• La discipline conjugale et domestique

    Un texte que j'ai trouvé sur https://www.docile.eu/ et que j'ai quelque peu mis à mon goût.


     La discipline conjugale, confession

     

    Dans les récits, il y a souvent des lettres sur la fessée donnée aux femmes.
    Je vous envoie mon avis, je crois que je suis bien placée. Je suis femme et je suis très régulièrement fessée par mon mari, vraiment très souvent.

    Etienne est un fervent adepte de la discipline conjugale. A la moindre bêtise, à la plus petite faute domestique, je suis punie, toujours par une fessée complétée de pénitences. Tout cela faisant l'objet d'un cérémonial précis aussi important que la fessée proprement dite qui, elle, n'est jamais vraiment trop terrible.

    Il faut que je précise que, en tant qu'épouse, et épouse devant rester dans son rôle d'épouse, ma tenue à la maison est choisie par mon mari. Et cette tenue, si elle varie dans les détails, est toujours composée de la même manière: une blouse et un tablier. La blouse, très simple, en coton ou en nylon, est portée toute la journée; simple, mais féminine, boutonnée devant, avec souvent un col Claudine. Sur cette blouse, je dois mettre un tablier différent, lui aussi simple, mais bien féminin, selon que je fais le ménage (et, bien sûr, selon qu'il s'agit de gros ménage ou de petites choses), la lessive, le repassage, la cuisine, le service à table, la vaisselle, etc… Quand je vais faire les courses, je garde la blouse et je mets un manteau dessus. Ces tenues me sont imposées par Etienne, mais il a bien raison, c'est pratique et je ne salis pas les vêtements que je mets pour les loisirs.

    Mais revenons à la discipline elle-même…

    Tout commence quand Etienne m'appelle au salon et me dit qu'il a un reproche à me faire. Tout de suite, je m'agenouille devant lui, je mets mes mains sur ma tête et je baisse les yeux, exactement comme une gamine désobéissante. C'est toujours humiliant de se voir rappeler ses fautes, rôti trop cuit, vaisselle mal rincée, etc… Quelquefois j'essaye de nier, quand je juge le grief injustifié, ou vraiment extrêmement minime. Mais Etienne a toujours le dernier mot, alors je me mets à pleurnicher, réflexe typiquement féminin. Ça n'attendrit pas Etienne
    - "Qu'est-ce que tu mérites, Josette?" demande-t-il.
    - "Je mérite de recevoir la fessée; pardon, mon cher mari".
    Quand ce n'est pas dit assez fort ou avez assez de conviction, je répète quatre ou cinq fois s'il faut, jusqu'à ce que ma voix soit claire, qu'elle traduise bien mon acceptation de la punition.

    Ma culpabilité est clairement établie, j'ai moi-même prononcé la sentence, une nouvelle humiliation m'attend: c'est à moi de tout préparer pour l'exécution du verdict. Je vais dans la cuisine, et je prépare le martinet, un strap en cuir qu'il a acheté, le tape-tapis, plusieurs cuillères et palettes en bois, un torchon mouillé, me demandant avec angoisse lequel de ces instruments il va choisir pour rougir mes fesses.. Je pose tout cela sur un grand plateau, qui ne sert pratiquement qu'à ça. J'enlève le tablier que je porte, et je mets mon "tablier de fessée", qui est un tablier à bavette blanc, le genre tablier de serveuse, très simple, bretelles croisées au dos, sur la bavette duquel j'ai du broder, en rouge, "Josette épouse soumise". 

    Je place une solide chaise de cuisine à côté de la table, puis je vais dans le salon, portant mon tablier d'infamie, je fais une petite révérence, et je dis:
    - "Mon cher mari, je suis prête pour recevoir ma punition."

    Il vient dans la cuisine, s'assoit, et, je viens lui présenter le plateau à genoux, puis je le pose sur la table à côté de lui. Etienne aura aussi des rafraîchissements à portée de la main, il ne doit manquer de rien, je les ai déjà préparés sur une deuxième plateau, plus petit que le premier.

    Après lui avoir porté tout cela, je dois m'agenouiller à nouveau, lui demander pardon, promettre de mieux me comporter.

    En même temps, je le supplie de ne pas me punir, de ne pas me faire mal, mais je sais que mes supplications, même si elles sont obligatoires, seront inutiles. Il me répond toujours qu'il ne me punit pas pour se faire plaisir, mais par devoir, pour m'enseigner à être une bonne épouse comme, lui, il est un bon mari. Et après un quart d'heures de supplications, ça finit toujours par:
    - "Ça suffit Josette, allez, ouste! la rouste!"

    Et donc je me prépare. Je me déchausse, je me tourne, je trousse ma blouse, que je maintiens troussée grâce à la ceinture, culotte descendue à mi-cuisses, je me penche sur la table de la cuisine, la poitrine appuyée contre celle-ci, les mains sur la tête, fesses cambrées au maximum et les jambes écartées. Etienne me fait languir un peu, pour bien me faire sentir que je suis sous sa coupe, dix à vingt minutes d'attente sans bouger, pendant lesquelles il boit ce que je lui ai servi, et fait des commentaires sur mes fesses, sur ma situation honteuse, sur mon incompétence ménagère.

