• De la mère à l'épouse

    Un texte trouvé sur un blog, https://dekart.bdsmlr.com/ traduit automatiquement, et que j'ai un peu rectifié.


    Même avant notre mariage, j'ai été soumis strictement par ma femme. Et, depuis que nous sommes mariés, je suis traité par elle avec encore plus de rigueur.

    La même chose m'est arrivée, d'ailleurs, quand j'étais enfant, parce que ma mère me punissait régulièrement, en me frappant, jusqu'à ce que je quitte la maison pour me marier. Elle utilisait la cuillère en bois, que je craignais tant… Et, comme ma femme aujourd'hui, elle utilisait aussi le martinet, encore plus souvent que la cuillère en bois. Aujourd'hui encore j'ai encore la plus grande terreur devant le martinet, que je reçois encore très douloureusement sur mes fesses, mes cuisses et mes mollets! Le martinet est idéalement adaptée pour me corriger fermement les fesses, afin d'obtenir mon obéissance! Parce que, bien entendu, je dois obéissance à ma femme comme je la devais à ma mère.

    Ma mère me fessait de trois manières, et qui sont encore utilisées aujourd'hui par ma femme: une main ferme, une cuillère en bois et un martinet. Maman avait 2 à 3 cuillères en bois différentes pour mon éducation, et plusieurs martinets, qu'elle pendait, bien en vue, dans la cuisine, à côté des torchons. Ces instruments étaient destinés exclusivement à mes fesses et surtout à mes fesses nues! En plus de la flagellation douloureuse, je devais toujours porter les sous-vêtements usés et sales de ma sœur aînée, à mon grand embarras.                    

    Même aujourd'hui, parce que ma femme me l'ordonne, je dois porter des sous-vêtements de fille comme à l'époque de mon enfance. Ce n'est que si j'ai été très sage pendant plusieurs jours et que ma femme est de bonne humeur que je peux porter des sous-vêtements d'homme. J'ai peu de sous-vêtements d'homme, d'ailleurs… Ça ne m'a pas changé du passé.

    A l'époque, ma mère m'achetait des culottes roses avec des jambières longues, descendant sur les cuisses, des culottes les plus ridicules possibles. Je portais toujours une deuxième culotte sous la rose, une des vieilles culottes de ma sœur. En plus, maman m'avait tricoté une culotte en laine qui gratte, que je devais souvent enfiler sur mes fesses fraîchement tannées, pour une punition supplémentaire pouvant durer jusqu'à trois jours. Et par dessus la culotte de laine, je portais une culotte à rose, deux culottes, donc. C'était et c'est toujours particulièrement pénible l'été, non seulement parce que les deux culottes épaisses vous gardent très au chaud et que les culottes en laine démangent inconfortablement, mais parce que j'allais à l'école en short, à l'époque. La culotte était toujours trop grande pour moi et le bas de la culotte, inévitablement, ne faisait que sortir du bas de mon short. Bien sûr, j'étais constamment taquiné par mes camarades de classe et, surtout, par les filles de ma classe, et j'en avais honte en conséquence.                                                                       

    Ma femme a repris ces méthodes strictes de punition dans notre mariage, sur les conseils de ma mère. Je dois encore porter ces sous-vêtements qui me sont si honteux, et, dans la maison et dans le jardin, sous une blouse de femme, qui est la tenue que ma femme me fait porter pour m'humilier et me rabaisser. La où ma mère ne m'humiliait quand me donnant une allure plus jeune, ma femme, elle, m'humilie en me féminisant, en me traitant comme une servante.                                                                     

