• En famille pendant le confinement Épisode 10 Caca

    Un texte de votre servante, Marie-Souillon. J’ai attendu que le ciel redevienne bleu pour le publier.

     

    Épisode 10 Caca

     

     

    Quatrième jour, matin, suite

     

    Mon ventre me faisait un peu mal, des sortes de crampes légères, je pensais que j’avais mal parce que ma tante s’était assise sur moi pour que je lui serve de godemichet vivant. Mais les crampes persistaient, j’essayais de me détendre, mais ça ne servait à rien. J’avais des spasmes, mon ventre gargouillait bruyamment, je commençais à avoir mal. Je me dis que j’avais besoin d’aller aux toilettes, que, depuis des jours que j’étais constipé, c’était normal. De toute façon, ma grand-mère n’aurait rien fait qui me rende malade, j’en étais certain.

    - “Mamie, s’il-te-plait, j’ai envie d’aller aux toilettes…“

    Elle arriva avec un grand sourire.

    - “C’est normal, bébé cochon, je t’ai donné un laxatif, sinon tu allais rester bouché toute ta vie. Il commence à faire son effet. Tu as mal au ventre?“

    - “Oui Mamie, j’ai mal au ventre, comme des crampes…“

    - “Eh bien c’est normal, je vais m’en occuper…“

    Elle baissa le drap de caoutchouc et, doucement, elle massa mon ventre, en rond, lentement. Ça apaisait mes crampes, mais, en même temps, ça me donnait de plus en plus envie.

    - “Voilà, ça va passer, mais il faut que tu te laisses aller…“

    - “Mais Mamie, j’ai envie…“

    - “Bébé cochon, tu es langé, tu ne risques rien…“

    J’ai compris pourquoi mes couches étaient si épaisses. Elles n’avaient pas assez ri de me voir, hier, me retenir de pisser pour me laisser aller devant elles, il fallait maintenant que je me chie dessus…

     

    J’en étais là de mes réflexions quand je sentis que je me vidais, que mon anus, vivant sa propre vie, s’ouvrait et remplissait ma couche, enfin, mes langes. Une chaleur gluante envahit mon bas-ventre et mes fesses, et mes crampes cessèrent. Ma grand-mère, voyant le résultat, me sourit, remonta le drap et me laissa.

    Je restais ainsi un moment, soulagé et honteux. Puis, après un quart d’heure ou un peu plus, les crampes revinrent, mais je ne demandais rien. Je n’essayais pas de retenir quoi que ce soit, et je me vidais encore. J’avais peur que le tissu, sans doute de vieux torchons, n’absorbe pas tout, et que j’aie des fuites, mais j’avais entrevu la culotte de caoutchouc rose, qui avait l’air bien étanche. En une heure et quelques, je me vidais à quatre reprises, au chaud sous le drap de caoutchouc, et si la culotte ne laissait pas passer de matières, elle laissait passer une odeur de merde…

    Ma grand-mère et ma tante vaquaient à leurs occupations, en faisant des réflexions sur moi, leur bébé cochon, leur bébé merdeux. Elles ouvrirent les fenêtres, faisant courant d’air entre la façade et le jardin, faisant semblant de suffoquer, juste pour m’humilier. Elles se chicanaient, aussi, sur l’étanchéité de la culotte de caoutchouc. Ma tante, qui jusque-là était en blouse, alla mettre sa tenue de “Sœur Sévices“, sa grande robe bleue serrée à la taille par la cordelette blanche, son grand voile assorti, le petit pendentif en forme de strap, ma grand-mère restant dans sa blouse, le torchon noué sur les cheveux.

     

    Elles passèrent chacune leur grand tablier de caoutchouc, me détachèrent, et je dus me lever, vêtu de ma seule culotte de lourd caoutchouc, rose qui plus est, et de mon bonnet (je n’ose pas dire que le harnais de contention est un vêtement), et marcher, aller et venir dans la cuisine, pieds nus, pour qu’elles puissent constater que non, même en marchant, la culotte pleine de merde ne fuyait pas.

    - “Bon“, dit ma grand-mère, “puisque ça ne fuit pas, il peut rester comme ça.“

    - “On va quand même tester encore un peu“, dit ma tante.

