette, la quéquette, le petit robinet, la pissette, la zézétte, le kiki ou le pissou. Son jus blanc s'appelle la crème d'andouille.

     

    Tutoiement ou vouvoiement

    Le choix du tutoiement ou du vouvoiement est délicat, pour la manière de s’adresser à la gouvernante, bien sûr, puisque celle-ci tutoie toujours son soumis.

    Les soumis ont tendance à vouloir vouvoyer leur maîtresse, en signe de respect, et c’est bien compréhensible. Mais les jeux de domination en tablier sont divers, et si, quand la gouvernante est plutôt une maîtresse, le vouvoiement est logique, le tutoiement sera bien mieux si la gouvernante est une nounou ou une maman humiliatrice. Et si le jeu est entre domestiques, une prenant l’ascendant sur l’autre, ou une patronne de commerce et son unique employé, le tutoiement sera aussi plus approprié.

    Le tutoiement ne doit pas empêcher le soumis d’employer un ton humble, ni même d’utiliser la troisième personne en parlant de lui.

    S’il y a plusieurs soumis, ils se tutoieront entre eux, puisqu’ils sont au même niveau inférieur. S’il y a plusieurs maîtresses, elles peuvent soit se tutoyer en signe d’égalité de niveau, soit se vouvoyer pour montrer qu’elles ne sont pas du même monde que le ou les soumis.

     

     

    Les insultes

    Il est, bien souvent, indispensable pour la gouvernante d’insulter son soumis, avec ou sans raison, et même le plus souvent possible. Toutes les insultes ne sont pas utilisées, seulement celles qui sont bien humiliantes. Mais il faut éviter les insultes qui ne rentreraient pas dans le jeu.

    Il y a les insultes classiques comme, salope, connasse, pétasse, etc. La gouvernante peut traiter son soumis d’idiote, d’imbécile, de nouille, de bêtasse, tout ce qui peut rabaisser son intelligence, ou d’empotée, qui rabaisse ses aptitudes physiques, etc.

    Il y a ensuite les insultes en rapport avec la propreté. La gouvernante peut, bien sûr, traiter son soumis de sale connasse, mais utiliser aussi des mots plus rabaissants comme merdeuse, cacateuse, pisseuse, morveuse ou morvelleuse…

    Les insultes animales sont à manier avec précaution, d’abord pour ne pas choquer les amis des animaux, mais ensuite pour rester dans le jeu. Cochonne, grosse cochonne, cochonnette, truie ou grosse truie, grosse vache sont bien dans le genre de la domination torchonnière. Mais pas chienne, qui évoque un autre type de domination.

    Il faut une certaine expérience, une certaine habitude, pour choisir la bonne insulte au bon moment. Et il peut être intéressant d’obliger le soumis à répéter l’insulte qu’il a reçue pour bien se rabaisser devant sa maîtresse.

     

     

    Des textes en plus des mots

    La question se pose de savoir si, en plus du vocabulaire, il faut prévoir des textes qui rendront l’humiliation plus complète. Il me semble que oui, à condition que ces textes soient appris par cœur par le soumis, qu’il soit obligé de les réciter souvent, et que toute erreur soit l’occasion d’une punition.

     

    Les chansons et comptines

    Pour bien humilier les servantes punies, les Maîtresses peuvent les forcer à chanter des comptines Ce sont des comptines enfantines avec des paroles spécialement écrites pour être humiliantes. La bonniche, pendant qu'elle est punie, fessée, doit chanter la comptine. Si elle se trompe dans les paroles, si elle chante faux, si elle ne tient pas le rythme, sa punition sera rallongée d'autant.

    Je parle de chansons et comptines parce que la dimension musicale est importante, surtout pour fesser en rythme. Mais il peut s’agir, tout simplement, de textes en vers, le tout est qu’ils soient rythmés par la rime, ce qui à mon avis renforce l’idée de contrainte quand le soumis le dit.

     

    Faut-il un règlement ?

    La volonté de la gouvernante doit être le seul règlement, et sa volonté peut changer à sa guise. Mais, parfois, un règlement (qui sera affiché et appris par cœur par le soumis) peut être très humiliant. Voici quelques exemples d’articles pouvant y figurer ; le soumis peut y être désigné, bien sûr, au féminin.