    Avec ma femme, comme par le passé avec ma mère, le lieu de ma punition est toujours la cuisine. Là, ma femme s'assied sur une chaise de cuisine et ensuite je dois m'allonger sur ses genoux, dans son tablier, comme un petit enfant. Dans son tablier, pour deux raisons. La première, c'est que, comme ma mère portait toujours un tablier, ma femme en met un, pour donner cette image maternelle. La seconde, c'est qu'elle se protège ainsi d'éventuels dégâts humides pouvant survenir pendant la fessée sur les genoux. Mais c'est penché sur la table de la cuisine que je dois me mettre pour être puni avec au martinet. Le grand fauteuil de notre salon, avec sont dossier bien rembourré, est pratique pour s'allonger dessus car mes fesses sont inévitablement bien mises en valeur. C'est particulièrement douloureux pour moi quand je reçois le martinet, agenouillé sur le fauteuil, cul bombé. Ah, bien sûr, ma femme protège le fauteuil avec un torchon, pour ne pas le salir.

    Contrairement à aujourd'hui, chez ma maman, j'étais puni de manière irrégulière plutôt que régulièrement (c'est-à-dire tous les week-ends ou presque, aujourd'hui). Il m'est arrivé, bien que très rarement, que ma mère ne me batte pas pendant toute une semaine. Mais si j'étais battu, alors c'est que je le méritais vraiment, et les fesses nues pour la punition, et violemment!
    C'était particulièrement embarrassant pour moi quand je devais me pencher sur la table de la cuisine, baisser mon short et mes deux culottes, et les coups de martinet tombaient sur mes fesses nues, tandis que ma sœur se tenait là avec un sourire malicieux! Elle regardait avec plaisir le martinet danser sur mes pauvres fesses meurtries, et mes hurlements et gémissements augmentaient à chaque coup! C'était extrêmement humiliant pour moi, ensuite, quand j'étais au piquet dans un coin, sanglotant, les fesses nues. Et en même temps je subissais les commentaires de maman tels que: 

    - Si tu ne veux pas entendre mes ordres, tu sentira mes coups!
    - Les vilains garçons comme toi doivent être punis avec la canne!
    - Encore une leçon que je te donne, tu aimes ça, non, les leçons de maman?
    - Tu n'as pas honte de faire le petit coq devant les filles et de crier trop fort pour faire le malin?
    - Je t'apprendrai à être obéissant et gentil à l'avenir, ou bien tu n'auras plus de peau sur les fesses!

    Après l'humiliante fessée, c'était le piquet debout dans le coin. Puis je devais dire "bonne nuit" à ma sœur et ma mère, et aller me coucher  même s'il était 5 heures de l'après-midi. Oh  je détestais ça, j'étais un garçon et que je devais mettre une chemise de nuit de fille par-dessus les sous-vêtements de fille, le tout étant récupéré de ma soeur… J'étais accompagné au lit par des commentaires:
    - Les petits garçons qui ont les fesses bien rouges de la fesser doivent aussi aller tôt dans leur chambre comme des petits enfants!
    - Alors maintenant, tu vas bien réfléchir, pour être gentil et bon avec moi à l'avenir, un gros dodo va te calmer!
    Et j'allais me coucher, les mains attachées à la tête du lit, pour être sûr que je ne bougerai pas.

    Telles étaient les punitions de ma mère…

    Encore aujourd'hui, ma femme me punit de la même manière. Cela commence toujours par un jeu très strict de questions-réponses alors qu'elle se tient, menaçante, devant moi, martinet à la main, portant le grand tablier à bavette qu'elle met toujours pour me punir. C'est un tablier à bretelles croisées, bien couvrant, qui ne lui sert qu'à me punir, qui est toujours pendu à côté des martinets et des cuillères en bois, et que, avant le début de la "séance", je dois aller lui chercher et l'aider à le mettre. Moi, je suis en sous-vêtements de fille, sous une blouse de fille aussi. Elle en a achetés, à ma taille, ridiculement féminines.

    Elle me punit comme ma mère, avec un rituel compliqué pour la raclée, elle me "cuisine" très doucement et m'amène à l'humiliation et à la soumission très progressivement. Les questions deviennent de plus en plus humiliantes pour moi, et elle devient de plus en plus dure et stricte avec moi. Bien sûr, pendant tout l'interrogatoire, je suis à genoux devant elle.