    Elle s’assit, me prit sur ses genoux, et me fit sauter comme un gamin, assis sur ses deux genoux, puis à califourchon sur un seul. A chaque petit tressautement, je sentais la merde s’étaler encore plus sur ma quéquette et mes couillettes. Puis je dus me relever, écarter les jambes, et, de sa main ferme, elle me tapota devant, par en-dessous, derrière, à travers la culotte.

    - “Maman, si tu lui tapais un peu le cul, pour voir?“

    Ma grand-mère prit une planche à découper en bois, lourde et épaisse. Je dus me coller contre ma tante, l’enlacer, ce n’était pas désagréable de sentir sa poitrine lourde à travers le tablier de caoutchouc, et je me sentis bander. Elle m’enlaça aussi, j’avais la tête sur son épaule. Ma grand-mère frappa mon cul avec la planche à découper, mais ça ne faisant pas vraiment mal, les coups étaient amortis par l’épaisseur du caoutchouc et des torchons à l’intérieur. Mais chaque coup faisait un bruit mou, et le merde dans ma culotte, aplatie par le battoir, passait de mes fesses vers l’avant, puis refluait ensuite.

    - “Parfait“, dit ma grand-mère, “nous avons fait un bon investissement, rien de sort de la culotte.“

    C’était une culotte particulière, on pouvait la mettre sans l’enfiler, avec de chaque côté une fermeture éclair étanche et des pressions par-dessus, un bourrelet d’étanchéité sur la cuisse et sur le ventre. Le caoutchouc rose était orné de quelques volants, elle était franchement ridicule, et me faisait un cul énorme, écartant mes cuisses un peu comme l’écarteur de jambes dont j’avais goûté la veille.

    Elles enlevèrent leurs tabliers de caoutchouc. Ma tante m’enleva le harnais de bébé adulte, et ma grand-mère me fit enfiler, à la place, une sorte de robe-tablier vichy rose, avec des manches courtes et bouffantes, longue aux chevilles, avec un volant en bas et aux manches, un col Claudine, le boutonnage dans le dos. La robe était taillée très ample, mais elle moulait quand même mon derrière épaissi par les langes. Elle me boutonna et me conduisit devant le miroir, après m’avoir glissé aux pieds des mules vichy rose aussi.

    J’avais tout à fait l’allure d’une petite fille, enfin, pas tout à fait, disons d’une fille, parce que je constatais que, devant, la robe contenait des faux seins, en mousse sans doute, je n’en sentais pas le poids, mais qui me donnaient une allure féminine.

    - “Mets ton tablier, tu vas m’aider à la cuisine“ dit ma grand-mère.

    Je dus mettre le tablier de plastique jaune, et l’aider à préparer le repas, pendant que ma tante était ailleurs je ne sais où, puis je déjeunai avec elles, comme la veille au soir, mais cette fois en ayant le droit de manger seul. Je fis la vaisselle, bien volontiers, pour participer aux travaux de la maison.

    Tout ceci avec mes langes merdeux qui commençaient à sécher dans la culotte, et à coller à ma peau. Je sentais le ridicule de ma situation, infantilisé, féminisé, domestiqué.

     

    Une fois leur café bu, mes bourrelles remirent leurs tabliers de caoutchouc, et je compris que les choses allaient se gâter.

    - “Bon, il est temps de voir l’étendue des dégâts, non?“ dit ma tante.

    - “Depuis le temps qu’il était bouché, il a dû faire un drôle de caca, comment faire pour le démerder sans en mettre partout?“

    - “On va le suspendre, comme hier…“

    Elles m’enlevèrent mon tablier et ma jolie robe, mes mules, mon bonnet, en me nouant un torchon sur les cheveux à la place, et elles me remirent le harnais. Comme hier, elles l’accrochèrent au palan, et m’attachèrent les mains au-dessus de la tête avec un torchon. Mais, avant de me soulever, ma tante fixa à mes chevilles une barre d’écartement d’une cinquantaine de centimètres, qui avait un anneau en son centre. Le deuxième palan, qui n’avait pas servi hier, servi à soulever la barre d’écartement, et je me trouvais pendu par le torse et par les jambes, comme une pièce de viande. Ma grand-mère alla chercher la grande bassine en zinc d’hier et deux cuvettes de plastique, une rouge et une jaune. Une fois la grande bassine bien centrée sous moi, elles me redescendirent à quelques dizaines de centimètres au-dessus, et s’agenouillèrent de chaque côté de moi. Elles défirent les fixations de ma culotte de caoutchouc et, d’un seul geste, l’enlevèrent pour la mettre dans une cuvette. L’odeur de merde envahit la pièce, les torchons qui garnissaient la culotte tombèrent dans la grande bassine, puant le caca dont ils étaient imbibés.

