• Ginette entorchonne Marie-Charlotte

    Un récit de Ginette, qui rêve à me mettre en scène et que je publie donc, avec mes remerciements. Bien sûr, ce récit, ce sont les fantasmes de son auteur, Ginette, et pas les miens, je lui en laisse la responsabilité.

    Vous avez vu une bonne ligotée sur une chaise. Peut-être vous interrogez-vous comment cela a pu lui arriver? C'est une longue histoire.
     
    Il y a un moment que ma patronne cherchait quelqu'un pour m'aider dans les travaux ordinaires chez elle. En effet je ne pouvais assurer les rôles d'assistante, de secrétaire, de gouvernante, d'infirmière et de femme de chambre à la fois.
    Un jour par hasard, à un salon professionnel, nous avons rencontré une personne avec qui nous avons discuté et appris qu'il s'intéressait aux vêtements professionnels. Il était dans ce milieu et, curieuses nous l'invitâmes à diner. Au cours de ce diner, nous apprîmes qu'il fantasmait au sujet des vêtements qu'il vendait et bientôt il nous fit la confidence qu'il rêvait de servir une patronne en uniforme de domestique, nous précisant que quand il parlait d'uniforme, c'était pour lui la blouse et le tablier féminins.
     
    Après avoir pris divers renseignements sur sa personne, nous lui proposâmes de réaliser son souhait, sachant que sa discrétion et son obéissance totales seraient nécessaires. Ayant déjà du personnel travesti à l'établissement nous savions que nous aurions un service de qualité, au vu des expériences précédentes ou en cours.
    Donc ayant son accord nous lui dîmes:
    - "Maintenant tu t'appelles Marie-Charlotte, tu vas être au service de Madame, mais avant nous testerons tes capacités."
     
    Nous le primes en charge dans notre véhicule. Madame monta à l'arrière avec lui et lui demanda de mettre les mains derrière le dos. Aussitôt Marie-Charlotte fut menottée; en plus elle dut ouvrir la bouche pour recevoir un bâillon de cuir avec un pénis en latex dans la bouche, bien serré sur la nuque et cadenas. Enfin un bandeau sur les yeux comme dans les avions et pour plus de sécurité une cagoule de tissu noir fut enfilée sur sa tête.
    Une fois préparée et allongée sur le siège, Madame me dit de démarrer...
     
    Le voyage se fit sans encombre. Arrivés à l'établissement, Marie-Charlotte fut installée sur un lit et il lui fut conseillé de dormir pour être en forme le lendemain.
     
    Et le lendemain matin Marie-Charlotte fut réveillée par deux femmes. L'une en blouse blanche col tailleur, tablier blanc à bavette bretelles croisées, l'autre en blouse bleue col tailleur, tablier blanc identique. Bien sûr la coiffe blanche amidonnée terminait la tenue impeccable d'aide-soignante.
     
    Marie-Charlotte à peine réveillée fut déshabillée et emmenée nue pour être posée sur une table d'examen. Une fois bien posée, ses mains furent serrées dans des sangles de chaque coté de la table et aussitôt un torchon humide fut posé sur son visage. D'un seul coup elle fut aveuglée et étouffée car le linge couvrait la tête et était appliqué fortement, mais elle pouvait respirer.
     
    Ne pouvant protester elle resta immobile et rapidement elle sentit une main saisir son sexe et entendit parler sans pouvoir distinguer les mots; et en plus les assistantes riaient. Elles avaient de l'expérience et du talent, savaient faire monter la tension du plaisir et laisser tout se reposer. L'expérience dura assez longtemps, caresses douces, mouvements violents, sortie du gland; repos, reprise des caresses sans relâche. A la fin enfin tout explosa et les aides soignantes éclatèrent de rire.
    La semence fut bien sur récupérée sur un torchon et celui-ci fut enfoncé dans la bouche de Marie-Charlotte avec interdiction de le retirer avec la langue.
    Je pense que Marie-Charlotte apprécia.
     
    Ensuite elle fut tournée sur le côté et les aides-soignantes procédèrent à l'essai d'un plug anal. Compte-tenu de leur savoir-faire il fut facile de trouver le plug qui convenait et qui fut installé promptement avec ordre de demander l'autorisation à l'une des aides-soignantes pour le retirer en cas de besoin naturel, car il serait porté en permanence comme signe d'obéissance et de soumission. 
     