    Ses questions sont très perverses et je lui réponds toujours de façon très humble et très honteuse. D'abord, elle passe en revue toutes les choses qu'elle a à me reprocher, puis elle me réprimande et m'interroge méticuleusement sur chaque faute en détail, pourquoi je l'ai commise, comment, est-ce que je regrette, est-ce que je mérite d'être puni, et comment.
    - Petit homme, dis-moi quoi faire avec un garçon aussi vilain que tu es, et qu'est-ce que je dois faire de toi maintenant?
    - Gamin, dis-moi ce que je vais te faire maintenant?
    Et les questions sont de plus en plus pointues et plus fortes.

    - Tes fesses te démangent à nouveau, n'est-ce pas?
    - Alors qu'est-ce que je vais faire de toi dans un instant?

    Et elle m'oblige à lui répondre. Je lui réponds alors très timidement et doucement:
    - Je me fais fesser les fesses!
    - Tu vas me cogner les fesses durement!
    - Je vais être couché en travers de tes genoux pour être bien fessé!

    Si je ne lui répondais pas exactement comme elle voulait, alors elle me donnait une conférence encore plus détaillée sur les différents types de fessées et elle me punissait ensuite avec des coups supplémentaires. Dans la foulée, j'étais accompagné de commentaires:
    - Les petits garçons, qui se font fesser le cucul doivent se coucher tôt comme des petits enfants!
    - Alors maintenant, tu peux me dire tu vas être gentil avec moi!

    Ma mère me traitait toujours de cette manière à chaque fois, tout comme ma femme le fait encore aujourd'hui aussi, c'était et c'est toujours une cérémonie très longue, ce qui est très humiliant pour moi, en plus d'être douloureux. Et je dois dire que j'adore ça.

    Ma femme a complété, avec beaucoup de vice, l'éducation de ma maman. Par exemple, elle considère que, la nuit, l'homme qui a besoin d'éducation doit porter une chemise de nuit pour femme, et c'est donc ainsi que je dois dormir, dans une chemise de nuit en coton, vieillotte, et, bien sûr, nu dessous. Comme quand j'étais petit. Quand je dis qu'elle a plus de vice, c'est qu'elle m'a acheté, sur un site de fournitures sado-maso, des vêtements de punition en toile de jute, qui grattent énormément.

    Aux fessoirs utilisés par ma mère, ma femme a rajouté le tape-tapis. A part ça, elle a les mêmes pratiques. La cuillère en bois est utilisée pour une légère désobéissance de ma part, d'abord sur les culottes, puis sur mes fesses nues. La fessée est donnée d'abord sur les deux culottes, puis sur une seule, qu'elle baisse elle-même, et enfin sur mes fesses nues, après qu'elle ait baissé la deuxième culotte. Cette punition, je la reçoit, immédiatement, pour un manque d'obéissance aux ordres de ma femme, ou à la plus petite négligence générale de ma part.

    Pour tous mes autres fautes, comme un repassage maladroit du linge, un nettoyage mal exécuté, la désobéissance ou l'insoumission présumée volontaire, elle utilise le martinet. Je dois alors reconnaître ma faute, et demander humblement la punition méritée. C'est-à-dire que je dois aller chercher son tablier de fesseuse, lui tendre, l'aider à le passer, puis, ensuite, me mettre à genoux devant ma femme, ma gouvernante. Elle m'annonce le nombre de coups prévus. Ensuite, je dois apporter un tabouret et un grand oreiller protégé par un torchon, puis baisser mes culottes, relever ma blouse de femme, et m'allonger sur l'oreiller posé sur le tabouret. L'oreiller est là pour que mes fesses soient assez hautes pour la bastonnade, ce qui fait que la fessée devient beaucoup plus efficace.