    J’étais encore couvert de caca des cuisses au ventre, partout, puisqu’elles avaient tout fait pour étaler ce que les langes n’avaient pas absorbé.

    Ma grand-mère, sans être dégoutée, chercha dans la grande bassine s’il y avait encore des torchons à peu près propres, elle n’en trouva qu’un, et mit les autres dans la cuvette de plastique rouge. Ma tante alla remplir un broc d’eau chaude, et elle la fit couler doucement sur moi, pendant que ma grand-mère m’essuyait avec le torchon qui restait. L’eau coulait dans la bassine de zinc. Ma grand-mère frottait délicatement, tout mon corps était facile d’accès, puisque j’étais pendu, jambes écartées. Il fallut un deuxième, puis un troisième broc d’eau chaude pour me nettoyer à peu près complètement. Elle pendit le torchon mouillé et un peu merdeux à la ceinture de son tablier de caoutchouc.

     

    J’étais à peu près propre, mais je n’en avais pas fini avec elles pour autant. Ma tante détacha de la chaine la barre qui écartait mes chevilles, pendant que ma grand-mère me soutenait, elle remonta le harnais sur l’autre palan, et je me retrouvais pendu au-dessus de la bassine de zinc, jambes écartées, bras toujours attachés au-dessus de la tête.

    - “Je vais te sécher, maintenant“, dit ma tante.

    Pendant que ma grand-mère faisait glisser plus loin la bassine, elle était allée chercher un strap, lanière de caoutchouc longue et large, qu’elle tenait par sa poignée de caoutchouc dur. Il devait faire une soixantaine de centimètres de longueur, six ou sept de large, il était terrifiant. Tout aussi terrifiante était Sœur Sévices, robe bleu sombre, long voile assorti, grand tablier de caoutchouc blanc.

    Elle leva le bras et m’asséna un premier coup sur les fesses. Le coup était si fort qu’il me poussa en avant, balancé au bout de la suspension. Heureusement, ça amortissait le choc. Elle me laissa me balancer une ou deux fois, et, à peine avais-je soufflé, je reçu le deuxième coup. La sensation était tout aussi douloureuse que le martinet, mais différente. Ce n’était pas la morsure de plusieurs petites lanières, mais le choc cuisant d’un large ruban. A chaque coup, je laissais échapper un cri de douleur, je me balançais sous le choc, ce qui me donnait mal au cœur, et, au retour, un nouveau coup me frappait. Ma tante ne visait que mes fesses, contrairement au martinet d’hier, et je ne sais pas si c’était pire ou pas. Je suppliais ma tante de s’arrêter, mais elle me donna une bonne vingtaine de coup, avec un air appliqué et un sourire pervers.

    - “Nous reprendrons la fessée après“, dit ma grand-mère, “il faut qu’il lave ses langes, maintenant.“

     

    Ma tante me détacha la barre d’écartement des chevilles, me descendit jusqu’au sol, détacha mes mains de la suspension, mais en laissant les chaines accrochées au harnais, sur les épaules. Ma grand-mère me tendit le tablier de plastique jaune que je dus, une fois encore, enfiler à même la peau, par-dessus le harnais, les bretelles permettant de laisser les chaines en place.

    - “A genoux, cochon, tu vas nettoyer les langes. Mais avant, je vais te mettre le nez dans ton caca.“

    Elle prit le torchon avec lequel elle m’avait nettoyé, qui était toujours pendu à sa ceinture, vint devant moi, et me le mit sur le visage. Il était lourd et mouillé, et il sentait la merde, ma merde. Elle le plaqua sur ma bouche et mon nez, en triangle, et le serra sur ma nuque, sans pour autant que ce soit un bâillon.

    Je m’agenouillais et, du pied, elle poussa vers moi la cuvette de plastique rouge où étaient les torchons sales, la mettant contre la bassine de zinc.