    Tout manquement aux dévotions est sanctionné par une punition. Mais une servante très obéissante peut être récompensée par une gâterie.

    Le soumis doit toujours porter blouse et tablier, avoir son torchon pendu à la ceinture pour être prêt à torcher ce que la gouvernante lui ordonnera de torcher. Il doit toujours avoir une coiffe ou un torchon sur la tête.

    La servante doit vouvoyer (ou tutoyer) la gouvernante. Elle doit leur dire gouvernante, ou Madame la gouvernante, ou l’appeler par tout autre titre que celle-ci désire porter pendant le jeu, Madame la charcutière, par exemple. Si la gouvernante est de bonne humeur et si le jeu le prévoir, elle peut accepter de se faire appeler tatie, nounou ou maman.

    La servante ne doit jamais adresser la parole directement à la gouvernante, mais attendre une question. Si elle veut parler, elle doit s'agenouiller et embrasser le bas du tablier de la gouvernante, qui lui parlera alors la première si elle veut.

    Elle doit dire s’il te plait gouvernante, merci gouvernante, oui gouvernante. Toute réponse négative attire une paire de gifles.

    Elle doit toujours parler à la gouvernante avec humilité, et en se rabaissant, éventuellement, si la gouvernante le décide, à la troisième personne en parlant d’elle, du genre « gouvernante adorée, ta bonniche te supplie de… »

    Le soumis ne doit pas regarder la gouvernante dans les yeux, mais baisser le regard. Quand il se présente à la gouvernante, il doit faire une petite révérence avec son tablier. Il doit se tenir debout ou agenouillé, avec les mains dans le dos ou les bras croisés.

    Le soumis doit marcher en tortillant des fesses, et à petit pas, même s’il n'est pas entravé. S’il a les bras libres, il doit marcher les deux mains relevant légèrement ses tabliers. Le soumis qui se déplace à genoux doit aussi relever ses tabliers avec les mains.

    Ce ne sont que quelques exemples…

     

    Faut-il un contrat, une déclaration de servilité ?

    Je fais ici la même remarque que pour les autres textes, et je vous donne un exemple de « Convention de délégation d'autorité d'éducation à une gouvernante ».

    Je soussigné Toto, adulte sain de corps et d'esprit, prie Madame Marcelle d'assumer désormais le rôle et les prérogatives de gouvernante à mon égard.

    Je lui reconnais la responsabilité de prendre toutes les décisions qu'elle jugera pertinentes concernant ma vie quotidienne et mon éducation. Dans tous les instants et en toutes circonstances, je lui dois respect et obéissance. Je serai soumis, en tous lieux et tous instants, à toutes les règles qu'elle décidera de m'appliquer. Son autorité sera marquée par le port de la blouse et du tablier de gouvernante.

    Je me mets volontairement à son service pour exécuter, sous son autorité, toutes les activités, tâches ménagères et corvées qu'elle décidera. Je serai traitée comme une domestique, une servante, une bonne à tout faire, et vêtue comme telle.

    Ma gouvernante surveillera et contrôlera mes attitudes et comportements, mon hygiène et ma propreté, la quantité et la qualité de mon travail ; le rangement de mes affaires et la bienséance de ma tenue et de mon habillement..., et tous les autres aspects qui lui sembleront nécessaires. Elle pourra sanctionnera toute négligence, irresponsabilité, imprudence, impertinence, insolence, mensonge, indiscipline, caprice, colère ou désobéissance. Elle choisira les méthodes adaptées pour corriger, sans faiblesse et sans délai, tous les écarts que je commettrai

    Elle aura toute légitimité pour me punir quand elle le jugera nécessaire afin que j'apprenne suite aux erreurs que j'aurai commises. Elle décidera, en toute conscience, de la nature et de la sévérité de la punition adaptée à la situation qui l'a justifiée. Étant donné qu'il s'agit de corriger mes comportements puérils et irresponsables, les punitions qui me seront administrées, seront le plus souvent de la même nature de celles que l'on utilise traditionnellement pour punir les enfants.