    Je dois compter, à haute voix, chaque coup, et remercier ma femme pour chacun d'entre eux. Après le coup final, je dois, toujours blouse troussée et culotte baissée, aller réfléchir à mes fautes face au mur, dans le coin. Debout, cul nu, je me frotte les fesses et je pleure à chaude larmes, mais ma femme n'est pas impressionnée par ça! Au contraire, elle en profite pour me dire des phrases comme:
    - Tes fesses ont besoin d'un bon massage, je te donne ce genre de traitement autant que tu en as besoin, et j'aime faire l'effort de t'éduquer à être un bon mari!
    - Maintenant, si tu continues, tu recevras  une fessée si sévère que tu ne pourrais pas t'asseoir pendant les trois prochains jours!

    Et, en plus des fessées ponctuelles, j'ai droit à l'éducation complète du week-end, presque tout le temps. Selon la gravité de mon inconduite de la semaine (ou l'envie de ma femme, tout simplement), je subis, les vendredis, samedis et dimanches, jusqu'à quatre fois par jour, les nécessaires sanctions de ma femme. Inutile de le dire que, tout le week-end, je ne porte que mes vêtements honteux, les culottes de femme et la blouse de femme.

    Ma femme pense que les punitions doivent se suivre, et me punit le week-end, parce que le week-end rend plus nombreuses et plus longues, il y a le piquet, des minutes voire jusqu'à une heure, dans le coin et face au mur, souvent avec ma blouse de femme troussée et mes culottes baissées, et donc avec les fesses nues. Ce piquet peut même être fait plusieurs fois de suite entre les châtiments.Certaines punisseuses pensent que le piquet est une perte de temps. Mais ma femme pense que, pour mon éducation, il est important de me laisser le temps de réfléchir et de me repentir, ne serait-ce que par peur de poursuivre sa discipline et d'autres punitions. En même temps, pendant le temps passé dans le coin, je dois réfléchir à la façon dont je me suis comporté comme un petit vilain garçon et me rendra compte que la punition de a femme est significative, juste et nécessaire!

    Ma femme aime relier la nature de la punition à mes fautes. Si je rentre trop tard, je dois rester pendant exactement une heure avec ma culotte baissée, dans le coin, et je dois demander à la minute près à ma femme ma fessée. Je dois donc estimer l'heure dans le coin avec précision. Pour chaque minute d'erreur, trop tôt ou trop tard, je reçois coups supplémentaires sur mes deux culottes, puis sur mes fesses nues. Je suis donc obligé d'avoir une bonne perception du temps!                    

    Ma femme aime se moquer de moi pendant que j'attends anxieusement, dans le coin, ma fessée. 
    - Tu te tiens là comme une petite fille repentante et coupable qui attend anxieusement dans un coin sa fessée bien méritée. Je dois te prendre en photo pour que tous ceux qui verront ton comportement enfantin puissent en profiter et se moquer de ton comportement de fille!

    Ma femme pense que si son mari se comporte comme un vilain petit garçon, il ne doit porter que des sous-vêtements enfantins et démodés, et des blouses de femme dans la maison. Avec des routines quotidiennes contrôlées, des punitions humiliantes, strictes, fréquentes et régulières avec des instruments de punition appropriés. Ainsi, au fil du temps, il se transforme en un garçon bien élevé. L'effort en vaut sans doute la peine, puisque ma femme me fait faire les désagréables tâches ménagères, et me traite comme un petit écolier mineur obligé d'obéir.

    Ma femme pense qu'une épouse stricte et autoritaire conduit à un mariage heureux et sans problème pour les deux parties, car les hommes sont restés de petits garçons dans l'âme et ont donc besoin et veulent les conseils et la rigueur de leurs femmes!   

    Voici comment je suis passé de la férule de ma mère à celle de ma femme, sans aucune interruption, je n'ai quitté ma mère que pour me mettre en ménage avec celle qui allait devenir ma femme, et qui n'a accepté de m'épouser que si je lui étais entièrement soumis.