    Ensuite les autres tests conclurent aux talents domestiques de Marie-Charlotte qui embrassa sa condition de domestique avec plaisir jusqu'à sa punition que je raconterais une prochaine fois.
     
    Je remarque que je ne me suis pas présentée. Je suis la factotum de la Directrice de l'établissement donc je suis secrétaire, infirmière, femme de chambre, gouvernante, enfin je suis au service de Madame et fais pour que tout se passe le mieux dans l'établissement. En conséquence vous vous doutez des tenues que je porte. Bien sur blouse blanche ou de couleur, tablier blanc avec bavette, coiffe et tous les accessoires, mais au lieu d'un discours détaillé, on peut m'imaginer comme ressemblant à cette photo.
     
    Je vous précise que je ne suis pas en service pour faire fantasmer mais pour respecter les ordres de Madame et porter la tenue selon le règlement. 
    Mais le sujet est Marie-Charlotte, domestique désobéissante qui fait notamment la vaisselle en tablier blanc au lieu de mettre pour se protéger un grand tablier rayé de service par-dessus le tablier blanc, et d'autres erreurs de service.
    En conséquence une sanction est nécessaire ; être attachée sur une chaise et plus si cela ne suffit  pas.
    La première chose c'est de préparer une chaise rustique solide avec en face un miroir assez grand pour que la punie puisse se voir éventuellement si on lui donne la possibilité.
    Mais avant de s'asseoir Marie-Charlotte doit apporter tout ce qui est nécessaire à un bondage sérieux: cordes, bâillon, torchons etc.
    Après les avoir apportés Marie-Charlotte s'agenouille et embrasse le bas de mon tablier blanc et ensuite lève sa blouse et son tablier pour montrer son état. Moi la gouvernante je vérifie et je lui demande d'uriner dans la cuvette qu'elle vient d'apporter; elle doit se vider complètement.
     
    Puis je la fais mettre toujours à genoux la poitrine appuyée sur le siège de la chaise les mains sur la tête. Je trousse sa blouse et son tablier blanc et une fois les fesses nues je regarde si elle a bien son plug anal. Heureusement pour elle il est en place. Alors je lui retire cet objet et immédiatement et lui en met un autre un peu plus gros et plus long mais pas trop car il va la pénétrer et la fouiller davantage quand elle sera assise sur la chaise
    Il faut bien que Marie-Charlotte se pénètre bien que c'est une punition et non du plaisir.
     
    Ainsi installée et offerte je ne peux que lui donner du plaisir en la frappant avec la tapette de nurse anglaise, à chaque coup elle doit me remercier. Quand ses fesses sont bien rougies, je la laisse se reposer un peu et la fait asseoir sur la chaise. Elle fait bien attention à lisser sa blouse sous sa croupe humiliée et chaude et à bien étaler le tablier blanc sur les cuisses.
    Je vois aussitôt une grimace; c'est normal le plug anal se met en place. Mais elle ne dit rien: une bonniche doit obéir.
     
    Je vérifie sa position, bien droite sur la chaise le dos contre le dossier, enfin dernière observation je sors son sexe de sa blouse entre deux boutons et ainsi il touche le tablier, j'en profite aussi pour le décalotter. Ainsi il y a en permanence  le contact avec le tissu du tablier ce qui aussi gênant qu'excitant.
    Je retends le tablier et presse le sexe a travers le tissu blanc. Parfait tout est en place, Marie-Charlotte est prête et disponible. Je peux commencer....
     
    Voilà Marie-Charlotte assise, disponible, les yeux dans le vague, mais en réalité elle se regarde dans le miroir posé en face de la chaise et aussi je vois qu'elle regarde surtout qui va l'attacher. Son regard est envieux et admiratif. Ma tenue lui crée une émotion qui se voit et se vérifie par la légère bosse de son tablier.
     
    Je porte une blouse bleue boutonnée devant, col Claudine blanc et manches longues boutonnées avec poignets blancs. Par-dessus, un tablier blanc long et enveloppant couvrant la blouse; la bavette ronde monte haut et les bretelles larges croisées dans le dos sont boutonnées à la taille; la ceinture du tablier elle-même boutonnée; sur la tête, une coiffe amidonnée.
     
