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Deux fesseuses en cuisine
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Commentaires
2PeterPanSamedi 16 Mars à 09:35Bonjour Paul,
Avant l'ouverture d'un cabinet d'infirmières dans notre quartier (fin années 70), c'était une religieuse qui venait me faire mes piqouzes d'anibio (qui me laissaient les fesses en passoire !) mais elle piquait mal ! Bonjour les bleus. Pour une mauvaise bronchite, j'avais dégusté : 40 injections en 15 jours !! Ma mère me mettait des gants d'eau tiède pour diffuser le produit qui me faisaient comme une bosse sur la fesse. Merciiii Ma-maaaan !
Peter.
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Samedi 16 Mars à 16:58
Bonjour Peter,
Moi, j'ai été paralysé d'une jambe, une journée, suite à une piqûre de ces "bonnes sœurs", il faut dire pour leur défense, qu'il fallait déjà qu'elles m'attrapent, ensuite qu'elles me tiennent pour que je ne me redébine pas, donc forcément, je ne leur facilitais pas la tâche à ces saintes femmes quand je ne me pointais pas avec un orvet à chaque poignet pour les effrayer, comme je faisais avec la kiné.
Bon après-midi.
Paul.
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3PeterPanSamedi 16 Mars à 17:19Bonsoir Paul,
Oh, mais c'est très vilain de faire peur à ces saintes femmes !! Ah le bon petit diable que vous avait du être !!! Mais je vous comprend et loin de moi l'intention de vous en blâmer. A cette époque, le geste médical comptait plus que le réconfort. Je comprend votre aversion. Il m'est arrivé la même chose avec une injection de Nebcine en intra-musculaire pour une bronchite encore une fois et cela m'avait provoqué une sorte de sciatique au point de demander à mon kiné de me faire un massage, Mais Dieu merci, au bout d'une journée, la douleur avait disparu. La maladie nous pique notre insouciance de la jeunesse. Très tôt, on est confronté à la douleur et austres joyeusetés... Même si c'est salvateur. Entre les antibio et l'insuline, je ressemble à un pommeau de douche. Hi hi hi !!! Le rire met de la distance avec les choses. Mais bon, fermons la parenthèse.
Peter.
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Le blog de Marie-Souillon, un site sur la podiaphilie et autres bizarreries pas méchantes
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Bonsoir amis des infirmières du soir,
Haaaa, les infirmières, ces merveilleux anges de guérison, toutes de dévouement (non récompensé !) drapées dans leurs uniformes... Monde féminin professionnel que je fréquente depuis ma plus tendre enfance. Des blondes, des brunes, des sveltes, des généreuses , des jeunes, des moins jeunes... toujours prévenantes et attendries par mon sort. Une en particulier, que me rappelle la jeune femme blonde sur ces photos : madame Geneviève, une forte dame, blonde bouclée, d'âge mûr, très souvent habillée "à l'anglaise" et qui a nourri mes fantasmes de fessées d'adolescent... surtout qu'elle venait me faire mes douloureuses piqures d'antibiotiques et pour lesquelles je devais me préparer non sans une certaine gêne, étant filiforme... Le genre de souvenir ému, bien des années après. Merci à ces dames. Sur ces photos, la brune à lunettes (mon genre) est Miss Woods. Je m'imagine bien faisant des caprices pour les soins et recevoir la fessée sur leurs genoux... Ah si la fessée était remboursée... je renouvellerais volontiers l'ordonnance. Hummm... Tante Gladys en infirmière...
Peter.
Bonsoir Peter,
Moi, c'étaient les bonnes sœurs, d'où mon fétichisme pour leurs tenues sans doute.
Bonne soirée.
Paul.