    Malgré ma soumission domestique, je travaille dur et gagne bien ma vie. Nous avons acheté une maison plus grande que celle que nous avions, et ma femme a décidé que ma mère viendrait habiter avec nous, pour l'aider à me dominer, m'humilier et me punir. Et elle m'a dit, comme sans y attacher d'importance:
    - Comme nous avons une chambre de plus, un week-end sur deux, quand ta soeur divorcée laissera ses enfants à son mari, elles viendra à la maison!

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  • Commentaires

    1
    Leo de Blunnoys
    Jeudi 3 Février 2022 à 20:19

    Moi aussi j'étais très sévèrement puni par ma femme et cela a commencé dès le lendemain de notre mariage. Muriel exigeait que je porte une blouse de nylon en signe de soumission avec interdiction formelle de la retirer. Si je me tenais mal à table je devais la quitter pour me mettre au piquet le nez au mur et les mains sur la tête. Bien sûr, mon repas s'arrêtait là. Si j'oubliais mes papiers d'identité avant de partir travailler, Muriel me collait 500 lignes à faire le week-end en blouse de nylon rose. Comme ma blouse devait rester impeccable; à la plus petit tache ou même à la moindre tache je devais en changer après une cuisante fessée. Une fois j'ai taché deux blouses de nylon coup sur coup. Muriel m'a demandé si je le faisais exprès et j'ai répondu "oui" en riant. Cette insolence m'a valu une terrible correction au martinet et la soirée entière au piquet au lieu de regarder le film. J'ai donc reçu le même jour une fessée à la main et une autre au martinet. J'ai eu du mal à m'asseoir pendant deux jours. Muriel est décéde, mais en son souvenir je porte toujours une blouse de nylon, je trouve cela pratique.

    2
    béné
    Vendredi 8 Juillet 2022 à 15:45

    bonjour à vous toutes et tous,

    moi aussi je suis une femme domi pour mon compagnon, et les punitions tombent dés que la faute est commise;

    j'ai connu mon compagnon trés jeune car nous étions voisins et je savais comment sa mère le punissait,il suffisait de le voir avec ses shorts et les cuisses bien striées pour savoir que le martinet avait servi;

    et j'ai commencé à le gronder dés qu'il était peu gentil avec moi, et un jour nous étions dans leur cuisine je lui ai dit"assez cela suffit je vais te punir" et il est resté tout penaud et j'ai continué devant son attitude en disant "et puis va donc chercher le martinet et donne le moi" et il a obéi!!!!et je l'ai fouetté pour la première fois, aprés quelques cinglées j'ai posé le martinet sur la table en disant"on ne le range pas des fois qu'il reserve" et il m'a dit"merci Béné de m'avoir fouetté j'ai été trop désagréable avec toi"

    et ce fut le début de notre histoire il y a quinze ans maintenant

    merci pour ce blog sympa

     

     

     

     

     

     

     

      • Dimanche 10 Juillet 2022 à 16:46

        Merci pour ce commentaire, si vous avez des images ou des textes à publier, je suis intéressé…

      • Marc
        Samedi 29 Juin à 10:02

        Merci Béné pour nous faire part de cette expérience. Tu sais la mienne est un peu semblable. Moi aussi, étant ado, j’étais souvent puni à la maison et la fessée chez nous n’était pas rare, de même que l’usage du martinet. Ma compagne devenue mon épouse le savait et elle à tout de suite pris le relais. Elle sait faire obéir son mari. Je vois que toi aussi tu fais partie de ces dames strictes et sévères qui savent éduquer leur compagnon. Je te félicite. 