    - "J'aurais préféré une autre tenue pour te punir, Marie-Charlotte, mais Madame a exigé cette tenue et moi j'obéis. En plus j'ai ajouté un masque chirurgical blanc sur mon visage; ainsi tu ne vois que les yeux de celle qui le ligote sans savoir qui exactement est dans cette tenue d'infirmière idéale. Et je vois bien que cela te donne du plaisir, profites du moment car cela pourrait changer et tu pourrais souffrir dans l'érotisme. En conséquence passons aux travaux pratiques de ta punition." 
    Je te fais mettre bien droite sur la chaise, dos bien appuyé au dossier, les bras le long des montants du dossier. Tu grimaces à cause du plug qui a du se déplacer dans ton mouvement, tu gémis, je t'ordonne de te taire aussitôt: silence! J'aime mieux cela. Je prends une longue corde que je mets en double et la passe autour de ta poitrine et puis je passe le bout dans la boucle en tirant fortement, tu te trouves ainsi plaquée contre le dossier. Je rajoute deux tours et là dans le dos je fais un nœud bien serré autour des cordes, puis je monte la corde sur ton épaule, la descend plus bas que ta poitrine et passe la corde sous les autres cordes pour remonter sur l'autre épaule, la corde redescend dans le dos, et au milieu du dos je fais un nœud bien serré. Je vérifie si tu peux bouger; non, impossible car tu as les bras serrés contre le dossier et tu ne peux vraiment pas bouger, parfait.
     
    Je prends une corde que je passe autour de ta taille et du dossier de la chaise et je serre bien fort, je fais aussi plusieurs tours pour bien t'immobiliser. Cette fois tu fais corps avec le dossier de la chaise. Je vois aussi que tu commences à sentir l'effet de la punition dans ta chair. Je remets bien en place la bavette du tablier. Je veux une encordée sexy...
     
    Enfin je passe aux mains. Même procédure, une corde pliée en deux que je mets derrière tes poignets croisés, j'entoure un poignet puis je passe entre les deux et tourne autour du deuxième, je fais ainsi plusieurs huits serrés mais pas trop car la séance va être longue pour toi et tu auras droit à long bondage élaboré par une infirmière sévère. A la fin je passe le bout de la corde dans la boucle et je tire. Tu es bien serrée, et je fais trois nœuds au-dessus de tes poignets. Bien sûr tu peux bouger légèrement les poignets mais cela t'est interdit aussi. Pour ne pas te tenter je vais améliorer la situation, pour te faire bien comprendre que tu subis une punition.
    Je prends une corde que je passe autour de tes poignets, un seul tour et je tire la corde vers le haut pour monter tes poignets, cela t'est difficile à cause du ligotage des bras mais j'insiste et j arrive à passer la corde au montant de la chaise à hauteur de tes épaules. Je fais un tour, je redescends aux poignets, je fais deux tours autour et je passe la corde autour du barreau du dossier et je serre bien fort pour terminer par nouer la corde au montant.
     
    Je vérifie et cette fois tu es totalement immobilisée. Tu es une belle ligotée.
    Bien sûr je vois que ton tablier a une bosse et une tache légère d'humidité, je tâte et vois que tu es en situation normale pour une bonne ligotée. 
    Poursuivons. Je pends une autre corde et la passe sous la chaise et sur tes cuisses et je serre très fort puis je fais plusieurs tours et je fais un nœud solide. Bien sûr les cordes sont passées un peu plus bas que la tache du tablier. Le but est que tu ne puisses pas bouger d'une cuisse sur l'autre, mais je sais que le plug te rappellerai à l'ordre.
    Je trousse ta blouse et ton tablier blanc et je passe une corde double entre tes cuisses au-dessus des genoux puis je fais des huits et enfin je noue la corde avec la boucle bien serrée puis une autre corde sous les genoux de la même manière mais en plus cette fois à la fin il me reste une longueur de corde que je passe autour du montant entre les pieds de la chaise et que je noue tes jambes qui sont immobilisées.
    Puis avec une corde à chaque pied je fais plusieurs tours autour de chaque cheville et pied de chaise; je termine par un nœud bien serré. Je vérifie le tout et rien ne bouge. Voila, le paquet est prêt. Je vérifie les noeuds; tout est bien solide. Je te dis:
    - "Regarde- toi tu as la chance d'être prise en main par une experte. Dis-moi merci." Tu me dis: - "Merci Madame." Et je suis contente. 
    - "Mais maintenant j'exige de toi que tu répètes les phrases que je vais te dire pour que tu réfléchisses à ta condition et comprennes que tu dois t'améliorer comme bonniche:
    - Je veux être humble en paroles en actions en pensées, aidez-moi Madame.
    - Je veux agir pour Madame la Directrice seule, aidez-moi Madame.
    - Je veux me tenir humble et modeste, aidez-moi Madame.
    - Je veux me faire estimer de Madame, aidez-moi Madame.
    - Je veux me taire dans les contrariétés, aidez-moi Madame.
    - Je veux m'abaisser sincèrement, aidez-moi Madame.
    - Je veux préférer les critiques aux éloges, aidez-moi Madame.
    - Je veux me soumettre à toutes, aidez-moi Madame.
    - Je veux être soumise et obéissante comme vous, aidez-moi Madame."
     