    - “Tu prends chaque torchon, tu le frottes bien dans l’eau de la grande bassine, et tu le mets dans la cuvette jaune à côté.“

    Je pris le premier torchon plein de merde dans la cuvette rouge, à mains nues, bien sûr, gluant de mon caca. Je le trempai dans la bassine de zinc, pleine d’eau tiède, mais sale, et je le frottais aussi bien que je pouvais le faire, puis je le posais dans la cuvette jaune. Je fis pareil avec un autre torchon puis un troisième, au fur et à mesure, l’eau dans la bassine de zinc devenait de plus en plus sale. Il y avait sept torchons, que je mis, à peine nettoyés, dans la cuvette jaune.

    - “Lave-les encore, nettoie la bassine et la cuvette“, dit ma grand-mère.

    Je me relevais avec la cuvette pour aller vers l’évier, mais j’étais retenu par la chaine du harnais. Ma tante, vicieusement, me laissa juste assez de mou pour me rapprocher de l’évier et atteindre le robinet en tendant les bras. Je rinçai la cuvette rouge, puis je revins prendre la bassine de zinc, bien plus lourde, et ma tante du m’aider en prenant une poignée, et ma grand-mère m’aider avec l’autre. A trois, nous la vidèrent dans l’évier, je fis couler de l’eau chaude pour la rincer.

    - “Mamie, ce ne serait pas mieux si je lavais les torchons dans l’évier?“ dis-je, à travers le torchon.

    - “Non seulement tu es cochon, mais en plus tu es bête, comment pourrais-tu être à genoux si tu les lavais dans l’évier? Retourne par terre avec la cuvette.“

    Je retournais me mettre à genoux, et elles me rapportèrent la grande bassine pleine, mais d’eau froide, et c’est à l’eau froide que je dus faire un deuxième lavage. Cette fois, elles me donnèrent une planche à laver en bois et une brosse de chiendent,  pour que je puisse frotter les torchons. Le plus gros du caca était parti, mais il resterait toujours des traces.

    Je travaillais à genoux sur le carrelage, devant elles qui riaient de me voir. J’avais mal aux genoux, mais je frottais bien, je devais être ridicule, nu sous mon tablier de plastique jaune, avec seulement mon torchon noué sur les cheveux et mon cul à l’air.

     

    Quand les torchons, à peu près propres, furent tous dans la cuvette, mes Tourmenteuses m’autorisèrent à me relever et à les ramener à l’évier. C’est dans l’évier, mais toujours bridé par la chaine et le harnais, que je dus laver, à l’eau chaude cette fois, la lourde culotte de caoutchouc. Puis je dus étendre le tout sur un étendoir à roulettes dans un coin de la cuisine, la culotte d’un côté, les torchons à carreaux, blancs et rouges, maculés de traces marron, de l’autre côté.

    - “Voilà, cochon“, dit ma grand-mère, “c’est simple, tu te salis, tu es puni, tu nettoies, c’est comme ça pour les cochonnes, je dis cochonne parce que tu fais une servante bien amusante.“

     

    à suivre…

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  • Commentaires

    1
    ginette
    Jeudi 21 Octobre 2021 à 08:01

    début de la servitude  que ce bébé aprenne les rudiements de la domesticité docile tout en sachant que  ses deux severes tante et grandmere restent deux educatrices  parfaites pour son bien et qui apprecie  qu on soccupe de lui par le dressage la fessée le bondage etc qu il pprenne le bonheur dans la soumission grace a elles

    2
    Jeudi 21 Octobre 2021 à 22:21
    fifine

    Coucou,

    Après la fessée et le nettoyage, un bon lavement de rinçage s'impose

    bises, Fifine

    3
    orchi+
    Samedi 8 Janvier 2022 à 11:27

    peu t être fallu t il une ou deux  autres petite opérations par des infirmières familiale  en caoutchoucs, drap caoutchoutés obligatoires pour récolté le liquide sangland et lui remettre une culotte de caoutchouc rose appret l'opération et remettre un drap caoutchouté propre ....ainsi il serait moins cochon....

      • Samedi 8 Janvier 2022 à 12:15

        J'ai horreur de tout ce qui est sanglant…



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