    La fessée sera donc un châtiment privilégié. Elle sera, sauf exception, infligée la culotte baissée. Sa sévérité pourra être renforcée, quand ma gouvernante le jugera pertinent, par l'utilisation d'un instrument punitif : martinet, strappe, cuillère en bois, tape-tapis, orties, ... ou tout autre accessoire adapté pour punir les enfants. Les fessées que j'aurais méritées me seront administrées effectivement. Elles ne seront pas simulées.

    Ma gouvernante décidera de la durée et de la sévérité de la correction qui sera proportionnée en fonction de la faute commise, ou en fonction de la perversité de ma gouvernante. La fessée devra embraser et rougir les fesses aussi intensément que nécessaire pour que je prenne conscience de ce qui l'a motivée et que je regrette sincèrement le comportement qui l'a provoquée. Il est donc normal que pendant et à l'issue d'une punition, mes fesses soient fortement douloureuses, rougies et brûlantes et, éventuellement, portent les marques de la correction reçue dans des limites acceptables, c'est-à-dire sans que cela ne provoque de blessure, quand il sera indispensable que je garde un souvenir persistant de la punition. Les pleurs, cris et supplications seront considérés comme des indicateurs de la sévérité et de l'effectivité de la punition. Ils seront donc recherchés aussi souvent que nécessaire. S'il est normal que je me débatte, que je supplie et que je pleure durant l'application de la punition, compte tenu de la douleur qu'elle infligera, en aucun cas, cela ne doit gêner son déroulement, en particulier, il m'est interdit de me dégager de la position punitive dans laquelle j'aurai été placé (allongé à plat ventre en travers des genoux, courbé sous le bras, à plat ventre sur la table …).

    Je reconnais également à ma gouvernante le droit et le devoir de me mettre en pénitence afin de me donner le temps de réfléchir à la bêtise perpétrée et à la punition qu'elle a nécessité.  La fessée sera donc, le plus souvent, suivie d'une mise au coin ou au piquet, la culotte généralement baissée comme lors de la fessée, afin de présenter publiquement les effets de la punition et les signes de mon repentir. Elle m'y laissera aussi longtemps qu'elle le décidera et quel que soit ce qui pourrait se passer, pendant ce temps, dans l'espace où je serai ainsi exposé.

    En complément, tout autre punition enfantine pourra m'être imposée: lavement, enfermement, privation de sortie, leçon de morale, remontrance... De même, toute autre punition en rapport avec la domesticité pourra m’être infligée.

    Ma gouvernante aura autorité pour choisir le lieu et le moment où la punition me sera donnée.

    Je reconnais également à ma gouvernante le droit de me punir et de m'humilier sans que j’aie commis aucune faute ou aucun manquement, sur son seul désir et sur son bon plaisir. Je lui reconnais le droit d'être, si elle le veut, de mauvaise foi dans tout ce qu'elle me reprochera.

    Elle pourra également, autant que de besoin, déléguer son droit et devoir de punition à mon encontre, de façon temporaire ou permanente, à une tierce personne qui aura, alors, toutes les prérogatives décrites ci-dessus. Elle pourra également transmettre ce rôle à une personne de son choix sous l'autorité de laquelle je serai alors automatiquement placé.

    L'exercice du rôle de gouvernante ne cessera que lorsque Madame Marcelle jugera qu'il n'est plus nécessaire de me punir ou lorsqu'elle transférera son l'autorité de gouvernante à une tierce personne. Il lui reviendra alors de m'en informer.

     

     

    Questions et réponses

    - Question. Peut-on utiliser une autre langue que le français ?

    Réponse. Oui, bien sûr, le principal étant que le soumis comprenne à peu près, la gouvernante pouvant s’exprimer dans une langue étrangère, puis traduire. L’anglais donnera une tonalité plus chic à la domination, l’allemand lui donnera sans doute une tonalité à la fois plus rigoureuse et plus humiliante.

    - Question. Quel ton la gouvernante doit-elle employer ?

    Réponse. Il me semble que la gouvernante ne doit jamais élever le ton, sauf très exceptionnellement pour marquer ou jouer la colère. Des paroles humiliantes sont bien plus humiliantes dites d’un ton calme et doux.

    - Question. Quel ton le soumis doit-il employer ?

    Réponse. Un ton humble, mais clair et compréhensible, supplicateur mais jamais geignard.