    Après avoir répété ces phrases plusieurs fois tu vas comprendre où est ta place.
    Mais terminons l'œuvre, je vais te bâillonner, mais quel bâillon prendre: le bâillon boule, le bâillon pénis? Je réfléchis.
    Je choisis le bâillon pénis il est plus efficace, entre plus dans la bouche, coince bien la langue et tu ne peux pas ouvrir la machoire pour l'enlever à cause de son volume. En plus il empêche de déglutir et en le portant on a tendance à saliver et donc baver, alors qu'une boule de tissu dans la bouche absorbe la salive.
    Donc je te pose le bâillon mais tu résistes en serrant les dents, alors je te pince le nez, tu deviens toute rouge et pour respirer tu ouvres la bouche, et alors le bâillon s'engouffre dans ta bouche bien malgré toi. Promptement je te l'enfonce au fond de la bouche et je serre la sangle sur ta nuque; je tire très fort en te faisant baisser la tête ainsi on serre au plus près. Une fois bien mis en place je serre au cran le plus loin et le ferme solidement. Je vérifie: il n'y a pas de jeu tu es bien bloquée. Mais je te vois prise de panique, les yeux pleurants demandant ma pitié car tu es serrée trop fort à ton goût.
     
    Mais je te rappelle que c'est moi qui commande et decide. Tu es à ma disposition. Et pour te le faire comprendre je sors de la poche de mon tablier un cadenas. Tu m'interroges du regard: que va-t-il m'arriver? Je te dis:
    - "Ne t'inquiètes pas c'est pour me faire plaisir." 
    J'ouvre le cadenas, le glisse dans l'ergot du bâillon et le ferme sur ta nuque, puis je mets la clé dans la poche de mon tablier blanc. - "Je sais, cela ne sert a rien tu ne peux pas te délivrer. Mais c'est pour finir le bondage.. Et puis on ne sait jamais, si quelqu'un venait te délivrer tu ne pourrais enlever le baillon que si tu as la clé, or j'en ai la possession. Je te trouve belle ainsi ligotée et aussi un peu désuète et gourde, enfin tu es une bonniche ligotée, tu as ce que tu mérites. Donc maintenant que tu connais les principes, réfléchis quelques temps, je te laisse seule avec toi-même et regardes-toi pauvre bonniche ligotée dans le miroir comme tu es ridicule... J'oubliais une dernière recommandation: évite de baver sur la bavette de ton tablier blanc de bonniche sinon gare à toi.... A plus tard ma chérie, apprécie la situation et soit reconnaissante du temps que j'ai passé avec toi." 
    Je quitte la pièce et je ferme à clé les deux verrous, à double tour. J'attends derrière la porte. J'entends le silence; puis le doux bruit des pleurs et des gémissements étouffés.
     
     
    Je revins un moment plus tard vers la pièce de punition, un simple débarras, juste utile pour punir une bonne récalcitrante, avec une odeur assez désagréable de linge sale, de cuisine, etc.
     
    J'ouvris doucement les verrous de la porte et je la poussai lentement; alors, quel spectacle je découvris! Marie-Charlotte ligotée sur la chaise, essayant de bouger un peu, ce qu'elle arrivait à faire mais avec difficulté car les liens la tenaient bien serrée contre la chaise. Elle agitait les mains mais cela était vain car j'avais mis les nœuds loin de ses doigts.
     
    Quant au reste, quel spectacle! La tête penchée sur la poitrine, elle ne bougeait plus, ne cherchait pas à essayer de retirer le bâillon car elle avait compris que c'était impossible. Par contre la salive sortait de dessous le bâillon et la bave coulait le long des lèvres, puis sur le menton, et tombait sur son tablier. La bavette était mouillée, une belle auréole se voyait plus large que celle faite sur la jupe du tablier par le plaisir non maîtrisable.
     