    Enfin il s'approche, cherche la meilleure position, choisit un instrument, me demande si je suis prête.
    - "Oui je suis prête, mon cher mari."
    Le premier coup tombe, me faisant sursauter. Etienne m'applique des coups bien espacés et qui claquent. A chaque coup je réponds:
    - "Merci mon mari, pardonne-moi."

    Ce n'est pas terriblement douloureux, ça chauffe beaucoup les fesses, mais c'est supportable et je parviens à rester en position, croupe parfaitement présentée. Mon mari aime varier les instruments. Sa main est robuste, et il aime, après le coup, la laisser une ou deux seconde, et la retirer en caressant ma fesse meurtrie. Le strap est large, il frappe mes deux fesses en même temps, il est lourd, mais pas si douloureux qu'on pourrait le craindre. Le martinet me fait une douzaine de morsures cinglantes. Le tape-tapis serait vraiment une torture s'il frappait fort, mais mon mari chéri retient toujours son coup quand il s'en sert. Les cuillères et les palettes en bois lui servent à frapper un endroit précis, pour répartir la rougeur et la douleur sur l'ensemble de mon cul qui, je dois l'avouer, est large, bien bombu, bien dodu et bien fendu. Le torchon mouillé fait du bruit, mais il semble presque une caresse apaisante à côté des autres fessoirs.

    Quelquefois je prends un coup plus cinglant qui me fait cabrer et me rappelle à l'ordre quand je bouge, quand je ne déploie pas les fesses assez bien ou si je ne remercie pas avec assez de conviction. Pendant la fessée, il change d'instrument, assez souvent, pour que, toujours, les coups surprennent et la douleur soit différente. Et toujours, à chaque coup, je dois dire -"Merci, pardon."
    C'est très humiliant alors je me mets à pleurer et à implorer, je demande pardon mais de manière désordonnée, je promets de faire plus d'efforts, de moins mériter la fessée. Quand j'en suis là, c'est très spontané, je dis tout ce qui me passe par la tête, que je suis une vilaine fille, que je mérite absolument la fessée, etc. Ce n'est que quand Etienne voit que mon repentir est sincère qu'il arrête la fessée.

    Vaincue, complètement matée, je me retrouve à genoux devant lui à lui embrasser les mains. Pour le remercier de m'avoir châtiée je dois aussi lui faire une petite fellation, à genoux et les mains sur la tête. Il se met debout, s'appuie sur la table, je baisse son pantalon et son slip, je, sans les mains, juste avec la bouche, je le suce longuement, tendrement, levant vers lui un regard humble et embué de larmes. Il gicle dans ma bouche avec de petits gémissements de plaisir, et je prends autant de plaisir que je lui en donne, dans la honte de position de suceuse aux fesses rouges.

    Après je reste un bon moment en pénitence dans cette position, à genoux au milieu de la pièce, croupe dénudée, mains sur la tête, en répétant sans arrêt des phrases comme:
    - "Pardon, pardon, je suis une mauvaise épouse. Merci mon cher mari de m'apprendre à bien tenir notre maison. Mes fesses t'appartiennent, mon Etienne chéri."

    Le spectacle de mon humiliation, la honte qu'il me fait en commentant ma pénitence et mes excuses, tout cela le fait rapidement re-bander, parce que j'ai l'a chance d'avoir un mari d'une virilité bien agréable pour une épouse fidèle.

    Enfin vient le moment tant attendu, Etienne me relève, il m'embrasse tendrement et prononce les paroles magiques:
    - "C'est fini, je te pardonne."

    Alors là je fonds en larmes, je pleure, je pleure. Finalement ça soulage bien, c'est bon, je suis toute pantelante dans les bras d'Etienne qui caresse mes fesses rouges et cuisantes. Puis, sans me déshabiller, mais en ouvrant ma blouse et en sortant mes seins de chaque côté de la bavette du tablier, il me met sur la table et me fait l'amour, soit en levrette au bord de la table, soit moi sur le dos, lui debout, mes jambes ouvertes posées sur ses épaules. Il me pénètre sans brutalité, mais en me donnant ensuite de grands coups de boutoir dont chacun me fait monter d'un cran vers le plaisir. Il malaxe mes fesses rougies, mes gros seins offerts, rentre et sort de ma connasse trempée d'excitation, jusqu'à ce que je crie de bonheur au moment où il gicle une deuxième fois, tout au fond de moi. Apaisée, calmée, je suis bien, je suis heureuse, je suis à ma place, je suis comblée.

    Voilà comment se passent mes punitions. Je ne sais pas ce que vous en pensez mais moi je ne me plains pas, parce qu'au moins quand il me surveille et quand il me punit Etienne s'occupe de moi, ça veut dire que je suis quelque chose pour lui et ça me rend heureuse.

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  • Commentaires

    1
    Nathalie
    Lundi 6 Mars 2023 à 03:30
    Bonjour . Superbe texte . Je comprend tout à fait ces punitions . Pour ma part a la maison la blouse blanche stricte a ceinture nouée est obligatoire pour les tâches ménagères et la blouse rose avec tabliers blancs exigés le reste du temps . Pour les punitions c est principalement le martinet la tawsee et le paddle . Les punitions sont quotidiennes afin de maintenir la discipline domestique stricte . Cordialement.
      • Lundi 6 Mars 2023 à 11:18

        Ma chère Nathalie, si vous voulez nous raconter votre vie de soumise, je serais heureux de publier votre texte…



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