    - Question. La gouvernante peut-elle s’adresser au soumis à la troisième personne ?

    Réponse. Éventuellement, en lui « parlant bébé », ce qui rabaisse encore plus le soumis.

    « Fesseuse en tablier vertUne Japonaise dévouée »

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  • Commentaires

    1
    Solange
    Dimanche 24 Mars 2019 à 09:54
    Coucou,
    Je retrouve certaines choses dans ce texte. Par exemple ma bonniche c est fatima la mamelue,c est une "porte blouse",sa chatte (j aime ce mot) ou chatasse est un trou a bites. C est aussi une connasse, comme moi d ailleurs (de temps a autre j aime etre aussi yasmina). Je lui fait souvent repeter les insultes ou les humiliation evidement elle par:je suis une ..
    Elle peut aussi etre une "serpiere à sperm" et porte blouses ou imper selon mes envies. Mais nous nous accordons que nous sommes toutes les deux des grosses salopes bien grasses et toutes coconnes ou tartes. Il y a aussi dindasse tartasse. Hoila oui plein de trucs dis dans ce texte..Il me vient tellement de choses en tete que je ne saurai tout exposer. Bon il y aura certainement des fautes ou des mots oubliés mais difficile de se relire dans ce prtit cadre. A bientot.
    Solange une maitresse qui aime aussi etre humiliée,me me par ses soumis(es),tout autant qu il se confondent en pardons et excuses.
    2
    Dimanche 24 Mars 2019 à 12:03

    Je vois, Solange, que nous avons finalement pas mal de goûts communs. Si tu veux écrire un texte (même avec des fautes, je les corrigerai), je serais heureux de le publier. J'aimerais aussi avoir des photos de toi et Fatima, visages masqués par des torchons, si vous le désirez.

      • Solange
        Vendredi 29 Mars 2019 à 08:41
        Coucou,
        Mzrci de ta reponse,pour une fois je la capte à temps.
        Le temps libre nous faisant un peu defaut, fatima et moi,j avoue que lorsque nous nous retrouvons seules nous ne pensonq pas forcemznt à partager nos jeux. Bien que l envie soit presente, l oublie par le plaisir prend le dessus.
        Mais à l occasion j essaierai de consacrer un de ses rares instants à ce partage et d alimenter egalement mon pauvre blog laisser à l abandon des vorances publicités.
        Bises.
        Solange.
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    3
    Ariste
    Lundi 25 Mars 2019 à 09:19

    Excellent ces textes! Merci! 

    Je me réjouis de lire aussi de lire une énumération de punitions, de vêtements pour punir et humilier le soumis et la soumise, une liste d'humiliation publique....

    A bientôt

     

    4
    ginette
    Mardi 26 Mars 2019 à 19:06

    superbe texte qui devrait etre le vademucm de toute bonniche. pour mettre les soumis à leur place. pour ma part quand je suis aux ordres de la gouvernante ou de madame . je m adresse à elles toujours à la 3e personne ex Madame veut elle que je lui prépare son bain?

    comme prénom de domestique en ette "ginette" a été omis, je le trouve ancien ,démodé, et indiquant une origine très populaire  pour ne pas dire ordinaire  venany de province comme au XXe siècle. par contee bonnicharde et bonnichasse je ne connaissais pas mais à retenir.

    Merc Souillon pour ce superbe temps  de lecture et de bonheur

    5
    Solange
    Vendredi 29 Mars 2019 à 08:47
    Bonjour ginette,
    Je partage aussi acec vous l usage de la troisieme personne.
    Etant switch,cela ne plait pas à tout le monde je sais, j aime l employer ou le faire employer.
    Bises.
    Solange.
      • ginette
        Samedi 30 Mars 2019 à 12:15

        Merci Solange , pour moi  comme bonniche  parler à madame à la 3e personne est normal  jai toujours entendu les vrais domestiques parler ainsi et cela me semble naturel. pour respecter ses patrons et être bien à  sa place pour servir.Une bonne est une bonne!

        bien sur sans jamais omettre d etre en tablier devant ses patrons.

      • Solange
        Dimanche 31 Mars 2019 à 09:44
        Bonjour ginette,
        Tout à fait d accord avec vous.


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