    - "Alors Marie-Charlotte, tu es incapable de te maîtriser, tu salis ton tablier, tu sais ce que je t'ai dis!Je vais donc devoir te faire comprendre un peu plus sévèrement quelle est la place d'une bonne, que l'obéissance est la première des qualités et que tu as des progrès à faire. Aussi je vais t'aider a progresser tu es d'accord?"
    Marie-Charlotte approuva de la tête. - "Eh bien Marie-Charlotte tes initiales t'iraient mieux en Marie-Cochonne mais je trouve que Marie-Souillon t'irait parfaitement qu'en penses tu?" Marie-Souillon ne bougea pas. 
    - "Regarde ce que j'ai apporté pour te rendre plus docile."
    Et je lui montrai un panier de linge que je venais d'apporter, il y avait dedans des torchons et des mouchoirs. - "Regarde comme ils sont beaux: des grands, des petits, des moyens, mais tous à carreaux, des vrais torchons de cuisine à l'ancienne, pas des modernes des catalogues, non les vrais et authentiques que notre patronne a achetés au Portugal ou en Espagne, là où la tradition est respectée: des torchons de cuisine pour fille de cuisine. Cela te va comme un gant (de vaisselle) pour toi la bonniche."  
     
    En disant cela mon regard se posa sur la jupe du tablier et je pus constater l'effet immédiat. Par plaisir je pris l'objet à pleine main pour un massage provocant qui rendit la tâche plus humide. Ma provocation faisait de l'effet (et sur moi même également).
     
    - "Tu vois pour ne pas être souillée par ta bave, je mets une paire de gants chirurgicaux en latex."
    Ce que je fis immédiatement. Puis je dépliai un torchon, le mis en triangle et le glissai sous ma blouse et mon tablier pour essuyer ce qui était nécessaire. Une fois bien sec, je pris le torchon en main et j'essuyai la bave qui coulait au menton et sur son tablier, puis une fois bien humide je le frottai sur le visage de Marie-Souillon qui essayait d'échapper à ce supplice. Mais je lui tenais la tête serrée avec mon bras disponible. Ensuite je pris le torchon et le repliai pour faire une bande de tissu. - "Maintenant Marie-Souillon, tu vas subir réellement ta punition. Regarde à quoi sert cette bassine: à te faire comprendre que tu es une souillon. Tu vas vivre dans ta propre pisse et tu seras parfumée de ton odeur intime. Tu vas en profiter longtemps, un vrai bonheur de bonniche." Sur ce, je trempai le torchon dans la cuvette pleine d'urine (j'en avais profité pour aussi déposer la mienne, d'urine, mais Marie-Souillon l'ignorait) et ensuite je posai le torchon sur son menton juste sous la lèvre inferieure. Je tirai fort et le serrai par deux nœuds sur la nuque. Ainsi Marie-Souillon avait la mâchoire inférieure moins libre de ses mouvements.
    Puis un deuxième torchon fut trempé dans la bassine et cette fois serré sur la bouche encore plus sévèrement, couvrant bien les lèvres. Et pour le plaisir je pris un troisième torchon que je mouillai davantage pour le serrer ensuite juste sous le nez afin qu'elle puisse apprécier cette odeur d'urine forte et piquante.
    - "Tu vois Marie-Souillon ainsi tu ne pourras plus baver tu vas devenir une petite fille propre, j'espère que tu es contente." 
    N'attendant aucune réponse je pris un autre torchon plus fin, plié en quatre, le trempai aussi dans la cuvette d'urine et le plaquait bien sur les yeux pour en faire un bandeau bien serré sur la nuque.
     
    - "Tu ne vois plus rien donc tu es encore plus à ma disposition. Tu dépends de moi, tu ne sais plus ce qui peut t'arriver, ne t'inquiètes pas tu es entre de bonnes mains pour faire une splendide saucissonnée." 
     