    3
    ramina
    Dimanche 10 Juillet 2022 à 20:31

    Hello Léo,

    Bel hommage à son épouse autoritaire que de continuer à porter une blouse en nylon en souvenir de votre maîtresse femme. Peut être que l'autre cuisant souvenir de sa main claquant sur vos fesses reste tout aussi persistant . Ramina

     

      • xavier
        Jeudi 27 Juin à 14:32

        j'ai moi aussi connu les punitions avec ma première femme. Lorsque j'avais un comportement qui ne lui plaisait pas, elle me punissait .  il y avait bien sur le martinet qu-elle agitait avec allégresse et qui s'abattait sur mes fesses nues . Elle y mettait toute son énergie . ( parfois jusqu'au sang ) . Il y avait aussi la chasteté forcée , qu'elle m'indiquait en mettant ses deux mains en ccroix dvant son bas - ventre en précisant la durée ( en général : entre un et deux mois ) Il y avait aussi _ chose plus rares d'après les témoignage _ les heures de colle , ou je devait rester assis a une table (réservée à cet usage) durant plusieurs heures de suite ( entre 6 et 10 heures ) toujours le week end et toujours quand j'avais une sortie prévue afin que je ne puisse pas y aller . 

         Souvent c'était un mélange des trois.  Je me souviens d'un jour ou je suis rentré àla maison ayant un peeu bu ( il y aavait un pot pour un départ en retraite ) . Après m'avoir copieusement engueulé , elle est revenu avec son martinet et m'a flanqué une déccullottée comme jamais je n'en avait reçu , ( j'aai retrouvé du sang dans mes vetements .

         Après avoir posé le martinet , elle m'a décclaré furieusse que pendant 2 mois : que dalle , ceinture  en mettantses mains en croix devant elle . 

         Un peu plus tard, après s'etre calmé, elle m'a déclaré que rouler en ivresse était risqué pour mon permis et pour ma sécurité et celle des autres , que j ' avais besoin de réviser le code de la route . C 'est comme ça que je me suis retrouvé " collé" pendant 6 heures d'affillé, tous les samedis après midi durant les deux mois à réviser le code de la route . Pourquoi le samedi après midi ? parce que je faisait partie d'un club cycliste et l'entrainement était le samedi après midi .

         

         Des mésaventures comme ça j'en ai connu bien d'autre durant mon mariage ( aujourd' hui terminé )

    4
    Marc
    Vendredi 28 Juin à 14:21

    Bonjour mon cher Xavier. Je lis ton commentaire avec le plus grand intérêt. Je suis content de voir que je ne suis pas le seul à être corrigé. Tu sais lorsque j’étais gamin puis ado, j’étais souvent puni, la fessée bien sûr mais aussi le martinet qui était souvent de la partie. Il faut dire que j’étais un ado assez difficile qui avait souvent besoin d’être remis dans le droit chemin. Ensuite, ma compagne devenue mon épouse à vite pris le relais. Dès le début de notre rencontre elle s’est vite aperçu que j’étais reste un gamin immature et désobéissant. De mon côté je savais que j’avais besoin d’autorité et même de sévérité. Ma compagne s’est vite révélée très autoritaire n’admettant pas que je lui tienne tête. Aussitôt elle a décider de mettre en place pour moi une discipline domestique dont je devais m’accorder. Je dois dire que cela me convenait assez bien. C’était elle qui décidait et moi, je devais lui obéir. Il était clair dès le départ que tout manquement serait puni et que la punition ce serait une bonne fessée. Dès notre rencontre et bien avant notre mariage j’avais déjà reçu la fessée. Tout manquement était sanctionné. Au début j’étais un peu surpris mais ça me paraissait mérité. Ensuite Madame a évoqué le martinet qu’elle jugeait nécessaire pour mon éducation. Je n’avais rien contre le martinet que je connaissais déjà. Très vite nous en avons fait l’acquisition. J’ai dû accompagner Madame dans la magasin et me présenter en caisse, martinet en main, pour le paiement. La honte…Mais je n’avais pas le choix. Heureusement tout s’est bien passé. Depuis la sévérité de mon épouse ne s’est pas démentie. Mon épouse ne me passe rien et la fessée est souvent administrée. Le martinet non plus ne chôme pas. Mon épouse n’hésite pas à me menacer d’une fessée même en présence d’autres personnes. Et dès le retour à la maison je me retrouve en travers de ses genoux. Je sais qu’elle a raison. Cette discipline très stricte m’est nécessaire et je l’accepte. Elle fait partie de notre vie. 

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