     
     
    Je pris à nouveau un torchon cette fois épais et solide, et je le mouillai aussi. Bien sûr Marie-Souillon adore la pisse alors je lui fait une gâterie en lui entorchonnant ainsi le visage. Je pliai le torchon en triangle et le pressai fortement sur son visage, pour bien couvrir le front, les yeux, le nez, la bouche, le menton et ainsi enveloppée je le serrai derrière la tête. Marie-Souillon commença à s'agiter, elle craignit d'étouffer, mais cela ne peut arriver avec moi. Je lui dis:
    - "Calme-toi tu vas apprécier la situation, tu vas devenir plus soumise et ce sera agréable. Tu sais, ce que tu supportes, je l'ai connu avant toi et c'est ainsi qu'on progresse dans l'obéissance. Et un bandeau sur les yeux laisse toujours un peu de lumière aux ailes du nez, mais ainsi emmaillotée tu ne peux rien voir, je sais de quoi je parle." 
    Pour finir je pris un grand torchon toujours bien trempé dans la cuvette et lui mis autour du visage, noué sous le menton comme une paysanne. Bien serré par un triple nœud, ainsi la mâchoire est bloquée, elle ne peut plus gémir ou émettre un son. La seule chose c'est les vibrations des cordes vocales mais cela s'entend à peine, il faut être auprès de la personne bâillonnée.
    Je vérifiai son état: elle était dans une situation intéressante, il n'était pas nécessaire d'en ajouter par un attouchement idoine.
    Sa respiration devint plus calme alors je lui dit des paroles apaisantes et, surtout, que c'était pour son bien et pour satisfaire aux ordres de la patronne.
    Je sentais bien qu'elle était humiliée et ne savait pas comment se comporter puisqu'elle était totalement dépendante de mon bon plaisir. Et moi j'étais ravie et cela se voyait aussi sur mon tablier blanc.
    - M'entends-tu ma chérie? 
    Elle remua la tête pour dire oui.
    - "Parfait, alors continuons...."
    Avant de continuer la punition de Marie-Souillon, je décidais de changer de tenue: blouse blanche aux manches longues boutonnées, col officier, une blouse boutonnée dans le dos sur toute sa longueur. Par-dessus, un tablier blanc d'infirmière, avec une grande bavette ronde, des bretelles croisées dans le dos et boutonnées à la taille sur la jupe du tablier enveloppant, celui-ci couvrant les fesses tout en laissant un espace pour montrer le boutonnage dos, ainsi on peut vérifier si tout est bien boutonné et fermé. Sur la tête, une coiffe blanche d'hôpital cachant les cheveux et couvrant légèrement les oreilles, qui se noue sur la nuque et, sur le visage, un masque chirurgical blanc noué sur la nuque avec les cordons du bas et du haut. Pour finir, des bas blancs épais et des chaussures blanches plates à semelles de caoutchouc.
     
    Dans cette tenue de Ginette l'infirmière, je suis prête à vous conter la suite de ses souvenirs avec Marie-Souillon.
          
    Bien sûr je pris des photos de toi, Marie-Souillon, ainsi mise en valeur, et je sentais que tu commençais à prendre conscience que tu n'avais plus de liberté et que tu dépendais de la volonté d'une autre personne. Mais  cette sensation n'était pas assez forte pour toi. Alors je te dis:
     
    - "Marie-Souillon tu vas comprendre ta condition de soumise. Je vois que tu essayes de bouger tes mains: cela va s'arrêter."
     
    Je pris un mouchoir en coton fin et solide, je le pliais en triangle puis en deux pour obtenir une bande de quelques centimètres de large. Je glissai le mouchoir entre tes doigts en faisant des S puis je t'obligeai à plier le pouce et à le mettre à l'intérieur de ta paume, les autres doigts couvrant ton pouce. Je passai le mouchoir sur le dos de la main puis croisai les deux bouts qui repassaient sur tes doigts et, les pointes du mouchoir revenues sur le dos de la main, je serrai fort et je fis deux nœuds bien serrés. Déjà tu n'avais plus de main mais un ensemble enveloppé de tissus.  Pour parfaire l'enfermement je pris un autre mouchoir plié en triangle et j'emballai le petit paquet dans ce grand mouchoir pour bien montrer que tu n'avais plus de main mais un moignon inutile. Je fis un joli paquet dans ce mouchoir à carreaux comme pour envelopper un paquet de paysanne d'antan et nouai solidement les deux pans au dessus de tes poignets. Je vérifiai si tu pouvais écarter les doigts... Non, impossible. Contente de mon ouvrage, je procédai de manière identique à l'autre main. Et pour achever l'immobilisation je pris un petit torchon et enveloppai les deux moignons  dans ce torchon en deux tours. Ce qui devait être deux mains ne fut plus qu'une boule de torchons de cuisine. Et par sécurité, prenant un torchon plus grand j'enveloppai cette boule de tissus avec fermeté et nouai le torchon au barreau du dossier de la chaise. Ainsi tu ne pouvais même plus bouger les poignets solidement arrimés  à la chaise.
     
    Je fis des photos détaillées de mes œuvres. Je vis également que tu prenais toujours ton plaisir et que ton tablier ne séchait pas. Je ne pris pas le risque de vérifier ton état; cela aurait été dommage...
     
    Enfin je pris les grands torchons et, pour commencer, un très grand plié en triangle puis en deux, passé autour de la taille, et je serrai très fort contre la chaise et le  nouait dans le dos. Ainsi arrimée tu ne pouvais bouger, la taille comprimée au dossier de la chaise. Puis un deuxième torchon passant sous la poitrine et autour des bras bien serrés contre la chaise, noué aussi dans le dos. Je pouvais faire deux ou trois nœuds bien serrés et si je trouvai le torchonnage un peu lâche, je resserrai solidement.
    Et enfin je terminai le buste par un grand torchon seulement plié en triangle faisant comme un grand bavoir à carreaux de vieille paysanne sénile. Il partait des épaules et descendait un peu plus bas que la poitrine, mais surtout les bras et les épaules étaient totalement immobilisés.
    Comme les torchons avaient sciemment été choisis dépareillés, le mélange de couleurs et de carreaux faisait un tableau kitch fort ridicule par ces couleurs contrastées. Mais c'était bien en harmonie pour une bonne, une fille de cuisine.
     
    Une fois le buste stabilisé, tu faisais encore plus corps avec la chaise.
    Je pris d'autres grands torchons pour bien fixer le haut des cuisses, en faisant bien attention à laisser le tablier visible: le témoin de la punition doit être vérifiable a tout moment...
    Ensuite un autre torchon juste au-dessus des genoux et celui-là bien tendu, trés fort serré, c'est un endroit où une personne ligotée a de la force. Alors je te coupais immédiatement toute velléité par un serrage sévère et des nœuds encore plus serrés. Ensuite un torchon fut noué sur le haut de tes mollets aux barreaux de la chaise. Puis je nouai chaque jambe au pied de la chaise avec des torchons souples et solides.
    Tu fus enveloppée comme si tu portais des bandes molletières.
    Et je terminai par un torchon épais et solide autour de chaque cheville bien serrée a chaque pied de la chaise, car là aussi une personne attachée a de la force. L'autre jambe et l'autre cheville subirent le même traitement au torchon.
     
    Cette fois tu étais totalement immobilisée, entorchonnée comme sur certaines vidéos, même pas une bonniche, une poupée à forme humaine, faite de torchons n'existant que par la forme des torchons, mettant en valeur les couleurs criardes et les motifs ordinaires faits pour les filles de cuisine.
     
    Tu fus enfin prête pour la vidéo détaillée de ton emballage au torchon, ta punition méritée...
    Ainsi tu fus filmée et à ce moment j'entendis un soupir sous ton bâillonnage et je vis ton corps se raidir.
    Marie-Souillon tu venais d'atteindre le pourquoi de ta punition, tu venais de souiller toute seule ton tablier tant tu étais dans l'extase de ta punition.
     
    Eh bien tant pis pour toi! Je te laissai ainsi méditer un moment sur ton sort. Mais il fallait poursuivre la punition...
     
    Quand je revins tu étais calme, normale, incapable de  bouger, mais la punition devait se poursuivre pour ta prise de conscience de soumise.
     
    Alors je soulevai le torchon qui te couvrait le visage. Je pris les deux pointes que je passai par-dessus la tête et ainsi doublai la pointe paysanne nouée sous ton menton. Je tirai légèrement le bandeau sur tes yeux, que je montai au-dessus de tes sourcils. La lumière te fit cligner des yeux et je te dis:
    - "Regarde-toi,  comme tu es belle!"
    Et aussitôt tu pleuras de honte.
    - "Tu vois ce que c'est de désobéir?"
    Je te laissai jouir du spectacle honteux d'une bonniche entorchonnée:
    - "Mais profites-en car tu ne mérites pas de voir aussi bien!"
    Et je descendis sur ton visage le torchon que j'avais relevé; et ainsi tu ne pouvais te voir entorchonnée dans le miroir qu'à travers le tissu du torchon qui te couvrait le visage et les yeux.
     
    Constatant que tu étais à nouveau en situation intéressante je pris l'affaire à pleine main et en quelques mouvements rapides et efficaces tu souillas à nouveau ton tablier.
    Cette fois tu étais vidangée, donc tu pouvais te voir garrotée et méditer sur cette situation et cette punition bien méritée.
     
    Je te laissais un bon moment ainsi et quand je revins je te fis une surprise qui te fut désagréable.
    - "Tu vois, tu as refusé de mettre le tablier rayé pour quelques minutes de vaisselle, et bien tu vas le porter le temps que je voudrai."
     
    Et je développai sur toi le grand tablier rayé que je mis sur tes hanches, nouai les cordons à la taille et la bavette sur ta poitrine, les bretelles dans le dos.
    Cela valait une photo, le comble du ridicule, les rayures verticales avec les carreaux dans tous les sens.
    - "Tu vois comme tu as l'air gourde!"
    Et je sentais que tu te sentais encore plus dépendante de ma volonté.
     
    - "Tu vois ma fille, ainsi tu es plus propre avec ce tablier qu'avec ton tablier blanc trempé souillé. MARIE-SOUILLON  tu es une MARIE-SALOPE, une MARIE-COCHONNE!  OH LA GROSSE COCHONNE!  Honte à toi. J'espère que tu as compris que l'obéissance ici est absolue."
     
    Et je t'entendis pleurer, et tes larmes commençaient à tremper le torchon qui couvrait ton visage, car les torchons bâillons en dessous, saturés de salive et de larmes, ne pouvaient plus absorber tout ce flot de pénitence.
     
    Tu fus ainsi l'heureuse bénéficiaire d'une bonne méditation sur ta tenue et tes devoirs de servante. 
     
    Enfin la punition fut levée.
    Je te délivrai lentement en te rappelant que ton travail consisterait à rouler les cordes, les ranger, de laver, repasser, ranger les torchons, de ranger les baillons, etc; pour une prochaine séance...
    Enfin, aidée par une aide-soignante portant le même uniforme que moi je te fis prendre une douche. Elle t'essuya et cette fois, aucune réaction de ton intimité. Enfin tu admettais que tu étais là pour servir dans l'obéissance totale.
     
    Nous te couchâmes sur ton lit mais, par précaution, tes poignets et tes chevilles furent attachés aux montants du lit avec des torchons serrés et aux nœuds humidifiés pour ne pas les dénouer. On te couvrit d'un drap et on éteignit la lumière pour que tu prennes des forces, car le travail non fait ce jour sera à prendre demain.... En plus du travail prévu!
    - "Bonne nuit ma chérie, cela ira mieux demain...."
     
    Tu ne portai pas de bâillon pour dormir car les chambres des bonnes n'ont pas de porte et vous êtes en permanence à disposition pour tout service à la personne par celui ou celle qui entre dans votre chambre...
     
    Demain est un autre jour.
     
    Fin
    « Elle en rit d'avanceLa branleuse attentive »
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  • Commentaires

    1
    soubrette Stéphanie
    Lundi 25 Mars 2019 à 22:36

    Très belle histoire de domination.

    Une maîtresse es-humiliation...

    Bravo

    2
    Mardi 26 Mars 2019 à 17:58

    Encouragez Ginette à écrire encore!

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    3
    blous62
    Mercredi 27 Mars 2019 à 22:08

    joli texte . Comme je les aime . Comme pour moi il est nécessaire d’être affublé , ridiculisé , enylonné, emblousé  et complètement boutonné en permanence.    les contraintes , les entraves et l'enfermement ne sont qu'un complément de notre condition ; il faut s'y résoudre et merveilleusement l'accepter.  Je sais , moi , quand je descend au cagibi au sous sol, que je vais   passer un long moment attaché  sur la chaise scellée au sol et que je vais finir par apprécier mon inconfort . Adorer le bruissement du nylon de ma blouse et le cliquetis de mes entraves. admirer le reflet de mon image de bonniche impuissante , entravée ,emblousée et transpirante dans une vieille blouse de nylon avec impossibilité d’ouvrir un seul bouton. Col Claudine et poignets obligatoirement fermés, voir cousus. .      



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